La bourgeoise et le danseur

BÊTA PUBLIQUE

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« Elle semble réceptive aux caresses. »

Je ne répondis rien, trop accaparé à voir Michelle abandonné, cuisses ouvertes, jupe troussé, réceptive aux caresses de doigts qui massait son collant à l'endroit de sa fente.

Gille l'entoura de son bras et instinctivement elle se laissa aller sur lui les yeux clos. Il prit une position plu confortable et son autre main atteignit le sein de Michelle. Il se mit à lui palper le sein à travers le corsage pendant que son autre main continuait à explorer son entre cuisses. Elle s'abandonnait dans des râles incontrôlés, gémissant comme jamais je ne l'avais vu faire, la respiration saccadée. J'étais fasciné, comme hypnotisé par la scène.

Soudain Gille ma dit :

« Dans la chambre nous serions plus à notre aise, venez. »

Se mettant debout il tendit les mains à ma femme qui s'accrocha à lui pour se remettre debout à son tour et le suivre jusque dans la chambre. Arrivé la, Gille la prit dans ses bras pour l'embrasser à pleine bouche, elle pantelante entre ses bras. Il en profita pour défaire le zip de sa jupe qui tomba comme un fruit mur. Ensuite il s'occupa du corsage qui chut sur la moquette à son tour. Il me regarda et me prenant à témoin il me dit :

« Je n'aime décidément pas les collants! On a l'impression de dépiauter un lapin, regardez ça, il n'y a pas d'érotisme dans un collant! »

Je grognais je ne sais quoi tout le regardant dépouiller ma femme de son collant. Sans plus attendre il dégrafa le soutien gorge et fit glisser la culotte à terre. Je regardais la tache noire de la culotte sur la moquette tandis qu'ils basculaient tous les deux sur le lit. Je restais dans l'embrasure de la porte, incapable d'un geste, trop pris par ce qui se produisait sous mes yeux, incapable de raisonner, sans ressentir quoi que se soit, ni culpabilité, ni jalousie, ni révolte, les évènements étaient allés trop vite.

Sur le lit Gille caressait le corps de Michelle, il pelotait ses seins que je voyais durcir sous ses paumes et explorait l'entrecuisse offert à ses doigts fins qui ouvraient les chairs de mon épouse. Il doigtait son vagin, lui tirant des plaintes, il l'embrassait à pleine bouche, leurs langues se mêlant en de savantes arabesques. Le manège dura, dura, je crois bien que Michelle en eut un orgasme avant même qu'il vint sur elle et la chevaucha. Je vis son sexe que je jugeais plus gros que le mien qui battait l'air à la façon d'un pendule, et puis il s'écrasa sur elle et son membre s'imprima sur son ventre. Il eut quelques mouvements, sa main disparut entre leurs corps, elle avait les cuisses ouvertes, il la regardait dans les yeux et il donna un coup de reins tandis qu'elle se raidit en poussant un gémissement de fauve qui me surprit. Elle était tendue comme un arc, il la maintenait fermement sous lui, assurant sa prise et fourrant au plus profond de son vagin un membre dur et palpitant. Il la saisit aux épaules pour mieux la maintenir sous lui, je vis ses reins aller et venir, chercher encore de la profondeur et les cuisses de Michelle panteler comme une poupée déglinguée. Puis il besogna sa prise, lentement, posément d'abord, en guettant ses moindres tressaillements, ses moindres gémissements, ses plaintes. Il donna des coups de reins plus puissant quand il fut sur de la posséder entièrement, elle réagit en criant plus fort, j'avais l'impression d'entendre des cris de douleur, j'étais transformé en statue de sel, paralysé de mes membres, ne bandant même pas, je les voyais unis sur ce lit, enlacés ne formant qu'un. Il la pinait posément, à coups de bite réguliers qui lui arrachaient des sanglots de jouissance, je ne la reconnaissais pas, je découvrais ma femme dans le plaisir du coït absolu, on aurait dit les douleurs de l'enfantement, les cris de la parturiente et les grimaces aussi. Gille la baisait comme un dieu, sans relâcher son effort, je le voyais transpirant sous l'effort, grimaçant parfois, son regard devint dur, ses reins s'affolèrent et l'amplitude de ses coups de bite augmenta, il serra les dents encore pendant une minute et puis il se relâcha d'un coup, il poussa un cri de bête et tout son corps tressaillit tandis que sous lui, Michelle gémissait, pleurait, criant elle aussi une jouissance absolue.

