5. Bruno

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Maxime, continue sa route, destination, les bras de bruno.
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Après la soirée incroyablement sexuelle que j'ai vécue, et qui s'est terminée de manière inattendue avec l'arrivée de Bruno dans la salle de bain il y a quelques semaines, je n'ai revu personne pendant plusieurs jours. Au début, je n'avais même pas de nouvelles de Bruno, et je me demandais s'il avait mal vécu ce qui s'était passé avec son meilleur ami. Je me posais mille questions sur la raison de son silence. Un jour, alors que je rentrais du travail, à quelques rues de chez moi, je suis tombée nez à nez avec Bruno. Mon cœur s'est accéléré instantanément, et je n'ai pu m'empêcher de le détailler de haut en bas, imaginant chaque partie de son corps dans mes pensées. La simple vue de Bruno provoquait un tourbillon d'émotions en moi. Son apparence, à la fois athlétique et élégante, semblait avoir été sculptée pour attirer les regards. Son allure dégageait une confiance tranquille, accentuée par la façon dont ses vêtements épousaient harmonieusement ses formes. Chaque mouvement était empreint de grâce et de puissance contenue.

Son regard, d'un marron clair hypnotisant, semblait sonder mon âme, éveillant en moi des sensations que je peinais à définir. Il y avait dans ses yeux une lueur à la fois profonde et intrigante, comme si derrière leur surface calme se cachait un monde de secrets et de désirs inassouvis. Sa chevelure brune, soigneusement taillée, encadrait son visage avec une élégance naturelle, mettant en valeur ses traits fins et harmonieux. La barbe bien entretenue ajoutait à son charme viril, lui conférant une aura à la fois séduisante et rassurante. En le regardant, je me sentais irrésistiblement attiré, comme happé par un aimant puissant. Chaque détail de son apparence semblait conçu pour éveiller en moi un désir ardent, faisant naître en mon sein un tumulte de sentiments contradictoires, mêlant admiration, fascination et une pointe d'appréhension devant tant de magnétisme concentré en un seul homme.

Mon désir s'intensifiait douloureusement, provoquant une tension presque insupportable dans mon pantalon. Je me demandais avec anxiété si Bruno ressentait la même chose en me voyant. Mes halètements s'accéléraient, mon cœur tambourinait dans ma poitrine comme s'il voulait s'échapper. Les souvenirs de la scène avec Bruno, gémissant dans la chambre, son membre viril enfoncé en son meilleur ami, m'assaillirent brutalement.

- Salut, Maxime, me rétorqua Bruno, avec un léger sourire en s'approchant.

Je sentis mon estomac se nouer, mais je force un sourire en retour.

- Salut, Bruno. Comment ça va?

- Ça va bien, merci ! Et toi?

- Ça va, puis-je être plus maladroit.

Il y eut un moment de silence maladroit entre nous, comme si aucun ne savait vraiment quoi dire.

- Fais-tu quelque chose de spécial aujourd'hui? demanda finalement Bruno, brisant le silence.

- Non, pas vraiment. Juste une journée ordinaire, me demandant si Bruno pouvait voir à quel point je suis nerveux.

- C'est cool, peut-être qu'on pourrait prendre un café un de ces jours, si ça te dit?

Je sentis son cœur s'emballer à cette suggestion. "Super," répondis-je à la proposition de Bruno, essayant de cacher mon enthousiasme croissant. Mais avant que je ne puisse me contenter de cette idée d'un café vague à une date indéterminée, une impulsion soudaine me traversa.

- Tu sais quoi? lançai-je, sentant une audace imprévue m'envahir, pourquoi ne viendrais-tu pas boire un café chez moi maintenant? J'observai Bruno, mon cœur battant la chamade dans ma poitrine, craignant sa réaction. Son regard s'attarda sur moi un instant, puis un sourire éclaira son visage.

- Ça sonne bien," répondit-il, et mon cœur fit un bond de joie. Allons-y."

Nous nous dirigeâmes vers chez moi, marchant côte à côte dans un silence tendu mais pas inconfortable. Je me sentais nerveux à l'idée de le ramener chez moi, mais aussi excité par la perspective de passer du temps seul avec lui.

Une fois chez moi, je lui offris un siège et préparai rapidement du café. Nous nous installâmes dans le salon, sirotant nos tasses fumantes dans un silence qui semblait chargé d'une tension électrique. Les regards furtifs échangés entre nous semblaient dire bien plus que nos mots.

