18 Maîtres Ch. 02

Informations sur Récit
Mon deuxième gang-bang.
8k mots
4.26
31.5k
2

Partie 2 de la série de 10 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 06/12/2018
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Traduction d'un récit avec l'aimable autorisation de son auteur Penitr8me.

Avertissement : Ce récit n'est qu'une FICTION sortie de l'imagination de son créateur. Vous trouverez dans ces quelques lignes une expérience sexuelle mélangeant brutalité, soumission et humiliation Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas à lire. Merci.

***************

Si quelqu'un sort de l'ascenseur, il me verra agenouillée devant la porte de la suite de l'hôtel. Il verra immédiatement que je suis nue, à part des talons aiguilles. Il verra mon manteau soigneusement plié à côté de moi. Mes longs cheveux bruns tombent dans mon dos. Je ne sais pas s'il pourra voir le plug anal dans mon cul. Et il ne verra surement pas les pinces sur mes seins et mon clitoris. Cette vue est pour les hommes qui vont ouvrir la porte.

J'ai encore du mal à croire que mon premier gang-bang a eu lieu il y a juste une semaine. Autrefois, quand j'ai perdu ma virginité, la nuit avant d'aller à l'université, j'ai pensé que j'étais devenue une autre personne, mais ce n'était pas le cas. Après m'être laissée violée par 18 hommes la semaine dernière, j'avais eu l'impression d'être transformée. J'étais rentrée à la maison à l'aube, couverte de bleus et de sperme séché. Le lendemain je me suis demandé « L'avais-je vraiment fait? Ne l'avais-je pas simplement imaginé? J'avais de nouveau contacté le groupe pour organiser une deuxième soirée car je ne pouvais vivre sans cette expérience intense. C'était plus qu'avoir simplement du sexe avec 18 hommes. Chris, le chef du groupe, avait su ce qui m'excitait, un mélange de bondage, douleur et soumission ainsi que la reconnaissance au fond de moi-même que je suis une salope qui doit être utilisée brutalement.

Je prends une profonde inspiration et je frappe trois fois. Je fais une pause et je frappe encore trois fois comme on m'a ordonné de faire. La porte s'ouvre, et comme indiqué, je garde les yeux sur le tapis et les mains dans le dos. J'attends. Je suis contente que les hommes qui vont me baiser ne peuvent voir mes mains, car elles tremblent.

On me place un bandeau sur les yeux et un ball-gag est attaché dans ma bouche. Quelqu'un passe derrière moi pour mettre des attaches en cuir autour de mes poignets et de mes chevilles. Ils attachent mes poignets dans mon dos. Je sens que l'on pose un boitier avec un bouton dans ma main comme la dernière fois. Il s'agit d'une petite lampe rouge que je peux utiliser pour tout arrêter comme le bâillon m'empêche de parler. On me relève et je sens qu'on me met un collier avec une laisse. Je suis ensuite traînée dans la suite. La porte se referme avec un bruit lourd.

On me place dans ce qui me semble être le milieu d'une grande pièce, bien que je n'en sois pas sûre. Mes jambes sont écartées et une barre est attachée à mes chevilles. Je n'ai aucune idée de ce qui se passe et de ce qui va se passer. Bien sûr, je sais que je vais être baisée mais nous n'avons pas parlé des détails comme la dernière fois, juste des limites.

- Messieurs, notre pute est ici!

Je m'attendais à entendre la voix de Chris, mais je ne reconnais pas l'homme qui a parlé. Je sens cette personne mystérieuse bouger ses mains sur mon corps au rythme de ses mots.

- Regardez ces énormes seins, nous avons passé un bon moment à les fouetter la semaine derrière n'est-ce pas? Et ce cul, il était rouge vif quand nous avons fini.

J'entends des murmures d'approbation. Ce souvenir me fait mouiller. Des mains me forcent à me pencher, mes cheveux tombant vers le sol, ma chatte et mon cul bien exposés pour mon public invisible. Après quelques minutes, ils me tournent et me penchent pour m'exposer à une autre partie de la pièce.

- Regardez comme cette putain mouille! Elle est prête à nous servir tous.

Je sens des doigts écarter les lèvres de ma chatte et la pénétrer peu après. Puis la main se retire et je la sens sous mon nez.

- Messieurs, venez voir notre jouet!

