technologie d'influence mentale

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Je suis roboticien dans un laboratoire de recherche. Mes recherches se basent sur la miniaturisation de robot aux niveaux cellulaires, dans divers buts, tel que la distribution d'un médicament sur un endroit ciblés du corp. Je ne suis pas aimé de mes camarades, car j'ai un physique assez aigri et un tempérament introverti doublé d'une intelligence supérieure à la leurs. J'ai continué mes recherches chez moi, mais pas dans la façon que le voudrait le labo.
J'avais réussi chez moi as créé ces macro-drones depuis longtemps et as en créé la production car pour agir il n'en fallait pas qu'une mais des centaines voire des milliers en fonction de l'utilité voulut. Mes recherches se sont ensuite basé sur la transmission de données dans le cerveau humain qui se fait sous forme d'électricité (très pratique pour mes petits drones).une fois décoder ce schéma, il me rester plus qu'à créer le logiciel qui contrôlera le cerveau humain ou du moins l'influencé par des pensées.

Et moi j'avais une idée précise, me faire une esclave et une bonniche (car je suis bordelique) éperdument soumise à moi.

Je passai une annonce au ministère de la santé pour les asiles psychiatrique pour recruter mon cobaye (au nom de mon laboratoire). Sexe féminin, entre 20 et 30 ans qui n’a pas de famille (pouvant réclamer le corps si sa foire), pour essai clinique sur la modification comportementale.
J'ai reçu qu'une réponse positive ce qui me suffisait si elle était jolie.
Arriver as l'hôpital psychiatrique, le médecin en charge de son cas m'expliqua ses symptômes. Un paranoïa. En clair, elle croit que le monde qui l'entoure lui veut du mal et elle est donc agressive voir tendance meurtrière. Pour ma part je lui expliquais l'objet de nos recherches (en lui cachant la réalité) et en lui promettent de veiller sur elle.

On entra dans sa chambre et je la vit. Une grande fille rasé as la tête, très maigre, regard vide, 26 ans (d'après le dossier que le toubib m'as remit), mais elle en paraissez plus car son visage sembler fatigué. Cette Andrea est complètement stone, shooter au médicament.
Je dis au médecin.

-Préparé ces affaires, je la prends.

- Bien, dit le médecin je vais préparer les papiers de sortie. Je vous laisse faire connaissance même si je doute qu'elle vous réponde, vue qu'on la tranquilliser, car elle a fait une crise.

-C'est parfait, au pire j'irai à la cafeteria.

-bien, j’en ai pour un quart d'heure, je vous laisse.

Une fois la porte fermé, je pose ma mallette sur la table, l'ouvre et active l'interrupteur activant les nano-drones contenu dans la seringue.je prît celle-ci et me dirigea vers Andrea.

-Bonjour Andrea, je vais te faire une piqûre qui va changer ta vie, assis toi sur le lit.

Elle me regarde les yeux vides. Je pris donc son bras et la force à s'asseoir puis je lui enfonçais l'aiguille dans le pli du bras en aillant prit soins de visé une veine.

Mission effectué, je remballe mon bazars et alla prendre un café rejoint par le toubib pour terminer ma part de paperasse.

-Elle est as vous, voici son dossier médical et ces papiers d'identité. Ce petit sac contient ce qui lui reste d'effet personnel. Transmettait moi, l'évolution de vos travaux.au revoir.

-je n'y manquerais pas, au revoir.

Je fis entrer Andrea dans ma voiture, qui dormi pendant le trajet. Arriver chez moi, je la couchai direct. D'après le toubib je suis tranquille pour 48 heures avec la dose qu'ils lui ont mise avant mon départ, de quoi laisser le temps à mes petites bêtes d'arrivée au cerveaux et de bien commencer leur travail d'impulsion d'idée, de pensée et d'envie à mon égard. Ce qui tombe bien car on est vendredi et donc tout le week-end devant nous. Je passe la journée du lendemain as abreuvé un zombie qui commence as me regarder avec un début d'étincelle dans les yeux.

Le dimanche as mon réveil, j’ouvre sa chambre et je la vit assise sur son lit qui me regarde d'un regard perçant. Je suis resté scotcher ne m'attendant pas à sa et ne sachant pas par quel bout commencer, c’est donc elle qui prit la parole.

-Qui êtes-vous? Que me voulez-vous? Dit-elle sèchement.

-bonjour Andrea, je m’appelle Émilien. Je t'offre une nouvelle vie. Une vie qui te fera oublié l'hôpital, qui t'offre gîte et couvert ... du moment que c'est toi qui le prépare.

Cette dernière remarque la fit sourire
-Je ne sais pas pourquoi mais avec vous je me sens en sécurité et j'ai confiance en vous alors que je vous connais as peine. De plus votre offre paraît plus alléchante que l'hôpital d'où vous m'avez sorti alors j'accepte.

-Vous avez faim? On peut se tutoyé?

