Le Club - Partie 13

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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée...
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Partie 13 de la série de 38 pièces

Actualisé 02/07/2022
Créé 08/15/2009
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Nous sommes dans une ville imaginaire nommée Lilleland, un groupe de 4 hommes riches et puissants a fondé un club très secret avec pour objectifs d'écraser toute la région sous leurs bottes. Afin de sceller leur alliance, ils décident d'asservir des jeunes femmes de différents milieux dont le seul défaut semble être d'avoir croisé leur chemin.

Les membres du club :

David Angel, 35 ans, riche homme d'affaire blasé qui débarque dans la région. Son arrivée semble être l'élément fondateur du club.

Le juge de Saint Servier, 65 ans, juge puissant, il est surtout l'homme politique le plus influent de toute la région. C'est surtout le produit d'une éducation chrétienne stricte qui l'a frustrée pendant toute sa vie et dont il s'est totalement libéré grâce au club.

Guillermo Diaz, 45 ans, c'est un ancien émigré espagnol devenu millionnaire en fondant des sociétés spécialisées dans les services. Il a décidé de diversifier ses affaires en achetant un bar plus que particulier où il fait travailler ses victimes.

Guillaume Uron, 29 ans, c'est un riche héritier aux tendances psychopathes. Il a participé à la ruine de Sabato Orso, l'un des hommes les plus puissants de la ville et s'est notamment emparé d'Excelsior, son hôtel de luxe. Il est aussi le propriétaire d'un bar à pute dans un quartier borgne.

Les victimes du club :

Amandine Blenon, 37 ans, c'est la femme d'un notable reconnu qui s'est compromis dans de sales affaires d'escroqueries. Abandonnée par son mari et ses amis, elle est tombée entre les griffes d'Angel qui s'est emparé de tous ses biens et s'est installé chez elle, la transformant en esclave entraînant sa fille Laura, 18 ans, avec elle.

Christine Veron, 31 ans, éducatrice spécialisée dans un centre d'hébergement pour sans abri, victime d'un chantage de la part d'Angel, elle se retrouve obligée de céder à tous ses désirs.

Madeleine et Sarah Bonnet, 18 ans et 17,5 ans, lycéennes, manipulées toutes les deux par le juge avec l'aide d'un voyou nommé Jérôme (par la suite assassiné par le juge), elles sont désormais les esclaves sexuelles du vieillard lubrique.

Théodora Lupa, 40 ans, commerçante et femme politique, elle a dû tout accepter du juge pour éviter de se retrouver condamner à une longue peine de prison au Mexique.

Muriel Guri, 20 ans, serveuse. Fille aînée d'un homme d'affaire, elle doit désormais se plier totalement à la volonté de Diaz et de son âme damnée Humberto pour rembourser les dettes de son père.

Delphine Rugol, 27 ans, fonctionnaire. Elle a perdu une énorme somme d'argent en jouant avec Diaz qui désormais l'oblige à travailler dans son bar en extra et en profite pour abuser d'elle quand il le désire.

Caroline Georges, 32 ans, ingénieure et responsable de projet au conseil régional. Diaz a découvert qu'elle est en réalité un imposteur et il se sert de ce secret pour la faire chanter.

Harmony Vega, 22 ans, ancienne responsable d'accueil d'hôtel, Uron l'a jetée à la rue et contrainte à finir par travailler comme prostituée dans son bar pour survivre.

Angelica Rubicosa, 23 ans, superviseuse à l'hôtel Excelsior. Pour sauver sa situation, cette jeune feme a d'abord dû se vendre à Diaz avant de devenir l'esclave d'Uron.

Bella Cathy, 32 ans, Lieutenant -- colonel de l'armée. Uron a découvert un secret dans son passé et réussit à soumettre cette femme forte.

***************CHAPITRE 01****************

Christine tremblait en écoutant les directives d'Angel au bout du combiné. Depuis qu'elle était tombée sous la coupe de ce salopard, il lui arrivait de rester plusieurs semaines sans avoir de ses nouvelles mais cette fois elle avait aussi appris à saisir quand il comptait exiger d'elle une nouvelle déchéance. La dernière fois, elle avait dû sacrifier une de ses protégées et elle savait déjà que cette fois ce serait encore pire.

