Ashram Shambala 02

Informations sur Récit
Épisode 2 : Découverte de la vie de l'Ashram.
11.1k mots
3.91
13k
0

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/19/2014
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Une sonnerie de type clairon me réveille en sursaut. Je rêvais à des choses fort agréables, je faisais à Ramona ce que j'ai fait la veille au soir à la blondinette offerte par mon mentor.

J'ai l'impression que nous sommes au beau milieu de la nuit, je ne sais plus où je suis. La mémoire me revient bientôt en regardant autour de moi. J'ai un mal fou à émerger complètement, mais la sonnerie ne cesse pas, je n'ai pas d'autre choix. Il faut dire que j'ai eu du mal à m'endormir, entre effroi et excitation à l'idée de ce qu'il pouvait se passer aujourd'hui, et surtout habité par la douleur et le désespoir que m'inflige ma passion inassouvie pour Ramona.

De la tristesse m'envahit, je réalise que j'espérais tout de même que Ramona me rejoigne dans ce lit à un moment de la nuit. J'ai mal de constater que je suis seul dans cette chambre, et ce malgré tous les kilomètres que je viens de faire et tout l'argent que je viens de dépenser. J'ai fait un grand voyage pour la retrouver et elle n'a daigné m'accorder que quelques minutes.

Je finis par me lever et me jette sur la porte des toilettes que je n'ai du coup pas encore visitées depuis mon arrivée. J'ai très envie de soulager ma vessie. Il faut dire qu'Oleg, mon mentor, m'a servi hier soir, au moment de me raccompagner dans ma chambre, deux éléphantesques tasses de tisane acidulée.

J'entre dans la pièce de toilettes et je suis sidéré de voir qu'une femme est assise sur le siège. Immédiatement, avant même d'avoir bien regardé, je referme la porte vivement en bredouillant des excuses en anglais. Dès que j'ai détecté une présence en ce lieu de commodités, j'ai eu le réflexe de tourner la tête et, comme si ce n'était pas suffisant, j'ai même porté la main devant mes yeux.

La politesse et la gêne m'ont dicté instinctivement ma conduite. Toutefois, une fois que je me retrouve devant la porte fermée, je me mets à évaluer la situation. Je suis seul dans ma chambre, une chambre une-place, et ce sont des toilettes privatives. Et la femme que je viens de trouver sur le trône ne s'est pas plainte de mon intrusion. Elle n'a pas crié, n'a pas articulé un son, comme si me voir débarquer était tout à fait normal...

Je me persuade aisément que cette femme qui est dans mes WC ne peut être qu'une femme à mon service, une femme qui va avec la chambre. Ne pouvant réprimer une certaine prudence, je frappe quand même à la porte avant de m'introduire à nouveau dans le cabinet de toilettes. Pas de réponse. J'attends un peu plus d'une minute, puis j'ouvre en me disant qu'il serait étonnant que mon hôte soit muette ou aveugle, et qu'il doit donc s'agir d'une esclave n'osant pas élever la voix.

L'idée qu'une esclave soit ainsi à ma disposition m'excite soudain vivement, je me débarrasse de mon caleçon en pénétrant dans la salle de bains. L'érection du réveil a rapidement repris forme. Aller ainsi au devant d'une inconnue matérialise de façon inespérée un fantasme agréable.

Je regarde cette fois pleinement le spectacle qui s'offre dans les toilettes de ma chambre. Oui, il y a bien une femme, toute nue, assise sur la cuvette des WC. Une petite brune, probablement trentenaire, avec des seins en poire plutôt moyens aux tétons bien roses, presque rouges. Je m'approche en profitant bien du spectacle. Je bouge de façon à faire ballotter mes parties génitales dans l'air, je fais danser ma bite érigée devant son regard un peu éteint, résigné.

Je ne comprends vraiment la scène que quand j'arrive tout près, il faut dire que je suis myope et que je n'ai pas chaussé mes lunettes. La fille est en fait pas seulement assise sur la cuvette des toilettes, elle y est encastrée. On ne voit pas ses jambes. Celles-ci sont prises dans l'installation, emmurées.

Elle est coincée depuis le haut des cuisses, je n'en reviens pas de ce spectacle. Ses jambes pliées en position assise, et ne pouvant sans doute pas se mouvoir, elle est là à ma merci.

