Angèle - Chapitre 04

Informations sur Récit
Fin des aventures avec ma marraine toujours vierge à 55 ans.
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Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 04/26/2020
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MisterBeet
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20h00

J'ai passé un sweat et remis un pantalon de survêtement pour aller chez Angèle... ce sera plus simple à enlever. Je gare ma voiture 2 rues plus loin et le cœur battant comme pour un premier rendez-vous, je marche d'un pas rapide jusqu'à la maison qu'elle et ses parents habitent tout au fond d'une longue impasse sinueuse aux limites de la ville... je n'en vois pas la fin, plus je marche plus j'ai l'impression de m'enfoncer dans la campagne profonde. Les rares maisons que je croise sont entourées de vastes parcelles boisées... cette route n'a même jamais été goudronnée mais c'est l'endroit idéal pour se sentir chez-soi, sans voisinage direct, loin de la pollution et du bruit... au détour d'un énième virage, j'aperçois enfin les grands murs blancs se dévoiler et je souris en accélérant la cadence sur les derniers mètres... bien à l'abri des regards extérieurs, la maison se dresse au milieu d'un jardin d'arbres fruitiers cerné de haies et de vignes sauvages... je pousse doucement le lourd portail en fer forgé tout en scrutant nerveusement les fenêtres en façade... ma marraine m'a juré que tout serait calme mais je préfère m'en assurer par moi-même. Je descends rapidement l'allée menant au garage resté ouvert en prévision de ma visite... j'ai l'impression d'être un cambrioleur!

J'entre et longe la vieille Ford bleu nuit de mon oncle. Le cœur à 120 Bpm, j'emprunte l'escalier en bois au fond à droite qui mène à l'étage... le bois grince tellement sous mes pas que je m'arrête net après 2 marches et n'ose plus bouger... une fois que mon cœur la met en sourdine, je réalise qu'il y a bien plus bruyant que moi : la télé dans le salon dont le son est à fond. Aucun risque pour moi d'être repéré! J'arrive au rez-de-chaussée après quelques marches, je jette un coup d'œil sur ma gauche, là où se trouve le salon et la télé qui m'explose les tympans... les 2 anciens s'éclatent devant leur série préférée, j'ai le champ libre! Je crève d'envie de leur crier que je viens baiser leur fille, ma cousine et marraine, celle qu'ils croient vieille fille et religieuse mais qui s'est dépucelée à coups de godes pendant des années juste au-dessus de leurs têtes et vient de passer son après-midi à me sucer! Je sens le sang affluer dans mon bas-ventre et ma verge grossir sous mon survêtement... j'oblique à droite vers la cuisine à côté de laquelle démarre l'escalier qui mène au paradis, la chambre d'Angèle...

Je n'avais jamais exploré l'étage de cette maison mais ma marraine m'a tellement bien décrit les lieux que je m'y oriente les yeux fermés... juste là sur ma gauche, derrière cette première porte, il y a la chambre que sa sœur Catherine occupe chaque été quand elle leur rend visite... elle vit et travaille en Italie depuis des années, elle s'y est mariée, y a divorcée et y élève seule sa fille... elle si libre et si forte dans sa tête, elle qui dominait les hommes dans sa jeunesse a fini par trouver plus manipulateur qu'elle. Quand elle s'est mariée, ma tante (sa mère) claironnait partout que son gendre était ce qui se faisait de mieux, que Cathy épousait un type bourré de fric, un noble issu d'une des plus vieilles familles de Toscane, un très bel homme à la culture livresque et grand propriétaire terrien en plus d'être châtelain... l'homme idéal pour la fille d'ouvriers qu'était Cathy, un parti inespéré! Mais quand vint la séparation et l'heure des règlements de comptes, ce moment où les apparences s'écroulent pour laisser place à la réalité crue, à la vérité nue que rien ni personne ne peut plus embellir ni travestir, il apparut que le châtelain n'avait aucune noblesse, aucune lignée antique, pas une goutte de sang bleu dans les veines et pas le moindre bien, non hélas! Aucun château et pas un hectare de terre arable, tout au plus ce petit jardinet d'1 petit mètre carré qu'il entretenait avec soin sur une portion dédiée de son petit balcon, dans son petit studio...

