Amis Pour La Vie 02

Informations sur Récit
La suite.
4.5k mots
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1

Partie 2 de la série de 8 pièces

Actualisé 06/05/2024
Créé 05/10/2024
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Chap. II —La routine.

De retour chez nous, les choses ne se sont pas calmées et il ne se passe pas une semaine sans que je reçoive la visite des mousquetaires quand ce n'est pas moi qui me rends chez eux pour une partie de jambe en l'air. Je n'ose pas vous parler de la réputation que je suis en train de me faire dans cette petite ville de province où rien ne peut rester cacher très longtemps.

Jacques et Karim sont restés égaux à eux même, l'un va toujours aussi vite et l'autre pense surtout à me faire plaisir. Pourtant c'est avec François que je passe les meilleurs moments. Sa garçonnière regorge d'accessoires qui me font souvent mal, mais me donne un plaisir inouï. Chaque visite chez le jeune homme est synonyme d'une jouissance effrénée et totale.

Cette semaine j'ai la surprise de recevoir un cadeau de François. La boîte est un peu grande et je sais que ce n'est pas une bague ou un bracelet, c'est un collier de chien avec mon nom gravé et une laisse métallique.

Ma chatte s'est instantanément ouverte quand je me rends compte de ce que cela va signifier pour moi dorénavant. Il va certainement me faire mettre à quatre pattes et me promener dans son appartement, j'en mouille déjà comme une folle.

J'ai bien essayé d'en parler avec Pierre, mais il ne semble pas se rendre compte que je deviens de plus en plus dépendante des après-midi chez François. Dès que je dois rester trois semaines sans lui rendre visite, je suis en manque et je deviens nerveuse et irritable. Je joue parfois avec des pinces à linge quand je suis seule, mais cela ne me convient pas, il me manque la présence d'une personne qui me fait subir ce genre de choses.

À chacune de mes visites, François trouve à chaque fois une chose nouvelle à me faire subir. Maintenant, dès que je passe la porte je dois me mettre à poil et m'enfoncer un énorme plug dans l'anus puis après avoir mis le collier et la laisse je dois le retrouver au salon et me mettre à genoux à ses pieds. Là, il s'amuse parfois pendant une bonne heure avec des pinces, mais, ce ne sont plus de petites pinces en plastique, elles sont en métal et les mâchoires sont munies de dents qui s'enfoncent dans la chair tendre de mes seins et de ma chatte.

Il ne me baise plus et se contente de m'enfoncer des godes de toutes les tailles dans la chatte et dans le cul, il ne se sert que de ma bouche pour jouir. Je ne sais si Pierre serait d'accord de voir comment François me traite pour mon plus grand plaisir, mais il va bientôt le savoir puisque j'ai demandé à François de nous inviter une fois tous ensemble chez lui et de leur montrer comme je suis devenue obéissante et docile.

— Ha! Ha! Ha! Mais ma poupée, ce n'est pas de l'obéissance ce que tu fais.

là, ce sont de petits jeux SM qui te procurent du plaisir, c'est tout, mais, si tu le désires vraiment, je veux bien t'apprendre ce qu'est l'obéissance.

— Oui, apprends-moi!

François attrape la laisse et me tire vers lui pour que mon visage touche presque le sien.

— Si tu veux apprendre la soumission, je suis d'accord, mais j'exigerai que tu.

sois d'une obéissance totale. Je dois te prévenir que je me montrerai très exigeant et très sévère. Tu seras punie à la moindre désobéissance et les punitions seront parfois très dures. Tu es toujours disposée à apprendre la docilité et l'obéissance?

J'ai très peur, mais mon ventre se tord de désir en écoutant parler François, je ne sais pas ce qui m'attend, mais je sais que j'ai envie d'aller plus loin avec lui.

J'ouvre la bouche pour lui répondre, mais il me coupe la parole.

— Et Pierre dans tout cela? Tu as pensé à ton mari, à ton mariage qui risque.

de voler en éclat?

— Pourquoi mon mariage volerait-il en éclat parce que je veux m'éclater?

C'est lui qui a voulu que je couche avec ses amis.

— Si je te dresse et que cela ne lui plaît pas que feras-tu?

