Le Pensionnat

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Violée par le directeur et l'abbé du Pensionnat.
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Anne venait tout juste d'avoir 18 ans. Elle demeurait au pensionnat Ste-Claire depuis maintenant 6 ans. Orpheline et fille unique, elle y était depuis l'âge de 12 ans. Durant les vacances d'été, il lui arrivait d'aller passer quelques jours chez une vieille tante maternelle mais, la plupart du temps, elle restait au pensionnat qui, légalement, assumait sa tutelle. C'était une jolie brunette, de 5'2", à peine100 livres au joli sourire et aux yeux bleus.

Le pensionnat était administré par une fondation catholique privée dont le père de Anne avait été l'un des principaux contributeurs. L'institution était dirigée par M. Leblanc qui assumait cette fonction depuis maintenant plus de 25 ans. C'était un homme autoritaire, trapu, quelque peu obèse qui, à l'âge de 65 ans, allait bientôt quitter pour la retraite.

C'était une belle journée d'été. Le pensionnat était presque vide. Anne était pratiquement seule dans l'établissement. Elle revenait tout juste de quelques jours de vacances auprès de sa vieille grande-tante.

Elle était en train de s'habiller lorsque son nom résonna au micro: "Mademoiselle Dery, veuillez vous présenter à mon bureau s'il vous plaît." Elle reconnut la voix du directeur.

Elle ajusta sa jupe carrelée et sa blouse blanche, remonta ses bas de laine bleus jusqu'aux genoux, coiffa ses cheveux et se dirigea d'un pas rapide vers le bureau du directeur.

Anne faisait partie de nombreux comités. C'était une jeune fille dynamique, pleine d'énergie et d'imagination. Elle était appréciée de tous. Le directeur voulait sûrement la voir pour discuter avec elle d'une de ses nombreuses implications dans les activités du pensionnat. La soirée de la graduation peut-être?

"Entrez", dit le directeur, après qu'elle eut frappé à sa porte. Elle pénétra dans la pièce sombre et austère. Elle était souvent venue dans le bureau du directeur mais ce matin-là, l'atmosphère y était particulière. Les rideaux étaient tirés et le directeur était assis derrière son bureau. Son visage était grave. À ses côtés, se tenait debout, l'abbé Courville, le chapelin du pensionnament. Son allure était tout à fait différente de celle du directeur. C'était un homme grand et mince, maigre même, au visage émacié. Seul point en commun avec le directeur était son âge. Il devait avoir au moins également 65 ans. Il portait une longue soutane noire qui lui donnait un allure encore plus sévêre.

"Approchez-vous, mademoiselle", fit le directeur...

Il ne l'invita pas à s'assoir comme c'était son habitude. Elle se sentait mal à l'aise. Quelque chose n'allait pas. Qu'avait donc t-elle pu bien faire de si répréhensible?

"Mademoiselle Déry, j'irai droit au but. Durant votre absence, nous avons du entrer dans votre chambre pour procéder à quelques réparations électriques. Voici ce que j'ai trouvé dans votre commode, mademoiselle Déry."

Le directeur ouvrit le tiroir de son bureau et déposa devant l'adolescente un cahier vert cartonné: son journal personnel!!!

Une immense bouffée de chaleur monta au visage de l'adolescente. Elle se sentit rougir et aurait voulu se trouver à mille lieues de cet endroit. Elle savait trop bien ce que contenait son journal...

"Est-ce là votre journal personnel, Mademoiselle Déry?"

"Oui", souffla l'adolescente, la tête basse...

"Point n'est besoin de vous dire que M. l'abbé et moi-même furent grandement étonnés de ce que nous y avons lu! Permettez-moi de vous en souligner quelques passages, Mademoiselle Déry."

"Mardi, 12 février. Je me suis encore masturbée hier soir. J'aime me toucher, caresser mes seins, mes mamelons...

"Regardez-moi, mademoiselle Déry, lorsque je vous parle..."

L'adolescente releva les yeux et regarda le visage empourpré du gros homme qui, tenant son journal de ses mains tremblantes, continua sa lecture...

"... l'intérieur de mes cuisses. J'ai frotté longuement mon clitoris et j'ai jouis..."