On me redresse. Puis je sens des mains sur mes fesses, mes seins. D'autres doigts me pénètrent. Puis des mains saisissent mes cheveux et les tirent. D'autres giflent mon visage et mes fesses. Avec le bandeau sur les yeux, mes sensations sont amplifiées.

- Très bien, très bien, bonne salope!

Les hommes finissent par se réinstaller dans la pièce.

- Donc, la semaine dernière, notre équipe a pris possession de la chatte de notre esclave. Elle nous a bien servi mais elle n'en a pas eu assez n'est-ce pas?

Je hoche la tête.

- Donc nous avons trouvé huit autres gars qui veulent aussi en profiter. Tu veux ça salope? Tu veux 24 bites bien dures?

L'homme mit sa main sur mon menton et me força à hocher de la tête. De toute façon je l'aurai fait, j'ai hâte d'être baisée et plus ils seront mieux ça sera.

- Commençons avec son cul! Attachez-lui les mains par devant et penchez-la là-bas. Laissons la barre d'écartement.

Mon visage est poussé sur le coussin du canapé. Mes hanches sont posées sur le bras du canapé et mon cul se retrouve en l'air. J'ai toujours les jambes bien écartées et attachées à une barre solide. Je sens que l'on retire le plug anal. Je crie derrière mon bâillon car ça fait mal.

- Hé Doc, viens voir, assure-toi qu'elle va bien.

J'entends un homme bouger derrière moi, le claquement d'un gant en caoutchouc que l'on enfile, le son d'un bouchon de bouteille en plastique que l'on ouvre et le son d'un liquide épais qui s'écoule. Puis je sens qu'un doigt est poussé dans mon trou du cul, et pas doucement. Je secoue la tête et le ball-gag se détache. Je commence à hurler mais une main se pose sur ma bouche et mon cri est étouffé.

- Elle est encore très serrée, commençons par une queue mince et ça ira bien. N'oublions pas le lubrifiant.

L'homme sort son doigt. Le gars à la voix inconnue ordonne à ses amis de déterminer qui a la bite la plus mince. Il s'avère qu'il s'agit de l'un des huit nouveaux hommes. Mais ils décident qu'il n'est pas juste qu'un invité prenne mon cul avant un de mes maîtres. Alors ils recherchent la prochaine bite mince. Je ne peux voit tout ça mais j'entends la discussion.

J'entends de nouveau le bouchon de la bouteille de lubrifiant et le « gloup » du liquide. Je me prépare mais cela ne suffit pas à endiguer la douleur intense quand la bite déchire mon cul. Je sais qu'il essaie de pénétrer lentement mais ça ne m'aide pas. Chaque millimètre de pénétration me fait plus mal que le précédent. Je sanglote, mais j'ai toujours une main qui couvre ma bouche et les coussins du canapé qui étouffe mes pleurs.

Finalement, l'homme arrête de bouger. Je suppose donc qu'il a enfoncé toute sa bite, ou du mois tout ce qu'il peut. La douleur dans mon cul s'estompe un peu alors qu'il attend là, ses mains sur mes hanches.

Et alors, il commence à me baiser. Il recule pour mieux me pénétrer. Il commence lentement ses coups de reins mais bientôt il me sodomise avec passion. L'homme qui a sa main sur ma bouche se penche et murmure à mon oreille :

- Tu sais que tu veux ça salope. Tu sais que tu en as besoin petite pute. Tu as besoin de bites dans tous tes trous, tout le temps.

C'est Chris. Je ne peux pas tourner la tête pour le regarder mais je reconnais le son de sa voix. Ça me calme, il a raison. Je ne pourrai jamais profiter d'une double pénétration avant de passer par là. Mais ça n'arrête pas la douleur pour autant. Quelques coups de reins plus tard, je sens que le Maître qui m'encule se raidit et vide ses couilles dans ma cavité anale douloureuse. Il ne bouge plus et grogne avant de se retirer.

- Merde, c'est le cul le plus serré que je n'ai jamais baisé!

Il me donne plusieurs claques sur les fesses. Chris retire sa main de ma bouche et se penche pour me murmurer à l'oreille :

- Ça va? Feu vert?

- Ve... vert. Peut-être... un peu jaune...! Haleté-je encore sous le choc de la douleur.

Chris m'attrape par les cheveux, enlève mon bandeau, et tourne ma tête pour pouvoir me regarder droit dans les yeux.