Je n'ai jamais compris comment Cathy avait pu se laisser embobiner par ce type. Il se prénommait Salvio. Elle l'aimait à la folie mais son mariage sonna le début de sa descente aux enfers, car dès leur union consacrée, le bellâtre révéla sa vraie nature d'alcoolique et de joueur invétéré criblé de dettes, dettes qu'il entendait bien éponger grâce aux quelques sous que la douce et dévouée Cathy gagnait difficilement en travaillant comme guide touristique la moitié de l'année... oui, elle devait l'aimer plus que tout et plus qu'elle-même pour que ce con réussisse à la soumettre, elle qui avait soumis tant d'hommes avant lui... elle qui avait toujours eu le dernier mot quand il s'agissait de sexe, elle avait tout abandonné entre les mains de ce Salvio, elle lui obéissait en toute chose et trouvait toujours 100 bonnes raisons pour excuser ses vices... il pouvait faire d'elle ce qu'il voulait, elle pardonnait toujours!

Il ne s'en priva pas d'ailleurs... 2 semaines à peine après leur mariage, l'autre exigea d'elle le sacrifice ultime, le don de sa personne, de son corps... mais à un autre! Ce jour là il était tombé à ses genoux, pleurant dans ses jupes qu'elle seule pouvait le sauver de cet abominable abysse dans lequel il avait sombré au risque d'y laisser sa peau... oui, il n'était pas cet être merveilleux qu'elle chérissait tant mais avait quelques vices, comme tout un chacun. Oh il jura que depuis qu'ils vivaient ensemble il avait tout arrêté mais il avait des dettes anciennes qu'il devait absolument régler sous huitaine, « - Faute de quoi... Couic! », mimait-il le pouce tendu sur son cou, comme un couteau qui lui tranchait la gorge... il avoua le montant de ses dettes et Cathy faillit s'évanouir... ils n'avaient pas cet argent, elle le savait bien, mais les 2 créanciers étaient par chance de bons amis prêts à accepter une autre forme de dédommagement...

« - Mais quelle autre solution pourrait les satisfaire? (Demanda Cathy d'une voix tremblante)

- Oh surtout ne te fâche pas mon amour et sauve-moi je t'en supplie! Mes 2 amis ont vu ta photo dans mon portefeuille... je suis tellement fier de toi mon amour... je te montre ta photo à tout le monde partout où je vais! Et tous me disent que j'ai épousé la plus belle femme du monde! Si seulement ils pouvaient voir ton cœur dans cette photo, ils tomberaient à genoux comme je tombe à tes pieds aujourd'hui! Oh Bella sposa mia... (ma belle épouse) madonna mia! (ma Madonne) Salva me! (Sauve moi)

- Parlami tesoro! (Parle-moi, trésor) Je ferai tout pour toi! Je donnerais ma vie pour toi, tu le sais bien!

- Mes 2 amis accepteraient d'effacer ma dette si tu acceptais de passer un moment avec eux, Catherine... tu ne risquerais rien, tu n'aurais même pas à sortir, ils viendraient chez-nous pour ça... comme ça je serais près de toi... »

Encore quelques larmes habillées de belles paroles et Cathy fut convaincue ; oui, elle sauvera son mari. A quoi bon s'unir pour le meilleur et pour le pire si dès la première épreuve elle renonçait à cette promesse dont Dieu avait été le témoin? Ce n'était pas comme se prostituer, au contraire puisque c'est elle qui payerait d'une certaine façon... elle n'avait qu'à ouvrir ses cuisses 2 fois et la vie de l'homme qu'elle aimait à en crever serait sauve... il ne jouerait plus jamais après ça, il l'avait juré! Et puis tout se ferait dans la plus grande discrétion puisque ces amis bienveillants viendraient se faire rembourser à l'abri des murs chauds de leur appartement... personne n'en saurait jamais rien, cela resterait leur secret à Salvio et à elle...

