Anecdoctes 01

Informations sur Récit
3 petits textes - 3 situations.
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Dans cette série, je vous propose une diversité d'anecdotes soigneusement tissées. Chacune offre une immersion unique dans des situations et des atmosphères distinctes.

Mon objectif est de vous offrir une expérience riche et variée, capturant différentes nuances de récits pour stimuler votre imagination et vous transporter à travers des scènes mémorables. Explorez ces instants narratifs uniques, où les émotions, les personnages et les décors se mêlent dans un éventail captivant.

Pour ce premier opus, 3 histoires :

La covoitureuse

Voyage entre deux mondes

Les masques de l'intimité

Anecdote 1 : La covoitureuse

Jean Pierre, 43 ans, la calvitie naissante, arrête sa voiture devant l'église pour prendre une covoitureuse. C'était une matinée fraîche du début des années 2000 en France. La brume matinale enveloppe la scène, donnant à l'église une aura mystérieuse. Jean Pierre attend, ignorant encore le nom de la passagère qui va bientôt rejoindre son voyage.

Mélissa arrive de l'autre côté de la place. Elle semble avoir 25-30 ans, petite, un peu ronde mais avec un très joli visage et de longs cheveux roux bouclés. Elle avance d'un pas assuré dans sa jupe volante vers la voiture de Jean Pierre. Le brouillard matinal semble se dissiper en même temps que son sourire radieux. Il la regarde, intrigué par cette inconnue au charme singulier, puis déverrouille la portière pour qu'elle monte à bord.

Mélissa glisse sa valise dans le coffre, puis monte dans la voiture. Jean Pierre rompt le silence.

- Bonjour, ravi de faire ta connaissance. Où est-ce que je te dépose?

Mélissa, avec un sourire énigmatique :

- Bonjour. Je vais dans un petit village de Normandie, un endroit très spécial pour moi. Le nom ne te dirait probablement rien. C'est sur ta route, dit-elle en ajustant sa jupe sur ses genoux.

Jean Pierre hoche la tête et démarre le moteur, s'élançant sur la route qui les mènera vers ce mystérieux village normand. Une atmosphère de curiosité emplit l'habitacle de la voiture, tandis que le voyage vers l'inconnu commence. Le quarantenaire, cherchant à engager la conversation, demande :

- As-tu déjà visité ce village en Normandie auparavant?

La rousse, tout en regardant distraitement par la fenêtre, répond d'une voix absente :

- Non, c'est la première fois. J'ai entendu parler de cet endroit par ma grand-mère. Elle avait l'habitude de m'en parler quand j'étais enfant.

Jean Pierre remarque que Mélissa semble plongée dans ses pensées, son regard perdu dans le paysage qui défile. L'homme, remarquant le malaise de la jeune femme, détourne son attention de la conversation et la regarde du coin de l'œil. Il voit qu'elle gigote dans son siège, paraissant de plus en plus mal à l'aise, en maintenant sa jupe sur ses genoux.

- Tout va bien? Tu sembles nerveuse, demande-t-il en passant sa main sur son crâne.

Mélissa, les yeux toujours perdus dans le paysage :

- Oui, désolée. C'est juste que j'ai du mal à rester immobile. J'ai cette...

La tension dans la voiture monte, et le conducteur commence à se demander s'il n'a pas embarqué dans quelque chose de bien plus étrange que prévu. Au bout d'une heure, Jean Pierre, inquiet pour Mélissa, décide de briser le silence à nouveau.

- Si tu te sens mal à l'aise, on peut s'arrêter pour prendre une pause, peut-être étirer les jambes?

Mélissa, toujours aussi nerveuse, secoue la tête :

- Non, merci, continuons. Ce n'est pas ça.

Jean Pierre acquiesce, bien que toujours préoccupé par le comportement étrange de sa jeune passagère. Il trace la route, gardant un œil sur elle, se demandant ce qui la tourmente. L'homme, en observant Mélissa se dandiner sur le siège, commence à s'inquiéter sérieusement. Il se demande ce qui peut bien causer ce comportement étrange. Sa curiosité est piquée, et il échafaude des théories dans sa tête. Est-ce le stress du voyage? Ou y a-t-il quelque chose de plus profondément troublant à l'œuvre ici?

