Ange & Nat 10

EN ROUTE VERS LA SOUFFRANCE

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- j'ai envie de te faire plaisir et je te propose un petit séjour en Normandie. Qu'est ce que tu en dis? -

- d'accord, cela nous changera de la ville, quels habits je dois prendre -

- ce que tu veux mais ils ne te serviront pas beaucoup -

- on ne va pas passer nos journées et nos nuits au lit -

- non! ce n'est pas en restant au lit que le séjour sera agréable -

- alors tu veux que je me promène nue dans les rues -

Elle rit de sa blague.

- si ce n'était pas indécent je te le demanderais et je marcherais à distance pour admirer ton corps et voir la réaction des gens -

- Mon chéri tu es un gros vicieux avec des pensées lubriques -

- tu verras, je ne sais pas si tu vas adorer mais je te promets de grosses surprises -

- j'ai hâte de découvrir ce que tu m'as réservé -

Grégory pense intérieurement que si elle savait ce qui l'attend elle se sauverait en courant.

Natacha remplit un sac y entassant pratiquement toutes les affaires qu'elle a amené chez son amant.

Ils prennent la route dans la Mercédès de Grégory. Le midi ils s'arrêtent dans un restaurant, l'homme lui fait boire un apéritif et du vin voulant lui faire encore plaisir avant de lui imposer une période de souffrance.

L'homme se montre toujours aussi charmant et prévenant pour sa conquête.

La voiture circule maintenant sur des petites routes désertes dans la campagne Normande ce qui étonne Natacha, son amant la rassure lui disant qu'ils vont passer la nuit dans une vieille fermette qu'il a gagnée aux cartes et qu'ils repartiront le lendemain matin.

Ils empruntent un chemin en mauvais état et au bout d'un moment ils arrivent devant une vieille bâtisse normande en bon état dont le terrain est entouré d'arbres et de broussailles.

Grégory stoppe à côté d'un puits.

- viens -

Il ouvre la porte de l'habitation à l'aide d'une grosse clé.

A l'intérieur les meubles sont très anciens.

La fille voit notamment un gros buffet, une grande table et des bancs, un poële massif en fonte.

- viens dans la chambre -

Natacha voit une imposante armoire qui va bien avec les lieux, une commode assortie sur laquelle trône une cuvette et un broc émaillés.

Le lit est fait du même bois et comporte les mêmes motifs que l'armoire.

Après avoir enlevé le couvre lit et mis un drap sur le matelas Grégory commence à se déshabiller.

- j'ai besoin de me détendre et je pense qu'en te faisant l'amour ça va m'y aider -

- je te le confirme, surtout quand je t'aurais bien vidé les bourses bien que l'endroit ne m'inspire pas -

- salope -

- mon chéri c'est toi qui m'a rendu comme ça et tu n'es pas mieux -

Nus ils s'allongent sur le lit, s'embrassent et se caressent, les mains de l'homme se promènent partout sur le corps de la fille qui en fait autant sur le corps de son amant.

Elle prend l'initiative et se met tête bêche au dessus de son homme qui se retrouve lenez contre le sexe de son amante, elle lèche et embrasse longuement la queue qui est bien dressée avant de la prendre dans sa bouche pendant que la langue de l'homme fouille ses parties intimes et agace le clitoris.

Concentrée sur le plaisir qu'elle veut donner, bien qu'elle adore ce que Grégory lui fait, elle fait aller et venir rapidement ses lèvres sur le pénis tout en malaxant les testicules.

Comme elle l'espérait elle ne suce pas très longtemps avant de sentir le corps de son amant se raidir puis la verge qui grossit encore tressauter dans sa bouche et y déverser des jets de sperme, bien éduquée elle avale consciencieusement le liquide et continue la fellation jusqu'à ce que Grégory tente de la repousser et de se dégager de sous son corps.

Il n'a pas le temps de reprendre l'avantage car elle poursuit ce qu'elle a entreprit, à savoir vider au maximum les bourses de son homme.

Natacha se positionne sur lui son sexe contre le pénis qu'elle enfonce en s'aidant d'une main dans sa grotte puis elle fait bouger son corps, lui ne peut que caresser ou pétrir les seins et énerver les mamelons avec ses doigts.

Pendant un bon moment elle fait aller et venir la queue dans sa chatte en faisant varier la cadence de ses coups de reins avant de décider de changer d'orifice.