Ils s'effondrèrent ensemble l'un sur l'autre, l'un dans l'autre, unis et repus, ailleurs, dans leur monde, inconscient de ma personne qui les voyait ainsi. Elle enserra ses reins entre ses cuisses pour le retenir et ils bougèrent plus.

Sans bruit je me reculais, la gorge sèche, je refis le couloir à reculons jusqu'au salon, les laissant sur le lit loin de tout. Je me plongeais dans la contemplation du boulevard, six étages plus bas avec ses passants écrasés pas l'ennui du Dimanche. S'ils avaient pu imaginer ce qui se passait six étages au dessus de leurs têtes!

De nouveaux gémissements me parvenaient de la chambre, je n'eus pas courage ou alors est ce la pudeur, je les laissais à leur intimité torride. Michelle criait encore, le lit grinçait en rythme quand j'entendais monter leur orgasme dans le crescendo des gémissements qui me parvenaient. Elle hurla littéralement quand il jouit pour la seconde fois en elle. J'imaginais son sperme envahir le vagin déjà inondé et couler les cuisses lisses de ma femme. Cette fois je bandais, la devant la fenêtre.

Il se passa un certain temps avant que je les vis revenir, Gille parfaitement détendu dans son peignoir de soie et ma femme rhabillée mais quelque peu fripée dans sa robe mal ajustée sur elle. Elle évita mon regard feignant de regarder ailleurs, les joues rouges. Le maquillage était à la dérive, on aurait dit qu'elle sortait d'un pugila, le rimmel coulant aux coins de ses yeux.

Gille parla de choses et d'autres, très décontracté, je lui répondais sur le ton d'une conversation très urbaine.

Finalement j'avais hâte de m'en aller, retrouver avec Michelle une intimité et l'interroger, la griffe de la jalousie refaisait surface quelque part dans mon corps.

Enfin nous primes congé de Gille non sans nous donner rendez vous bientôt. A nouveau le petit ascenseur exigu, nous nous touchons, elle a encore sur elle l'odeur du male qui vient de la prendre, je hume ses cheveux plus ou moins défaits, j'ai envie de la toucher, de la peloter mais je me retiens, je n'ose pas retoucher ce corps qui la, sur l'instant ne m'appartient plus.

Dans la voiture je lui pose des questions sur Gille, si elle a aimé cette séance, elle est évasive, visiblement elle ne veut pas en parler ni donner de détails. Elle semble encore une fois ailleurs, elle semble être restée là-haut dans l'appartement de son amant. Moi je suis franchement excité, il me tarde rentrer j'ai envie d'elle, explorer ce corps qui fut livré à un autre, retrouver les traces éventuelle qu'il aurait pu lui faire, ses marques à lui : des suçons dans le cou ou sur les seins, des griffures sur les cuisses, ce genre de vestiges.

A peine la porte de notre appartement refermé, je lui sautais dessus et je l'entraînais dans notre chambre malgré ses protestations et la je la violais littéralement, la dépouillant de ses vêtements et de ses dessous je procédais à cette inspection dont je rêvais. Je découvris les suçons dans le cou, sur les seins, les griffures, tout je découvris tout! Je caressais frénétiquement son corps fatigué d'avoir déjà trop baisé, ses seins mainte fois malaxés par Gille, je glissais ma main entre ses cuisses, je trouvais son sexe dont les lèvres n'avaient pas eues le temps de se refermer et qui suintait un mélange de cyprine et de sperme. Mes doigts nageaient dans un liquide visqueux baignant son vagin. Elle gémissait, elle me suppliait, me disait qu'elle était fatiguée, rien n'y faisait, son corps m'inspirait, je l'explorais dans sa plus extrême intimité.