L'abbé Courville prit la parole de sa voix rocailleuse: "Mademoiselle Dery, je n'ai pas souvenir que vous m'ayez parlé de vos masturbations lors de vos confessions. Dites-moi, mademoiselle, cela vous arrive-t-il souvent de vous masturber le soir dans votre chambre lorsque vous êtes seule... et nue?"

Anne remarqua que sa voix avait changé d'intonation lorsqu'il avait prononcé le mot "nue". Son regard aussi avait, à ce moment-là, quitté ses yeux et c'était attardé sur ses seins et ses jambes. Anne ne pouvait croire à ce qu'il lui arrivait. Ce n'était surement là qu'un cauchemar duquel elle se réveillerait dans quelques secondes...

La voix puissante du directeur la ramena à la réalité: "Répondez Mademoiselle Déry, répondez à monsieur l'abbé...!"

"Quel... quefois..."

"Quelquefois, dites-vous? Permettez-moi d'en douter, mademoiselle Déry! Laissez-moi poursuivre ma lecture", ajouta le directeur.

Mercredi, 6 mars. Je me masturbe tous les jours.... et même quelquefois par jour... Suis-je normale? J'aime me toucher devant le miroir de ma chambre en imaginant qu'un garçon me regarde. J'aimerais qu'il me caresse, qu'il m'embrasse partout. J'aimerais sentir ses doigts et sa langue sur mes seins, mon ventre, mon clitoris..."

"Franchement, Mademoiselle, nous ne savions pas que vous étiez si obsédé par le plaisir... sexuel" ajouta l'abbé.

Le mot "sexuel" avait également résonné de façon perverse dans sa bouche. Anne savait maintenant ce que ces deux vieux vicieux attendait d'elle. Son corps se mit à trembler...

"Voyons, Mademoiselle Déry, ne tremblez pas ainsi! Nous sommes en plein été, laissez-moi tout de même fermer cette fenêtre", dit l'abbé en se dirigeant vers le fond de la pièce.

"Voilà, cela va-t-il mieux?"

Il était maintenant debout derrière elle, ses longues mains décharnées lui caressant les épaules, les bras, la nuque et le cou... "Allez, détendez-vous... M. le directeur et moi, nous ne voulons que votre bien, Mademoille Déry. Si la sexualité est pour vous un problème, je suis sur que nous pouvons vous guider dans le droit chemin... Mais, laissons M. le directeur poursuivre sa lecture..."

M. Leblanc avait observé la scène de son regard libidineux fasciné par les mains de l'abbé glissant sur les épaules, le cou et les bras nus de l'adolescente... Sa bouche était dessechée et sa voix temblante lorsqu'il poursuivit sa lecture...

"Jeudi 9 mai. Mes doigts ne me suffisent plus... J'ai envie d'un pénis, de le toucher, de le prendre dans mes mains... je n'ai jamais vu le sexe en érection d'un homme... j'ai envie de me faire pénétrer... J'ai pelé un concombre que j'ai volé à la cuisine et je l'ai fait doucement entrer dans mon vagin, de plus en plus loin... Quelques gouttes de sang ont coulé lorsque mon hymen s'est rupturé. Je me suis fait jouir une partie de la nuit en me pénétrant ainsi..."

"Ainsi vous n'avez jamais vu le pénis d'un homme mademoiselle Déry? Vous aimeriez en voir un?" lui soufla l'abbé alors qu'il était toujours contre son dos...

L'adolescente resta sans réponse...

"Répondez moi", dit-il en haussant le ton...

"Je... je ... je ne sais pas", souffla l'adolescente...

"Mais si, vous le savez, mais si... mais vous etes simplement trop timide pour nous l'avouer. C'est normal qu'un aussi jolie jeune fille que vous veuille connaitre les plaisirs du sexe. Connaitre l'orgasme au main d'un homme. Il n'y a rien de mal à cela, mademoiselle Déry. Vous êtes tout à fait normale. D'ailleurs, vous êtes vous-même très jolie et vous n'êtes pas sans le savoir. Vous avez un corps superbe et je suis certain que vous avez envie que l'on vous touche...."

Le corps de l'abbé était maintenant plaqué derrière celui de l'adolescente, ses mains courrant toujours sur les épaules, les bras et le cou de la jeune fille...

"Allez détendez-vous... Mademoiselle Déry. M. le directeur et moi-même ne voulons que votre bien...."

C'est alors qu'elle le sentit... lorsque le bassin du vieil homme se plaqua derrière elle.....