Elle pleura un peu avec lui en le prenant dans ses bras puis l'embrassa pour essuyer ses larmes, ses yeux, ses joues, sa bouche... elle sourit puis reprit sa bouche... leur baiser se fit torride puis volcanique... il avait glissé une main sous le chemisier de Cathy pour caresser ses petits seins fermes... elle lui rendait la pareille en massant vigoureusement la bosse qui se formait sous la braguette de son pantalon... Zip! La braguette était baissée et sa main longue et fine s'y engouffrait pour aller saisir sous le slip la verge épaisse de son mari... elle le faisait bien bander! Elle savait y faire et connaissait ses faiblesses... très vite elle se frottait à lui en descendant vers son bas-ventre... avant même d'être à genoux, Cathy refermait sa bouche énorme et ses lèvres pulpeuses sur le sexe de son homme qui grossissait encore tandis qu'elle l'enroulait avec sa langue pour le sucer goulûment... oui, elle sentait bien que son sacrifice renforcerait leur couple car elle lui offrait la plus belle preuve d'amour, elle lui prouvait une nouvelle fois qu'elle lui appartenait, corps et âme! Il avait eu son corps, son cœur? À présent il posséderait son âme aussi. Sentant la grosse veine battre sous sa langue et prête à gicler son sperme au fond de sa gorge, elle vint à 4 pattes devant lui, les reins bien cambrés et les fesses tendues... sans attendre il se colla à elle et la pénétra sauvagement. Cathy aimait vraiment la sodomie, et son homme avait un sexe si épais qu'elle croyait défaillir chaque fois qu'il s'enfonçait dans son anus pourtant bien élargi déjà par de multiples pénétrations.

« - Oh comme je t'aime! » soupirait Cathy... après tout, coucher avec un homme ou deux ne représentait pas un sacrifice aussi énorme pour elle qui aimait le sexe. Il faudra qu'elle raconte tout ça à sa sœur! Il faudra qu'elle lui dise combien elle avait changé et n'était plus cette jeune écervelée insouciante et nymphomane entre les cuisses de laquelle tous les jeunes de la ville étaient passés! Elle aimait toujours autant sentir le membre dur d'un homme écarter les chairs de son vagin et remplir son ventre mais c'était le membre d'un seul homme désormais, son homme! Elle avait enfin compris ce qu'Angela désespérait de lui faire comprendre, elle avait mûri... oui, il faudra qu'elle écrive tout ça à sa sœur aînée, à cette godiche de 30 ans toujours vierge qui lui faisait tant la morale mais n'avait jamais eu le moindre orgasme!

Je souriais... cette histoire me revenait en tête tandis que je passais devant la porte de la chambre de Cathy... oui, elle avait tout raconté à sa vieille fille de sœur et sa sœur me l'avait raconté à son tour un peu plus tôt dans la journée... bien calé au fond de mon canapé, je la regardais cette sœur dont tous ignoraient le vice et qui se tenait présentement agenouillée entre mes cuisses, ses gros seins lourds ballotant doucement au rythme de sa bouche gourmande qui suçait goulûment ma verge bien dure en égrenant ce souvenir de jeunesse...

Le premier ami que Cathy devait rembourser se présenta le soir même pour dîner. Salvio n'avait pas perdu de temps pour l'informer de la décision de sa belle... l'ami en fut d'ailleurs tellement satisfait qu'il se présenta avec 2 bonnes bouteilles de vin que son débiteur et lui avalèrent gaiement pendant que Cathy faisait le service... elle avait mis une jupe courte à la demande de son mari et un soutien-gorge pigeonnant qui doublait largement le volume de ses seins sous son pull fin. L'invité appréciait vraiment le galbe de son corps parfait chaque fois qu'elle se tenait debout près de lui. Chaque fois il glissait sa main sous sa jupe et remontait le long de ses cuisses fines jusqu'à sa culotte. Il la sentait frémir... alors il la fixait en salivant, caressait un peu ses superbes fesses rondes avant d'y planter ses gros doigts pour malaxer ce cul ferme... il massait sa queue sous la table en narguant Salvio puis revenait devant pour fouiller le vagin de Cathy sans ménagement...

« - Je peux? (Demanda l'ami bien qu'il se passait allègrement de la permission du mari)

- Je t'en prie!

- Elle a l'air d'aimer ça, hein? (Ricanait-il en levant les yeux vers Cathy) Elle a une bonne petite chatte en tout cas! (On voyait sa main remuer sous la jupe et Cathy contracter son ventre et gigoter un peu quand l'autre lui enfonçait profondément 2 doigts) Oui elle aime ça... (Grognait-il avec mépris tout en poursuivant ses va-et-vient dans la vulve humide) Toutes des putes vraiment! Quel cul elle a en tout cas! Hahaha!

- Elle s'entretient, tu sais! (Cathy rougissait et baissait la tête) Tu veux que ma femme se rase la chatte pour toi?

