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Click hereCe soir j’ai le cafard
Mon cœur est prisonnier d’un étau noir
Mes pensées se bousculent
Et tout en elles m’acculent
Je voudrais cesser de penser
Pouvoir seulement arrêter
Ce soir j’ai le cafard
Mon cœur est prisonnier d’un étau noir
Les heures défilent
Je me sens fébrile
Je voudrais tant me reposer
Et cesser de pleurer
Ce soir j’ai le cafard
Mon cœur est prisonnier d’un étau noir
Les larmes me montent aux yeux
Je voudrais les voir heureux
Ai-je fait le bon choix
En avais-je le droit
Ce soir j’ai le cafard
Mon cœur est prisonnier d’un étau noir
Je voudrais fermer les yeux
Et m’éveiller en mieux
Mes pensées les plus intimes
C’est à toi que je les confine
Ce soir j’ai le cafard
Je voudrais pouvoir y croire
Une étape de ma vie s’est terminée
Une autre doit commencer
Est-ce que j’ai la force de me laisser aller ?
Ou bien est-ce juste pour ne plus pleurer
Ce soir j’ai le cafard
Je regarde dans mon miroir
Je vois des pleurs dans mes yeux
En fait je pleure sur eux
Je leur ai tellement fait mal
Ce n’en est plus banal
Ce soir j’ai le cafard
Je ne veux qu’y croire
Pourront-il un jour me pardonner
D’en esprit les avoir abandonné
Je ne cherche qu’à les aimer
C’est pourquoi je vais m’améliorer
Et devenir enfin la mère tant attendue
Pour que plus je n’entende dans la nuit leurs pleurs si crus !
Ce soir j’ai le cafard
Et dans mon miroir
Je vois enfin un sourire naître
Et l’espoir apparaître