A la merci d'un sexagénaire (2)

Informations sur Récit
Histoire d'un homme qui se laisse faire par des hommes.
10.3k mots
3.7
12.6k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 07/13/2006
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Chapitre 8

Mon cousin Claude

Ce que je raconte m'est réellement arrivé et ça prouve à quel point je ne peux absolument pas résister à une proposition de nature homosexuelle de quelque sorte qu'elle soit.

Je suis natif de la région des Bois Francs et comme quelques jeunes garçons et filles de cette région, j'ai fait mon primaire à Trois-Rivières. Les garçons allaient au Jardin de l'Enfance et les filles, au couvent des Ursulines.

Mon cousin Claude est de cinq jours plus âgé que moi.

J'ai doublé ma 4e année, lui ne l'a pas doublée.

Après son cours primaire, Claude se dirige vers le séminaire de Nicolet pour y faire son cours classique.

L'année suivante, je me dirige vers le séminaire de Trois-Rivières.

Les jeunes de ma région qui vont au séminaire de Nicolet sont plus nombreux que ceux qui vont au séminaire de Trois-Rivières.

Lorsque je me fais expulser du séminaire, mon nom et les raisons de mon expulsion sont rapidement connus au séminaire de Nicolet.

Conséquemment mon cousin Claude a su ce que j'avais fait.

Pendant les vacances d'été, il n'y a rien eu de spécial de la part de mon cousin même s'il demeure à coté de chez moi.

Lors des vacances de Noël de l'année suivante, alors que mes parents sont partis à Québec pour aller voir une de mes tantes qui est très malade, mon cousin Claude se présente chez moi.

Je suis sur le point de quitter la maison pour aller rejoindre des amis qui m'attendent pour se rendre à l'aréna voir une partie de hockey.

Mes parents étant propriétaires d'un commerce, ils encouragent l'équipe de hockey de la région en achetant à tous les ans 4 billets de saison.

Je fais entrer mon cousin.

« Bonjour Charles! Es-tu seul? »

« Oui. »

« Où sont tes parents? »

« Ils sont partis à Québec."

« Fais-tu quelque chose cet après-midi? »

« Je m'en vais au hockey avec des amis.

« J'aurais quelque chose de spécial à te proposer? »

« Comme quoi...? »

« On pourrait monter dans ta chambre et jouer à des jeux d'adulte. »

« Que veux-tu dire? »

Mon cousin porte une main à la braguette de son pantalon et commence à baisser le fermoir-éclair jusqu'à sa mi-course.

Je comprends immédiatement à quoi il fait allusion: j'en suis profondément troublé.

« Je vais aller porter les billets de hockey à mes amis et je reviens tout de suite. »

« Dépêches-toi! . »

En toute hâte, je sors par la porte arrière et je vais porter les billets à mes amis en leur disant que de la visite vient d'arriver chez moi et que je ne peux absolument pas les accompagner.

Je reviens à la maison.

Mon cousin vient me rejoindre à la porte arrière.

« Viens avec moi dans ta chambre. »

Ma chambre se trouve au 2e étage.

Claude et moi montons l'escalier et nous nous dirigeons vers mon lit.

Une fois à coté du lit, Claude me dit:

« Couches-toi sur le dos. »

Je lui obéis sans la moindre hésitation de ma part.

Mon cousin se penche légèrement au-dessus de moi:

« Veux-tu que je te déshabille. »

« J'accepte de me laisser faire tout ce que tu veux. »

« Acceptes-tu aussi de me faire tout ce que je vais vouloir? »

Nos regards se croisent : je lui dis:

« Je l'accepte aussi. »

Mon cousin commence alors par m'enlever mes souliers des pieds avant de dénouer la boucle de ma ceinture et de baisser le fermoir-éclair de la braguette de mon pantalon.

« Soulèves tes fesses! »

Je m'exécute.

Mon cousin passe au pied de mon lit. Il prend mon pantalon par les jambes, il tire dessus, il me l'enlève et le laisse choir par terre.

Claude vient maintenant s'asseoir sur le bord de mon lit à la hauteur de mon bassin.

Il déboutonne un à un les boutons de ma chemise, en écarte les pans puis il me demande de m'asseoir.