Elle se soulève un peu laissant le pénis sortir de sa chatte et le positionne contre son anus, elle laisse descendre son corps et le membre s'enfonce dans son cul, sans préparation elle ressent une légère douleur et une fois que la verge a bien pénétré dans son corps elle reste un petit moment sans bouger avant de commencer à la faire aller et venir doucement en elle.

Son amant n'a toujours que sa poitrine à portée de main, il approche une main de son clitoris mais elle le repousse, il n'insiste pas.

Elle n'a pas besoin de donner des coups de reins bien longtemps car le pénis étant bien enserré dans le fourreau que représente le fondement de la fille Grégory arrive rapidement au plaisir et ne cherche pas à se retenir, il jouit dans le cul de sa maîtresse qui continue à bouger pour qu'il se vide bien.

Elle garde l'initiative, après avoir laissé sortir la queue de son anus, elle se déplace et se met à genoux entre les jambes de l'homme.

C'est avec ses mains qu'elle s'occupe de la verge gluante de sperme, elle caresse et masturbe en alternance voulant remettre en forme la queue qui a tendance à perdre du volume.

Elle s'active pendant un petit moment avant d'être satisfaite de son travail, elle lèche le membre avant d'entreprendre une nouvelle fellation faisant aller et venir rapidement ses lèvres tout en essayant de faire bouger en même temps sa langue.

Il a compris qu'elle veut assumer seule, il la laisse faire satisfait de voir qu'il l'a bien éduquée et qu'elle a assez de caractère pour mener les ébats lors de relations intimes.

Après avoir bien sucé la verge elle se retrouve de nouveau à califourchon an dessus de son amant al queue dans sa chatte, elle fit bouger son corps avec des mouvements rapides et au bout d'un moment la plaisir monte dans son ventre, ne voulant pas montre de signes de faiblesse elle se soulève et fait passer le pénis de sa chatte à son cul.

Elle se sodomise à grands et rapides coups de reins ne voulant pas s'éterniser et surtout voulant éviter de jouir mais il lui faut œuvrer pendant un bon moment avant de sentir la queue s'agiter dans son cul et s'y soulager de sa semence.

Natacha laisse sortir de son anus la verge qui rétrécit rapidement, s'allonge à côté de Grégory et embrasse son visage et ses lèvres.

- mon chéri tu as aimé, tu es content de ta petite pute -

- mon amour tu as été super -

- tu vois que j'ai bien retenu tes leçons et que tu en profite maintenant -

- tu as raison, je viens de le constater -

- je t'avais dit que j'allais te vider les bourses et je n'ai qu'une parole -

- tu est faite pour l'amour et tomber sur une femme comme toi quoi demander de mieux -

Ils restent allongés côte à côte, elle la tête posée sur le torse de son amant et lui un bras autour de son cou, puis Grégory se lève.

- mon amour suis moi dans la pièce d'à côté -

Natacha se saisit de ses vêtements.

- laisse ça, tu n'en a pas besoin pour le moment, je n'en ai pas fini avec toi -

Ils pénètrent dans une petite chambre où il y a une commode et un lit fait de barreaux métalliques sur lequel seul un matelas est posé.

- prends une alaise dans la commode -

La fille obéit.

- ça -

- oui! aide moi à la mettre en place sur le matelas -

Une fois l'alaise en place son amant lui demande de s'allonger, ce qu'elle fait sans discuter pensant qu'il va encore lui faire l'amour.

Il fouille dans le tiroir bas de la commode et en sort des lanières munies de bracelets en cuir.

- tu veux m'attacher, pourquoi? -

- ton éducation commence, cela ne va pas être facile pour toi, tu vas même souffrir et te rebeller, attachée tu me poseras moins de problèmes -

- tu me fais peur -

Il se penche sur elle qui git nue sur le lit et l'embrasse passionnément.

Il lui demande d'écarter les bras et les jambes, il fixe les bracelets sur ses quatre membres puis attache les lanières aux barreaux du lit.

- tu abuse, je ne peux presque plus bouger -

Se penchant au dessus d'elle il caresse longuement ses seins puis son ventre et enfin son sexe. Il assène plusieurs claques sur la chatte ce qui fait sursauter et crier la fille à cause de la douleur.

