Méchant Tonton

Informations sur Récit
Chantage...
1.7k mots
3.53
121k
1
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Bonjour, je m'appelle Jocelyne. J'ai 30 ans, brune, des cheveux mi-longs, bouclés. Des yeux marrons. Mon visage n'attirerait pas le regard si il n'y avait ma bouche, rouge, pulpeuse, indécente. Parfois, je me dis que c'est peut-être à cause d'elle, ravissante Hélène, que tout à commencé...

Il y a 7 ans environ, ma mère à commencé à manifester les premiers symptômes de la maladie d'Alzheimer, bien qu'en vous épargnant les détails pénibles, vous devez bien imaginer mon désarroi ; en effet, j'adorais ma mère, et le fait qu'elle ne sût même plus mon nom m'occasionnait de grandes douleurs. Je devais en connaître bien d'autres par la suite.

Au chagrin que me causait sa maladie venait s'ajouter une torturante angoisse : l'argent.

Malgré mon diplôme universitaire, je ne trouvais pas d'emploi adapté à mes qualifications et devais me contenter de boulots minables bien que prenants depuis une bonne année déjà, tandis que ma mère, ancienne femme de ménage, ne recevait de l'état qu'une misérable pension mensuelle. Quant à mon père, un de ses anciens employeurs, je ne l'avais jamais connu. Comme je ne voulais en aucun cas qu'elle soit placée dans un mouroir infâme, je dus me résoudre à accepter de l'aide de la part de la famille.

Ma tante me proposa de prendre ma mère chez elle et de s'en occuper elle-même, une solution qui m'épargnait la tristesse de placer ma mère dans une institution tout en m'évitant les frais occasionnés par une infirmière à domicile, que je n'aurais pu de toute façon honorer. Sa proposition, pourtant généreuse, m'intrigua : elle était, petite femme inodore et incolore, complètement soumise à son mari, et jamais n'aurait osé prendre l'initiative de recueillir chez elle sa sœur malade. L'idée devait venir de mon oncle, que je n'aurais jamais imaginé si généreux, en effet les rares fois où je l'avais vu, il m'avait semblé plutôt odieux. Je chassais rapidement ces pensées, toute à la joie de préparer le transfert de ma mère. Je m'occupai de ses bagages, vendis ses meubles, etc.

Un taxi nous conduisit chez ma tante, je la saluai chaleureusement, ainsi que mon oncle et entrepris de la conduire dans la chambre d'amis, qui serait sienne désormais. Tandis que je montai une partie de ses paquets, mon oncle m'interpella : « Jocelyne, laisse faire ta tante et viens plus tôt dans mon bureau, en bas, nous avons quelques détails à régler. »

Je rejoignis mon oncle et posai le dossier relatif aux soins de ma mère devant moi, sur le bureau et attendis. Mon oncle prit la parole :

- Comme tu dois t'en douter, c'est moi qui ai proposé à ta tante d'accueillir sa sœur ici, bien que cela nous occasionne bien du tracas.

- Oui, oncle Marc, je t'en remercie d'ailleurs de fond du cœur et, ...

- Attends un peu avant de me remercier, ses repas, ses médicaments vont nous coûter de l'argent, de la fatigue...

- J'en suis consciente, j'essayerai donc de te verser ce que je pourrai...

- Le peu d'argent que tu nous versera ne sera jamais comparable à l'ennui que nous aurons de l'avoir chez nous!!!

Quoi, voulait- il tout annuler maintenant? Ce n'était pas possible, quelle blague cruelle! Je devrais donc me résoudre à placer maman? Jamais! Mais que faire?

- C'est simple, puisque tu ne peux payer en espèces tu payeras en nature. Depuis que

je te connais, depuis que j'ai vu ta bouche de suceuse, j'ai envie de te baiser, et maintenant tu vas être à moi.

- Ce chantage est immonde, vieux porc!

- Encore un mot comme celui-là et ta mère prend la porte, petite garce. Je te veux soumise et respectueuse, tu n'as pas intérêt à broncher, est-ce clair?