Je lui obéis tel un automate.

Il retire ma chemise de sur mes épaules et la laisse choir par terre.

Claude me prend par les épaules et me force à reposer ma tête sur l'oreiller.

Comme tout vêtement, je ne porte plus que mon caleçon et mes bas.

Pendant que je me laisse faire par mon cousin, mon pénis prend de plus en plus de rigidité et ça se voit à travers mon caleçon.

Mon cousin s'en rend compte.

En se levant du lit, il fait intentionnellement glisser une main sur le dessus de mon caleçon.

La réaction de mon membre est instantanée; mon pénis se cabre et il laisse une bosse prédominante à l'intérieur de mon caleçon.

Mon cousin me regarde et il sourit.

Il commence à se déshabiller face à moi et tout comme moi, il ne conserve que ses bas et son caleçon.

Je distingue facilement à travers son caleçon qu'il a lui aussi le pénis bandé et qu'il semble être beaucoup plus volumineux que le mien.

Il monte sur le lit: sa jambe gauche enjambe les miennes et il place ses genoux de chaque coté des miens.

Il se penche vers moi jusqu'à ce que son bassin soit très près du mien et que nos pénis soient l'un au-dessus de l'autre.

Il se couche alors sur moi de tout son long, son thorax sur mon thorax et son visage contre mon visage.

Nos pénis en pleine érection se touchent.

Mon cousin commence alors un lent mouvement des hanches de sorte que le devant de nos caleçons glissent l'un contre l'autre et que nos pénis soient ainsi soumis à une lente masturbation.

Mon cousin accélère son mouvement en plus de soulever son bassin à plusieurs reprises et de se laisse choir lourdement contre le mien.

Nos pénis s'entrechocs et atteignent une rigidité encore jamais atteinte.

Mon cousin sentant qu'il va probablement atteindre une jouissance telle qu'il ne pourra plus se contrôler, il se lève et en s'agenouillant, il s'assied sur mon bassin.

« Je ne veux pas éjaculer dans mon caleçon et surtout pas tout de suite. »

« Vas-tu vouloir me masturber et me faire éjaculer? »

« Je vais te faire souffrir un peu avant de te caresser et surtout avant de te faire éjaculer d'une façon très spéciale. »

« Que vas-tu me demander de te faire? »

« Tu le verras en temps et lieu. Maintenant, laisses-toi faire. »

Claude place ses mains sur le bas de mon ventre, il le compresse fortement avant d'introduire le bout d'un doigt dans mon nombril et de la pousser avec force.

« Ça me fait mal! »

Sans s'occuper de ma réaction, il maintient la pression encore quelques instants avant de retirer son doigt et de commencer à faire tourner lentement ses mains sur le bas de mon ventre puis en continuant le même mouvement en direction de mon thorax.

La douleur s'est estompé pour laisser place à une sensation de bien-être.

Je ferme les yeux et je me laisse faire.

Tout en continuant à faire tourner ses mains, Claude s'avance légèrement pour que mon pénis soit écrasé sous lui. Il soulève légèrement son bassin et se laisse descendre régulièrement créant ainsi sur mon pénis un mouvement de pression et de décompression équivalant à une masturbation. J'accompagne le mouvement du son bassin en soulevant et en descendant mon bassin au rythme du sien.

Ses mains atteignent mes pectoraux.

Il fait maintenant tourner ses doigts autour de mes mamelons. Ces derniers deviennent en érection.

Claude se penche et lèche mes mamelons du bout de la langue avant de les pincer délicatement entre ses doigts.

Je me laisse emporter par la jouissance que me procurent ses caresses.

Ses doigts commencent à serrer de plus en plus fort mes mamelons.

Je ressens de la douleur : mes mamelons me font mal.

Je prends de profondes respirations pour contrer la douleur.

Claude serre mes mamelons de toutes ses forces et les tournent en même temps.

Je ne peux m'empêcher de crier :

« Claude tu me fais mal! »

Comme réponse, Claude me dit :

« Tais-toi! »

Au même instant, il les tourne encore plus violemment.

« Aaaaiiiiiiiiiieeeeeeee! »

Il place ensuite le creux de ses mains contre mes mamelons et tournent lentement ses mains. Ce geste m'apporte aussitôt un réconfort et calme ma douleur.