- Excuse-moi d'insister, finit par s'emporter le conducteur, mais tu me rends nerveux là!

Mélissa fixe l'homme un moment avec dans l'œil un je ne sais quoi de pudeur, de naïveté et de tension. Sa poitrine se soulève quand elle inspire d'un coup. Ses lèvres charnues s'ouvrent pour parler mais aucun son ne sort.

- Tu peux parler sans problème.

La rousse rougit et se tourne vers Jean Pierre qui fixe la route. La route départementale est longée de peupliers.

- J'ai besoin de faire quelque chose, déclare enfin Mélissa. Je ne peux pas m'en empêcher.

L'homme lui jette un regard curieux. Sans en dire plus long, la jeune femme se rassoit face à la route et replace la ceinture de sécurité entre les deux seins. N'ayant cure de la présence masculine à quelques centimètres d'elle, la rousse retrousse sa jupe sur son ventre un peu rond.

Jean Pierre n'en revient pas et n'ose rien dire. Ses yeux basculent de la circulation aux cuisses nues de la jeune femme. Melissa gémit d'aise lorsqu'elle touche son sexe à travers sa culotte blanche. À travers le coton, son index et son majeur appuient de concert sur le clitoris.

Rien n'avait préparé le père de famille habitué à covoiturer sur ce trajet à laisser une jeune femme se branler à côté lui. Il n'en revient pas. Il remarque qu'elle écarte plus largement ses cuisses pour faciliter sa masturbation. Il fait chaud dans l'habitacle du véhicule. C'est maintenant avec trois doigts que la rousse se branle.

Le conducteur ne sait pas s'il doit arrêter sa voiture. Il est saisi par la situation ubuesque. Il entend les légers feulements de Mélissa qui semble appuyer de plus en plus fort sur sa vulve.

Les gémissements de plus en plus fort de Mélissa remplissent la voiture, et Jean Pierre a de plus en plus de difficulté à se concentrer sur la route. Les caresses semblent l'ensorceler, et il sent un frisson de malaise parcourir son échine. Il jette des coups d'œil inquiets à Mélissa, essayant de comprendre ce qui se passe, mais il se sent de plus en plus captivé par le plaisir envoûtant qui monte de cette passagère énigmatique.

La voiture file sur la route de campagne, s'éloignant peu à peu de l'agitation de la ville. De chaque côté, des champs verdoyants s'étendent à perte de vue, baignés par la lumière douce du matin. Les arbres, vêtus de couleurs automnales, bordent la route, laissant tomber leurs feuilles dorées sur le chemin. L'air frais et pur de la campagne pénètre par la fenêtre entrouverte, apportant avec lui le parfum de la terre fraîchement labourée. Le voyage se poursuit, mais le paysage, bien que pittoresque, est devenu étrangement secondaire. La route s'étire comme un ruban infini à travers les collines et les vallées, tandis que le chant mystique de Mélissa persiste, enveloppant l'habitacle de la voiture d'une aura de mystère et de fascination.

La voiture ralentie.

- Ne vous arrêtez pas, s'il vous plaît.

Alors, Jean Pierre profite de cette secondaire déserte pour rouler très lentement et observer sa passagère. C'est à ce moment que Mélissa jouit. Un orgasme sonore qui fait trembler la jeune femme. Les yeux fermés, elle continue pourtant son office et baisse sa culotte. Le quarantenaire aurait dû la gronder comme il le fait avec ses enfants quand ils mettent leurs pieds sur la banquette arrière.

Mais l'homme bande dur dans son pantalon et la suite du spectacle ne le calme pas. Des doigts de la main gauche de Mélissa s'enfoncent dans le sexe trempée pendant que de sa main droite, elle continue à frotter son clitoris. Ce dernier, Jean Pierre le distingue bien. Sorti de son capuchon, le bouton est long et tout rouge. Du bout de son index, la rousse le tapotte pendant que sa main gauche fourrage sa moule dans un bruit de clapotis humide.

Les gémissements se muent en plaintes. Les plaintes en cris. Les cris en hurlement que l'habitacle du véhicule en marche ne contient pas. Les vaches dans les prés regardent la voiture passer. Mélissa pleure de plaisir et Jean Pierre prend peur de la violence de l'orgasme.