En un instant, ma vie venait de basculer, j'étais forcée de me soumettre aux désirs de

cet homme vieillissant, de ce monstre aux cheveux gris, au regard pervers.

- Oui, mon oncle.

- C'est bien petite salope. Maintenant, je veux que tu te lèves, que tu baisses ton slip et que tu me montres ta chatte. Dépêche- toi.

Les larmes me montant, aux yeux, je ne pus faire autrement que m'exécuter, et je dus,

sous son regard impérieux, refouler ma honte. Je soulevai donc ma jupe et la retins d'une main tandis que l'autre faisait tant bien que mal glisser mon slip de coton blanc sur mes chevilles, puis sur le sol. Au moment d'écarter les cuisses pour faire ce qu'il me commandait, je sentis un léger tiraillement agacer mon bas ventre. Je restai là, mortifiée, les jambes écartées, attendant son bon plaisir. Je commençais à mouiller.

- Bonne petite. Maintenant, prends le stylo, devant toi , sur le bureau. Je veux te voir te

branler avec.

J'hésitais. Ses yeux me scrutaient. Je pris le stylo et l'insinuai en moi. Son contact

froid m'électrisa. Il pénétra sans difficulté.

- Plus fort!

Je fermai les yeux. J'avais oublié mon oncle, ses chantages, l'humiliation. Rien ne

comptait plus au monde que ce petit cylindre métallique. Je serrai ma chatte le plus

possible pour amplifier les sensations. Le mari de ma tante vint se placer à mes côtés, passa les mains son mon t-shirt et caressa ma poitrine par dessus mon soutien-gorge. C'était

délicieux. Mon ventre brûlait, j'adorais ça. Tout à coup, il pinça mes tétons, j'ouvris les yeux et laissai tomber le stylo.

- C'est bien ce que je pensais, tu n'es qu'une femelle en chaleur, mais sache que

désormais tu ne jouiras plus que par moi. Tu vas devenir mon esclave, toujours affamée de sexe, avide de jouissance, je vais te dresser. Maintenant que tu sais que tu es une chienne, à 4 pattes, ramasse ce stylo avec tes lèvres et viens me l'apporter!

Je fis ce qu'il m'ordonnait, déjà sous sa coupe. Je savais désormais que, quoiqu'il m'ordonnerait, j'accepterais. Mon oncle prit le stylo et me le fit lécher :

- Entraîne-toi, je veux entendre tes lapements, suce-bien, tu adores ça, traînée. Tu n'es qu'une pute vulgaire, répugnante.

Je suçais son stylo, m'appliquant à émettre le plus de bruits possibles, un désir toujours plus exigeant croissant entre mes cuisses, puis, il déboutonna son pantalon d'une main et en sortit son sexe, assez gros, au gland violet. Je perçus un relent d'urine. Comprenant à l'instant , je devançai ses paroles et l'embouchai, tâchant de bloquer ma respiration. Mais, l'instant d'après, j'oubliai tout, rien ne comptait plus au monde que ce sexe, que des mains dures maintenaient fiché au fond ma gorge. Je me mis à caresser ses couilles, je le pompai comme jamais je ne m'en serais cru capable, le plaisir de l'humiliation se mêlant au désir de plaire à ce salaud qui profitait de mon malheur. Je sentis de la cyprine glisser sur ma cuisse, accroissant d'autant mon excitation. Il me repoussa brusquement. Je ne comprenais plus rien.

- Enlève ce foutu t-shirt, je veux voir tes seins! Vite!

Je me mis entièrement nue et me remis à le sucer, dopée par le désir qui, je le sentais, le rendait fou. Je l'entendais respirer de plus en plus fort, et, si je n'avais pas été aussi absorbée par ma tâche, j'aurais pu sourire en imaginant la pauvre sœur de ma mère dans cette situation. Je sentais enfin son sperme tiède couler au fond de ma gorge à présent un peu irritée quand Marc se retira et fini de se vider sur ma poitrine nue, la parsemant de quelques gouttes blanchâtres, qu'il recueillit ensuite du bout des doigts pour ensuite les essuyer dans mes cheveux détachés.