- Merci pour le café, dit finalement Bruno, brisant le silence. C'était une bonne idée de venir ici.

- De rien, répondis-je, essayant de paraître détendu malgré les battements frénétiques de mon cœur. J'ai juste pensé que ce serait plus intime que dans un café bondé.

Bruno acquiesça, un sourire en coin sur ses lèvres. "

- Je suis d'accord. C'est beaucoup plus confortable ici.

Nous continuâmes à discuter de sujets banals, mais chaque mot échangé semblait chargé d'une signification cachée. Je me surpris à me demander si Bruno ressentait la même attraction que moi, ou si je me faisais simplement des idées. Alors que nous étions assis sur le canapé, nos tasses de café presque oubliées, nos corps se rapprochaient lentement mais irrésistiblement. Les conversations se faisaient de moins en moins importantes, nos regards de plus en plus captivés par l'autre. Je pouvais sentir la chaleur de son souffle sur ma peau, chaque mouvement de son corps me rendait fébrile.

Nos mains finirent par se chercher, s'entrelaçant dans une étreinte timide mais chargée d'une électricité palpable. Mon cœur battait la chamade alors que je sentais ses doigts caresser doucement les miens, chaque contact faisant naître un frisson délicieux le long de ma colonne vertébrale.

Et puis, sans un mot, Bruno osa poser ses lèvres sur les miennes. Ce simple geste déclencha une tempête de désir en moi, chaque fibre de mon être criant son nom. Nos lèvres se mouvaient ensemble dans une danse passionnée, nos souffles se mêlant dans un échange fervent de passion refoulée depuis trop longtemps.

L'ambiance autour de nous se réchauffa, le désir électrisant l'air autour de nous. Nos mains explorèrent les contours de nos corps avec une urgence croissante, nos gestes devenant de plus en plus impatients alors que nous nous laissions aller au feu qui nous consumait.

Et puis, dans un élan irrésistible, nos corps se rapprochèrent, se pressant l'un contre l'autre dans une étreinte fiévreuse. Chaque contact, chaque caresse, nous emmenait toujours plus loin dans un océan de désir dévorant. Soudainement, Bruno m'entraîna hors de mon t-shirt, exposant mon torse à son regard brûlant de désir. Jamais je n'avais ressenti une telle douceur, une telle passion avec un homme. Je pouvais le sentir, l'amour s'exprimait à travers chaque caresse, chaque baiser. Bruno scella ses lèvres sur mon cou, et un frisson d'excitation parcourut tout mon être. Sa langue torturait ma peau avec une délicieuse ferveur, descendant ensuite pour embrasser mon torse, mes tétons, qu'il suçait, mordillait, m'arrachant des gémissements sensuels.

Enfin, l'homme de mes rêves s'occupait de moi, et plus il le faisait, plus mon cœur fondait d'amour. Je ne pouvais pas le nier, je tombais amoureux, profondément et intensément. Mon désir se manifestait brutalement, mon sexe se débattait dans mon pantalon alors qu'il m'allongeait, se collant à moi, nos langues s'entremêlant avec passion. Je sentais son érection, ferme et pressante, contre ma jambe, et je perdais tout contrôle.

Je lui retirai son t-shirt à mon tour, révélant son torse sculpté, et je léchai ses tétons avec une ardeur avide. Avec Lucien et ses autres amants, j'avais ressenti du plaisir et de l'excitation, mais avec Bruno, c'était différent. Avec lui, je ressentais le désir brûlant de l'amour, l'envie irrépressible de lui appartenir totalement. Entendre ses murmures d'affection alors que nos corps s'unissaient, je l'embrassais passionnément, exprimant tout l'amour qui remplissait mon cœur. Ses gestes me faisaient me sentir aimé, désiré. Puis, il s'interrompit un instant, chuchotant à mon oreille qu'il ressentait une attirance irrésistible depuis notre première rencontre, qu'il ne voulait pas d'un simple flirt, mais de moi, entièrement à lui. Je gémissais en réponse, lui confiant à mon tour que ses mots me plaisaient, que je le voulais, lui, dans ma vie, dans mon lit, pour toujours.

Nos mains parcourent nos corps avec une sensualité délicieuse, nous frissonnons, gémissons, notre respiration s'accélère, chargée d'intensité. Rapidement, nous nous dévoilons entièrement, nos sexes tendus se pressent l'un contre l'autre, se frottant, se caressant. Le désir nous consume, et je brûle d'envie pour son érection imposante, mon cœur tambourine si fort que ses battements semblent visibles à l'œil nu contre mon torse.