Au bout de quelques minutes, Mélissa remonte sa culotte blanche puis sa jupe. Elle se tourne vers son covoitureur :

- On est bientôt arrivé?

Anecdote 2 : Voyage Entre Deux Mondes

Sous la pluie battante, Yanis, homme robuste à la barbe trempée, avance avec une détermination perceptible. Ses vêtements, désormais de haillons, ne masquent pas la force qui émane de sa carrure. À ses côtés, Kenzo, plus maigre, arbore des cheveux sales et un visage fatigué, révélant les stigmates d'un voyage difficile. Les traits tirés de fatigue s'inscrivent sur son visage, témoignant des épreuves endurées au fil des heures de marche sous cette pluie implacable.

Le paysage, délavé par l'averse, se découpe dans des teintes de gris. Les champs dénudés s'étendent à perte de vue, leur verdure estompée par les rideaux de pluie. Les arbres dénudés se courbent sous le poids de l'eau, offrant un abri précaire contre les éléments déchaînés. Les sentiers boueux se transforment en rivières temporaires, trahissant la futilité de toute tentative de rester au sec. Le bruit régulier des pas des pèlerins se mêle au murmure de la pluie, créant une symphonie mélancolique qui enveloppe le paysage désolé. Dans cette toile d'eau et de boue, les deux hommes avancent, portant sur leurs épaules non seulement le poids de leurs corps trempés mais aussi celui des histoires gravées sur leur visage et de l'incertitude qui pèse sur leur destination.

Épuisés par des heures de marche sous la pluie battante, Yanis et Kenzo parviennent enfin aux portes d'un couvent. Leurs silhouettes dégoulinantes se dressent devant l'entrée, cherchant refuge dans cet abri providentiel. Yanis, avec sa barbe détrempée, et Kenzo, aux cheveux sales, frappent à la porte, luttant contre l'essoufflement et la fatigue qui les assaillent. Les portes massives du couvent grincent lentement, révélant l'intérieur accueillant. Deux nonnes se tiennent là. Sœur Agnès, d'un visage autoritaire, scrute les pèlerins d'un regard scrutateur, tandis que Sœur Marie, plus douce, affiche une compassion empreinte de sollicitude. Les deux hommes, trempés jusqu'aux os, implorent silencieusement un refuge dans ce lieu de paix, ignorant encore les épreuves qui les attendent au-delà de ces portes bienveillantes.

Sœur Agnès et Sœur Marie revêtent des habits de nonnes avec simplicité. Leurs robes longues en laine sombre tombent en plis gracieux, enveloppant leur silhouette avec modestie et respect. Les tuniques sont ornées d'une fine bordure blanche, symbolisant la pureté et la spiritualité de leur engagement. Sœur Agnès, de petite taille et un peu corpulente, porte sa capuche sur le dos de sa tête, dévoilant son visage sévère. Ses mains, souvent occupées par les rituels et les tâches quotidiennes du couvent, portent les stigmates du travail dévoué. Sœur Marie, plus mince et aux yeux bleus bienveillants, laisse sa capuche partiellement abaissée, encadrant son visage d'une aura douce. Sa démarche délicate contraste avec la fermeté de Sœur Agnès, révélant une dualité harmonieuse au sein de leur partenariat spirituel. Les deux moniales portent également un voile blanc qui encadre leur visage, symbolisant leur consécration à la vie religieuse.

Les deux nonnes ouvrent les portes du couvent, révélant un intérieur chaleureux.

- Entrez, mes enfants, déclare Sœur Marie d'une voix apaisante, invitant Yanis et Kenzo à franchir le seuil du refuge.

Sœur Agnès, malgré son air autoritaire, propose :

- Vous devez être gelés. Suivez-nous, nous allons vous offrir une douche et des vêtements secs.

Les deux pèlerins, reconnaissants pour cette offre inattendue, suivent les nonnes à l'intérieur du couvent, ignorant encore que cette étape apparente vers la chaleur et le confort sera le prélude à des événements inattendus.

