Mini Harem Partie 01

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Une épouse à ses pieds, une soeur dominée.
  • September 2006 monthly contest
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Voici la première partie d'une histoire que je rêverais vivre. C'est l'histoire d'un mec qui est marié à une femme superbe qu'il domine complètement sexuellement, puis l'histoire de sa soeur qu'il domine et humilie. Faites des commentaires!

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Moi et ma grande soeur n'avions jamais été très proches l'un de l'autre, mais nous avions parfois "des moments de franchise". Des moments ou on se posait les questions sur des sujets que généralement nous n'abordions jamais. Elle approchait de la quarantaine et moi de la trentaine.

Cela faisait 4 mois que j'étais marié, et j'étais heureux avec ma femme. Je suis marocain et c'est en allant en vacances au maroc que je l'ai rencontrée, dans un village reculé ou une petite partie de ma famille vivait depuis des décénnies. Je suis pratiquement tombé amoureux d'elle au moment ou je l'ai vue. Physiquement, c'était une arabe "typique" : de grands yeux noirs, de longs cheveux noirs, une taille de guepe. Une pricesse toute droit sortie d'un conte des mille et une nuits. Elle avait 19 ans et venait de passer son bac.

Il m'a suffit de toucher quelques mots à mes parents pour que "l'affaire" soit arrangée et quelques mois plus tard, nous étions mariés. Latifa, puisque c'est son nom, n'avait pas refusé : je suis plutôt charmant et la perspective d'une vie heureuse en suisse(puisque c'est là que je suis né et que je vis) avait dû la convaincre d'accepter. De plus, j'étais tout à fait sincère et ce que je souhaitais le plus était de la rendre heureuse, et que ce soit réciproque. Je peux dire que jusqu'ici mes attentes étaient comblées.

Bref, tout allait bien pour moi.

Même mes rapports avec ma soeur s'étaient améliorés, bien que nous n'ayons jamais été ennemis, mais seulement distants.

En ce jour, je me trouvais chez Aicha(ma soeur), et nous étions seuls : ses 4 enfants étaient à l'école et son mari travaillait, moi-même j'étais en congé payé et ma soeur était femme au foyer. Quant à ma femme, je venais de la déposer au centre commercial, j'étais donc passé "dire bonjour" à ma soeur à l'improviste, préférant cela à une séance de shopping.

Nous étions dans le salon, autour d'une théière fumante qu'elle venait de préparer et nous discutions de choses et d'autres, la télévision en fond sonore.

- Alors, comment ça se passe avec Latifa, me demanda-t-elle en souriant, tout va bien?

- Oui, ça se passe super bien, dis-je, enthousiaste. Même mieux que je ne l'aurais imaginé!

- Ah, c'est bien, dit-elle, je suis vraiment contente!

Je vis qu'elle hésitait à ajouter quelque chose.

- Et... sexuellement? osa-t-elle m'interroger avec un large sourire, comme pour mieux faire passer la pillule.

C'est là que je compris que nous venions d'entrer dans une phase "franchise". Cela ne me genait pas, bien que mes joues durent légèrement rougir.

- Ben, ça se passe très bien aussi, dis-je, rien à signaler!

- Tu ne m'as jamais raconté comment ça s'était passé au mariage, dit-elle.

- Tu étais présente, que veux-tu savoir de plus!

Effectivement, elle avait fait le voyage jusqu'au maroc pour assister au mariage. J'allais lui rafraichir la mémoire mais elle me devança :

- La nuit de noce, je veux dire.

- Tout s'est bien passé, dis-je. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles!

Je me demandais si elle allait avoir le culot de me soutirer des détails.

Mes craintes se révélèrent fondées.

- Oui mais, a-t-elle eu peur, ou mal? Elle était bien vierge, au moins?

J'avalai ma salive.

- Elle était vierge, et elle a eu peur et sûrement un peu mal aussi. Mais ça s'est bien passé, ajoutai-je, en espérant clore ainsi le sujet.

Peine perdue.

- Tu l'as excitée en la caressant avant de la pénétrer, j'espère!

- Oui, dis-je, à court de mots.

- Tu as titillé son clitoris?

Nous venions de quitter la phase "franchise" pour entrer dans une autre dimension.

Dans cette dimension, ma gorge était sèche.

- Oui.

- Elle a aimé? questionna-t-elle, sérieuse.

- Oui.

- Elle était humide quand tu l'as pénétrée?

- Oui.

