Ange & Nat 32

LES EPREUVES 2

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Après avoir fait jouir un premier client Angelina se déplace entre les véhicules garés sur le parking aguichant avec ses sourires les hommes qui la regardent se déhancher.

Un autre automobiliste l'interpelle, elle discute avec lui puis il sort de son véhicule et verrouille les portes.

Le couple se dirige vers les toilettes situées à proximité et en ressortent un peu plus tard en parlant, Grégory en conclut que la fille s'est fait prendre en levrette.

Elle se dirige vers un poids lourd et monte sur le marche pied pour pouvoir plus facilement parler avec le routier, elle fait le tour du tracteur du semi remorque, une portière s'ouvre et avec des difficultés elle grimpe dans la cabine.

Son homme ne peut pas voir si elle fait une pipe ou se fait sauter, c'est seulement sur la route du retour qu'elle lui dira qu'il s'est allongé sur la banquette et qu'elle s'est mise sur lui et a enfoncé la queue dans sa chatte avant de donner des coups de reins pour faire aller et venir le membre en elle jusqu'à ce qu'il éjacule.

La fille tout en souriant parle beaucoup avec les hommes qui l'interpellent et continue à soulager ceux qui en ont envie et sont d'accord pour payer ce qu'elle demande.

Grégory se demande comment les gens sont prévenus mais de plus en plus de voitures et camions viennent stationner sur le parking.

Il décide que ça suffit et qu'il a vu de quoi son amante était capable, comme elle regarde de temps en temps dans sa direction il lui fait signe de revenir.

C'est ce qu'elle fait mais au lieu de monter dans la voiture elle se penche à la portière côté conducteur.

- tu as vu mon chéri, j'ai du succès -

- c'est bon, tu peux arrêter -

- non chéri je veux continuer et il me reste des préservatifs, s'il te plait laisse moi retourner tapiner -

- d'accord! mais la prochaine fois que je t'appelle tu reviens et on s'en va -

Sans attendre elle retourne travailler déambulant au milieu des voitures et poids lourds, certains conducteurs sont sortis de leurs véhicules.

Grégory constate que si parfois elle grimpe dans la cabine d'un camion ou accompagne un client dans les toilettes, le plus souvent ce sont des pipes qu'elle fait.

Le temps passe et l'homme est énervé à force de rester là à ne rien faire.

La fille lui fait signe en lui montrant deux doigts d'une de ses mains.

Il comprend qu'il doit encore patienter.

Si elle fais jouir rapidement un automobiliste elle monte ensuite dans la cabine d'un poids lourd et y reste longtemps ce qui agace et inquiète Grégory.

Il sort de son véhicule et se dirige vers le camion, les rideaux sont tirés il ne peut donc rien voir mais comme la vitre côté chauffeur est ouverte il entend des voix ce qui le rassure un peu.

Il retourne s'assoir dans sa Mercédès il n'en peut plus.

Il soupire quand enfin elle revient vers lui le sourire aux lèvres.

Elle s'installe sur le siège passager.

- j'ai bien travaillé, j'espère que tu es content de moi mon chéri -

- tu es restée bien longtemps dans le camion -

- le routier voulait faire l'amour et pas simplement une passe, je lui ai fait une pipe puis il s'est mis sur moi, je lui ai fait une nouvelle pipe et il m'a prise en levrette. Il a éjaculé trois fois -

- pour le prix d'une passe il n'a pas eu à se plaindre -

- tu n'y es pas mon chéri, je ne suis pas si bête que ça, il m'a payé le prix d'une pipe plus celui de deux pénétrations -

- tu m'épate, tu es un amour -

Il démarre et prend la route du retour vers l'hôtel.

La fille est enthousiaste et n'arrête pas de raconter ses exploits, elle compte ce qu'elle a gagné.

- tu as vu, c'est une belle somme -

- oui! tu commence bien ta nouvelle carrière -

- dis le que je suis devenue officiellement une putain ou plutôt une prostituée, tu peux employer le mot que tu veux, venant de toi cela ne me gêne pas -

- aujourd'hui tu as fait ce qu'il fallait pour qu'on puisse t'appeler comme ça -

Le lendemain matin au petit déjeuner Grégory informe sa maîtresse qu'on vient la chercher à 9 heures et qu'elle sera absente pendant deux jours.

Elle doit se rendre sur un parking situé pas loin de l'hôtel et attendre.

Arrivée sur place, vêtue d'une jupe courte blanche et d'un maillot de même couleur elle attend dans une partie du parking vide de voitures.

Une gosse Mercédès arrive, trois hommes d'une cinquantaine d'année en descendent et s'approchent d'elle.