- tu es fou, ça fait très mal -

- je sais mais après cela va te donner des envies, maintenant tu vas être bien sage -

- je ne comprends pas -

- tu es ici pour un bon moment, le temps que je te conditionne pour les aléas du métier que tu as déjà commencé et que tu vas exercer longtemps -

- je sais, j'ai compris depuis un moment que tu vas me mettre définitivement sur le trottoir -

- c'est de ta faute, tu as montré de telles dispositions pour ce métier et tu m'as beaucoup encouragé à te diriger vers cette voie -

- je t'ai toujours dit que je n'étais pas contre, détache moi -

- que je t'aime n'empêche pas de vouloir de toi une complète obéissance -

- je t'aime aussi et tu peux me demander beaucoup de choses -

- je sais mais pas tout ce que j'attends de toi, cela passe par une mise en condition car il y a des situations que tu ne pourras pas maîtriser sans préparation mentale -

La fille prise de panique le supplie de la détacher mais il reste inflexible.

- ma chérie je t'aime mais comme pour tout ce qui s'est passé jusqu'à maintenant il faut que tu me fasse confiance -

- moi aussi je t'adore mais là je me demande si c'est de l'amour ce que tu me fais subir -

- c'est une préparation mentale et tu verras plus tard que tu en avais besoin -

- tu paraîs bien sur de toi mais je ne comprends pas -

- d'ici quelques jours tu n'auras plus la notion du temps, ensuite nous passerons à une autre phase de dressage -

- tu n'y arriveras peut être pas si je résiste -

- ne te fais pas d'illusions, cela prendra le temps qu'il faut mais je vais te conditionner afin que tu supporte certaines choses et des situations qui vont inévitablement t'arriver -

- je ne vois pas comment tu vas y parvenir -

- ça se fera naturellement tu finiras par m'obéir aveuglément -

- je croyais que tu m'aimais -

- oui je t'aime mais je veux que tu m'obéisse au doigt et à l'œil -

- moi aussi je t'aime, pourquoi fais tu ça -

- pour te préparer à ta future vie -

- quelle vie? celle de prostituée, je l'ai déjà acceptée -

- chaque chose en son temps, ton dressage va durer le temps nécessaire. Tu finiras par vraiment te faire à l'idée que le tapin c'est bien ton destin et surtout tu devras accepter et endurer ce qui t'arrivera dans certaines situations car ce ne sera pas toujours un long fleuve tranquille -

- je ferais tout ce que tu veux mais détache moi, j'ai peur -

- ouvre bien ta bouche -

Quand Natacha s'aperçoit qu'il veut enfoncer sa culotte dans sa bouche elle serre les dents.

Il doit l'étrangler pour qu'en manque d'air elle l'ouvre en grand.

- chérie ne résiste pas, laisse toi aller, je ne veux pas te faire de mal -

La culotte roulée en boule s'enfonce dans la cavité buccale réduisant Natacha au silence.

- calme toi, cela ne fait que commencer et il faut que tu te fasse une raison et que tu accepte d'évoluer mentalement -

Grégory caresse le corps de la fille sui pleure et s'agite beaucoup.

Avant de quitter la chambre l'homme manipule des interrupteurs.

La pièce est envahie par une forte lumière crue accompagnée d'une musique forte et criarde.

Il veut la priver de sommeil.

Le calvaire de la fille se poursuit jour et nuit pendant une semaine.

Pas de nourriture, juste un peu d'eau de temps en temps.

Les seuls moments où elle quitte le lit c'est pour faire ses besoins.

Elle a vite compris que toute rébellion était inutile.

Pendant la deuxième semaine le bourreau innove.

Le matin c'est sport et pendant les séances l'homme tient une cravache à la main mais ne s'en sert que rarement car la fille se donne à fond jusqu'à n'en plus pouvoir, elle finit toujours en sueur et épuisée.

Chaque jour c'est jogging dans les chemins environnant et dans la cour de la propriété puis c'est ramper dans l'herbe et se déplacer à quatre pattes sans plier les genoux comme un chien.

Comme il la trouve trop rapidement conciliante, pour corser les exercices, il l'affuble d'un sac à dos lesté pesant une dizaine de kilos.

Elle a du mal pendant les séances dites d'entretien musculaire avec tractions les mains accrochées à une barre fixée assez haut mais aussi les pompes et la sollicitation des abdominaux couchée sur le dos les jambes levées.

Pour la rendre endurante à la souffrance elle doit s'allonger sur le ventre dans l'herbe, il met ses genoux sur son dos et lui tord un bras jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus supporter la douleur, ensuite il s'en prend à l'autre bras qu'à son tour il tord.