- Tu as éjaculé en elle?

- Oui.

- Tu veux encore du thé?

- Oui.

Comme le capitaine Kirk et son ami Spock, il me faudrait des lustres avant de retrouver la planète Terre.

Je me rendis compte que je bandais légèrement tandis que le thé chaud hydratait ma gorge.

Je fis mine de m'interesser à la télévision alors que je n'avais strictement rien à faire des résultats de tennis.

Elle revint à la charge.

- Vous faites souvent l'amour?

- Plutôt, oui.

Je compris qu'elle en voulait beaucoup plus et je décidai de la prendre à son propre jeu, de l'ettouffer de réponses.

"Elle aime que je la prenne par derrière, en levrette"

- Dans son ... cul? hésita-t-elle.

- Non, elle n'aime pas. Juste bien profond dans sa chatte.

J'avais hésité à prononcer cette dernière phrase, mais après tout, elle l'avait bien cherché : on récolte ce que l'on sème.

Je vis son visage rougir légèrement et c'est avec une mine bizzarement concentrée qu'elle posa sa question suivante :

- Elle suce?

- Oui, dis-je avec un bref sourire. Au début, elle ne voulait pas, mais depuis qu'elle s'est laissée tenter, elle ne peut pratiquement plus s'en passer.

- Eh bien! Qui aurait cru ça!

- Et j'ai oublié de te dire que je jouis à chaque fois dans sa bouche, et qu'elle avale jusque la dernière goutte.

- C'est vrai?!

- Ben, si je te le dis! En fait, la plupart du temps, elle ne suce pas vraiment : comme c'est une fainéante, elle reste couchée ou assise, et c'est moi qui fait tout le travail.

- Comment ça?

- Ben, je me fais aller dans sa bouche comme si c'était sa chatte et quand je sens que je vais jouir, je me cale au plus profond de sa bouche et j'éjacule. Je peux te dire qu'il ne se passe pas un jour sans qu'elle ait mon sperme dans l'estomac.

- Et toi, ça te plait ça?

- Bien sûr que ça me plait, qu'est-ce que tu crois? Je vis le paradis tous les jours. Faut être un mec pour comprendre ...

- Qui aurait cru ça!

- Pourquoi, tu n'arrives pas à nous imaginer, moi et elle, entrain de faire ça?

- Ben, elle semble tellement gentille, tellement douce, j'ai du mal...

- Ca n'empeche rien : elle reste douce et gentille, mais elle aime se faire plaisir, c'est tout.

- Oui, c'est vrai.

- Mais tu ne sais rien encore de toutes façons...

- Ah oui!? Raconte!

- Ah ah, tu veux savoir, hein?

Je savais que je pouvais lui faire confiance, que jamais elle n'irai repéter ce que je venais de lui dire. Nous avions déja quelques secrets que nous étions seuls à détenir, et jusqu'a maintenant, tout s'était toujours bien passé.

Je bandais maintenant assez puissament, heureusement que la table cachait la proéminence de mon jean's.

Je me doutais qu'elle devait être dans un état similaire, peut-être sa culotte était-elle déja trempée.

- En fait, tu dois savoir que plus le temps passe, plus elle devient passive. Comme quand je baise sa bouche, par exemple.

J'avais volontairement utilisé ces termes : "baise sa bouche". Je cru remarquer que cela avait eu l'impact voulu. Elle était très attentive et buvait mes paroles.

"J'ai pris l'habitude de lui caresser les seins à n'importe quel moment de la journée : quand nous sommes dans le canapé devant la tv, quand elle fait la cuisine, etc... Et il y a 2 mois, un jour au soir, pendant qu'on regardait un film, j'avais glissé ma main sous son chemisier pour jouer avec ses seins. Je ne sais pas pourquoi, mais il me prit l'envie de lui pincer les tétons."

- Et c'est tout?

- Mais non, attend. J'avais pincé assez fort, elle a sursauté et laché un petit cri. Elle a soulevé la tête pour me regarder. J'ai cru qu'elle allait m'engueuler, et je me préparais à m'excuser. Mais en fait, elle n'a rien dit. Elle s'est juste peletonnée contre moi. Alors, j'ai recommencé. Je lui ai pincé l'autre téton. De plus en plus fort. Chaque fois que je la pinçais, elle prenait une courte inspiration bruyante. Et voila, depuis ce jour-là, elle veut toujours que je lui pince les tétons.