— Tu crois qu'il n'aimerait pas avoir une épouse docile et soumise? Tu.

n'aimerais pas ça toi?

— Moi oui, mais je ne suis pas comme ton mari, je suis un profiteur et un.

salaud

. Il y a deux filles qui travaillent pour moi et si tu continues tu seras la troisième.

— Je n'ai pas très envie de faire la pute.

— Mais ma poupée, je ne te demanderai pas ton avis, cela fera partie.

intégrante de ton éducation. Tiens, je vais même aller plus loin encore, ce sera ton test d'acceptation.

— Un test d'acceptation? je ne comprends pas ce que tu veux dire.

Il se lève et m'entraîne vers la porte d'entrée de l'appartement, je me mets à paniquer quand je le vois prendre la poignée et ouvrir la porte toute grande. Je tente de me cacher le plus possible au cas où quelqu'un serait sur le palier et

François tire sur la laisse pour m'obliger à me mettre face au palier.

— Je t'en prie, ferme cette porte quelqu'un pourrait monter et...

— Tu as déjà peur que quelqu'un te voie à poil? Mais ma poupée, c'est le lot.

des chiennes soumises d'être exhibée nue dans les lieux publics ou devant des tiers.

— D'accord, mais pas maintenant, ferme cette porte, je t'en conjure.

— Non! Tu vois la porte en face?

— Heu! Oui c'est celle du petit vicieux qui essaye de regarder sous mes.

jupes quand je monte les escaliers. Il fait semblant de rien, mais il reste derrière moi et se penche pour sois disant ramasser des papiers et il en profite pour jeter un œil.

— He bien, ce petit vicieux comme tu dis, est mon proprio et la semaine.

prochaine c'est chez lui que tu sonneras, quand il ouvrira la porte, tu lui diras « Je viens payer le loyer de François ». Ah oui, tu devras être à poil pour sonner.

— Mais, tu es fou! je ne vais pas aller chez ce type qui va certainement me.

sauter dessus.

— C'est certain qu'il va te sauter dessus, il va te baiser, t'enculer et se faire.

sucer et si tu n'es pas assez gentille avec lui, il te donnera une bonne fessée ou utilisera une cane pour te rendre docile à ses désirs.

— Non! Il n'est pas question que je fasse ce genre de chose, je ne suis pas.

une putain. Tu n'as qu'à payer ton loyer comme tout le monde avec de l'argent. Je refuse d'être à ton service pour ça.

— Mais je ne t'oblige à rien du tout, tu es totalement libre de faire ce que tu.

veux. Tu m'as demandé de t'éduquer à la soumission, c'est ce que je fais.

À partir de ce mois-ci et pour les six mois à venir, c'est toi qui payeras le loyer à ma place, le premier mercredi du mois tu te présenteras à quatorze heures, entièrement nue à la porte de mon proprio et tu lui diras la phrase magique et tu feras ce qu'il veut jusqu'à seize heures.

— Non, il n'est pas question que je fasse cette chose-là, je te le répète, je ne.

suis pas une putain.

— Comme tu voudras, mais alors, je ne veux plus jamais te vois chez moi. La.

porte de mon appartement t'est interdite tant que mon proprio ne te ramène pas chez moi avec la quittance du loyer.

— Mais...

— Il n'y a pas de mais qui compte, habille-toi et dehors, je ne veux plus te.

voir.

François ne prend pas la peine de fermer la porte de son appartement, il attrape mes vêtements et mon sac et jette le tout sur le palier. Je suis obligée de sortir nue pour me rhabiller et rentrer chez moi.

Pendant trois semaines, je résiste à l'envie de téléphoner à François pour lui demander de reprendre nos relations d'avant et quand j'ose le faire c'est pour l'entendre me dire que les choses ont définitivement changé et que j'ai de nouvelles règles à respecter. Il conclut, avant de raccrocher, que je sais comment revenir chez lui.

J'ai la laisse et le collier chez moi dans un tiroir et je les prends souvent pour les mettre en me promenant nue dans la maison, je me mettrais bien des pinces, mais je sais que cela ne me fait pas le même effet que quand c'est François qui les met et les retire. De même le port du collier et de la laisse ne provoque aucune réaction.