Sœur Marie guide Yanis et Kenzo à travers les couloirs du couvent jusqu'aux douches. Kenzo a remarqué la profondeur du regard azur de la nonne. Dans ce sanctuaire d'hygiène, elle les laisse seuls pour qu'ils puissent retrouver un semblant de confort. Les deux hommes, reconnaissants pour cette pause inattendue, se dévêtent et se glissent sous les jets d'eau bienfaisants.

Les murs de pierre qui entourent l'espace de douche sont imprégnés d'une humidité persistante, créant une atmosphère sombre et moite. À une légère élévation, une pierre manque, cependant, cette imperfection demeure subtile, difficile à discerner au premier regard. Des yeux féminins épient les corps des hommes qui sont nus. Les torses sont poilus et les muscles saillants.

La chaleur de l'eau, une caresse apaisante sur leur peau trempée, dissipe la froideur accumulée au cours de leur pénible marche. Les gouttes d'eau dévalent leur corps épuisé, emportant avec elles les traces de la pluie persistante. Les espionnes gloussent silencieusement en remarquant les verges qui émergent de la pilosité sombre qui recouvre les testicules. Yanis et Kenzo, momentanément suspendus dans cette parenthèse de bien-être, ressentent le soulagement que procure la chaleur après avoir enduré les caprices du temps. Les deux hommes savourent l'instant de répit offert par l'eau bienfaisante, ignorant encore les mystères qui planent au-dessus de leurs têtes dans ce couvent en apparence paisible.

Après leur douche régénératrice, Yanis et Kenzo rejoignent les religieuses dans une salle chaleureuse où un repas modeste les attend sur d'immenses tables de chêne. Les pèlerins, revêtus de vêtements secs fournis par les nonnes, s'installent autour de la table. Sœur Agnès, toujours empreinte d'autorité, s'assure que chacun est confortable.

- Bienheureux soient les voyageurs qui trouvent refuge en notre humble demeure, déclare-t-elle, invoquant une bénédiction silencieuse sur le repas qui s'annonce.

La jolie Sœur Marie, de son côté, offre des sourires apaisants et distribue des assiettes remplies de mets simples mais nourrissants. Une jeune fille entre dans l'immense réfectoire. Lucie, la novice du couvent, revêt une robe de noviciat en laine légère, d'un blanc éclatant, soulignant sa nouveauté dans la vie monastique. Les deux hommes ont levé leur regard sur le visage candide de la novice.

- Lucie vient d'arriver dans notre congrégation, explique Soeur Agnès qui a décelé l'admiration des deux pèlerins. Elle a 19 ans depuis une semaine. Il lui reste encore quelques épreuves pour faire son vœu de religieuse.

Son voile finement plissé encadre son visage avec grâce. Les arômes réconfortants du repas emplissent la salle, créant une atmosphère de convivialité dans ce lieu de recueillement. Yanis et Kenzo, reconnaissants pour cette hospitalité inattendue, partagent ce repas en silence, se laissant emporter par la gratitude qui enveloppe ce moment de réconfort au sein du couvent. Alors qu'ils boivent une tisane que la jeune Lucie a posé sur la table, leurs regards se troublent.

***

Allongés sur des lits dénudés, Yanis et Kenzo se retrouvent subitement attachés chacun dans une petite cellule. La froideur des chaînes contraste violemment avec la chaleur du repas partagé quelques instants auparavant. Les cellules évoquent une austérité inquiétante, avec des murs nus portant les stigmates du temps et des prières murmurées dans l'ombre. Les lits rigides, drapés de lin fané, semblent être des refuges austères où la pénitence se marie à l'obscurité. Des questions et des inquiétudes s'insinuent dans les esprits des pèlerins, mais aucune réponse ne leur est offerte.

Dans cette cellule chargée de tension, Sœur Agnès et Sœur Marie, leurs visages jadis empreints de compassion, dévoilent une détermination obscure. À leurs côtés, la novice Lucie, les yeux emplis d'une curiosité mêlée d'appréhension, se prépare à prendre part à un rituel dont la nature lui reste soigneusement dissimulée. La première pièce vibre d'une énergie étrange alors que les nonnes s'affairent à des préparatifs mystérieux. Des objets rituels sont disposés avec précision, créant une atmosphère où le sacré et l'inquiétant s'entremêlent. La lumière vacillante des bougies jette des ombres dansantes sur les murs dénudés, accentuant la montée de tension qui enveloppe la cellule.