Je parviens à prendre le contrôle sur Bruno, le faisant basculer sur le dos, et je parcours tout son corps de mes lèvres avides : ses tétons, ses épaules, son ventre, son nombril. Enfin, proche de son magnifique membre, j'ouvre ma bouche et accueille son sexe avec une gourmandise dévorante, commençant à le sucer avec amour. Je savoure chaque va-et-vient, chaque goutte qui s'échappe de son gland. Il gémit, sa respiration s'accélère, et je le masturbe en même temps que je le délecte de ma bouche. Son membre ne cesse de gonfler dans ma bouche, et mon anus, excité au-delà de toute mesure, le réclame déjà. Après quelques minutes, il se positionne au-dessus de moi pendant que je suis allongé sur le dos. Il relève mes jambes vers mon torse et les écarte, me laissant dans une position de totale vulnérabilité. Je saisis mon sexe et me masturbe en le fixant, tandis que le sien presse contre mon anus, le faisant glisser aux limites de mon petit trou soumis. Je gémis comme une petite soumise, anticipant le moment où il me possédera. Poussant légèrement, je sens son gland m'envahir, me pénétrer, et je griffe sensuellement son dos, gémissant sous la sensation de mon anus se déchirant et s'ouvrant pour le laisser entrer. Il continue à appuyer, voyant mon plaisir, et sa queue tendue s'enfonce, petit à petit, écartant mon petit cul et arrachant des cris de plaisir à la coquine que je suis.

Mes ongles s'enfoncent dans la peau de son dos, tandis que son sexe franchit enfin plus de la moitié de mon intimité. Mon dieu, son sexe est tellement large, tellement imposant. Je me sens complètement rempli, possédé par sa puissance, et chaque poussée est un mélange délicieux de douleur et de plaisir, m'envoyant dans des abysses de volupté que je n'aurais jamais cru connaître. ! Il finit enfin par s'enfoncer totalement en moi, me remplissant et me possédant de sa queue tendue et gonflée. Il m'embrasse langoureusement pendant que je le griffe, faisant bouger mon bassin en cercle, réclamant ardemment qu'il me baise avec passion. Après quelques minutes d'attente insoutenable, je crie intensément dès qu'il donne son premier coup de bassin. Les cris ne cessent pas, car il entame un va-et-vient répétitif, délicieusement intense. Son sexe me prend avec une force irrésistible, et je crie de plaisir, suppliant mon amour de me posséder encore plus fort.

"Hmm oui, mon amour, prends-moi, fais-moi crier", gémissais-je, mes mots empreints de désir brûlant. Son corps musclé se tend à chaque mouvement, et je suis submergé par le plaisir, soumis à sa queue qui m'oblige à obéir à ses ordres. Quand il sent mon excitation atteindre son paroxysme, il intensifie ses mouvements, adoptant un rythme bestial, une force incroyable. Ses testicules claquent contre mes fesses, et je crie de plus belle, mes gémissements mêlés à ses grognements de plaisir. Finalement, nous nous levons et nous dirigeons vers la chambre, où il me positionne à quatre pattes, soumis, la tête contre le matelas, les avant-bras abaissés, et mon cul relevé, ouvert, offert à son membre royal. Il enfonce sa queue en moi une fois de plus, mes cris reprennent de plus belle, le bruit de ses couilles pleines résonne à chaque coup de bassin intense qu'il donne. Je le sens au fond de mon cul affamé, large et avide de désirs intenses. Nous changeons plusieurs fois de position, cherchant toujours à ce qu'il puisse être en moi de la manière la plus profonde et satisfaisante possible. C'est la première fois qu'un homme me prend aussi longtemps, et pendant deux heures, nous nous abandonnons à une symphonie de fellations, caresses et pénétrations anales, ne laissant aucun désir inassouvi.

Finalement, il se couche sur moi, me pénétrant profondément, moi, sa petite soumise, et d'un coup de rein intense, il déverse son sperme onctueux et chaud au fond de mes entrailles. Je le sens me remplir, sa queue bien ancrée en moi, appuyant fermement contre moi. L'excitation du moment me submerge et je jouis aussi, nos corps fusionnant dans une explosion de plaisir. C'est finalement dans les bras l'un de l'autre que nous passons le reste de la nuit, et au réveil le lendemain, nous n'oublions pas de nous aimer une nouvelle fois. Ce qui est désormais certain, c'est que notre histoire se construit. Bruno est enfin mon homme, et moi, le sien.

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