- c'est toi la putain que Greg nous envoie -

- oui monsieur -

- viens à l'arrière de la voiture et déshabille toi -

- ici? devant les passants? -

- oui! cela te pose un problème -

- non! cela ne me dérange pas

- ouvre bien la bouche -

Un homme y enfonce la culotte de la fille après qu'elle ait retiré ses vêtements, un autre ouvre le coffre.

Il en sort des cordelettes et ils la saucissonnent puis la font entrer dans le coffre et finissent d'entraver les chevilles et lui bandent les yeux.

Ses habits sont jetés sur elle.

- c'est bon, on va pouvoir y aller -

- oui! elle va se tenir tranquille -

Il referme le coffre, le véhicule démarre, pendant que ballottée à cause des cahots, des virages et de la conduite un peu brutale elle se demande ce qu'elle est venue faire dans cette galère.

Le trajet lui parait interminable.

La voiture s'arrête, le coffre s'ouvre, des mains la saisissent et la transportent sans qu'elle ne touche terre.

Elle entend des grincements, certainement des portes qu'on ouvre.

On la jette plus qu'on ne la dépose sur le sol et elle est libérée de ses liens, de son bandeau et de la culotte qu'ils avaient enfoncé dans sa bouche.

Ce que les hommes lui font ce n'est pas mieux pour elle. Elle se retrouve le cou et les poignets enserrés dans des colliers et bracelets métalliques solidaires de chaînes scellées dans un mur à l'autre extrémité.

Elle regarde autour d'elle et voit qu'elle se trouve dans un cachot dont le sol est en terre sur lequel de la paille est étalée, avec trois murs de pierres sales et pleins de toiles d'araignées et une grille avec portes en barreaux métalliques.

Pendant les heures qui suivent c'est un défilé de visiteurs et visiteuses qui la regardent comme une bête curieuse et rient en blaguant entre eux.

Deux hommes ouvrent la porte du cachot, la libèrent de ses chaînes et lui demandent d'enfiler un genre de chemise longue ou robe en tissu écru en laissant ouvert le devant qu'elle renonce donc à boutonner.

Après avoir mis à ses chevilles et ses poignets des bracelets métalliques reliés à des chaînes pas très longues pour limiter l'amplitude de ses gestes elle est extraite de sa geôle.

Ils l'emmènent la faisant traverser des couloirs, elle ressent le froid du carrelage sous ses pieds, ils arrivent dans une grande salle.

Des hommes sont assis autour d'une grande table. Ils boivent, parlent fort et rient.

Angelina passe de l'un à l'autre s'asseyant sur les genoux ou se mettant à califourchon face à eux, ils passent les mains dans son vêtement et pétrissent ses seins ou martyrisent les tétons, sa chemise est retroussée et son sexe peloté.

Certains participants tenant le verre l'obligent à boire de la boisson alcoolisée en renversant une partie sur elle.

Des servantes commencent à amener des plats et à servir, Angelina qui continue à passer des genoux d'un homme à ceux d'un autre mange ce qu'ils fourrent dans sa bouche avec leurs doigts.

Puis vient le moment où après qu'un premier convive lui ait demander de passer sous la table elle doit satisfaire les envies des participants.

Elle doit mettre les queues à l'air puis soit se mettre à genoux sous la table faire des fellations et recracher le sperme sur le sol et ensuite quand ils en ont assez c'est assis sur les hommes qu'elle enfonce les verges dans sa chatte et fait bouger son corps pour faire aller et venir les membres dans sa vulve jusqu'à l'éjaculation.

Pour varier elle se retrouve de temps en temps prise en levrette couchée à plat ventre sur la table après que des hommes aient repoussé les s=assiettes, couverts et verres.

En servant les plats et les boissons les serveuses la regardent faire ou subir sans que leur visage n'exprime quelque chose, elles sont certainement habituées à ce genre de spectacle.

Débarrassée de la chemise elle est allongée sur la table, de la boisson est versée sur son corps, les hommes aspirent et lèchent.

Angelina masturbe puis suce la queue de quelques convives qui ensuite la prennent dans des positions diverses et la défoncent longtemps avant de se soulager dans son vagin.

Les envies des convives sont calmées elle est ramenée dans le cachot et enchaînée.

Le lendemain matin plusieurs hommes se succèdent dans la geôle et lui demande une fellation ou la prennent en levrette.

En début d'après-midi deux hommes amènent Angelina à l'extérieur après lui avoir mis les chaînes qui lui permettent de marcher à petits pas, il s'arrêtent près de plusieurs chevaux dont la longe est attachée à des anneaux scellés dans le mur.