Cela fait maintenant un mois que je n'ai pas vu François, les trois autres me baisent régulièrement, mais je sais que cela est insuffisant, j'ai besoin des mauvaises manières de François, de son dédain et je sens que je vais craquer parce que je ne peux plus vivre sans les petits traitements qu'il me fait subir. Je n'aurais pas dû lui demander pour aller plus loin, mais je n'ai pas vraiment de regret, il y a simplement que j'ai peur de franchir un pas très important dans ma vie.

C'est décidé, je vais chez le proprio de François. Je me présente vers midi quarante et je prends mon temps pour monter les escaliers, ne fût-ce que pour me rendre compte du passage qu'il peut y avoir sur le palier de François. N'ayant vu personne, à treize heures précises, je me place devant la porte. Fébrilement, je retire la robe que j'ai mise avant de partir sans rien dessous, je mets le collier et la laisse et je pousse sur le bouton de sonnette. Mon cœur bat comme un fou tandis que j'attends qu'on vienne m'ouvrir. Je peux constater que l'homme regarde par le petit judas et je commence à trépigner, car j'entends des pas dans les escaliers. C'est avec soulagement que j'entends la poignée de la porte tourner et l'homme apparaît. Je fais mine d'avancer, mais l'homme me barre le chemin.

— Je crois que tu as quelque chose à me dire, me dit-il en souriant.

béatement.

Ses yeux sont fixés sur mes seins dont les pointes se dressent. Je panique et pendant quelques secondes j'ai oublié la phrase que je dois lui répéter. J'ai beau me creuser la cervelle, elle ne me revient pas et les pas se rapprochent de plus en plus.

— Vous savez bien pourquoi je viens, dis-je d'une voix désespérée. J'ai oublié.

ce que je dois... Non, ça me revient... Je viens payer le loyer de François.

— Tu vois quand tu fais un effort ça va tout seul me dit l'homme qui ne.

bouge toujours pas.

Je pousse un ouf de soulagement quand enfin il se retire pour me laisser passer.

Je me précipite dans l'appartement, mais l'homme attrape la laisse en m'empêche de continuer. Calmement, il passe la tête et salue un voisin qui arrive sur le palier.

— Bien le bonjour, monsieur Favuel, vous allez bien?

— Oui! Merci et vous.

— Tout va très bien, bon après midi.

— À vous aussi.

Si l'homme qui se trouve sur le palier fait un pas, il me verra et je vais certainement mourir de honte. Je ferme les yeux et attends impatiemment que le proprio de François ferme enfin cette foutue porte.

— À quatre pattes!

L'ordre claque sec et ferme. L'homme me regarde avec envie et semble se délecter à l'avance de ce qu'il va me faire subir. Moi, je me laisse tomber et me mets à quatre pattes en rougissant comme une pucelle, pourtant mon ventre est aux anges de me voir traitée comme une chienne.

Il me fait avancer dans l'appartement et nous allons au salon, sur la petite table basse une quantité impressionnante d'accessoires sexuels. Cet homme ne doit certainement rien envier à François et je me rends compte que je ne vais pas sortir indemne de cette après-midi. L'homme tire sur la laisse pour me faire mettre face à un fauteuil où il s'installe.

— À genoux, les mains derrière la nuque.

Je m'exécute en frémissant et lui présente mes seins. L'homme se pourlèche les babines et avance ses mains qu'il pose sur mes seins.

Lentement, en savourant ce moment, il me caresse la poitrine et descend vers mon ventre. Je ferme les yeux et me concentre pour ne pas lui montrer le dégoût qu'il m'inspire. D'une main l'homme continue à me palper partout et de l'autre il ouvre la braguette de son pantalon et sort sa grosse queue noueuse.

— Suce, me dit-il d'une voix tremblante.

Lentement je me penche vers le sexe bien raide et j'ouvre la bouche. Je sors la langue et commence par lécher le gland qui tressaute à chaque coup de langue puis, je le prends dans ma bouche et entame une succion qui doit lui procurer un intense plaisir, car il pousse de petits gémissements.