- Non, non, c'est très bien comme ça... »

Cathy les écoutait parler d'elle comme si elle n'était plus rien ni personne... les larmes montaient dans ses yeux... elle avait dit oui et ne pouvait plus reculer... elle aimait bien le sexe mais là elle ne contrôlait rien, elle ne s'était jamais sentie aussi vulnérable, aussi humiliée, comme si on lui pissait dessus, comme si on lui crachait au visage... l'autre sentait bien sa docilité contrainte et se défoulait en lui fourrant sa fente poisseuse... c'était si nouveau pour elle... elle subissait tout mais y prenait du plaisir... sa tête disait non et son corps criait oui! Sa tête disait-elle vraiment non?

Elle devait prendre appui sur le dossier de la chaise de l'ami tellement il la fouillait brutalement...

« - Sers-nous les pâtes, ma chérie! (Lança Salvio un peu gêné par les larmes de sa femme, histoire d'abréger un tant soit peu ses souffrances)

- Rien de tel qu'une bonne assiette de pâtes faites maison avec une super bolognaise avant de faire l'amour! (Riait l'ami)

- Léger comme tout! Et après ça on est quitte, c'est bien d'accord?

- Tu ne me devras plus rien une fois que je me serai bien vidé les couilles dans la chatte de ta femme! Parole d'homme!

- Bene... (« -Bien » Concluait Salvio tandis que Cathy posait sur la table l'imposant plat de pâtes fraîches) »

L'autre en profita pour lui pincer le bout des seins sous son pull et malaxer encore un peu ses fesses qu'il aurait volontiers sodomisées immédiatement, là, sur la table, et surtout sous le nez de ce crétin qui se croyait être son ami alors que tout le monde le considérait comme un minable et ne l'approchait que pour mieux le dépouiller aux tables clandestines de Poker qui pullulaient en ville. Il garda Cathy près de lui, la maintenant fermement par la taille jusqu'à la fin du repas...

« - Lève ta jupe et retire ta culotte maintenant! »

Cathy regarda Salvio lui signifier son accord en hochant simplement de la tête sans oser lever les yeux vers elle... en épouse obéissante elle s'exécuta puis revint se coller à l'invité en maintenant sa jupe relevée d'une main... elle pensait que Salvio était plus fort que ça... lui qui l'avait domptée si facilement se comportait comme un mouton devant son ami... ou peut-être aurait-il préféré ne pas être là et laisser Cathy se débrouiller seule... « - Ah pas question mon coco! » songeait-elle... cela serait trop facile! Elle voulait être sûre qu'il ne recommencerait pas à jouer alors il devait avoir un bout de croix à porter lui aussi! Alors pour bien lui faire sentir le poids de son sacrifice, Cathy décida de l'humilier un peu à son tour et de prendre du plaisir aux caresses de leur invité qui entre 2 fourchettes de pâtes se tournait vers son ventre et donnait un grand coup de langue tout le long de sa fente avant de s'y enfoncer pour la lécher profondément... l'autre ne prenait même pas la peine de s'essuyer la bouche avant, si bien qu'elle avait le sexe maculé de sauce tomate et le vagin aussi! Rapidement, Cathy oublia que cette relation était contre sa volonté et continua d'y prendre du plaisir chaque fois que la langue épaisse remuait dans son ventre... l'autre ne manqua pas de le remarquer.

« - Ta femme mouille comme une chienne, mon ami! Tu ne lui donnes pas ce qu'elle aime ou quoi? Toutes des putes je te dis! Allez! Il est temps de conclure notre marché! »

Salvio accompagna son ami jusqu'à la chambre... il allait en ressortir et fermer la porte derrière lui quand à sa plus grande surprise Cathy exigea qu'il reste. Elle prétexta la gêne de se retrouver seule avec celui qui restait un inconnu pour elle... encore une fois, elle voulait partager le poids de son sacrifice. Elle voulait que son mari en soit le témoin, qu'il n'en perde pas une miette et n'oublie jamais ce qu'il en coûta de rembourser chaque centime de ses dettes. L'ami ne s'y opposa pas, bien au contraire! Cathy prit place sur le lit et Salvio juste à côté, sur une vieille malle en fer qu'il avait volé au magasin militaire du temps de son service et qui lui servait à ranger quelques vêtements à présent... à peine Cathy fut-elle allongée que l'ami s'approcha du lit tout en déballant son pénis... quand il fut à hauteur de son visage, il lui enfonça son sexe dans la bouche... il s'était mis côté malle, là où Salvio se tenait assis en baissant la tête piteusement...