En fin de compte je fus pris d'une sorte de rage folle, je la tournais sur le flanc et venant derrière elle je lui imposais une sodomie. Michelle geignit, protesta, se tortilla mais je la tins fermement jusqu'à ce que ma queue força son sphincter et lui envahit le ventre. Je poussais furieusement mon dard dans son cul et je la limais profondément jusqu'à ce que je lâche en elle un flot trop longtemps retenu de sperme brûlant. Pendant le temps que dura cette séance, elle geignit, essaya de se soustraire, elle appela même sa mère mais je la forçais à garder mon membre en elle. Quand elle se tourna vers moi ; je vis qu'elle avait pleuré et j'eus honte de moi mais c'était plus fort que ma raison.

Nous ne sommes pas retourné au Balajo la semaine suivante, les vacances finies, les enfants de retour à la maison nous n'avions plus notre liberté de mouvement. Pourtant je découvris que Michelle avait revu Gille suite à ce Dimanche torride vécu chez lui. En effet, elle avait quelque facilité à se dérober à son travail et elle courrait chez lui le rejoindre. Ils passaient ainsi une heure ou deux où ils faisaient l'amour de la façon la plus sauvage car elle était devenue folle de lui et acceptait tout ce qu'il voulait. L'heureux homme!

Comment ai-je découvert ça?

Le soupçon, toujours lui. Je connaissais trop ma femme, quand elle rentrait le soir fourbue et qu'elle manquait de patience avec les enfants je comprenais fort bien pourquoi. Aussi, un jour je mis au point un stratagème, je guettais le jour ou elle mettais ses plus beaux dessous, je savais qu'elle allait se faire baiser ces jours la. Généralement le lundi et le jeudi, et je me trompais rarement. Un lundi donc, je décidais de la suivre, ou plutôt de la précéder. Vers la mi journée, j'allais monter une planque devant l'immeuble de Gille, tout en restant discret, j'attendis environ une heure avant que je ne la vois arriver. Elle semblait pressée, elle composa le code sur le digicode et s'engouffra dans le hall. J'avais ma preuve, elle venait se faire prendre chez Gille où elle passait l'après midi.

Le soir elle rentrait lasse, comme chaque lundi. Quand j'inspectais le fond sa culotte, j'y trouvais d'autres preuves, mais en avais je vraiment besoin?

Le manège se poursuivit jusqu'à l'été. Et puis les enfants sont repartis chez les mamies en province et je lui ai suggéré de retourner au Balajo. Elle a commencé par me dire non, mais j'insistais, lui faisant miroiter que peut être elle y retrouverait Gille. Après réflexion elle accepta une matinée au Balajo. Mais je savais bien que dans mon dos elle avait arrangé quelque chose avec son amant.

Effectivement, nous retrouvâmes Gille le dimanche suivant du coté de la Roquette. Bien sur nous n'y restâmes pas bien longtemps et nous revînmes bien vite vers le nid d'amour des deux tourtereaux. Dans l'ascenseur elle fut peloté en règle par les mains furtives de Gille, elle répondit à ses caresses de la façon la plus réactive que je ne vis jamais, gémissant à ses moindres caresses, Michelle était envoûtée par son amant.

Ils se précipitèrent dans l'appartement et il lui arracha littéralement ses vêtements avant de l'entraîner dans sa chambre. Je suivais leur manège des yeux, imaginant ce que devaient être leur rencontres chaque semaine. Je restais au salon en gardant un œil vers le couloir où ils avaient disparus. Bien vite elle gémit, je l'entendais lui imposer ce qu'il désirait, le ton qu'il employait était sans réplique, on sentait le male dominer sa femelle et elle obéissait. Ils baisèrent environ une heure avec des poses où je les entendais glousser sur le lit.

Soudain on sonna à la porte. Je sursautais. Je vis Gille revenir, nu, le sexe ballotant entre ses cuisses, il alla à l'interphone et interrogea. Puis je l'entendis répondre « ok » et il déclancha la porte d'entrée de l'immeuble. Quand il revint je l'interrogeais « Tu attends du monde? »

« Oh! Des copains qui passaient dans le quartier » Répondit il désinvolte.

« Bon a va te laisser » Dis je en me levant du canapé.

« Non, restez, il n'y a pas de problème. »

Je jetais un regard inquiet vers la chambre. Gille ma sourit, « Il n'y a aucun soucis » Dit il en allant rejoindre Michelle.