- Tu vas être magnifique ainsi coiffée, se moqua -t'il

Cette remarque m'électrisa encore plus, si c'était possible. Mon oncle alla ensuite s'asseoir à son bureau et m'ordonna de le rejoindre, toujours à quatre pattes et de m'installer à plat ventre sur ses genoux. Je m'exécutai, me doutant bien de ce qui allait suivre, ne ressentant plus aucune crainte, n'étant plus remplie que d'une excitation intense. Une fois installée, Marc m'enfonça mon slip que je ne l'avais pas vu ramasser dans la bouche et me lia les bras dans le dos avec sa cravate, qu'il serra durement autour de mes fragiles poignets. Une fois entravée, il se mit à me donner une fessée, assez rude pour faire chauffer mon postérieur et transformer mon bas ventre en brasier. Je commençai à me tortiller dans l'espoir d'arriver à stimuler mon clitoris lorsqu'il enfonça sans préparation son doigt au fond de mon cul. Je sursautai, tentai de gémir, lorsque je vis son sexe reprendre forme, il prenait vraiment son pied ce salaud.

Il libéra finalement son doigt, pour, enfin s'occuper de ma chatte, il me caressa, me doigta, me pinça de manière à me rendre folle. Avec ce traitement je ne mis que peu de temps à jouir, enfin. Mais il n'en avait toujours pas terminé avec moi il recommença à sonder mon anus à l'aide d'un puis de deux doigts. Je sentais petit à petit le désir revenir me tirailler les entrailles lorsque je me rendis compte qu'il me remplissait de plus en plus.

- Pousse, m'ordonna –t'il

J'obéis et immédiatement je sentis ton son poing prendre possession de mon cul. J'aurai voulu hurler de douleur, lorsqu'il s'immobilisa. J'eus le temps de reprendre mon souffle puis il bougea un peu en moi avant de finalement ressortir. J'avais les larmes aux yeux, l'anus dilaté à l'extrême. Mon oncle se leva et je suivis le mouvement, je faillis m'écrouler, les mains toujours liées dans le dos mais il me fit basculer sur le sous-mains garni d'un buvard vert foncé sur lequel ma tête vint s'appuyer et il pénétra sans difficulté mon petit trou déjà bien malmené. Mais c'était bon, trop bon même, je ressentis un plaisir intense me projeter hors de moi.

- C'est bien Jocelyne, nous allons prendre bien soin de ta mère, ta tante et moi.

Sur ces mots il me libéra de mes liens, m'aida à me rhabiller mais m'interdit de remettre mon slip.

Lorsqu'il me raccompagna à la porte et me dit : « A bientôt... », je ne pus réprimer un léger sourire, ma mère était en haut entre les mains de sa sœur et moi, je venais de vivre une expérience extraordinaire bien qu'un peu traumatisante, jamais je n'avais eu d'orgasmes aussi intenses, le plaisir psychique se mêlant au plaisir physique. Il n'était pas si terrible que cela, après tout, ce brave Marc... J'avais hâte de recommencer!!

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 18 ans
dommage

Sympa, mais comme dit plus haut, Jocelyne se soumet et ressent du plaisir un peu trop rapidement, c'est dommage. On ne sent pas assez son humiliation. Mais le style est bon, j'ai hate de lire d'autres histoires :)

AnonymousAnonymeil y a environ 18 ans
Trop Facile

Jocelyne se soummet beaucoup trop facilement. L'idée de base est excellante, mais le développement est trop simpliste et irréaliste. Vous avez écrit en une page un cheminement de soumission qui aurait pu s'étendre sur plusieurs chapîtres.

Meilleur chance la prochaine fois.

wagoneer88wagoneer88il y a environ 18 ans
pas mal, pas mal du tout

Jocelyne avait hate de recommencer, et moi aussi j'ai hate de recomencer a lire la suite de l'histoire, s'il y en aura!

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

Problèmes de Discipline 1/3 La mère de Tom va devoir régler les problèmes de son fils...
L'Invitation Une jeune femme reçoit une bien étrange invitation.
Réveil préhistorique Un homme préhistorique intact est retrouvé en Sibérie.
La Punition J'ai bien mérité ma punition.
Plus d'histoires