- Eh bien! J'ai difficile à croire ça! Ca te plait de lui faire ça?

- Pourtant, c'est la stricte vérité. Et oui, ça me plait. Comme je suis un peu sadique, ça m'arrange, dis-je en souriant. Je lui ai déja donné la fessée, aussi.

- La fessée?!

- Oui, jusqu'a ce que ses fesses deviennent rouges, jusqu'à ce que ça lui brule. En fait, elle devient de plus en plus passive, de plus en plus soumise, et c'est pas pour me déplaire. C'est elle qui me demande de lui faire tout ça. Et elle en veut toujours plus.

- C'est incroyable, j'en reviens pas...

- Le fait est que je deviens de plus en plus brutal avec elle quand il est question de sex. Mais ne te trompe pas, je l'aime profondément, et elle me le rend bien.

- Brutal?

Je ne reconnaissais plus le visage de ma soeur. Sa mine était un mix de curiosité, de trouble et ses joues étaient rouges.

- Disons que quand j'ai envie d'elle, je me sers. Je l'ai déja sautée dans toutes les pièces de l'appartement. Maintenant, je lui donne la fessée avec ma ceinture. Je peux te dire que ça lui fait mal. J'aime baiser sa bouche et la frapper en même temps.

- Et ça lui arrive de pleurer?

- Dernièrement, j'ai voulu connaitre ses limites, et là elle a pleuré. Faut dire que je m'étais laché.

- Raconte, dit-elle dans un souffle.

- Je venais de rentrer du boulot et elle était attablée, entrain de feuilleter un catalogue, je crois. J'avais passé une sale journée et j'avais envie de me détendre. Je l'ai embrassée longuement, puis je ne pouvais plus attendre. J'ai baissé mon froc, je l'ai attrapée par les cheveux et je me suis enfoncé dans sa bouche. Je me souviens qu'elle a failli vomir, mais je m'en foutais royalement. Je crois bien que j'avais inconsciemment décidé de passer mes nerfs sur elle. Je l'ai faite tomber de sa chaise en la tirant par les cheveux, puis je l'ai trainée sur un mètre. Elle était à genoux, et pour la première fois, je l'ai frappée au visage. Je lui ai donné une claque dont elle doit encore se souvenir. Elle ne pleurait pas encore, mais je sentais les premiers sanglots arriver. J'ai continué à lui baiser la bouche pendant quelques minutes, en lui tenant fermement la tête par les cheveux. Puis j'ai pratiquement arraché son chemisier, j'ai enlevé ma ceinture et j'ai cravaché son dos nu jusqua ce que mon bras soit fatigué.

- Elle criait?

- Oui. Quand j'ai laché ses cheveux, elle s'est laissée tomber au sol, sur le coté. Elle s'est mise à pleurer pleinement. J'ai poussé sa hanche du pied pour la mettre sur le dos. Je l'ai contemplée un moment en me branlant. Puis je me suis mis entre ses cuisses et je l'ai baisée. Je lui faisais mal aux nichons, je lui pinçais les tétons de toutes mes forces, ça la faisait se plier. Je l'embrassais, et je sentais le gout de ses larmes. J'étais surexcité. Finalement, j'ai jouis sur son visage. Après quelques minutes, j'ai nettoyé son visage avec une serviette en papier, je l'ai soulevée et j'ai été la coucher dans notre lit. Je me suis mis nu et je me suis couché près d'elle. J'avais eu peur d'avoir été trop loin, mais elle m'a rassuré en me demandant de la serrer très fort. C'est ce que j'ai fait, et on s'est endormi.

Après un moment d'hésitation, ma soeur posa une nouvelle question :

- Et qu'est-ce qu'elle a dit, le lendemain?

- Pas grand chose. En fait, on parle rarement de ces moments là. Si elle m'avait demandé d'arreter, j'aurais immédiatement arreté. Je commence à bien la connaitre : si elle ne dit rien, c'est que ça va. Mais sinon, le lendemain, pendant qu'on préparait le diner, sans y penser, j'ai posé la main sur son dos. Ca l'a faite tressaillir, et par réflexe elle s'est écartée. J'ai soulevé son t-shirt et j'ai vu que son dos était tout rouge. On voyait bien les traces de la ceinture, c'était gonflé par endroits. Je me suis amusé à taquiner ses blessures. J'ai vite commencé à bander. On est allé s'asseoir dans le canapé et d'une pression sur la nuque, je lui ai fait comprendre que j'avais envie de sa bouche. Pendant qu'elle suçait, puisque j'avais son dos juste sous les yeux, je jouais à lui faire mal. Je suis étonné par sa capacité de résistance à la douleur, mais je sais quelles sont les limites à ne pas dépasser, ne t'inquiète pas.

