Adam 01 - La Douche

Première tentative d'écriture d'une courte histoire érotique

Les premiers rayons de soleil traversaient la chambre obscure et frappaient les paupières d'Adam. Le réveil brutal paraissait interminable et Adam s'étiraient de tout son corps à travers le lit du couple. Ses mains rencontraient le fessier de Rebecca. Il esquissa un sourire taquin. Le mâle prit la place de l'homme et commença un lent travail de caresses et d'effleurement à travers le drap. Les courbes de sa petite amie encouragea le géomètre coquin à explorer d'autres formes, tel un enfant redécouvrant les joies d'un jouet maintes et maintes fois palpés.

Le cul ferme et bien charnu laissa la place à des hanches chaudes. La main, envoûtée par la douceur de la peau féminine, cria famine sur le tissu fin et, encouragé par des yeux sans cesse obsédés, retira les draps soigneusement. Evitant de réveiller sa compagne, Adam continua son exploration. Le matin d'été était toujours frais et la peau de Rébecca montra des signes de petits hérissements. Frileux, l'homme hésita entre se préparer pour aller au travail ou caresser sa femme en repos mérité. Décidement, chaque lundi était un défi difficile. Son entrejambe prit le relais et la main poursuivit sa quête différemment.

Plongeant sous le drap au niveau de l'épaule féminine, Adam réchauffa sa peau, par sa main affamée. Le bras conquis, suggéré par le petit mouvement félin d'une tête gémissante, ouvrit la voie à un trésor généreux : les collines de la poitrine. Les formes laissées par le drap étaient fidèles aux nombreux souvenirs laissées les nuits et jours précédents. Tentant, mais il ne fallait pas transgresser le désir caché de la femme, aussi assoupie qu'elle était.

Notre héros continua son périple vers les hanches puis le cul généreux. La quête secondaire s'avéra payante puisque après avoir délicatement tiré le fin tissu de sa culotte, les doigts permirent à l'ensemble de l'univers féminin de se tourner vers lui, tel un temple qui s'ouvre à l'explorateur intrépide. Sourire aux lèvres, l'épée commençant à se glorifier, Adam fut rattrapé par son destin.

Le réveil de son portable sonna. Bruyamment. Le dragon de son rendez-vous terrassa tout espoir de victoire dans l'heure qui suit, voire la matinée ou la journée. Tout dépendait de l'humeur de sa girouette, enfouie sous l'énorme oreiller, mais trahi par l'épouvantable crispassion des mains le maintenant.

Adam mit rapidement en déroute l'animal mais le jeu était terminé. L'oreiller laissa émerger un visage accablé mais souriant, ses yeux le pardonnaient, il le savait.

-- Bonjour, mon chéri

-- Bonjour, ma belle

Elle tendit sa main sous les draps vers l'aine et saisit le glaive amenuisé pour le ranimer par un mouvement qu'elle seule savait maîtriser. Le résultat ne se fit pas attendre.

-- Dommage que je ne suis pas disposée pour cette semaine, mon coeur.

Pas la matinée, ni la journée, mais une semaine entière. Notre héros rédigea son épitaphe et se rappela son obligation. Il embrassa sa petite amie et se retira de sa douce main.

-- J'ai un rendez-vous dans une heure

-- Décale-le

-- Je l'ai fixé il y a 3 mois, ça ne peut pas attendre.

-- Qui fixe un rendez-vous un lundi matin dès 8h30?

-- Au moins deux personnes

Regardant fixement le chibre semi-érigé qui s'éloigna du lit conjugal, elle lui demanda :

-- Tu ne tiendras pas la matinée.

Elle se releva de sa position allongée pour se tenir sur ses coudes. Il se retourna pour lui répondre mais vit, entre-temps, le drap révéler les magnifiques jeunes seins, fermes et volumineux de sa compagne. L'étendard poussa sur le prépuce, le gland commença à éclore. Les yeux de Rébecca restaient figés sur le but de sa manoeuvre. Adam releva ses yeux vers son visage.

-- Je vais prendre une douche, dit-il

L'invitation était lancée.

Adam avança d'un pas lent vers la cabine, s'étirant les muscles. Son travail de jeune menuisier de 23 ans lui a permis de sculpter une silhouette avantageuse. Sa détermination lui a permis d'obtenir la confiance de son patron et de pouvoir gérer sa clientèle et ses projets. Tout lui souriait dans la vie et

son applomb naturel lui assura le déroulement de la prochaine heure.