- Mes amis et moi préparons une grande soirée, expliquait -- il. Rien à voir avec la précédente, elle sera bien plus amusante et ta présence est obligatoire. Après demain à 18 heures! Ne sois pas en retard comme la dernière fois!

Il raccrocha sans lui laisser le temps de répondre. Elle savait qu'elle n'avait pas le choix, elle était déjà allée trop loin pour reculer maintenant.

***************CHAPITRE 02****************

L'endroit était calme et reposant. Une petite maison perdue au milieu des montagnes à mi chemin entre Lilleland et Fortlud. C'est surtout le refuge de l'ancien homme fort de Lilleland, Sabato Orso, depuis le jour où un certain Guillaume Uron l'a ruiné. Bien que possédant encore une petite fortune, Orso n'est plus que l'ombre de lui -- même. Quand on a passé toute sa vie à dominer les autres, il est difficile d'accepter de devoir tomber de son piédestal. Désormais, c'était un homme aigri et ayant vieilli de 20 ans en peu de temps qui partageait sa vie entre la lecture des quotidiens économiques et de longues balades dans la campagne où il ressassait sa rancœur en rêvant qu'un jour quelqu'un viendrait lui offrir une occasion de se venger. Hélas pour lui, les notables de Lilleland oubliaient vite ceux qui perdaient leur statut. Cependant, un jour, il eut une visite.

Il rentrait de sa balade quand son majordome lui annonça qu'un homme l'attendait.

- Comment se nomme -- t -- il? demanda Orso toujours aussi impérieux avec son personnel qu'à sa grande époque.

- Il n'a pas voulu me dire son nom, monsieur, répondit le majordome visiblement gêné. Et il est...

- Eh bien, James? Qui a -- t -- il?

- C'est que cet homme est étrange. Il porte un masque rouge.

Intrigué par cette annonce, Orso faillit ordonner de faire partir cet inconnu puis il se ravisa et décida de le rencontrer. Quand le monde vous avait oublié, même la visite d'un dingue restait une visite.

Il reçut donc l'homme dans son bureau et il ne fut pas déçu par son apparence. Si l'inconnu portait effectivement un masque rouge qui recouvrait l'essentiel de son visage, le reste de ses vêtements étaient eux relativement classiques : un ensemble gris de marque et une chemise elle aussi d'un grand couturier. L'homme qui semblait avoir entre 30 et 40 ans, possédaient de grands moyens. Orso fit mine de ne pas se laisser impressionner et lui indiqua de s'assoir. L'homme sourit et resta debout.

- Sabato Orso, déclara -- t -- il. Si on vous avait dit que vous finiriez ainsi vous ne l'auriez pas cru.

- A qui ai -- je l'honneur? demanda Orso sans relever l'insulte flagrante.

- Alors tu ne me reconnais pas? J'aurais cru que tu reconnaîtrais plus facilement ceux qui tu as conduit à la mort. Ecoute ma voix et pense à Lorelei Sarius.

Le sang de Sabato Orso se glaça dans ses veines.

- Toi, cria -- t -- il en se levant. Mais..., tu...

- Ce ne sont que des détails, reprit l'homme au masque. Ce qui ne l'est pas c'est l'homme pathétique que tu es et que tu seras toujours.

Il glissa sa main dans sa poche et Orso se recula comme s'il allait en sortir une arme mais en réalité, il lui jeta une petite enveloppe. Elle s'ouvrit en touchant la surface du bureau et des photos se déversèrent. Comme hypnotisé, Orso s'approcha et les regarda. Ce qu'il vit faillit le tuer. Certaines photos représentaient Harmony Vega vêtue comme une prostituée dans un endroit sombre en train de se faire prendre par des hommes tous différents. D'autres montraient Angelica Rubicosa habillée de manière à peine plus décente, visiblement dans le même endroit, s'enfiler des godes et autres objets obscènes sous le regard de ce maudit Guillaume Uron. La dernière fut la plus terrible, elle dévoilait les deux jeunes femmes enlacées, se livrant à des caresses contre nature. Orso s'écroula sur son fauteuil, anéanti.

- Pour la seconde fois, vous les avez abandonnées, déclara l'homme au masque. Toujours aussi égoïste et pathétique.