-Oui, j’ai une faim de loup et comme vous ... tu veux sa m’arrange même, c'est plus commode. Tu me raconteras comment j'ai atterri là.

-j'ai fait quelques achats de vêtements car tu n'avais pas une garde-robe féminine avec les fringues de l'hôpital. C'est dans l'armoire, je sors 5 minutes pour allé à la boulangerie qui est à côté, tu me rejoindras en bas.

Je descendis direct pour ne pas lui laisser le temps de répondre, plutôt heureux que mon expérience n'est pas foiré ou pire la tué. A mon retour, elle était en train de descendre les marches dans un de mes jogging large et un de mes pulls (pas très sexy tous sa). Elle me sourit et dit.

-Désolé d'avoir pioché dans ton armoire, mais les fringues que tu as choisi ne sont pas as mon gout. Je suis du genres pantouflarde.

- je suis navré que cela ne te convienne pas. On feras les boutiques dès que tu seras remis sur pied.

Je me suis rendu dans la cuisine tout en lui demandant ce qu'elle prend au petit déjeuné. En me rejoignant, elle me répond

-Comme toi du moment que c'est copieux. Je t'écoute, comment je suis arrivé ici?

Je lui montre le paquet de viennoiserie plein à craquer et commence donc mon récit sur mes recherches (bidon) pour combattre la folie de certaine personne en omettant mes drones et en lui précisant que c'est illégal vue que c'est personnel et n'aillant pas d'autorisation ministérielle. A la fin de mon récit, elle laissa un silence d'une dizaine de minutes tout en dévorant la viennoiserie, puis répondit.

-Si je comprends bien, tu as créé je ne sais quel médicament qui neutralise la maladie mentale de certaine personne comme moi, mais comme tu la créé illégalement et que tu avais besoin d'un cobaye pour tester ton produit. Tu as lancé une recherche aux noms de ton laboratoire pour trouver le sujet idéal c'est à dire moi. Mais seulement cela doit rester secret car ce que tu as fait jusqu'ici est illégal. Je devrais être paniqué, mais au lieu de sa je suis rassurée et même je t'en suis redevable. Ne t'inquiète pas, je ne trahirais pas ton secret et même j'accepte ton offre et je rajouterai que je ferais la maîtresse de maison car sa a en a bien besoin.

Je lui souris et intérieurement heureux du début du résultat de mes robots. Nous avons passé la journée à discuter et aussi à me reposer tandis qu’Andrea nettoya, lava le linge, et me prépara de bon petit plats.je sentis plusieurs fois son regard dans la journée et même en fin de journée quand elle me parler et me dévoré du regard.
Cependant, je ne voulais pas brûler les étapes et risquer un accident quelconque avec une expérience hasardeuse comme celle-ci. Le soir au dîner, elle s'était changée pour la robe rouge. Andrea était beaucoup plus souriante et plus jovial. Après le dîner qui finit assez tard.

-Je vais me coucher, demain boulot. Je te laisse de l’argent. Demain tu iras faire les boutiques pour te faire une garde-robe.

Elle fut déçue de ne pas pouvoir continuer à discuter, mais n'en dit mot. Sur les coups de minuit, je fus réveillé par des bisous le long de ma jambe qui remonta droit sur ma bite, je ne bouge pas d'un pouce. Elle commença des bisous timides sur ma bite, puis me la lécha tout le long qu'elle durcissait. Une fois bien dure, elle dit

- Je suis désolée, mais ça m'obsède...

Elle se la met direct au fond de la gorges, la ressorti pour me dire

-elle est trop bonne, j'ai tellement envie de toi...

Elle suça comme une folle, une vraie possédée. Sa fellation était maladroite, je sentis ces dents plus d'une fois ce serré un peu trop fort, mais par contre elle avait une langue qui joué avec ma bite. C'est un truc de fou sa langue. Et moi peinard, les mains derrière la tête, les jambes écarté avec une fille entre en train de me la sucé, le pied total.

Sous l’effet du traitement qu'on m'inflige et l'excitation d'avoir réussi mon invention, la sauce monta rapidement et me retient de crier et de la prévenir. Je joui directement dans sa bouche, elle ne se retira pas et je sentis des dents trembler sur ma queue puis soudain un long râle étouffé par ma bite qu'elle ne lâcha pas. La gallinette jouissait rien qu'en sucent ma queue.
Une ou deux minutes s'écoulèrent, ou pendant ce temps nous reprîmes conscience. Elle bien plus vite que moi, car je sentais sa langue joué avec ma bite et son regard sur moi comme si elle essayer de voir ma réaction dans le noir.

-C'était très bon ce que tu m'as fait, je ne m’attendais pas à ça, surtout à cette heure-là. Mais je suis content que tu la fasses.

J'allumais la lampe de chevet et la regardais me regarder tout en jouant de sa langue sur ma bite avec un sourire sur la commissure des lèvres. Elle désemboucha pour dire.