Bientôt on sonna à sa porte et il revint, cette fois drapé dans sa robe de chambre de soie bleue nuit et sans gène aucune il passa devant moi pour aller ouvrir. J'entendis des exclamations et je vis Gille revenir avec trois hommes. Mon inquiétude allait grandissante. Mais Gille souriait toujours, il me présenta et tout le monde s'assit sur le canapé pour boire un verre. Je me tortillais dans mon coin, me demandant ce que pouvait bien fiche ma femme. Gille se rendit compte de mon inquiétude, il se leva et alla chercher Michelle restée dans sa chambre. Quand ils revinrent, je fus médusé par la transformation de mon épouse, elle entra dans le salon vêtue d'une guêpière mauve qui rehaussait ses seins plus que de raison, en une offrande torride. La culotte qu'elle avait enfilée était un ouvrage de dentelle fragile, en plus elle était fendue en son milieu laissant nu son sexe dont les poils dépassaient par la fente. Son accoutrement se terminait par des bas résilles noires et des mules à talons. Pour couronner le tout, elle était outrageusement maquillée des yeux et des lèvres. J'en restais bouche bée, incapable de proférer un mot. Gille la présenta aux nouveaux venus sans tenir compte de moi, comme d'une sienne amie aimant le sexe et prête pour de nouvelles aventures. J'écarquillais des yeux vers Michelle qui me fuyait du regard avec application, elle souriait, pas trop à l'aise, avec assez de gaucherie pour émoustiller encore plus nos trois arrivants.

Au fait je ne vous les avais pas présentés les trois pieds nickelés qui mataient ma femme sans se soucier le moins du monde du mari! Tous les trois avaient un age certain, le premier celui qui semblait le plus à l'aise dans cette situation particulière, était un homme assez fort et grand, sans doute d'origine arabe mais il semblait avoir une certaine distinction, il me faisait irrésistiblement penser au Président Egyptien Moubarak. Le second semblait un peu perdu dans son costume de petit fonctionnaire, le crâne dégarni, il gardait autour de la tête une couronne de cheveux bruns. Il avait un regard fuyant de fouine et un nez comme une lame de couteau. Le troisième, était petit, gros, assez nerveux lui aussi, son seul atout était sa chevelure abondante mais son allure générale faisait penser à une origine levantine pour lui aussi.

Bref, ce n'étaient des apollons ni les uns ni les autres et je me demandais bien comment Michelle....

Oh! Michelle! Elle.... Elle allait devoir ...

Mais Gille était le maître de la situation, il poussa doucement Michelle vers « Moubarak » et lui demanda de se mettre à genoux devant lui. L'égyptien ricanait doucement, il défit difficilement son pantalon et sortit sa bite pour la présenter à ma femme. Michelle pencha la tête et je la vis prendre le sexe dodu de l'autre en bouche pour le sucer et le pomper. Il grogna de plaisir en faisant en sorte de donner à ma femme le plus possible de lui-même compte tenu de la profondeur du canapé. Je la voyais besogner de sa bouche ce sexe épais qu'elle prenait la bouche bien ouverte et les lèvres arrondies sur le membre. Tout le monde suivait la scène avec intérêt. Les autres avaient défaits leurs pantalons et se masturbaient doucement devant le tableau charmant de ma femme penchée sur une bite, tandis que Gille, les mains dans les poches, appréciait la scène d'un œil connaisseur. Au bout d'un temps qui me parut une éternité, il se pencha sur Michelle et lui dit à l'oreille : « Assez, passe au suivant de ses messieurs, ils t'attendent. » Sans rechigner le moins du monde, Michelle s'agenouilla devant le « fonctionnaire » et prit en bouche un sexe plus fin que le précèdent. Elle pompa avec le même entrain cette bite tendue vers elle. Gille surveillait toujours, l'encourageant de mots à voix basse, chuchotés à l'oreille comme autant d'encouragements. « Ça suffit dit il encore, passe a l'autre maintenant. » Docilement elle se tourna vers le petit levantin qui grogna de plaisir quand son gland fut enfourné dans sa bouche. Elle suçait docilement sous la conduite de Gille penché lui aussi vers elle et qui surveillait son « travail ».