Pris de folie, Orso ouvrit un de ses tiroirs et sortit le révolver qui s'y trouvait. Il braqua alors l'arme sur son interlocuteur qui éclata de rire.

- Vas -- y! Tire donc! le défia -- t -- il. Montre -- moi que cette fois tu auras le courage de faire le sale boulot, toi -- même.

En dépit de toute sa rage, la main d'Orso trembla. Et l'homme au masque dans un dernier défi lui tourna le dos pour quitter la pièce. Quand il ferma la porte derrière lui, une détonation retentit. Sabato Orso, anciennement l'homme le plus puissant de Lilleland venait de mettre fin à des jours.

***************CHAPITRE 03****************

Jour de la grande soirée 17h, appartement du juge. Nue comme toujours, Madeleine était allongée dans son lit. A quelques mètres d'elle, les cris de Sarah résonnaient dans la salle de bain. La plus jeune des sœurs Bonnet était en train de prendre une douche avec le juge ce qui signifiait bien entendu que le vieux pervers la sodomisait sans vergogne. Depuis qu'elle avait rejoint son aînée dans sa prison, Sarah avait subi de multiple viols dans son anus et pourtant elle n'avait jamais réussi à passer outre et chaque séance sous la douche était un calvaire encore pire que le précédent. Depuis son lit, Madeleine tentait d'oublier les hurlements de sa jeune sœur tout en sachant que dès qu'ils cesseront, le vieillard s'intéresserait à elle.

Finalement le juge sortit de la douche. Nu comme un ver, il se pâmait fier comme un paon et s'approcha d'elle. Elle savait que si elle ne devançait pas ses désir, elle s'exposait à des brimades encore pire que celle qu'il allait lui faire subir. Elle se redressa en ouvrant la bouche pour accueillir son pénis. Pourtant, il la repoussa sans violence, l'incitant à s'allonger sur le dos. Il lui tendit alors une petite gélule.

- Tiens ma petite, voilà pour toi.

Elle considéra le médicament et réalisa qu'il s'agissait de sa pilule contraceptive. Cela faisait plusieurs jours qu'il lui permettait de la réutiliser alors qu'il lui avait interdite depuis qu'elle était devenue son esclave. De la même façon, Sarah avait eu droit à la sienne alors qu'elle n'en avait jamais eu auparavant. Madeleine n'était pas dupe, il ne fallait pas voir en ce geste la moindre compassion. S'il les autorisait à suivre à nouveau un programme contraceptif, cela signifiait simplement qu'il comptait les offrir toutes les deux à d'autres hommes et qu'il ne voulait pas risquer de les voir tomber enceintes d'eux. Il continuait à caresser l'espoir de les engrosser toutes les deux. Cependant son esprit de plus en plus dominé par celui du juge était déjà loin de ces considérations. Elle ne pensait qu'à une chose : survivre un jour de plus. Elle avala la pilule sans rechigner sous le regard satisfait de son geôlier.

Il se releva et se retourna. Sarah, les traits encore déformés par la souffrance qu'il venait de lui infliger, s'était assise sur son lit. Il se tourna alors vers les armoires où se trouvaient les seuls vêtements de cette chambre. Elles étaient verrouillées et lui seul en possédait la clé. Il se baissa pour ramasser sa robe de chambre et en sortit son trousseau de clés afin d'ouvrir les armoires.

- Ce soir mes petites vous allez vous faire belles, ordonna -- t -- il. Nous avons un grand événement!

***************CHAPITRE 04****************

Jour de la grande soirée, 18h, bar « Le Fundo ». L'établissement était exceptionnellement fermé pour la soirée. Cela ne voulait pas dire qu'il était vide bien au contraire.

Assis sur l'un des sièges, Delphine entre ses jambes en train de lui prodiguer une fellation, Diaz assistait à un spectacle qui le ravissait.

Sur une grande table, Caroline était en train de découvrir les joies de l'amour à trois. Humberto était allongé en -- dessous d'elle lui pelotant allègrement la poitrine pendant qu'Adriano Silva comme à son habitude depuis qu'il était devenu officiellement son assistant la sodomisait. Alors que les deux hommes coordonnaient leurs mouvements de va et vient pour augmenter leur plaisir, elle serrait les dents afin de ne pas craquer et de ne pas offrir à ces monstres le plaisir de la voir pleurer ou hurler.