« Ça va mieux? »

« Ouuuuiiiiiiiii! »

« Je vais maintenant te faire des choses que tu vas aimer mieux. »

Claude se soulève, il se laisse glisser de sur mon corps et débarque du lit.

Il baisse son caleçon, le retire de ses pieds et le laisse par terre.

C'est la première fois que je vois le pénis de mon cousin : il est très gros, légèrement aplati et n'est pas circoncis.

Il baisse ensuite mon caleçon et me le retire des pieds.

Il laisse mon caleçon sur le lit.

Mon cousin Claude s'approche maintenant de mon visage.

« Je veux que tu passes ta langue sur le gland de mon pénis avant de le sucer. »

Je me glisse vers le bord du lit et je tourne mon visage en direction de son membre.

Il dégage son prépuce pour libérer son gland.

J'approche ma tête du bord du lit, j'ouvre légèrement la bouche et je sors ma langue.

Mon cousin passe le méat de son gland sur ma langue.

Je passe quelques coups de langue sur son méat.

Je passe ensuite une main autour de son pénis et de mon pouce et de mon index je pince légèrement le gland pour faire ouvrir le méat.

Je force le bout de ma langue dans son méat.

Mon cousin semble apprécier cette intrusion.

« C'est bon! »

Je poursuis ensuite le mouvement en passant lentement sur tout le gland.

La respiration de mon cousin commence à se saccader.

« Vas-y tranquillement! Je ne veux pas que tu me fasses éjaculer tout de suite. »

Tout en continuant à lécher son gland, j'ouvre la bouche et j'approche ma tête de son membre. Je le fais pénétrer à l'intérieur de ma bouche.

J'appuie mes lèvres contre son pénis.

Je passe ma langue tout autour pour bien le lubrifier et je commence à le sucer.

Je fais entrer son membre de plus en plus profondément dans ma bouche. Il atteint même, à quelques reprises, le fond de ma gorge.

Le corps de mon cousin commence à se cabrer : sa tête vacille d'avant à l'arrière.

Mon cousin appuie le devant des ses jambes contre le bord du lit afin que ses genoux ne fléchissent pas sous le poids de son corps.

Je devine qu'il ne pourra plus supporter ma fellation bien longtemps avant d'éjaculer.

Je relâche la pression de mes lèvres sur son pénis et j'éloigne ma bouche de son membre.

Une goutte de liquide pré séminal perle dans le bout de son urètre.

Je lèche cette goutte : c'est un liquide légèrement visqueux mais je le trouve bon.

Je me replace au centre du lit.

Claude reprend son esprit et il remonte sur le lit :

« Écartes tes jambes que je m'agenouille entre elles. »

J'écarte mes jambes.

Mon cousin s'agenouille.

« Lèves tes jambes et places-les sur mes épaules. »

Je lève ma jambe droite; je la place sur son épaule gauche.

Je lève ma jambe gauche; je la place sur son épaule droite.

« Je vais t'aider et tu vas soulever ton derrière et venir placer tes fesses sur le devant de mes cuisses. »

Avec l'aide de mon cousin, je m'exécute et je prends la position qu'il me demande.

Je me retrouve dans une position telle que mon pénis et son pénis se juxtaposent.

Mon cousin les entoure d'une main et débute une lente mais très efficace masturbation.

À l'aide de mes jambes qui sont placées sur les épaules je soulève mon derrière créant ainsi un rapprochement encore plus intense entre nos deux membres.

Soudain mon pénis se cambre à un point tel que mon cousin devine qu'une éminente éjaculation ne tardera plus.

Il cesse aussitôt son mouvement.

Avec ses mains, mon cousin prend alors mes chevilles qui reposent sur ses épaules et il ramène mes jambes petit à petit vers moi jusqu'à ce que le bout de mes orteils touche presque l'oreiller sur lequel ma tête repose.

« Tiens tes jambes dans cette position. »

Je passe mes bras par-dessus l'arrière de mes jambes et je joins mes mains pour maintenir mes jambes dans la position demandée.

Mon pénis toujours en pleine érection repose alors sur mon ventre.