Le vieux salaud était en érection!... Il appuyait son pénis contre ses fesses! Jamais elle n'avait été aussi troublée.. Elle ne savait que faire, que dire...

"Poursuivez Monsieur le directeur, je sens que le meilleur reste à lire!"

Anne savait trop bien ce que réservait la suite de son journal. Jamais elle n'avait eu aussi honte! Jamais elle ne s'était sentie aussi vulnérable...

Le directeur reprit sa lecture:

"Dimanche 15 mai. Ma copine Madeleine a passé le week end avec moi et nous avons beaucoup parlé. Elle avait apporté quelques bières et m'a raconté comment son copain lui avait fait l'amour. Elle m'a dit qu'il l'avait attachée par les poignets et les chevilles avant de la caresser partout et de la pénétrer. Puis il avait permis à trois de ses amis de venir la prendre ainsi. Elle m'a dit qu'au début, elle avait résisté mais qu'elle avait commencé à mouiller lorsqu'ils s'étaient mis à la toucher, la lécher, l'embrasser, la sucer... la violer... Lorsque je suis revenue dans ma chambre, je me suis masturbée en imaginant que je me faisais prendre ainsi..."

"Ma chère Anne, permettez que je vous appelle Anne, nous commençons à vous connaitre de plus en plus...", l'abbé avait continué à parler de sa voix rocailleuse, d'une voix qu'elle ne reconnaisait plus, haletante... fiévreuse... "Le viol vous excite, dites-vous? Ne vous en faites pas, c'est là un fantasme que partage bien des femmes, vous n'êtes pas la seule, mon enfant... Aimeriez-vous que M. le directeur et moi-même, nous vous guidions dans votre découverte de la sexualité et de vos fantasmes?"

"Je.. je ne sais pas... balbutia.. Anne... je crois que je devrais par... partir..." Elle fit un geste pour se dégager mais il la retenait fermement..

"Partir? Mais voyons, quelle idée! Je suis sûr que M. le directeur ne partage pas cette idée non plus!"

Le regard de M. Leblanc était rivé sur la poitrine de l'adolescente lorsqu'il dit, d'un ton sans équivoque: "Je ne crois pas qu'il soit encore l'heure de partir, ma chère petite...."

"Voyez-vous, ma chère Anne", continua l'abbé, "il me semble qu'il est de notre devoir de répondre à certaine de vos interrogations en matière de sexualité, ne croyez-vous pas?"

"Je.. je ne sais pas...", balbutia Anne.

"Mais si, mais si... commencons par le début: cette envie que vous avez de voir un pénis. Vous n'avez vraiment jamais vu le pénis en érection d'un homme?... Répondez-moi"

"Non...", murmura l'adolescente.

"Vous savez sans doute que ce que vous avez écrit dans votre journal est très excitant à lire. Vous n'êtes pas sans savoir qu'en ce moment même je suis en érection. Sentez-vous mon pénis durci contre vos fesses?"

"Ou... oui...", souffla la jeune fille.

"Lorsque j'ai lu votre journal, je me suis masturbé, ma chère Anne. Et vous, M. le directeur?

"Oui, plusieurs fois...", croassa le gros homme.

Anne regarda le visage cramoisi du directeur assis derrière son bureau et devina qu'il était en train de caresser son entrejambe.

"J'ai même été dans votre chambre et je m'y suis masturbé en frottant vos sous-vêtements sur mes testicules, en humant l'odeur de votre sexe. Vous savez que vous sentez très bon, Mademoiselle Déry..."

Anne ne répondit rien, elle entendait à peine ce que disait le vieil homme. Tout cela était si irréel!

"Vous vous souvenez de la caméra numérique que le pensionnat a achetée l'an dernier pour les photos du bal des finissantes. M. le directeur et moi-même avons pensé que nous pourrions l'utiliser pour satisfaire ce premier désir que vous exprimez dans votre journal: celui de voir le pénis d'un homme en érection... Et oui! M. le directeur et moi-même, nous nous sommes photographiés alors que nous nous branlions en vous lisant, chère Anne... Prenez l'enveloppe de droite, sur le coin du bureau..."

D'un geste gauche, comme si sa volonté ne lui appartenait plus, Anne se pencha vers l'avant pour se saisir de l'enveloppe. L'abbé restait lové dans son dos...

"Ouvrez-la..."