Un petit écriteau est accroché à son cou par une fine chaîne. Il pend entre ses seins. Dessus il est écrit « My body is a toilet. My tongue is toilet paper » (« Mon corps est une chiotte. Ma langue est le papier-toilette »).

Lire cette phrase me fait trembler d'excitation. Je suis éberlué qu'Ashram Shambala ait des procédés aussi pervers. Ici donc, les hommes se vident toujours la vessie sur des filles.

Je regarde de près l'installation et me penche sur son bas-ventre. Sa foufoune est rigoureusement épilée. Ses grandes lèvres sont très discrètes. Son cul donne sur une vraie cuvette de toilettes remplie d'eau à la normale. Un de ses pieds sort de l'installation, il pend dans le vide, offert, sûrement pour les fétichistes des pieds. Ce qui emprisonne ses jambes semble être moulé sur elle, quand on s'approche de là d'où sort son peton, on voit que la cheville est fermement immobilisée. Idem pour les cuisses.

En entrant dans la pièce, j'avais pensé la faire sucer et je me voyais déjà lui éjaculer à la figure. Maintenant, je me dis que je devrais effectivement juste l'utiliser comme toilettes, et ne rien faire d'autre d'elle. Après tout, c'est son seul rôle ici... Et puis, elle n'est pas si belle que ça et j'aurai sans doute de meilleures occasions de me vider les couilles dans la journée. Il ne faudrait pas gaspiller son jus de couilles si vite. Celle-ci n'aura donc de ma fontaine de chair que du jus de vessie.

Je suis heureux de me dire que je garde de la sauce pour servir le cocktail à des femmes plus belles. Leur servir le cock-tail... ou bien leur assaisonner la tronche.

Je n'en reviens pas de la situation et de la condition de femme-WC de cette poule. Je ne peux m'empêcher, en la regardant, de ricaner grassement. Je me positionne un peu sur le côté et lui tends ma bite sous le nez.

Le problème, c'est que la situation me fait trop bander et que j'ai du mal à faire venir l'urine à mon gland. Il faut que je me concentre, que je me calme un peu.

Ça y est! Je sens que ça va venir. L'urine commence à affluer le long de ma bite qui est toujours dure. Ah! Le jet commence à sortir, bien fort et bien droit puisque sortant d'un sexe bandé, il heurte la fille en pleine joue droite. Ma cible vivante est prise d'un tressaillement et d'un léger vain mouvement de recul. Quel beau spectacle! Et quelle satisfaction d'enfin délester ma vessie pleine! Je pousse un râle de contentement.

L'esclave plisse les yeux tant qu'elle peut et on lit le dégoût sur son visage, mais elle se force à ouvrir la bouche et à la garder ouverte.

La cavité buccale se remplit rapidement, c'est une sacrée douche que je lui administre. Ma queue ramollit quelque peu et le jet est moins tendu mais de plus en plus fourni. Le liquide puant, première urine de la journée oblige, se déverse partout et coule en cascades le long de son torse, où il efface ce qui était écrit à la craie au bout de sa chaîne, avant de couler sur son sexe et de finir dans la cuvette des WC, sa destination usuelle. J'agite ma nouille dans tous les sens pour faire bouger le jet afin que la pute ne puisse pas s'habituer à la destination de celui-ci. J'asperge partout, elle en a plein la tronche.

La fille avale ce qu'elle a en bouche avec une grimace épouvantable qui m'excite diablement. Ma biroute se tend et durcit à nouveau fort, et j'arrête de faire pipi. Je me repositionne alors plus en face de ma cible. Je suis debout vraiment face à elle. Au bout d'un petit moment, je me mets de nouveau à uriner et vise cette fois-ci un peu vers le haut, pile entre les deux yeux de la pute-à-pisse.

Ça gicle de partout! Sur ses paupières, dans ses cheveux, sur son menton, sur ses épaules. Ça coule dans son cou. C'est divin!

Je m'arrête pour reculer un peu, je suis trop près j'ai reçu des giclures sur mon ventre. Je me marre en pensant que la petite pétasse croit que c'est peut-être déjà fini. Elle serait loin de la vérité, j'ai encore une sacrée envie. C'est un arrêt pour mieux reprendre d'un coup, par surprise, dans de meilleures conditions. Mon jet est si puissant à la reprise que ça lui cogne littéralement le front et fait son visage se rétracter et partir en arrière. Il faut dire que je tiens encore une bonne semi-érection.

