Aimer ou Tromper

BÊTA PUBLIQUE

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Puis, ils l'entraînent, le grand a passé son bras à sa taille, il la tient serrée contre lui. Le gros lui caresse les fesses, elle ne fait rien pour l'arrêter. Ils partent dans l'autre sens, et je les suis de loin. Il y a plein de monde sur le boulevard, des voitures garées, des arbres, ce n'est pas difficile de rester discret. Ils marchent un moment, puis ils tournent dans une ruelle.

Arrivé à l'angle, je jette un œil. La ruelle est déserte, à part les trois complices. Ils s'arrêtent, elle enlace le grand, et ils se galochent. Il ne va pas la baiser en pleine rue? Pendant ce temps, le gros s'occupe comme il peut, en lui tripotant les fesses. Il essaye de pousser son jeans dans son trou du cul avec son doigt. Ça la fait rire, elle lâche le grand, enlace le gros, et lui roule un patin monstrueux. Puis le groupe reprend sa marche.

Pas question de les suivre à découvert dans cette ruelle. Je retourne chez elle pour l'attendre. Elle rentre tard, très tard. Elle est crevée, des cernes sous les yeux, les cheveux collés. De la sueur? Ou du sperme? Elle me raconte qu'elle est malade. Elle est restée tard à la bibliothèque pour bosser, mais elle a été malade. Elle a dû manger quelque chose de pas frais au resto U. Elle a vomi, elle a mal à la tête, et au ventre. Et pas moyen de trouver une pharmacie ouverte à cette heure tardive.

Je décide de ne pas la confronter tout de suite. Elle se couche, et s'endort aussitôt. Je ne savais pas qu'elle ronflait. Le lendemain, elle reste au lit. Elle est patraque. Je vais bosser. Le soir, en rentrant, je fais un détour jusque chez moi, pour rapporter mon ordinateur portable. J'ai l'intention de copier la vidéo. Elle va mieux, mais je ne lui parle pas de ce que je sais d'elle, ni des noirs qui la baisent.

Le lendemain, je fais semblant d'aller au boulot, mais j'ai pris ma journée. Je me planque et j'attends qu'elle parte. Je remonte chez elle, je fouille partout, et je trouve d'autres DVD-R avec des dates différentes. Certaines sont récentes. Je copie tout sans regarder ce qu'il y a dedans. Et je rapporte mon ordinateur portable chez moi.

Le soir, quand elle rentre, je la confronte. Elle ne veut pas répondre. Je la menace, alors elle dit :

« Tu sais, fais gaffe, ces mecs, c'est des méchants. Si je leur dis que tu m'embêtes, ils vont te faire mal. Tu ne veux pas avoir mal, n'est pas? »

Non, bien sûr que non. Je m'écrase, et elle me fait l'amour. En écartant ses cuisses. C'est vrai qu'elle est large.

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Anonymous
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2 Commentaires
ANDRERP95ANDRERP95il y a 2 mois

Au fil de tes récits cette pauvre Bérangère en subit des choses lol!!!

Bravo

AurailiensAurailiensil y a 3 mois

Ces histoires courtes sont excellentes et bien racontées. La fin est un peu rapide mais... crédible. Bravo pour l'imagination

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