Ses mains tremblaient de honte... d'excitation?... elle ne le savait plus. Elle décacheta l'enveloppe et fit glisser un jeu de photos 8 X 10. Sur la première, l'abbé était étendu sur le lit de l'adolescente, complètement nu. Il tenait dans sa main gauche un sexe dressé vers le plafond alors qu'il lisait son journal. Sur la deuxieme photo, l'ecclésiastique était debout, nu encore, en train de se branler, frottant un des soutien gorge de Anne (elle reconnut celui qu'elle portait aujourd'hui) sur ses testicules. La troisième photo montrait un gros plan du sexe du vieil homme: Long mince, rigide, entouré de poils poivre et sel sous lequel pendait ses testicules. La quatrième, un gros plan de son gland. Dans le bas de la photo, le vieil homme avait écrit: "Je veux que tu le suces, Anne!".

Le vagin d'Anne se contracta à la vue des photos. Elle sentait son clitoris s'allonger, la muqueuse des parois de son sexe s'humidifier. Des flashs de ce membre dans sa bouche valsait devant ses yeux...

Non, il ne fallait pas qu'elle se laisse aller... qu'elle perde pied...

L'abbé continuait à se blottir contre le corps d'une adolescente qu'il prenait plaisir à troubler en lui faisant partager ses propres perversions.

"L'autre enveloppe, maintenant", dit-il

Anne s'avança vers le bureau, y déposa la première enveloppe, prit la seconde et la décacheta.

L'enveloppe contenait aussi d'autres photos 8 X 10. Sur la première, le directeur était debout nu. Une masse de graisse, poilue, aux lèvres épaisses, au regard globuleux. La bouche entrouvertre, il se branlait en lisant le journal de la jeune fille, tenant dans sa main un pénis court et large qui apparaissait à Anne surement aussi rigide que celui de l'abbé. La deuxieme photo montrait un gros plan du sexe de l'homme. Anne avait le regard fixé sur ce gland énorme, violacé, aux larges rebords relevés... et ces testicules énormes aussi... la troisième photo montrait ce même gland au bout duquel apparaissait une goutte de sperme blanc. La derniere photo avait été prise au moment où le gros homme éjaculait.. Anne voyait bien la semence du vieux salaud gicler abondamment du méat urinaire... Sur cette dernière photo, le vieux pervers avait écrit: "C'est dans ta petite chatte que je veux jouir, ma petite salope..."

"Remettez les photos sur la table, ma petite Anne..."

Elle s'exécuta, sachant que toute résistance était inutile. Physiquement et psychologiquement, elle était à leur merci. Ils la manipulaient maintenant à leur guise...

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"Ça t'a plu, ma petite?... Tu ne réponds pas mais je sais que tu as pris plaisir à voir nos queues. Et je sais que tu as envie que l'on continue.. Quelle est la prochaine étape, M. le directeur?...", souffla l'abbé dans le cou de l'adolescente.

"Elle aime qu'on la regarde nue", croassa le gros homme...

"Alors, ma petite Anne, veux-tu te dévêtir toi-même ou aimerais-tu que je le fasse pour toi? Ça ne t'ennuie pas que je te tutoie, n'est-ce pas?... J'ai l'impression te connaître tellement mieux depuis que j'ai lu ton journal.."

Anne ne répondit pas, elle entendait l'abbé mais était incapable de bouger...

"Allons, je vais le faire à ta place...", continua l'abbé... et ses mains glissèrent vers le premier bouton de son chemisier. De ses longs doigts noueux, tremblant de plaisir, il le détacha. Le deuxième, troisième et quatrième boutons suivirent... Il fit glisser lentement le chemisier de l'adolescente hors de sa jupe et détacha les derniers boutons. Puis, lentement, il ouvrit la blouse de la jeune fille, la fit glisser sur ses épaules et la laissa tomber au sol.

Malgré la chaleur de la pièce, Anne sentit un frisson de honte courir sur son corps. Les pointes de ses petits seins se dressèrent glonflant le tissu de son soutien gorge.

"Magnifique", croassa le directeur, toujours assis derrière son bureau, en train de se branler sans retenue.

"Vous avez raison, M. le directeur. Notre petite Anne semble avoir de beaux petits seins bien fermes et très sensibles selon ce qu'elle nous livre dans son journal..."