Lorsque je sens que j'ai moins de munitions, je dirige ma queue autrement, prenant soin de bien arroser toute sa longue chevelure qui est bientôt toute trempée de ma pisse. Quel plaisir de souiller ainsi complètement cet être femelle!

Avec cette trajectoire circulaire sur la tête de la soumise, du liquide jaune foncé a coulé un peu partout sur les bords de la cuvette et même par terre. Je m'en contrefous, je suis même heureux de penser qu'une esclave viendra probablement nettoyer tout ça dans la journée.

Je fais passer le jet maintenant directement sur chacune des paupières serrées. La fille grimace et râle même un peu entre ses dents. C'est étouffé mais c'est la première fois que j'entends le son de sa voix. Je vise maintenant les narines, me contorsionnant pour faire entrer un peu le flux de pisse dans chacune. C'est d'autant plus chouette que l'urine qui retombe remplit sa bouche toujours ouverte, elle en prend donc dans la bouche de toute part : en même temps par le nez et par l'extérieur, rien ne se perd.

En m'accroupissant en avant, me tenant à l'arrière des toilettes à un endroit resté propre, et en collant mon pénis près de son menton, j'arrive à lui pisser vraiment dans les nasaux, ce qui provoque chez elle étranglement, toux misérable puis éternuement. J'arrête alors un peu le jet et recule de quelques pas pour adopter une trajectoire en cloche, je me fais rire tout seul en pensant que je vais pisser en cloche sur une cloche. Je pisse ainsi droit vers le haut (une trajectoire qui est favorisée par mon érection qui redevient presque totale, favorisée par les pathétiques sons que vient d'émettre la bouche de cette cruche). Le jet forme alors un arc-de-cercle qui retombe en plein milieu du crâne de la traînée. Elle est vraiment en train de prendre une douche d'urine. Surtout que mon sexe se ramollit maintenant et mon jet se démultiplie quelque peu sur la droite. Non seulement ça lui tombe dessus plein axe, ce qui inonde tout, mais en plus elle a des arrivées bonus sur les côtés. Il doit maintenant lui en couler dans le dos presque autant que sur l'avant de son corps. Elle est dégueulassée côté face comme côté pile. Mon urine bien foncée est du plus bel effet sur la peau diaphane de son corps frêle.

Le jet est bientôt moins fort, le tir moins tendu, je me rapproche mais continue de viser vers le haut pour que ça lui retombe droit dessus. Cela lui tombe bientôt sur le front en une pluie de gouttes.

Pour les dernières gouttes, je m'approche tout près de la bouche de la salope qu'elle ouvre alors plus grand que jamais malgré son air dégoûté. Le fait d'avoir uriné en semi-érection fait que cela ne sortait pas bien et que les dernières gouttes sont plus fournies que d'habitude. Je lui donne de quoi reprendre une bonne gorgée de sa boisson de petit-déjeuner, elle avale avec résignation.

J'ai uriné particulièrement abondamment, mais gourmand j'aurais voulu que ça dure encore un peu plus. Passée l'épreuve du dernier avalage, ma p'tite catin s'est essuyé les yeux avec ses mains et a l'air soulagée que ma vessie se soit finalement tarie et que l'infâme pluie matinale ait cessé de se déverser sur elle. Contrarié par son air de soulagement, je lui choppe la tête brusquement et la pousse à se courber au maximum en avant. Malgré sa position encastrée, j'arrive à lui coller le nez sur la paroi extérieure des WC. Elle comprend tout de suite ce que j'attends d'elle et sort la langue pour laper les coulures et les flaques de pisse qui s'y trouvent. Je n'hésite pas à la faire se contorsionner pour atteindre toutes les zones que je lui indique, sur les parois et le rebord, après tout les filles d'ici sont toutes des expertes en yoga, leur souplesse est à toute épreuve. Je lui fais nettoyer ainsi tout ce qui est à sa portée puis je relâche l'étreinte, elle se redresse alors aussi vite qu'elle le peut, je vois que les contorsions que je lui ai imposées étaient douloureuses.