Adam prépara ses affaires de toilettes, fit couler l'eau pendant une dizaine de secondes puis s'engouffra lentement en pensant à Rébecca. Son gland gonflé reçu en premier le jet d'eau. Il resta un petit moment pour apprécier l'eau chaude s'écouler le long de sa queue puis s'enrouler autour de ses boules remontées autour de sa colonne érigée, spasmant par la chaleur. Sa bite s'éleva et toucha son abdomen au-dessus du nombril, signe qu'il pouvait entrer dans la douche.

Le menuisier frotta énergiquement ses cheveux imbibés de shampoing face au robinet éteint. Il commença à se rincer abondamment, puis se retourna. Les yeux fermés, il ne pouvait pas voir Rébecca mais savait qu'elle était présente, face à lui. Le jeu avait beau être bien rodé, Adam sentait toujours la respiration rapide de sa compagne. Il écarta légérement ses jambes pour laisser définir les contour de son appareil génital excité. Le souffle féminin se rapprocha du torse d'Adam, puis son gland fut saisi délicatement par de fins doigts par le prépuce étiré avec un mouvement de bas en haut pour exciter le gland puis de haut en bas pour bien le décalotter. Les bourses soulevées par la raideur du mat procurait une sensation de lourdeur, bientôt soulagé par une autre main délicate.

L'énergie qu'Adam se donnait pour se rincer fondait à vue d'oeil à mesure que Rébecca accélérait et amplifiait ses va-et-vient. Il respirait lourdement et attendit le moment où il oublierait sa douche. La langue pointait autour de son urètre, doucement. Aucune goutte d'eau de la douche ne put dissimuler la douceur de cet impact. Les petits mouvements circulaires grandissant ont laissé place aux lèvres de feu au-dessus de la base évasée du gland. Puis la langue se logea sous le frein tendu. La main continua son va-et-vient et descendait lentement le long du chibre humide.

Rébecca fit des bruits de succion sur le gland comme ferait une fillette avide de terminer une glace fondante. Elle tourna sa bouche autour de l'imposant gland suintant de pré-sperme de façon à pouvoir le gober. Elle ne pouvait pas ouvrir davantage sa machoire et devait faire en sorte de faire le moins mal possible avec ses dents. Elle regarda Adam fixement pendant sa tâche. Il comprit qu'il fallait arrêter la douche pour qu'elle ne soit pas géner par la pluie. Bientôt, le bruit de l'eau laissa place au bruit de salive

Enfin, le gland entra entièrement dans sa bouche. Rebecca s'arrêta pour reprendre ses esprits. Elle fut récompensé par une main viril sur sa joue gonflée, le pouce caressant le bord de ses yeux humides. Elle reprit sa respiration difficile par le nez et saliva autour du dôme turgescent toujours suintant d'une quantité impressionnante de pré-sperme. Elle dégluttit souvent le mélange salive et liquide pré-séminale puis commença à pomper la majestueuse colonne de chair brûlante. Les veines se dessinaient désormais distinctement dessus, elle pouvait sentir par sa main chaque relief du tronc. Elle essayait d'enfoncer la queue plus profondemment, mais pour celà il fallait passer par les amygdales puis la gorge. Sa main serrait la grosse queue au niveau du pubis, mais ses lèvres n'arrivaient pas à l'atteindre, génées par l'énorme chair épais. Elle fora sa tête autour du gland pour s'enfoncer de quelques millimètres. Elle devait relâcher sa gorge pour accepter l'énorme intrus.

Les lois de la physique luttaient contre sa détermination, chaque fois qu'elle lui procurait une fellation.

Puis, elle détendit sa bouche mais oublia d'avaler le mélange liquide, ce qui provoqua une énorme toux bouché par l'imposante poutre. Le liquide sortit par grosse giclée à travers le moindre interstice laissé par les lèvres. Le menton gerba tout le flux baveux vers sa poitrine, la queue resta impassible. Rebecca ne put retirer sa bouche pour prendre un meilleur envol, la main d'Adam saisit l'arrière de son crâne. Il avait atteint le point d'excitation de non-retour, il prenait désormais la chose en main.