- Tu as besoin de ça esclave. Tu dois te soumettre à tes Maîtres non?

Je hoche la tête.

- Et maintenant? Demande quelqu'un.

Je regarde Chris, mais il hausse simplement les épaules et fait un signe de tête vers quelqu'un derrière moi.

- Ce n'est pas moi qui dirige ce soir, c'est son tour. Murmure-t-il.

- Amenez sur la table! Ordonne celui qui mène les opérations.

La barre qui écarte mes jambes est retirée. On me relève et me retourne. Je suis portée par deux hommes jusqu'à une sorte de table d'examen médical chez un gynécologue. Mes chevilles sont enchainées sur les étriers, exposant ainsi ma chatte. Mes poignets sont ensuite liés à la table. Je vois un homme s'approcher au-dessus de moi.

- Regardez notre salope, enchaînée et complétement impuissante!

C'est la voix que j'ai entendue tout au début. Maintenant que je peux voir son visage, je me souviens de lui. Ce fut le dernier à jouir sur moi lors de la séance de bukkake de la dernière fois. Son nom est Barry.

- Je ne pense pas que tu ais apprécié que l'on t'encule, n'est-ce pas esclave?

- Non Maître.

- As-tu joui?

- Non Maître.

- Nous allons continuer à te le faire jusqu'à ce que tu aimes ça, jusqu'à ce que tu nous supplies de te sodomiser. Tu le feras tu le sais. Ma queue est trop épaisse pour que je te prenne maintenant salope, mais nous allons continuer à perforer ton cul jusqu'à ce qu'il soit assez large pour ma bite.

Je me dis qu'il a quelque chose à prouver depuis la dernière fois. A moins que je veuille m'en aller, ce que je n'ai pas fait, je me dis que la meilleure chose à faire est d'être plus soumise.

- Oui Maître, je veux votre grosse queue Maître.

Barry sourit et poursuit le déroulement prévu de la soirée.

- Ce petit jeu en ouverture est pour te montrer que même si nous aimons blesser notre esclave, nous pouvons aussi être généreux. Tu n'as pas encore joui, mais bientôt tu iras mieux.

Il me regarde dans les yeux, mais son regard est différent de celui de Chris. Avec celui-ci, j'ai l'impression qu'il sait exactement ce que je veux dans mon profond subconscient de salope. Avec Barry, j'ai l'impression qu'il veut me voir blessée.

- Nous allons nous donner trente minutes pour s'occuper de ta chatte. Je t'ordonne de jouir autant de fois que tu le peux. Mais le nombre de fois que tu jouiras, seras le nombre de coups de fouet que chaque homme te donnera. Mais si tu ne jouis pas du tout, alors tout le monde pourra te fouetter autant qu'ils le voudront.

Il regarde autour de lui et fait un geste pour dire :

- Qui veut commencer? Tim?

Barry brandit une énorme baguette vibrante, avec au bout un accessoire en forme de gode, hérissé de petits bouts blancs et avec une partie incurvée pour le clitoris. Tim s'approche et saisit l'appareil. Il l'allume, augmente la vitesse, et avant que je m'en aperçoive, il écarte les lèvres de ma chatte et m'introduit l'engin. En gémissant, j'essaie de fermer les genoux contre cette invasion.

- Tenez lui les cuisses ouvertes! Ordonne Barry.

Deux hommes interviennent et tiennent mes genoux écartés, si bien que je ne peux plus bouger mes jambes. C'est une humiliation supplémentaire et mon excitation monte d'un cran. Tim bouge le gode dans ma chatte et appuie l'embout incurvé contre mon clitoris. Il appuie sur un autre bouton, ralentit, accélère puis ralentit à nouveau. Il répète l'opération deux fois avant que je ne sente un orgasme me traverser. Je suis surprise que ça ait pris tant de temps. Les hommes applaudissent.

- C'est un gros orgasme! Crie quelqu'un.

- Gardons la dans cet état! dit un autre.

J'essaie de fermer mes jambes pour protéger mon clitoris à vif de l'orgasme qui vient de me terrasser. Généralement c'était le moment où je voulais que mon amant se retire et me laisse me prélasser dans la jouissance. Mais mas Maîtres avaient d'autres plans. Quelqu'un, Josh je crois, se présente entre mes cuisses et commence à titiller mon clito trop sensible avec sa langue. Je commence à crier mais Barry met sa main sur ma bouche.