Il faut dire qu'avoir les jambes coincées et pliées de la sorte depuis au moins une dizaine d'heures, cela doit mettre tout son corps dans un état d'inconfort extrême. Je me demande s'il est prévu de la délivrer de sa diabolique prison de plâtre et de céramique, si ce sort est définitif ou si c'est là une punition temporaire, et s'il s'agit là de son sort définitif je me demande est-ce qu'elle a le droit à des temps de liberté, et à quelle fréquence. Toutes ces pensées me procurent des sentiments mélangés, entre incrédulité, horreur et excitation. Je voudrais savoir, et en même temps je ne le veux pas. Troublé par tout cela, je suis à deux doigts d'avoir le réflexe de tirer la chasse, mais je me ravise. Cela m'excite de penser qu'en ne le faisant pas, cette fille passera sa matinée baignée encore plus dans l'odeur de ma pisse. Comme je vois qu'elle s'essuie encore comme elle peut, le tour des yeux, les cheveux et la bouche, je saisis ses poignets et lui trempe les mains dans la cuvette. Je ricane avec satisfaction en faisant s'agiter ses mains dans ma pisse, certes diluée.

Visiblement elle avait réussi à planquer ses mains, celles-ci n'avaient pas été souillées tout à l'heure, du moins l'intérieur, et elle s'en servait pour se reconstruire un peu de dignité, il était hors de question que je tolère ça. Je la voulais totalement pourrie et ne pouvant trouver nulle part d'échappatoire à ma pisse. Je voulais que sa peau soit entièrement imprégnée de l'odeur de mon urine, et que rien ne puisse venir alléger cette peine. Je plante mes yeux dans son regard bleu pâle que je n'ai pas du tout pu voir quand je lui pissais dessus puisqu'elle plissait tant qu'elle pouvait. Le blanc de ses yeux est très rougi, malgré ses efforts l'urine a dû s'infiltrer entre ses paupières et l'irriter, ça a dû bien lui brûler. Son regard est maintenant expressif, ce n'est plus comme quand je suis rentré où il était baissé ou éteint. J'aime y voir l'affolement, la détresse et la honte que j'y lis maintenant. J'y vois aussi le respect que j'attendais et qu'elle ne daignait pas m'accorder jusque là. Je m'attarde un peu ainsi, savourant, puis je lui relâche les poignets. La pute-à-pisse m'offre alors un magnifique tableau en portant instinctivement ses mains souillées devant ses yeux qui ne peuvent réprimer des sanglots. Il est loin son air soulagé... Le spectacle me fait glousser et me repaît de satisfaction. The job is done! The bitch is done!

Difficile de ne pas se branler devant un tel tableau, j'opère quelques tractions dans ces délicieuses conditions mais je prends des bonnes résolutions : me réserver pour la suite, et prendre tout ce qu'on m'offre sans plus me poser de questions. On m'a vendu une visite au paradis, et je la prendrai comme telle en en profitant sans prise de tête. Déjà que pour moi tout ça n'est que lot de consolation de ne pas pouvoir roucouler avec Ramona...

Cette fille est vraiment une chiotte vivante, la preuve c'est qu'elle est bien la seule ici à ne pas être maquillée. D'ailleurs je me demande pourquoi, cela aurait été drôle aussi si la pisse avait emporté son joli maquillage. Bon, pour l'heure il faut que j'arrête de me masturber et que je me rafraîchisse la tête. En premier lieu, j'ai touché la tête de la pissotière vivante, il faut me laver les mains. Ce que je fais avec minutie avant de me laver aussi, au lavabo, la zone de mon ventre où du liquide jaune avait giclé tout à l'heure. J'ai du mal à détourner mon regard de la fille, on ne l'entend plus sangloter mais elle n'en est pas moins misérable. Elle a pris une attitude figée, prostrée, recroquevillée, les mains devant sa tête. Ses larmes sur son visage se sont mélangées à ma pisse. Je photographie la scène dans ma mémoire, dans la catégorie des souvenirs à graver dans le marbre, et me résous à partir pour d'autres aventures.

Je sors à peine du lieu d'aisance qu'on frappe à la porte. Je renfile mon caleçon et ferme la porte des WC avant d'aller ouvrir, ne voulant pas exhiber ce qui s'y trouve et ce qui s'y est passé.