Ma soeur avait les yeux baissés, semblant fixer un objet sur la table. Finalement, elle releva la tête.

- Elle doit vraiment t'aimer pour se donner à toi comme ça.

- Oui, je crois, dis-je en souriant. J'y ai déja refléchi, et j'en suis arrivé à la conclusion qu'elle aime simplement être possédée, dominée. Et pour ce qui est de la douleur, ça fait partie du jeu. Ca la conforte dans l'idée qu'elle m'appartient. Mais de là à dire qu'elle aime vraiment avoir mal, je n'en sais rien. Je pense qu'il ne faut pas chercher à comprendre : il existe des gens qui aiment, et d'autres non. En tous cas, ce qui est sûr, c'est que je me sens extrêmement proche d'elle. Et elle doit ressentir la même chose, je pense. Mais si un jour elle me demande d'arreter, de ne plus jamais lui faire mal, j'arreterai, même si ça risque de m'être difficile.

- Difficile?

- Oui, difficile. J'y ai pris gout, qu'est-ce que tu crois? Latifa est une femme superbe et je l'aime à la folie. Tu ne peux pas savoir ce que c'est de lui faire toutes ces choses tant que tu ne l'as pas vraiment fait. C'est vraiment un autre monde. Quand elle est tout contre moi, que je sens sa respiration chaude dans mon cou pendant que je claque sévèrement ses fesses avec le cuir de ma ceinture, que je la sens tressaillir à chaque coup que je lui donne... Je ne peux plus m'en passer.

- Je vois.

- Bon, maintenant que tu sais à peu près tout de ma vie sexuelle, c'est ton tour!

- Il n'y a pas grand chose à dire, dit-elle en souriant légèrement.

- Il y a toujours plus à raconter qu'on le pense.

Elle souleva légèrement une épaule.

Je n'allais pas lui faire de cadeau.

"Tu suces?"

Si elle était surprise, elle ne le montrait pas.

- Parfois.

- C'est quand la dernière fois que tu as sucé?

- Je ne sais pas, ça fait longtemps.

Après tout ce que je venais de lui raconter, elle allait me faire l'affront de jouer à celle qui en dit le moins possible.

- Je suppose que tu aimes la bite? Avec 4 enfants, le contraire m'étonnerait!

- Oui, mais je ne suis pas comme toi, ou comme Latifa, j'aime les choses normales.

- Eh bien, dis moi ce que tu aimes, alors.

Elle n'ajouta rien.

j'allais tenter quelque chose.

"Ca te dirait de regarder, pendant que je la fais souffrir?"

Elle souleva la tête et acquiesça.

J'avais touché quelque chose.

"Je peux essayer d'arranger ça"

- Tu es fou? Qu'est-ce qu'elle va dire?

- Tu ne te montreras pas, tu seras cachée. Tu nous verrais sans qu'on te voit. Que voudrais-tu que je lui fasse?

Elle hésita un court instant.

- Fais-lui mal.

- Comment? Frapper son dos et ses fesses ou bien tu préfères que je m'occupe de ses seins?

- Fais-lui mal aux seins.

- Je la ferai se plier tellement je lui ferai mal, et puis je la ferai se mettre à 4 pattes, je m'assoirai sur son dos et je fouetterai ses fesses et ses cuisses. Je m'arrangerai pour que tu aies une vue parfaite de son petit cul. Ca te plairait?

- Oui. Baise-la, aussi.

La machine était en route.

Je bandais si fort que j'en avais mal.

- Tout ce que tu voudras. Je peux aussi lui baiser la bouche, si tu veux.

- Oui, vite et fort. Et lache tout ton sperme dans sa bouche.

- Et elle avalera comme une gourmande, elle adore ça.

J'en rajoutais quand même un peu.

"Imagine qu'elle se rende compte que tu es là."

- T'es fou!

- Imagine, simplement. Imagine qu'elle fasse comme si elle ne t'avait pas vue. Imagine qu'elle est à 4 pattes entrain de me sucer, mais bien consciente de ta présence. Elle n'attendrait qu'une chose, c'est que tu prennes la ceinture et que tu la frappes, j'en suis sûr. T'en aurais envie?