Mon cousin se lève légèrement de la position qu'il est : assis sur ses talons

Avec le bout de ses doigts, il écarte mes fesses avant de laisser couler un filet de salive qui tombe sur mon sphincter.

Tout en maintenant mes fesses écartées, du bout d'un doigt, il étend le filet de salive tout autour de mon sphincter avant commencer à l'introduire dans mon anus.

« Non, Claude, pas ça! »

Mon cousin est beaucoup plus fort et costau que moi.

Bien loin de retirer son doigt de l'intérieur de mon anus, il l'introduit encore plus à fond.

« Tu me fais mal! »

Je sens que mon cousin retire lentement son doigt de l'intérieur de mon cul mais au moment où je pense que son doigt est sorti de mon cul, il le réintroduit avec force aussi profondément qu'il le peut.

Tous les muscles de mon corps se cambrent en même temps que je laisse échapper un cri de douleur :

« Aaaaaiiiiiiiiiiiiiieeeeeeee! »

Je suis absolument incapable de me dégager de son emprise.

« Ne bouges pas sinon je vais te faire encore plus mal. »

Petit à petit, je décontracte mes muscles tandis que Claude commence à faire aller son doigt d'avant en arrière dans mon cul.

La douleur s'estompe lentement pour se transformer en jouissance.

Je sens son doigt sortir de mon cul, je le sens tournoyer sur mon sphincter puis s'enfoncer à nouveau dans mon cul.

Mon cousin répète ce geste à plusieurs reprises.

« Tu me rends bien. »

Au bout d'un moment, il retire complètement son doigt de mes entrailles et il passe de la position assis à la position à genoux.

Je soulève ma tête de l'oreiller pour essayer de voir la suite.

« Lèves tes jambes vers le plafond, écartes-les autant que tu peux et laisses-les dans cette position. »

Je m'exécute ne me doutant absolument pas du pourquoi de l'ordre de mon cousin.

Mon cousin place une main à l'intérieur de chacune de mes cuisses pour les maintenir écartées au maximum en même temps qu'il place le gland de son pénis contre mon sphincter.

« Claude, non, pas ça! Ton pénis est trop gros. »

« Je vais seulement faire entrer mon gland dans ton cul. Je te le jure! »

Je sais que de toute façon, ma résistance est vaine. Je ne peux que me plier à ce que mon cousin se propose de me faire subir.

Je sens une pression s'exercer sur mon sphincter

La pression est de plus en plus forte.

La douleur devient vive et difficile à supporter.

« Claude, vas-y très lentement! Ça fait mal »

Je sens mes chairs se distendent.

« Claude, tu me fais mal! »

Je sens le gland de son pénis vaincre petit à petit la résistance de mon sphincter et s'introduire dans mon cul.

Une fois le gland de son pénis bien à l'intérieur de mon cul, Claude cesse de pousser.

Son gland distend toujours mes entrailles.

« Je t'en prie, Claude, maintenant, retires-toi. »

Claude demeure encore quelques secondes avec le gland de son pénis dans mon cul, puis il le retire.

Je baisse mes jambes et je les place de chaque coté du corps de mon cousin.

Il enjambe mes jambes et en plaçant les siennes de chaque coté de mon corps, et il se glisse sur mon ventre puis sur mon thorax jusqu'à ce que son bassin soit à proximité de mon visage.

Il prend son pénis entre les doigts de sa main droite et l'approche de ma bouche.

Je sens l'odeur qui se dégage de son membre.

« Ouvres ta bouche! »

« Je t'en prie, Claude, au moins, essuies ton pénis avant de me l'introduire dans la bouche. »

« Je te dis d'ouvrir ta bouche! »

J'ouvre la bouche.

Claude avance le gland de son pénis près de mes lèvres.

« Lèches-le! »

Je passe ma langue sur le bout de son gland et je le lèche.

« Maintenant, suces-moi! »

J'ouvre la bouche.

Claude fait pénétrer son pénis à l'intérieur de ma bouche.

« Je veux que tu me fasses venir et que tu avales mon sperme. »

Mon cousin commence des mouvements de va et vient de son pénis dans ma bouche pendant qu'il passe ses mains derrière le bas de son dos : il saisit mon pénis et commence à le masturber.

Alors que son pénis pénètre de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément dans ma bouche, mon cousin me masturbe de plus en plus vite.