Rebecca eut à peine le temps de reprendre sa respiration par le nez, que le liquide pré-séminal envahissait sa bouche déjà bien remplie par l'imposant gland.

Adam força son propre rythme lent mais assuré. Il recula la tête de sa femme pour qu'elle puisse avaler et respirer, ses lèvres étaient collées le long de son chibre, étirés. Puis, il enfonça comme un bélier le fond de la gorge, la bite glissa très facilement entre ses lèvres, sur sa langue, entre ses amygdales endolories. Puis, il recommença avec plus d'insistance. Plusieurs fois. Plus violamment.

Et la gorge céda enfin.

La femme avait les cuisses serrées contre son pubis rasé, se tortillant comme une envie de pisser. Mais elle n'avait qu'une envie : celle qui écartelait sa petite bouche luisante. Une main sur des testicules endurcis, l'autre main retenait le pilonnage insistant d'Adam et bientôt ses dents frappaient avec douleur le bord de sa main. Elle le retira du tronc imposant par réflexe ; mais par besoin, elle le dirigea vers les lèvres de sa chatte affamée, vomissant du lubrifiant sur le carrelage de la salle de bain. Son clitoris excité était désormais trituré par une main connaisseuse. Rebecca finit par jouir. Ses yeux tournaient à l'intérieur de leur orbite, ses jambes tremblaient par l'orgasme intense qui envahissait son corps et son esprit. Elle laissa Adam terminer le travail, n'ayant pas le temps de récupérer, bavant de larges quantité de salive.

Sa machoire s'élargit, la queue gonflait, le pilonnage s'accélérait, son nez s'enfonçait dans le pubis qui puait la luxure, sa gorge se déformait par le haut. Un léger élargissement au niveau de l'oesophage trahissait la brutalité de la fellation. La bite dégoulinait de salive et de pré-sperme sur les boules scotchés à elle. Quand allait-il commencer à jouir? Se demanda Rebecca.

Adam ne pensait plus qu'à la sensation de la chaleur buccale de sa partenaire autour de son pieu rigide. Il accélérait de plus en plus ses coups de bélier. La gorge avait cédé depuis longtemps et il pouvait sentir les tissus mous au fond. Il souleva ses talons, sentant l'orgasme arrivé. Rebecca sentit le mouvement et se releva pour permettre à Adam de mieux s'introduire dans sa gorge et ainsi déverser directement sa charge dans l'oesophage.

Puis, Adam enfonça avec force une dernière fois sa grosse queue dans la gorge étroite de sa petite amie tremblante.

Adam se courba, la main crispée sur le crâne de Rebecca. Tétanisée par l'orgasme de son homme, sa main lâcha les couilles, qui barattaient avec force, et resta suspendu dans les airs. Son autre main inondée de mouille avait explosé le clitoris gonflé. Tout semblait immobile dans la salle de bain : leur position, le temps. Mais tous leurs sens étaients en alerte, en attendant le fin de l'extase, interminable. Quand allait-il terminer de jouir? Pouvait se demander Rebecca, mais elle n'en fut pas capable.

Sentir l'orgasme de son mec était sa seule priorité ; son besoin de respirer suivait. Elle pouvait sentir un ralentissement du rythme mais, comme à chaque fois, elle ne pouvait pas compter sur ce détail pour espérer sortir de l'étau.

Puis, chacun se réveilla de son orgasme. Les yeux de Rebecca revirent Adam.

Il déserra son emprise sur elle, satisfait, et commença à retirer sa queue diminuante. Elle la prend à deux mains afin de l'aider à la retirer. Puis, une fois, une fois le gland retiré, elle put tousser et reprendre sa respiration.

Adam reprit une douche en compagnie de Rebecca, en se nettoyant mutuellement. Sans un mot, elle manipula sa queue flasque en le regardant avec un sourire, puis l'embrassa.

Il se prépara à sortir, regarda sa montre. Il n'avait pas pu manger un morceau avant de partir, mais à pu nourrir sa femme pour la matinée. Il l'embrassa :

-- A ce midi, ma belle!

-- A ce midi! Dit-elle en se tâtant l'estomac, avec la pensée de devoir une nouvelle fois lui vider ses grosses couilles après le repas.

Il lui sourit puis ferma la porte derrière lui, l'esprit léger.