- Vas-y, lèche cette pute, elle devrait aimer ça.

J'entends à peine son commentaire tellement la sensation est intense. Cela fait très longtemps que l'on ne m'avait fait un cunnilingus. Mon ex-petit ami n'aimait pas le faire et lorsqu'il voulait bien, il le faisait mal. Mais Josh semble apprécier de jouer de sa langue. Il l'enfonce au fond de ma chatte, laissant un bref répit à mon clitoris, mais cela ne dure pas. Il recommence à titiller mon clito, à le lécher, le sucer. Je sens mon corps se réchauffer puis s'embraser quand un deuxième orgasme explose, un orgasme plus fort que je n'ai jamais ressenti. Je ne peux pas crier avec la main sur ma bouche mais je respire fort, tendue comme un câble. Quand je me remets, j'entends les hommes applaudir.

- Regardez cette sale pute! Deux orgasmes coup sur coup! Elle n'en a jamais assez! Rigole Barry.

Mais il semble que ça m'a pris toute mon énergie et le temps est presque écoulé avant que je ne jouisse de nouveau. Je crois que, chacun à leur tour, quatre ou cinq gars ont pris le gode vibrant. Ils le font fonctionner à fond dans ma chatte et sur mon clito. Ils lèchent et sucent celui-ci. Mais il est beaucoup moins sensible. Donc c'est agréable mais pas assez pour que je jouisse.

Un instant plus tard, un des hommes réalise que mes seins rebondissent et surtout sont disponibles pour s'amuser. Tom attrape mon sein gauche et commence à sucer durement le mamelon, le mordillant parfois. Je me souviens de lui qui, la fois d'avant, avait été le premier à éjaculer sur mes seins. Je suis sortie de ma pensée par un autre homme qui attrape mon sein droit et se met à le sucer lui aussi. C'est incroyable! J'ai déjà eu des hommes qui me suçaient les seins, ils aimaient tous ma poitrine. Mais il n'y avait eu jusqu'à présent qu'un seul mec pour mes deux seins, et un côté se sentait toujours un peu négligé. Aujourd'hui je me fais peloter et triturer en stéréo. Je ne sais même plus ce que l'on fait à ma chatte au même moment. Le troisième orgasme vient de la stimulation de mes seins seulement. Je me débats sauvagement alors qu'ils s'accrochent à ma poitrine.

Barry dit à tout le monde qu'il ne reste que quelques minutes alors les hommes continuent à s'acharner sur moi. Il travaille mon sexe avec le gode. Il le pousse jusqu'au réglage le plus élevé jusqu'à ce que j'en tremble. Ils sucent et mordillent mes seins. Ils lèchent ma petite fente. Mais je n'ai pas d'autre orgasme avant la fin des trente minutes.

Barry leur dit alors de ranger le matériel. Puis il me dit :

- Si tu sens que tu vas encore jouir ce soir, avant tu dois nous supplier de te laisser jouir. Nous déciderons alors si tu le peux ou non. Mais si tu jouis sans notre permission tu seras fouettée. Maintenant nous allons te punir pour avoir pris du plaisir. Tu as eu trois jolis orgasmes donc chaque gars va pouvoir te donner trois coups avec ça.

Il sort une cravache. Avec le bout, il suit les contours de mon corps pour finir sur ma chatte trempée.

- Attachez-la!

On m'aide à me relever de la table et on m'amène au milieu de la pièce. Les hommes attachent des chaînes à mes chevilles et mes poignets et ils tirent dessus, m'écartelant. Il remette le ball-gag dans ma bouche ainsi que la petite lampe dans ma main. Je réalise que je n'ai plus de collier dans mon cou. Est-ce bizarre de dire que je me sens toute nue sans cet objet?

Barry met tout le monde en ligne. Je ne sais pas si ça ce fut mieux ou pire que la dernière fois. La semaine dernière, j'avais des hommes qui me fessaient pendant que d'autres cravachaient mes seins au même moment. Cette semaine il y a juste la cravache et un seul homme à la fois, les 23 autres regardant. Je crois que certains me frappent fort car ils se savent surveillés. Certains sont plus nerveux et ne mettent pas beaucoup de force derrière leurs coups. Des hommes frappent mes fesses, d'autres mes seins et d'autres ma chatte, et enfin d'autres alternent sur les parties de mon corps.