De plus en plus passionné par la résistance de l'ingénieure, Diaz suivait ses efforts pour ne pas craquer avec excitation en se demandant jusqu'à quand elle serait capable de tenir en sachant que le jour où elle abandonnerait, elle sombrerait alors définitivement. Pourtant ce ne serait pas pour ce soir car Humberto poussa un râle de plaisir et déversa sa semence dans le conduit vaginal de la jeune femme qui se tordit sous l'effet de la rage. Quelques secondes plus tard, Silva imita son comparse et ce furent les intestins de Caroline qui à leur tour dégoulinèrent de sperme.

Diaz appuya alors sur la tête de Delphine pour lui ordonner d'accélérer le rythme et elle se plia à sa volonté sans rechigner. Il ne fallut alors que quelques instants pour qu'elle fut obligée d'avaler d'abondantes rasades du liquide séminal de celui qu'elle devait appeler son seigneur. Satisfait, Diaz la repoussa sans ménagement. Elle s'écroula à genoux contre l'un des fauteuils. Il s'approcha du trio qui était resté entremêlé sur la grande table. Il tapa sur l'épaule d'Adriano Silva qui se retira alors.

- Décidemment tu es une excellente acquisition, murmura -- t -- il à l'oreille de l'ingénieure. Tu verras, ce soir nous aurons plus d'une occasion de mettre tes grandes résolutions à l'épreuve.

Il se tourna. Delphine était restée agenouillée à l'endroit où il l'avait laissée et Muriel se tenait sagement derrière le comptoir, craignant qu'en l'on s'intéresse à elle.

- Allez -- vous habiller toutes les trois, ordonna -- t -- il. Nous partons bientôt.

***************CHAPITRE 05****************

Jour de la grande soirée, 19h, hôtel Excelsior. Les cris d'Harmony résonnaient dans la chambre pendant qu'Angelica terminait de se maquiller. Uron s'amusait avec la jeune hispanique. Il lui avait enfoncé un gode électrique dans le vagin et ne cessait d'augmenter le voltage. Le courant électrique qui traversait son corps au travers de son vagin la faisait se plier en deux. Les yeux pleins de larmes, elle le suppliait de s'arrêter mais Angelica savait d'amère expérience que cela ne servait à rien avec cet homme. Elle porta les dernières touches à son maquillage et se tourna vers lui en espérant qu'il fut satisfait. Si Harmony se trouvait dans cette posture c'était officiellement parce qu'il n'avait pas apprécié son travail devant la glace. Uron abandonna l'interrupteur du gode électrique pour estimer le déguisement d'Angelica.

Elle portait un tablier rose très court aux manches dénudées ; elle ne portait aucun sous - vêtement. Elle avait dénoués ses cheveux et surtout s'était maquillé de manière très ostentatoire avec des fards à paupières violets, un rouge à lèvre rouge vif et un blush rose. Elle était d'un vulgaire qui l'horrifiait mais le sourire qu'affichait Uron montrait qu'il était satisfait du résultat. Il se tourna vers Harmony qui profitait du répit qui lui était accordé pour reprendre son souffle. Elle était vêtue une jupe de cuir noir tellement courte que l'on voyait son string en dentelle. Au dessus, sa poitrine généreuse n'était protégée que par un simple maillot de bain orange. Le maquillage qu'elle avait tenté de se constituer avait complètement coulé tant elle avait pleuré. Uron la fit se relever et l'assit à la place d'Angelica. Il prit le pinceau à blush.

- Nous allons reprendre ton maquillage, dit -- il. Ce soir, tu vas te faire baiser dans tous les sens alors je veux que tu aies l'air de ce que tu es : la dernière des putes.

Complètement sonnée, la jeune femme se laissait manipuler comme une poupée. A ce moment, la porte communicante avec la chambre voisine s'ouvrit et Bella Cathy entra dans une tenue tout aussi ridicule que les deux autres jeunes femmes. Il s'agissait d'un uniforme bleu militaire sauf que la jupe avait été raccourcie au maximum de telle façon que son intimité non protégée était parfaitement visible lorsqu'elle écartait les jambes pour marcher. Elle avait déboutonné les deux premiers boutons de sa chemise afin de se composer un décolleté plongeant renforcé par sa poitrine généreuse. Elle aussi était maquillée comme une voiture volée lui donnant l'air d'être une stripteaseuse sur le point de faire son numéro. Personne ne penserait qu'elle était lieutenant colonel de l'armée de la nation. Comblé par l'apparition de Bella, Uron continua à tartiner le visage d'Harmony afin que toutes ses filles soient prêtes pour la petite soirée.