Son pénis atteint un niveau de rigidité tel que je devine que je vais recevoir son sperme dans les prochaines secondes.

La masturbation que mon cousin me prodigue fait également son effet et je sens que moi aussi je vais éjaculer.

Nos respirations se précipitent.

Quelques gouttes de liquide pré séminal sort du méat de mon pénis.

Mon cousin les étend sur mon gland pour le lubrifier et au moment où il va éjaculer, il retire son pénis de l'intérieur de ma bouche et il se glisse sur mon corps de sorte que son sphincter soit à proximité du gland de mon pénis.

Mon cousin guide le gland de mon pénis qui est rigide comme une barre d'acier pour qu'il soit vis à vis son sphincter.

Au moment où il éjacule sur mon ventre et sur mes abdominaux, il s'empale violemment et très profondément sur mon pénis.

Jamais, je n'ai ressentie une jouissance aussi extrême : pour la première fois de ma vie, j'enculais un garçon et j'éjaculais dans ses entrailles.

Mon cousin fait aller et venir mon pénis à l'intérieur de ses entrailles.

Soudain, il cesse : ses yeux sont agars.

Un puissant frisson le secoue de la tête au pied.

Mon cousin s'affale sur moi en haletant.

Nous demeurons coucher l'un sur l'autre pendant un long moment avant de reprendre tranquillement nos esprits.

Finalement, mon cousin se dégage de mon pénis qui est toujours dans ses entrailles, il se lève de sur moi, d'une main, il essuie le sperme qui est sur son ventre et sur ses pectoraux et il débarque du lit.

Je le regarde : je n'en reviens pas de ce qui vient de se passer.

Nos regards se croisent.

Sans même me dire un seul mot, il ramasse son linge de l'autre main et il se dirige vers la salle de toilette.

Quand il sort de la salle de toilette, je suis toujours dans mon lit, couché sur le dos et souillé du sperme de mon cousin.

Il me dit :

« J'ai adoré ce que nous venons de faire. Je te demande de ne parler de ça à personne.

« Sois assuré que je n'en parlerai jamais à personne. »

« J'espère que nous aurons l'occasion de remettre ça.»

« Quand tu le voudras! »

« Bonjour! »

« Bonjour et à bientôt! »

Claude redescend l'escalier qui mène à ma chambre et il quitte la maison.

A la merci d'un sexagénaire

Auteur : Faucon

Chapitre 9

Mes parents me livrent au père incestueux de mon cousin

Après ma relation sexuelle avec mon cousin Claude, je ne le revois pas des vacances de Noël.

Les vacances de Noël terminées, mon cousin retourne au séminaire de Nicolet.

Quelques jours plus tard, alors que je suis à étudier dans ma chambre, j'entends quelqu'un discuter avec mes parents.

Il semble que l'on parle de moi.

Sans faire le moindre bruit, je descends l'escalier qui donne à ma chambre et je m'assois sur l'avant dernière marche de l'escalier devant la porte qui donne accès la l'escalier.

De l'endroit où je suis, personne ne peut ma voir mais moi, je peux entendre tout ce qui se dit. C'est ainsi que je sais que mes parents discutent avec le père de mon cousin Claude.

Ce dernier déclare à mes parents :

« Votre garçon a corrompu mon fils alors qu'il était seul avec lui pendant une journée des vacances de Noël. »

« Qu'est-ce que Charles a fait à Claude et comment as-tu su ce que Charles lui a fait? »

« Mon fils s'est plaint à sa mère de douleur au rectum. Après un examen rapide, nous avons constaté que Claude avait le rectum irrité. Nous l'avons amené chez le médecin pour un examen et ce dernier nous a assuré qu'un corps étranger avait été introduit dans le rectum de notre fils et que ce corps étranger lui avait causé cette infection. Le médecin a questionné mon fils sur ce qui lui était arrivé. Après plusieurs minutes d'hésitation, il nous a avoué qu'il s'était présenté chez vous une journée que Charles était seul à la maison. Votre fils a demandé à Claude de monter dans sa chambre sous prétexte de lui montrer des nouveaux timbres. »

« Qu'est-ce que Charles a-t-il donc fait de si grave? »