« - Regarde bien! (Grogna l'ami rouge de plaisir) Tu vois je suis un mec réglo! Je te prouve que je reçois bien mon paiement! »

Salvio continua de fixer le sol mais percevait inévitablement les mouvements de va-et-vient de cette queue dans la bouche généreuse de sa femme. La prochaine fois il s'arrangera pour ne pas être là. Même s'il n'avait eu aucun scrupule à proposer sa femme en échange de sa dette, il bouillonnait de jalousie! Surtout qu'elle y mettait du cœur et suçait son ami en déployant tous ses talents... l'autre avait pas mal bu mais bandait sans problème car la bouche de Cathy était vraiment inégalable! Salvio serrait les poings et détournait le regard... mais rien ne pouvait l'empêcher d'entendre les bruits de succion qui emplissaient la pièce...

« - Dio com'è buono questo pompino! ("Bon dieu quelle bonne pipe") Ta femme est la meilleure suceuse de toute la ville, je te jure! Vas-y! Oui comme ça! Si vous avez des problèmes d'argent, je veux bien passer plusieurs fois dans la semaine mon ami! Tu demanderais combien pour que ta femme me pompe ça quand je veux? Bon sang quelle bouche ma salope! (Et se tournant vers Salvio) C'est juste une façon de parler, tu sais bien... ta femme te rend un service incroyable!

- Oui, j'en suis conscient...

- Et pour le tarif alors?

- Je... je ne sais pas... il faudrait que j'en parle avec elle...

- Evidemment... on en reparlera plus tard! Pour l'instant elle a la bouche pleine de toute façon! Hahahaha! »

Il laboura ses lèvres pulpeuses quelques minutes de plus puis vint s'allonger sur elle... Cathy saisit la main de Salvio et la serra fort tandis que l'autre la besognait sans retenue en couinant comme un goret qu'il lui tardait de regagner au jeu contre Salvio!

Le mari indélicat resta pitoyablement courbé sur sa chaise tout le long, louchant du coin de l'oeil sur cette queue qui limait furieusement le vagin de sa femme qui y prenait de plus en plus de plaisir. Encore quelques allers-retours puis Cathy du se mettre à 4 pattes et sentir d'un coup ce gourdin de chair s'enfoncer dans son anus et la sodomiser vigoureusement jusqu'à l'éjaculation libératrice au plus profond de ses intestins.

Le deuxième ami ne fut pas plus délicat et effaça à son tour la dette de Salvio... le bénéfice de ces 2 passes fut vite englouti dans d'autres parties de cartes et de nouvelles dettes toujours plus importantes... et à nouveau il pria Cathy de faire 2 passes de plus, puis 3, puis 4... puis après les bons amis il la supplia d'accepter les hommages des voisins, et après les voisins, les amis des voisins... puis les amis des amis, les amis des amis des amis des voisins... et la pauvre Cathy n'eut d'autre choix que de se déclarer putain officiellement, avec carte et tout et tout, dossier en Préfecture l'autorisant à vendre son cul en toute légalité, après avis favorable du corps médical puis tampon et signature de la Police etc. ... et puis quand naquit leur fille Enza, c'est le bel hidalgo qui prit la poudre d'escampette avec une autre, plus jeune, plus fraîche mais toute aussi crédule et ravie à l'idée de devenir l'épouse d'un illustre et riche Toscan, blablabla...

Je passe la chambre de Cathy et mes pensées s'effacent... je marche jusqu'à la dernière porte tout au fond du couloir, c'est là qu'est mon but, ma seule destination... je repense aux mots d'Angèle, à son corps, à ses formes, à ses seins, je sens encore la pression de ses lèvres quand elles ont goûté mon membre pour la première fois... je sais qu'elle m'attend derrière cette porte, allongée nue sur son lit, les cuisses écartées avec une main en conque sur son mont de vénus et un doigt, 2 peut-être, dans sa fente humide... je bande... j'abaisse la poignée et pousse doucement sa porte... la pièce est dans une semi obscurité, les volets sont clos et une lampe de chevet est allumée près de son lit King size qui occupe à lui seul tout le fond de la pièce... Angèle attire immédiatement mon regard dès que je referme la porte. Elle fait glisser jusqu'à ses pieds le drap qui la couvre pour me dévoiler le gode de bonne taille qu'elle fait aller et venir dans sa chatte et non pas ses doigts comme j'imaginais juste avant d'entrer...

MisterBeet
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