***************CHAPITRE 06****************

Jour de la grande soirée, 19h30, voiture du juge en route dans les rues de Lilleland.

Confortablement installé dans le siège de sa grande voiture, le juge profitait du travail de fellation conjoint des deux sœurs Bonnet. Madeleine et Sarah se relayant pour maintenir son érection. Avec le temps, la plus jeune des deux était devenue aussi capable que l'aînée à ce petit jeu. Le juge avait retroussé leurs robes jusqu'au dessus de leur tailles et en profitait pour titiller l'anus de chacune. Dans une robe sexy Théodora Lupa était assise en face jambes écartées afin d'exhiber son intimité dénudée. Voir ces deux filles, presque des enfants, s'avilir ainsi pour donner du plaisir à ce vieillard lui donnait la nausée presque autant que l'idée d'avoir à le faire elle -- même. Elle savait que la voiture se dirigeait vers la villa des Blenon qui désormais appartenait à Angel. Elle ne connaissait que trop bien cet endroit car depuis des mois, elle appartenait autant à ce dernier qu'au juge. Profitant de sa position d'associé, Angel avait totalement ruiné son ex -- mari et se servait désormais d'elle comme prête -- nom officiel dans certaines affaires afin de ne pas trop attirer l'attention. Elle était devenue une femme de paille mais aussi une poupée de luxe que les deux hommes se repassaient selon leur bon plaisir bien qu'il semblerait que le plaisir soit plus du côté d'Angel que de celui du juge.

Etrangement la voiture, conduite par ce monstre noir qui l'avait dépucelée de l'anus dans des conditions qui la laisseront traumatisée à vie, ne prenait pas le chemin le plus direct pour rejoindre la villa. Au contraire, elle serpentait dans les rues de la ville pour finalement s'arrêter devant un vieux bâtiment que Théodora mit un certain temps à reconnaître. Il s'agissait du lycée Oscar Bono, l'un des établissements scolaires les plus sélects de la ville.

Le chauffeur descendit et ouvrit la porte à un homme qui entra. Les trois femmes affichèrent une mine horrifiée en réalisant le spectacle qu'elles offraient à cet étranger. L'homme qui devait avoir au bas mot la cinquantaine avec ses cheveux blancs clairsemés, ses lunettes à double foyers et son visage ridé, ne sembla pas s'en offusquer et s'installa à côté de Théodora. Son regard plongea vers son entrejambe dévoilé et elle vit un sourire carnassier se dessiner sur son visage. Elle comprit qu'elle avait affaire à un autre monstre de la même nature que de Saint Servier.

- Mes enfants! déclara le juge à l'intention de Sarah et Madeleine. Je vous présente le professeur Jean Laroquette, c'est le directeur de l'académie Oscar Bono, la plus grande école de notre bonne ville. L'une des obligations de la tutelle veut que vous continuiez à suivre un enseignement et je ne peux décemment pas vous envoyer dans une école classique. Salopes comme vous êtes, vous provoqueriez des émeutes. Le professeur a accepté de prodiguer l'enseignement dont vous avez besoin à domicile. L'objectif étant que vous ayez le bac toutes les deux ce qui veut dire que Madeleine ne devrait le fréquenter que quelques mois. Par contre, vous risquez d'avoir énormément de travail avec Sarah.

- Mais je suis prêt à m'investir à fond, répondit le professeur Laroquette.

- Tu entends ça ma petite, fit le juge en tirant Sarah par la queue de cheval. Une telle dévotion ne mérite -- t -- elle pas une reconnaissance?

- Oui, monsieur, répondit docilement Sarah qui avait malheureusement compris où le juge voulait en venir.

Elle se détourna d'un vieillard pour se diriger vers un autre à peine plus jeune. Elle déboutonna son pantalon et sortit sa queue de son caleçon pour recommencer une fellation sur un nouveau membre.