Lorsque j'ouvre la porte donnant sur l'extérieur, je suis d'abord surpris de ne trouver personne. Il n'y a en effet personne dans mon champ de vision devant moi. La cour intérieure où donne la chambre n'est pas encore bien éclairée, le soleil commençant juste à darder ses premières lueurs, mais elle semble également vide. Le froid du dehors contraste violemment avec la chambre surchauffée, à la russe. Je reste interrogatif mais je remarque rapidement qu'il y a quelqu'un par terre juste devant moi, à quatre pattes. C'est mon petit-déjeuner qui est servi!

En effet, une belle blonde plantureuse se tient devant ma porte, entièrement nue, la croupe relevée alors qu'elle a sur son dos le plateau de mon premier repas de la journée. Un repas qui s'annonce particulièrement délicieux, bien au-delà de sa dimension alimentaire.

La femme-fatale blonde me salue d'un révérencieux « Bonjour Monsieur! », prononcé avec un fort accent de l'est très sensuel, les yeux baissés. Je frissonne en pensant que c'est peut-être Ramona qui lui a appris à dire ça. En guise de bonjour, pour toute réponse, je flatte cette table-plateau mobile comme si c'était un bon gros chien. Je caresse en tous sens sa grande chevelure blonde épaisse, crêpée et ondulée, une coiffure de bombasse qui fait bander sec. Je soupire, je ricane, mon cœur et ma bite sont en fête. Je finis par prendre les cheveux à pleine main et tire un peu dessus.

La fille toussote alors. Je ne sais pas ce qu'elle veut dire par là, en tout cas c'est vrai qu'il serait plus opportun de poursuivre tout ça à l'intérieur. Surtout qu'il fait bien froid à l'extérieur de si grand matin.

Je m'écarte, me mettant un peu de côté pour laisser la livreuse effectuer sa livraison. Celle-ci entre à quatre pattes. Je remarque qu'elle a la chair de poule, je me réjouis en me disant que je vais bientôt la faire suer, la blondasse. Elle avance avec habileté, ne faisant pas bouger les éléments qu'elle transporte sur le plateau posé sur son dos, mais faisant tanguer sublimement sa généreuse croupe. Chair de poule, mais aucun tremblement, tout n'est que mouvements langoureux.

Elle vient s'installer sur la gauche de mon lit, en parallèle, sûrement afin que je puisse m'asseoir sur celui-ci pour déguster les victuailles. Elle s'est positionnée du côté opposé à celui où se trouve déjà une table, la table de chevet, mais je me dis qu'elle est peut-être aussi venue de ce côté-là pour se tenir le plus éloignée possible de la porte et donc du froid.

Je bande à nouveau depuis que j'ai ouvert la porte. Je referme celle-ci et me débarrasse à la hâte de mon caleçon que je ne cesse décidément d'enlever et de remettre, c'est un boxer que je porte depuis mon départ de l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry et dans lequel j'ai beaucoup transpiré, il dégage une odeur très acre.

Ma table-plateau est une milf. Une femme d'une bonne quarantaine d'années a priori, sans doute proche de l'âge de Ramona.

Je suis content d'avoir une mature sous la main, une vraie femme, et pas ces gamines qu'on m'a offertes hier. Celle-là, contrairement aux jeunettes, a des formes, des hanches bombées, de lourdes mamelles juteuses aux grosses aréoles hypnotisantes.

Assis devant elle comme pour déjeuner, je joue toujours avec les cheveux, les caresse. Ces cheveux sont d'un soyeux incroyable, je ne m'en lasse pas. Je les caresse de plus en plus fort, j'ai l'impression d'être le Lennie de "Des souris et des hommes" de Steinbeck. J'entre en transe, c'est si doux, si féminin, si offert à mes mains qui depuis que je suis gosse n'aspirent qu'à asservir et à palper le corps de belles nanas de ce genre-là.

Je passe ses cheveux derrière ses oreilles. J'adore faire ça aux filles, c'est sensuel et ça réveille souvent leur beauté. Et là, je ne suis pas déçu, les petites oreilles que je découvre sont toutes mimis, délicates et bien rondes, ornées juste en bas d'élégants anneaux d'or.