Certains utilisent le bout de la cravache, d'autres le corps. Je pense qu'il s'agit de joueurs de baseball, vu l'adresse avec laquelle ils atteignent les parties voulues de mon corps. Je commence à m'ennuyer une peu et je regarde ces hommes qui font la queue. Comme ils sont encore habillés je me concentre sur leurs visages.

J'ai des DVD de gang-bang que j'aime bien regarder. Il y a toujours des scènes qui ne manquent pas de me faire mouiller. Je réalise cependant, en voyant cette file de 24 hommes, que je regarde toujours les visages des femmes dans les films. Je vois leurs expressions dans la douleur, dans la jouissance et même dans une conversation normale lorsque le film est terminé. Mais je n'ai absolument aucune idée de ce à quoi ressemblent les hommes. Il y a des scènes avec des bites mémorables, et quelques tatouages que j'associe avec de la baise brutale ou des coups de fouet, mais je serai bien incapable de reconnaître ces hommes. Pour moi il n'y a que les femmes et ce qu'ils lui font. Ce soir, pour la deuxième fois, il s'agit de moi et de ce qu'on me fait, et de ce que l'on va me faire. Je reconnais la plupart des hommes dans la file et je me retrouve à me souvenir de la façon dont un a poussé sa bite dans ma bouche et baisé mon visage, de la façon dont un autre m'a regardé en me montant dessus.

Mes bras commencent à être douloureux. C'est la première fois que je suis punie aussi longtemps. J'ai l'impression de m'évader de mon corps et de regarder la scène d'en haut, regarder les visages de ces hommes. Certains observent attentivement, d'autres rient avec leurs amis, et d'autres frottent leur entrejambe avec excitation.

Puis la prochaine chose que je sais, c'est que je suis sur le sol et un homme me regarde avec une petite lampe braquée dans mes yeux.

- Elle va bien. Dit-il.

Je réalise que c'est la même voix qui avait un peu plus tôt sondé mon cul. Je suppose qu'il était vraiment médecin. Je bouge mes mâchoires et je me rends compte que je ne suis plus bâillonnée.

Que m'est-il arrivé? Demandé-je.

Ma voix me semble plus faible que d'habitude. Je regarde autour de moi et je vois Chris qui me tient la main, un peu inquiet.

- Tu t'es évanouie, je crois que c'était trop dur et que tu n'étais pas prête.

Il regarde Barry qui est agenouillé de l'autre côté. Celui-ci a l'air un peu énervé et pas concerné par ma faiblesse. Connard!

- Est-ce qu'elle peut continuer?

Le docteur me regarde et dit :

- Oui, mais ne tirez pas sur ces bras.

- As-tu quelque chose à dire salope? Demande Barry.

- Sérieusement, tu n'es pas obligée de continuer ce soir. Si tu ne te sens pas en forme, nous pouvons arrêter maintenant et reprendre une autre nuit. Dit Chris.

Bon sang, je ne sais que faire. Alors que je me remets lentement, la douleur me rattrape. Je peux voir les marques rouges qui couvrent mon corps. Je sens la douleur cuisante de ces balafres. 3 coups pour chacun des 24 hommes? Je ne sais pas combien j'en avais déjà reçu mais je pense que c'est beaucoup déjà. J'ai mal. Et même si l'attitude de Barry me décourage, je suis touchée par l'inquiétude de Chris. Je sais qu'il me respecte et qu'il est tout à fait d'accord pour que j'arrête. D'une certaine façon ça me donne le courage de continuer. Et une partie de moi a envie de dire « Va te faire foutre Barry ». Comme si je veux lui prouver que je peux supporter tout ce qu'il veut me faire. Je veux pousser mes limites. C'est de ça qu'il est question non? J'ai fixé des limites strictes, pas d'excréments, pas de sang, pas d'étranglement, et je sais que mes maîtres les respecteront. Je commence à voir comment mes limites peuvent être poussées selon celui qui dirige les soirées. Jusqu'à maintenant, il n'y a eu que deux Maîtres principaux, que va-t-il se passer quand les 16 autres auront leur chance? Ça pourrait aller. Ou je pourrai arrêter. Ils me regardent tous et je leur retourne leurs regards alors que je suis enchaînée, à leur merci. J'ai l'impression de les décevoir et du coup, me décevoir moi-même. Je veux continuer.

trouchard
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