Yanis, attaché, observe avec anxiété les préparatifs, ignorants des desseins mystérieux qui le lie désormais à ce rituel énigmatique. La novice Lucie, elle aussi, semble partagée entre l'excitation de participer à ce rite particulier et l'inquiétude face à l'inconnu qui se profile.

Soudain, les deux religieuses dévoilent leur tête et leur longue chevelure cascade sur leurs épaules. Puis, leur robe tombe sur le sol en pierre. Le solide Yanis demeure incrédule devant ce spectacle qui semble défier toute logique. Lucie observe les deux soeurs encore dans une longue chemise de lin blanc. La finesse du tissu éclairé par les bougies dévoile des corps de femme très différents. Soeur

Agnès semble pourvue d'une opulente poitrine aux larges aréoles qui tombe sur un ventre replet. Plus fine, la taille de soeur Marie souligne des hanches toniques et des seins petits et pointus. Yanis n'en revient pas quand elles soulèvent leur chemise blanche. Il découvre des corps de femmes nus. Lucie observe en silence au fond de la cellule en mur de pierre.

Sous la lueur vacillante des bougies, Sœur Agnès, Sœur Marie, entament un rituel mystérieux. Des chants liturgiques emplissent l'espace, créant une atmosphère oppressante tandis que les moniales récitent des prières anciennes, mêlant la force du sacré à l'inquiétante étrangeté du rituel. La plus vieille chevauche l'homme et place sa vulve sur le visage du prisonnier. Tout en chantant et en se pinçant les tétons, Soeur Agnès débute une danse sur la barbe et la bouche de Yanis. Les lèvres de la femme s'humidifient et se frottent avec lenteur.

Plus bas, la gracieuse installe un anneau de métal autour de la base des bourses. Lucie regarde attentivement l'opération. Sa supérieure tourne une molette qui ressert l'appareil autour de la base des parties génitales de l'homme. La jeune novice observe la bourse gonfler et la verge se redresser.

Les gestes des deux femmes s'accordent dans une danse mystique, accentuant le caractère solennel de la cérémonie. Les yeux fixés sur Yanis, qui demeure attaché sur le lit, les nonnes semblent déterminées à conjurer quelque chose d'invisible qui plane dans l'air saturé de mystère. Lucie, empreinte de naïveté et de candeur, découvre avec des yeux écarquillés le rituel mystérieux qui se déroule dans la cellule du couvent. Sa foi sincère se mêle à une curiosité innocente, créant une excitation palpable face à cette épreuve inattendue. Les traditions du couvent, jusqu'alors teintées de simplicité, prennent soudain une dimension excitante aux contours à la fois effrayants et fascinants pour la jeune novice, qui voit dans cette épreuve une étape cruciale vers son cheminement pour devenir religieuse.

La jolie bouche de Soeur Marie s'ouvre devant le gland du prisonnier. Elle tire la langue pour goûter au sexe. Yanis est toujours tétanisé. Il ne comprend pas la situation mais il sent sa queue s'exciter sous la caresse humide. La religieuse baisse sa tête et avale la tige qui se raidit. Ses lèvres font un anneau autour de la chair. La novice qui observe la scène, découvre des sensations dans son propre corps qu'elle ne soupçonne pas. Sa petite poitrine se durcit et son ventre papillonne.

- Lèche-moi! Homme, commande Soeur Agnès qui chevauche toujours le prisonnier qui respire difficilement à cause de la vulve plaquée sur son visage.

Comme le trentenaire tarde à s'exécuter, la religieuse pince violemment le téton du prisonnier et le tord méchamment. Le cri de Yanis est étouffé par les lèvres trempées de la nonne. Il tire la langue et commence à découvrir les replis vaginaux qui dégoulinent dans sa bouche maintenant ouverte. La vieille acariâtre est ravie et gémit en prenant ses énormes seins. Elle continue à psalmodier des prières inconnues.

La jeune Lucie a plaqué ses mains sur le bas de sa robe de novice. Elle réprime un besoin impérieux de se toucher. Ses seins en cône frottent contre le tissu rêche et agacent ses sens. Son sexe se ramollit et l'humidité l'envahit. L'encens qui a envahi la cellule la grise.

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