Trois hommes qui attendaient se joignent à eux.

Débarrassée des chaînes ses poignets sont liés ensemble avec une corde dont l'extrémité est attachée à la selle d'un cheval.

Pendant qu'elle doit suivre l'animal dont elle est solidaire les autres cavaliers l'escortent, l'allure change passant du pas cela au petit trot puis s'accélère encore, Angelina doit courir de plus en plus vite jusqu'à ne plus pouvoir suivre et chuter.

Elle est traînée sur le sol avant que celui qui est sur le cheval ne le stoppe.

De nouveau debout le manège recommence et après être tombée plusieurs fois ses tortionnaires passent à un autre divertissement.

Elle est couchée sur un cheval qui n'a pas de selle et se retrouve sur le dos arquée avec les chevilles et les poignets reliés par des cordes qui passent sous le ventre de l'animal.

On la promène comme ça, les secousses pendant le galop lui amènent des douleurs dans le dos puis elle glisse et se retrouve sous le ventre du cheval, le cavalier qui monté sur un autre animal tient la longe ne ralentit pas l'allure la laissant dans cette position qui amuse beaucoup les hommes.

Les cavaliers mettent pied à terre et attachent la longe des chevaux à des troncs d'arbres puis Angelina est allongée dans l'herbe les poignets toujours entravés, ils se défoulent sur elle.

Elle ne fait pas d'efforts pendant que des queues vont et viennent forçant sa bouche sans ménagement et lui défonçant la chatte.

Elle ne peut pas éviter les haut-le cœur à chaque fois que le sperme coule dans sa gorge et elle a à peine le temps de tourner la tête et de cracher dans l'herbe que sa bouche est de nouveau investie.

La semence coule entre ses fesses et sur ses joues pendant que les verges se succèdent dans ses orifices.

Leurs envies satisfaites les hommes la remettent sur le cheval mais entravée et couchée sur le ventre cette fois, pendant qu'ils prennent le chemin du retour le sperme s'échappe du vagin de la fille, coule entre ses cuisses et sur ses jambes.

Elle se retrouve de nouveau assise sur la paille et enchaînée dans la geôle.

Le soir c'est uniquement le propriétaire des lieux qui la sollicite pour une fellation et une pénétration.

Elle passe la nuit sur la paille enchaînée puis le lendemain matin elle a droit à un petit déjeuner correct et peut se laver ce qui n'est pas un luxe.

Nue elle est bâillonnée, aveuglée et saucissonnée, portée par deux hommes elle est enfermée dans un coffre de voiture puis retour là où on l'avait prise.

Les deux hommes la sortent du coffre et la libèrent et referment le coffre après lui avoir mis dans les mains ses habits.

La voiture disparait avant qu'elle n'ait commencé à remettre ses vêtements, ce qu'elle fait le plus vite possible sous le regards de quelques passants puis elle retourne à l'hôtel.

Grégory parle à Angelina de son prochain test.

- tu vas être utilisé par un couple pendant trente six heures -

- comme bonne à tout faire -

- non! je ne pense pas mais ils ont dit que c'est quelque chose de très spécial qui t'attend -

En voiture, le matin de bonne heure, il l'amène devant une propriété entourée de grands murs en pierres.

Après être descendue de la voiture la fille fait tinter, en tirant sur uen chaînette, la cloche qu'elle trouve à côté d'une porte pleine en bois, une femme qui porte une tenue de cavalière ouvre.

- bonjour madame je m'appelle Angelina et je suis la putain qui sera à votre service pendant trente six heures -

- entre et attends là -

- bien madame -

- André c'est la catin que tu as louée -

- j'arrive, qu'elle se mette à poil -

Angelina obéit immédiatement puis un homme qui tient un collier pour chien dans une main homme arrive.

- à partir de maintenant tu es "une chienne" et tu vas te comporter comme telle -

- bien monsieur -

- pas monsieur c'est "maître". Mets toi à quatre pattes sans plier les genoux, tu ne dois plus parler, si tu veux t'exprimer tu aboie -

Le collier autour du cou elle doit le suivre dans un petit enclos proche, il attache une chaîne assez longue au collier.

- là c'est ta niche, tu ne te mettras jamais debout, tu ne mangeras pas avec tes mains, pour tes besoins il y a un trou là-bas. Il faut que tu sache que tu es filmée en permanence et qu'au moindre écart tu seras battue -

- bien maître -

- tu ne parle pas sinon je te mets une muselière -

Angelina qui a du mal à réaliser ce qui lui arrive se demande si elle n'est pas tombée chez des fous.