— Muuummm! Oui! Que tu es bonne ma petite salope! Continue oui!

Mummmm!

Ma bouche monte et descend lentement sur la tige de chair qui se cabre de plus en plus, il va bientôt jouir. J'ai à peine le temps d'y penser qu'un long jet de sperme se répand dans ma bouche et je dois faire un effort pour ne pas m'étouffer et tout avaler.

Pendant que la bite se ramollit, je continue à la sucer pour la nettoyer comme me l'a appris François. L'homme me repousse, se lève et prend la laisse pour m'emmener dans une autre pièce.

C'est une petite pièce qui pourrait servir de bureau, mais il n'y a qu'un seul meuble, une table comme dans une cuisine, mais légèrement plus basse et plus courte. À chaque pied de la table pend une petite chaînette avec un bracelet de cuir. Il me fait me coucher sur la table, les fesses justes posées sur le rebord de la table et m'attache les poignets et les chevilles aux bracelets. Un système ingénieux de petits crochets permet de tendre les chaînes et par la même occasion d'immobiliser la personne attachée sur la table.

Il sort quelques minutes et revient avec un sac de sport. Du sac, il sort un bâillon qu'il vient me mettre, je ne veux pas qu'il me bâillonne et je secoue la tête dans tous les sens en lui disant mon désaccord.

— Pas ça, je vous en prie, je ne veux pas que vous me met...

Il ne me laisse pas le temps de finir ma phrase et habilement il m'introduit une sorte de balle dans la bouche et referme une attache dans le cou. Je suis totalement à sa merci et je commence sérieusement à avoir très peur de ce qu'il va faire.

De son sac à malices, il sort deux gros élastiques noirs qui font à peine cinq centimètres de diamètre. Il en prend un et le tend fortement puis se penche sur ma poitrine et commence à faire passer mon sein droit dans l'élastique. Le salopard me fait un mal de chien parce qu'il veut, à tout prix faire passer le globe mammaire dans l'élastique, il tire de toute ses forces sur le téton et fait glisser l'élastique jusqu'au moment ou mon nichon ressemble à une grosse boule bien ronde attachée à mon torse par une petite portion de chair. J'ai beau geindre et me secouer en tout sens, rien n'y fait et ma mamelle gauche subit le même sort. Il joue un long moment avec les deux boules que sont devenus mes seins avant de retourner vers son sac et me montre trois petits tubes en verre d'un centimètre de diamètre et dix de long. Une des extrémités est évasée tandis que l'autre est munie d'un tuyau flexible d'un ou deux centimètres, terminée par une sorte de robinet.

Il pose la partie évasée sur mon sein et mon mamelon est entièrement englobé à l'intérieur du tube. L'homme accroche une pompe à vide au robinet et commence à aspirer mon téton qui s'agrandit et monte lentement dans le tube de verre.

Quand le téton arrive à la moitié du tube, l'homme ferme le robinet et entreprend de faire la même chose avec l'autre téton. Puis, il se penche entre mes cuisses et joue un moment avec mon clitoris qui ne tarde pas à se dresser fièrement, je crois avoir compris ce qu'il va faire du troisième tube et je me tords sur la table pour tenter de la dissuader. Je suis surprise de voir qu'il dépose le troisième tube sur mon ventre, à hauteur de mon nombril et commence à se déshabiller.

Ma chatte est trempée malgré moi et je regarde avec satisfaction l'homme se présenter entre mes cuisses avec sa queue en main. Il met un préservatif, ouvre ma chatte d'une main, guide son engin vers ma fente, et il commence un mouvement de va-et-vient lent et profond. C'est plus fort que moi et je me cabre pour aller à la rencontre de son sexe qui s'enfonce profondément en moi tandis qu'il joue avec mes nibards qui me font de plus en plus mal. Après une bonne dizaine de va-et-vient, il se retire, enlève la capote et se masturbe vivement pour jouir sur mon ventre.

C'est la deuxième fois que cet homme jouit en moins d'une heure et la quantité de sperme qui gicle de sa queue est assez phénoménale, à croire qu'il a fait des réserves pour ma venue.

Je suis effarée de le voir poser une main sur mon ventre et étaler le sperme sur mon corps, le ventre, les seins et mon visage sont couverts de sa semence, c'est dégoûtant.