-Tu ne peux pas savoir comme tu m'obsède, j'ai essayé de résister mais c'est plus fort que moi. Tu envahie mes pensées, je ne pense plus qu'à toi, tout ce qui te fait plaisir me fait plaisir, comme si mon bonheur ne dépendait que du tiens. Depuis bien longtemps j'avais plus confiance en personne. Ils m’ont enfermé et droguée soit disant pour me protéger de moi-même, j'avais plus que de la haine en moi et pour ce monde. Et je me réveille dans une chambre que je ne connais pas avec un homme qui débarque sans frapper, mais quand je t'ai vue, je me suis sentie en paix intérieurement et je savais que je pouvais te faire confiance.... Puis plus la journée passée plus se sentiment c'est renforcer et d'autres sont apparues comme le fait que te faire plaisir est mon unique but et que je dois tout faire pour te rendre une vie meilleur. Et je ne sais pas pourquoi, mais le fait est que si j’accomplis tout tes désirs sa me rendra...ça me rend heureuse et voir plus que cela, la preuve en est faite. Je viens d'avoir un orgasme rien qu'en suçant ta queue et croit moi ça m'était jamais arrivé. En plus il y avait bien longtemps que j'avais joui...

Je lui mis un doigt sur la bouche pour la faire taire.

-Tu es un vrai moulin à parole, tu en avais gros sur la patate, lui dis-je avec le sourire. Merci pour cette déclaration qui me touche, dorénavant tu dors avec moi. Excuse-moi de ne pas continuer cette discussion ou même de faire un deuxième round mais j'ai eu un week-end mouvementé et demain je commence tôt alors dodo et n'oublie pas ton programme de demain, boutiques, maquillage, épilation parce que godzilla des aisselles jusqu'au bas des pieds ce n’est pas mon truc.

Elle s'allongea près de moi, m’embrassa langoureusement, sa langue jouant avec la mienne pendant deux bonnes minutes puis je coupai ce contact de peur qu'elle s'emballe. (J'étais réellement crevé avec cette tension de la sortir de l'hosto, de veiller sur elle... Bref je ne vais pas vous refaire le film). Je lui dis donc bonne nuit qu'elle me rendit avec un sourire attendrissant. Pendant que j'éteignis, elle posa sa tête sur mon torse et commença à m’endormir quand elle chuchota

-Pour l'épilation du maillot, tu l'aime comment?

(Vous saurez plus tard ce que j'ai répondu, suspense...)

Au matin, mon réveil sonna pour le boulot. J'allume la lampe de chevet et me frotte les yeux. Soudain je sentis une bouche m’embrassé le téton, je laissai faire curieux et excité par la situation. Elle se mit sur moi et de ces deux mains me caressa tout en continuant de m’embrasser et de jouer de sa langue. Je sentis qu'elle voulait descendre plus bas mais j'avais autre chose en tête. Je la stoppais et la retourna de façon à ce que ce soit moi qui suit en haut et elle en bas. Je refis le même manège qu'elle, ces seins était plat due à son état squelettique mais elle avait de gros tétons bien raide excité par la situation. C'est agréable de les prendre en bouche et de jouer de sa langue dessus puis je descendis en sentant son ventre qui frotter contre mon nez. Arrivé à sa toison bien garnie, ma bouche s'abaissa pour rencontrer cette chatte. Je goûté à cette fente mouillé et joué avec le clitoris qui lui aussi était d'une taille surprenante. Je me délectai des arcs de plaisirs et des cris qu'elle fit. J'accélérai le mouvement sur son clito dont elle lâcha un long crie et fit des mouvements du bassin d'avant en arrière avant de retombées comme une poupée sans vie. Je remontai sur elle et la pénétra lentement, ce qui la fit gémir. Arrivé au fond je commençais des va et vient as une vitesse de croisière tout en la regardant monté dans les octaves les yeux fermés. Mon portable sonna (une petite alarme pour me dire qu'il est temps de prendre la route du taf)

-Merde, retourne toi as 4 pattes, vite je dois partir au boulot.

Elle se retourna aussitôt et je lui remis ma bite avec facilité. J'accélérai mes coups de piston ce qui la força as se mettre sur les coudes. Je sentis la sauce monté quand je vis son cul bien ouvert par l’angle donnée et sa pastille qui me narguer. Mon sang ne fit qu'un tour et je lui touchai cette rosette tout en lui giclant as l'intérieur. Quand je repris ma respiration, je me levai d'une traite en pensant à la sodomie qui l'attend ce soir.

-Je prend une douche vite fait, je ne peux pas aller au taf en sentant le fauve. Prépare-moi un café dans un thermos que tu trouveras dans un des placards de la cuisine.

Je pris une douche rapide, m’habilla et la rejoignit dans la cuisine ou elle m’attendait en tenue d'Ève.
Je l’embrassai, lui donna un double des clefs et lui dit as ce soir sans attendre sa réponse car j'avais déjà claqué la porte.

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