Les mains décharnées du vieil homme qui ne s'étaient jusqu'à présent attardées qu'à ses épaules et son cou glissèrent lentement sous les bras de l'adolescente dans le but évident de se refermer sur la poitrine de la jeune fille...

Devinant ses intentions, Anne serra les bras contre son corps...

"Tssss.... tsss... tssss..., chère Anne. Tu sais bien qu'il ne sert à rien de nous résister... Allez, laisse-toi faire, allez, laisse-moi te toucher..."

Vaincue encore une fois, Anne relacha la pression qu'elle exercait avec ses bras sur les mains du vieil hommre lui permettant ainsi d'agir à sa guise.

"Voilà, c'est beaucoup mieux, non?"

Lentement, très lentement, le vieux vicelard fit glisser ses longs doigts en direction des seins de l'adolescente. Elle frémit de honte lorsque les mains de l'abbé commencèrent à effleurer ses petits seins toujours cachés sous la mince brassière de coton, s'attardant à effleurer les pointes dressées de ses mamelons.

Anne ferma les yeux, pour mieux sentir, pour oublier?... elle ne savait plus. Les mains du vieil homme étaient maintenant complètement refermées sur sa poitrine. Il palpait, malaxait, tripotait doucement les seins menues de l'adolescente. Sans retenue, il frottait sa queue sur les fesses de la jeune fille.

"Magnifique, M. le directeur... Venez donc apprécier vous-même..."

Le gros homme se leva de son bureau ne prenant même pas la peine de remettre son sexe bandé à l'intérieur de son pantalon. Bien involontairement, le regard d'Anne se fixa sur le pénis du vieux salopard...

"Quelle belle petite pute...", dit-il lorsqu'il fut à côté de l'adolescente. "Comme tu es mignonne, petite salope", ajouta-t-il en faisant glisser sa grosse patte sur la joue de la jeune fille. "Avec ses airs de ne pas y toucher... jamais je n'aurais pensé que tu pouvais être si vicieuse, ma petite Anne!"

"Hummm.... comme tu as la peau douce. Sais-tu que tu vas me donner beaucoup de plaisir?"

Ses doigts descendaient maintenant le long de son cou et de ses épaules...

"Attendez, M. le directeur, je m'occupe de sa jupe. C'est un obstacle pour ce que nous avons à faire..."

L'abbé dégrapha la jupe de l'adolescente et la fit tomber sur le sol. Le regard du directeur qui était jusqu'alors accroché aux seins de la jeune fille, descendit vers son ventre plat... jusqu'à sa petite culotte blanche que bombait un Mont de Vénus bien dessiné .

"Je te veux, petite salope."

Le gros homme s'approcha encore davantage d'Anne tout en basculant les hanches pour que son gland, malgré son ventre proéminent, vienne s'appuyer contre sa cuisse nue. Puis, sa grosse patte se referma sur un des petits seins fermes de l'adolescente. Il commenca à lui tripoter la poitrine en lui disant:

"Petite pute, si tu savais toutes les fois où je me suis branlé en pensant en toi. Où tu venais dans mon bureau faire bouger ton beau petit cul. Si j'avais su que tu étais une pareille petite salope, je t'aurais violée bien avant!"

Sa main caressait toujours les seins d'Anne que protégeait à peine le mince tissu de son soutien gorge.

"Comme j'ai envie de t'embrasser!", rala le gros homme alors que son visage s'approchait de celui de Anne.

Elle tenta vainement de tourner la tête. Peine perdu... le vieux vicelard la retenait fermement par le cou de sa grosse patte épaisse.

Ses lèvres se soudèrent contre les siennes et sa langue s'engagea bien au fond de la bouche de l'adolescente. Sa main libre descendit sur son ventre plat, glissant sur sa peau nue jusquà ce qu'il atteigne le renflement de son Mont de Vénus, refermant sa grosse patte sur le sexe de la jeune pensionnaire.

À travers le mince tissu, il pouvait parfaitement sentir le renflement des lèvres de sa vulve...

Anne sentit son pénis se durcir contre sa cuisse. Le vieux pervers n'avait pas été sans remarquer que la culotte de l'adolescente était humide... cette moiteur que seul le plaisir peut procurer. Vivement, il fallait qu'il la baise, qu'il la viole... Il retira sa langue de la bouche de la jeune fille: "Amenons-la dans la chambre",... croassa-t-il!

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