Car c'est bien d'un travail dont il s'agissait. Michelle, je le savais bien, n'aurait jamais d'elle-même eut cette attitude envers des inconnus aussi peu affriolants. Il fallait qu'il y ait autre chose, un apprentissage sous la férule de Gille. Alors je compris tout. Il la faisait venir chez lui pour son plaisir d'abord et puis petit à petit il lui avait appris le vice, il lui avait appris à faire abstraction du physique de ses amants et petit à petit les amants étaient devenus des ...clients!

Je découvrais ma femme en pute de haut vol! Je la savais bonne suceuse, ne restait plus qu'à étendre ses dons, les parfaire et l'offrir à l'humanité souffrante! Ce que Gille avait fait.

Il s'est absenté deux secondes pour revenir avec une couverture épaisse qu'il a étalé sur la table basse du salon. Se penchant à nouveau vers Michelle, il lui ordonna de se positionner sur la table basse à quatre pattes. Elle obéit, toujours sans me jeter un seul regard, avec des gestes graciles elle tendit son postérieur à la vue des quatre hommes. Mais Gille semblait hors du coup, ce fut Moubarak qui se leva en laissant choir son pantalon sur se chevilles, il s'approcha de ma femme et lui flatta la croupe. De ses doigts boudinés il écarta sa fente et introduisit un doigt dans le vagin trempé en grognant de satisfaction. Puis, sans manière il claqua une gifle sur les fesses tendues et roses avant d'introduire son sexe dans le vagin de Michelle. D'un coup de reins puissant il poussa son membre au fond de son vagin. Je guettais la moindre réaction de Michelle, à ma grande surprise elle n'eut qu'un léger tressaillement. Pourtant le sexe qui maintenant labourait sa fente était d'une taille supérieur à la moyenne. J'observais mieux, intrigué, découvrant à chaque seconde que celle qui partageait ma vie n'était plus la femme que je croyais! Elle prenait sans mal un membre épais qui devait la remplir toute au delà de ce que j'avais pu faire depuis des années, et quand repensais au sexe de Gille, je me disais que celui-ci devait être bien plus gros! Je la regardais attentivement et ne voyais rien d'autre sur son visage qu'une certaine indifférence, elle subissait sans rien dire. Je réfléchis alors, que ces derniers temps son vagin m'avait paru plus relâché, ma bite y flottait un peu, et ses lèvres intimes étaient plus épaisses, plus relâchées elles aussi. Tout à coup je compris que ma femme faisait la pute depuis pas mal de temps déjà.

C'est bien ça les cocus, ils ont confiance, ils sont endormi et quand ils se réveillent, ils découvrent le désastre, une femme partie, une femme ayant un amant, une femme transformée en pute!

Moubarak a grogné fortement et d'un coup de rein puissant qui a faillit désarçonner ma femme, il s'est planté en elle et il a joui longuement, ponctuant ses spasmes de coups de bite. Il grognait encore en retirant son membre tout trempé. Je regardais mieux son engin et je vis un sexe épais et long, un vrai engin de compétition! J'en eus des frissons, mais déjà le petit fonctionnaire prenait la place de l'égyptien. Il avait un sexe plus raisonnable mais quand même fort respectable. Il la pénétra sans hésiter et alla vite à lui donner ses coups de bite. Je voyais se reins aller et venir à une vitesse fascinante et son sexe pistonner ma femme. Elle était indifférente à son manège, se livrant, impudique mais professionnelle à ces hommes autour d'elle. Il a joui vite le fonctionnaire, à courtes saccades il s'est vidé en elle, avant de laisser sa place au dernier de la liste qui n'attendant que ça et qui prit sa place au cul de mon épouse. Il la saillit comme les autres, ni plus ni moins, il fit sa petite affaire et il jouit lui aussi dans la fente offerte. Après quoi Gille se leva et avec un kleenex, il essuya le cul dégoulinant de foutre de mon épouse. Les autres autour, la palpait encore, lui flattant les seins qu'ils sortirent de leur logement, étirant se tétons, poignassant ses mamelles.