Elle fit oui de la tête.

"Et on pourrait échanger les positions : je la prends en levrette pendant qu'elle te lèche."

- Elle aime ça?

- Oui.

J'en étais pas sûr.

"Tu pourrais t'amuser avec elle quand tu en aurais envie."

- Je la ferai me lécher du matin au soir. Je m'assoirai sur son visage pour qu'elle me lèche le cul et je lui pincerai les seins.

Je commençais vraiment à avoir mal aux couilles, ça devenait intenable.

- Bon, on va arreter de parler de tout ça.

- Pourquoi? demanda-t-elle.

- Parce que ça m'énerve.

- Ca t'énerve?!

- Oui, je bande trop fort depuis trop longtemps et ça m'énerve.

- Tu bandes?

- Ben, oui. Pourquoi? Ne me dis pas que tout ce qu'on s'est dit jusque maintenant ne t'a fait auncun effet.

- Si, un peu.

- Un peu? T'es mouillée?

- Oui.

- Je parie que tu es toute trempée!

Elle ne répondit pas.

- Montre-moi.

- Quoi? Que je te montre ma bite?!

Elle resta muette.

Il ne me fallu pas longtemps pour me lever, malgré que je n'en croyais pas mes oreilles.

Je me mis debout à 2 mètres de ma soeur et sortis ma bite qui était tendue comme un morceau de bambou.

Je la tendis vers elle et commençai à me branler doucement.

Ses yeux étaient fixés sur elle.

Je fis un pas en avant, puis un autre, pour enfin m'appuyer contre la table, à une trentaine de centimètres de ma soeur.

Je me branlais doucement.

"T'en as envie, Aicha?"

Elle me jeta un regard rapide et reporta son attention sur ma queue tendue.

"Branle-moi"

Elle ne bougea pas d'un poil.

Je pris sa main et la portai à ma bite, puis j'imprimai un mouvement de va-et-vient. Je me mis à caresser sa joue de la paume de ma main libre, elle était brulante. Je passai mes doigts dans ses cheveux.

Je me rendais compte à quel point j'aimais cette femme, ma soeur. C'était bizzare et j'avais l'impression de ne rien controler. Comme dans un rêve incertain où le danger pouvait surgir à tout moment.

Elle était belle, mais je lui préférais de loin Latifa. Non seulement parce qu'elle était plus jeune, mais aussi parce qu'elle avait un physique à tomber par terre. Latifa était svelte, même un peu trop à mon gout, tandis que ma soeur était largement en sur-poids. On devinait aisément les bourlets de graisse sous ses chemisiers et pulls qu'elle s'obstinait - me semble-t-il - à acheter une taille en moins. Je ne l'avais jamais vue nue, du moins pas depuis très longtemps, mais je pouvais l'imaginer à poils. Elle avait des seins lourds en apparence, des fesses larges et des biceps tombants.

J'étais de toutes façons décidé à la déshabiller, le suspens n'allait pas durer longtemps.

Je caressai sa lèvre inférieure puis j'introduisis mon index dans sa bouche.

Elle resta inerte.

"Suce"

Après un moment d'hésitation, elle commença à suçoter mon doigt.

"On monte?"

Elle se leva silencieusement pour se diriger vers l'escalier qui menait à l'étage.

Je la suivis, queue en main. Mon coeur battait si fort que j'en vins à me demander, une demi-seconde, si c'était normal.

Arrivés dans la chambre, elle se laissa choir sur son lit conjugual, un peu bordélique.

Trop conventionnel à mon gout.

- Non, assieds-toi sur le bord du lit.

Elle s'exécuta.

Je fis glisser mon jean's et mon caleçon sur mes chevilles puis j'approchai mon gland de sa bouche.

"Prends-la en bouche"

Elle hésita, puis léchouilla timidement le bout de mon gland.

Je dus m'approcher encore pour que ma bite soit tout contre son visage. Sa langue devint plus énergique et elle parcourait maintenant mon sexe de la base à l'extremité.

Je fis voyager ma bite tendue sur l'entièreté de sa face, tapotant par-ci, caressant par-là.

J'avais une envie terrible et implacable de la dominer, et de le lui faire savoir.

"Prends-la en bouche maintenant, et suce"

Je dus légèrement forcer le passage, la résistance fut molle. J'étais enfin dans sa bouche. Elle amorça un mouvement de va-et-vient mais elle était maladroite.

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