Puis l'homme, je ne connais toujours ni son nom ni son prénom, prend le troisième tube en verre et passe un long moment entre mes cuisses, il joue avec mon clitoris. Je sens le petit bouton se faire aspirer lentement dans le tube pendant que l'homme actionne la pompe.

Ça ne fait pas vraiment mal, mais c'est une sensation étrange de sentir certaines parties de son corps étirées. Par contre ce qui me fait mal ce sont les élastiques qui enserrent ma poitrine, mes seins commencent à changer de couleur et sont en train de virer au mauve.

Quand l'homme estime que mon clitoris est assez étendu dans le tube, il détend les chaînes des chevilles et me remonte les genoux à hauteur de mes seins. Je dois lui présenter une vue absolument obscène de ma chatte et de mon cul. Il enfonce un doigt dans ma moule et le retire immédiatement pour l'introduire dans mon anus.

Lentement, il fait tourner son doigt humide de ma mouille et fait entrer un deuxième doigt, un troisième et en fin un quatrième. Je sens mes sphincters s'élargir pour laisser les doigts passer. Brusquement, il retire ses doigts et introduit un plug qui est encore plus gros que ces quatre doigts. Je sens la tige oblongue entrer et j'ai l'impression qu'elle ne finira jamais, pourtant je sens mes sphincters se relâcher et venir se placer sur un rebord qui empêche le plug de sortir.

L'homme me détache et me fait mettre à genoux, il enlève le bâillon et vient se mettre devant moi avec son sexe en érection. Machinalement j'ouvre la bouche et entreprends de le sucer.

Comme il a déjà joui deux fois, je dois m'activer un certain temps avant de sentir sa verge se cabrer dans ma bouche et un jet de sperme se répandre au fond de ma gorge. Comme j'en ai l'habitude depuis mon voyage de noces, je nettoie la bite avec ma langue.

L'homme s'habille d'un jeans et tee-shirt et accroche la laisse à mon collier. Au passage il attrape mon sac et me fait avancer à sa suite. Je suis un peu paniquée quand je le vois se diriger vers la porte d'entrée de son appartement.

Mon cœur cesse de battre quand je le vois ouvrir la porte et tirer sur la laisse.

Cette fois, je vais mourir de honte, car je le vois tourner sa tête vers la droite et saluer une personne qui semble se trouver sur le palier.

— Bonjour, monsieur Raccel, vous allez bien?

— Très bien je vous remercie et vous-même?

— Bien aussi, à tout à l'heure.

Je tente de résister à la traction de l'homme sur la laisse, je ne veux pas être exhibée dans cette situation, mais l'homme tire de plus en plus fort et je suis contrainte d'avancer. À peine suis-je sur le palier que je vois le dos d'un homme qui commence à descendre les escaliers. À moins qu'il ne se retourne, il ne peut pas me voir, je prie pour que le proprio de François n'interpelle pas son voisin. Je traverse le palier comme une zombie et en marchant comme un canard à cause du tube qui continue d'aspirer mon clitoris.

L'homme s'arrête devant la porte de François qui prend son temps pour venir ouvrir. Derrière moi j'entends les pas de l'homme s'éloigner et les battements de mon cœur reprendre un rythme normal. Il faut plus d'une minute pour que

François vienne enfin ouvrir la porte. Ses yeux s'agrandissent de stupeur quand il me voit puis, le premier moment de surprise passé, il nous fait entrer dans son appartement.

Le proprio remet la poignée de la laisse à François et se tourne vers moi, il se penche entre mes jambes et introduit un petit rouleau de plastique dans ma chatte ruisselante.

— François, je ne sais pas où tu l'as trouvée, mais garde-la bien parce que.

c'est une salope de concours. Depuis qu'elle est rentrée chez moi, elle mouille comme une fontaine et je suis sûr qu'elle a joui au moins deux fois.

— Rassure-toi, je n'ai pas l'intention de me débarrasser d'elle, au contraire,

j'ai de grands projets pour elle et de la voir comme cela me réconforte dans mes envies de lui apprendre d'autres choses encore.

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