Aventure Chapitre 01

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Surpris !
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Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 02/26/2024
Créé 11/15/2023
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Ma femme et moi sommes mariés depuis plus de 20 ans. Je suis encore très amoureux d'elle et je suis sûr qu'elle m'aime profondément. Tout irait pour le mieux si il n'y avait pas de problème sexuel entre nous.

Nous ne faisons en effet que rarement l'amour et encore, se contente-t-elle la plupart du temps de s'allonger en écartant les cuisses et de me laisser faire.

Quand je me rappelle à quel point elle était chaude il y a encore quelques années, je ne peux m'empêcher d'en éprouver une nostalgie amère et de regretter ses séances d'amour mémorables que nous avions vécu ou elle ne refusait rien et n'était pas la dernière à prendre des initiatives parfois un peu scabreuses.

Je ne sais pas ce qui s'est passé mais peu à peu, nous avions espacé ces intermèdes sexuels et nous étions rentrés dans une sorte de routine qui était loin de me satisfaire.

J'ai toujours eu une assez forte libido que j'assouvissais de plus en plus souvent en me masturbant.

Et c'est lors d'une de ces séances de masturbation, alors que nu sur le lit je caressais mon sexe raide d'une main tout en lisant un livre érotique, qu'elle me surprit.

" Qu'est-ce que tu fais? "

Dérangé dans mon fantasme masturbatoire et me sentant pris en faute, je rejetais mon livre et tentais de camoufler tant bien que mal mon sexe en pleine érection.

" Euh, rien "

" Comment 'rien', tu étais en train de te branler "

Ajoutant à ma confusion, elle examina le livre que je venais de jeter. C'était un livre sur la domination féminine ou une femme faisait subir les pires sévices à son mari.

" C'est ça qui t'excite? "

Je ne sus quoi répondre et me contentais de la fixer stupidement tandis qu'elle lisait attentivement.

Malgré ma confusion d'être ainsi surpris par ma femme, ou peut-être en partie à cause d'elle, je n'avais pas débandé.

Me regardant étrangement, elle me tendit le livre.

" Montre moi ce que tu fais quand je ne suis pas là "

Incapable de réfléchir, je repris l'ouvrage et recommençais ma masturbation.

Elle m'observait avec attention et autant excité par la situation que par l'histoire, je ne tardais pas à exploser, projetant des flots de sperme sur mon ventre.

L'excitation tombée, la honte de mon comportement me saisit plus violemment.

C'était la première fois que je me masturbais devant quelqu'un, y compris devant ma femme et j'en éprouvais une gêne considérable, encore accrue par la nature scabreuse du récit qui m'avait amené à cet orgasme foudroyant.

Nous nous fixâmes un instant en silence. Elle avait le regard brillant, moi, je ne savais plus où me mettre, sentant mon sperme couler lentement sur le drap.

Elle dut sentir mon désarroi et en rajouta une couche.

" Hé bien, ça te fait de l'effet! "

Je ne savais pas trop quoi répondre et je pris le parti de l'agression.

" Il faut dire qu'on ne fait quasiment plus l'amour... "

Elle ne me laissa pas aller plus loin et m'interrompit brusquement. Elle semblait maintenant très en colère.

" C'est pas comme ça que ça va s'arranger. Maintenant que je sais que tu te branles sitôt que j'ai le dos tourné, ...et en lisant des saloperies en plus t'es pas prêt de me retoucher...tu voudrais que je te traite comme dans ce livre? "

Elle me transperçait du regard en disant ça. Curieusement, je n'y avais jamais réfléchi. C'était pour moi un fantasme et je n'avais jamais pensé que cela pourrait se faire dans la réalité. Mais à présent que Carole folle de rage me parlait de ça, je n'étais plus très sûr de ne pas vouloir essayer.

Voyant mon hésitation, elle se radoucit et continua avec de la stupéfaction dans la voix.

" C'est pas vrai, tu ne voudrais pas que je te traite comme ça? "

Je ne répondis rien, me contentant de baisser les yeux.

De plus en plus perplexe, elle me somma de lui répondre.

" Réponds moi, tu voudrais être une sorte d'esclave "

Je levais la tête et fus le premier surpris de m'entendre acquiescer doucement.

Elle me fixa avec consternation...puis, elle parut revenir à elle.

" Le peu que j'ai lu de ton machin, elle lui faisait porter une cage qui l'empêchait de se branler..tu sais de quoi il s'agit? "

Ébahi par la tournure que prenait les événements, je ne songeais même pas à lui cacher la vérité.

" Oui "

" Bon, tu vas en acheter... "

C'était à mon tour de la regarder avec stupéfaction.

Elle sourit en voyant mon étonnement.

" Ça risque de ne pas se passer tout à fait comme tu l'avais imaginé. Allez, rhabille toi et nettoie les saletés que tu a faites sur le lit "

La soirée fût silencieuse. Nous étions chacun perdus dans nos pensées.

Je ne savais pas si j'achèterai cette fameuse cage mais une petite voix me disait qu'il fallait que j'essaie quoiqu'il m'en coûte ou que je le regretterai toute ma vie.

Carole avait confisqué le livret qui m'avait servi à me branler cette soirée fatidique et semblait peu encline à briser le silence.

Nous vîmes, plus que nous ne la regardâmes, une émission de variété à la télé puis montâmes nous coucher. Il est évident que je ne tentais rien ce soir là, bien que malgré ma récente éjaculation, je me sentais à nouveau très excité.

---

C'est le cœur battant que je cliquais sur le bouton pour valider ma commande.

Avec un sorte de fierté mal placée, j'avais commandé une cage constituée d'un grillage d'acier dont le vendeur disait qu'elle était d'une sécurité absolue et qu'elle pouvait être portée 24/24 7/7 .

Il y avait trois tailles mais, m'estimant dans la moyenne, j'avais opté pour la taille intermédiaire.

Elle arriva trois jours plus tard. Carole ouvrit le paquet avec les yeux luisants d'une gamine qui ouvre ses cadeaux de Noël. Elle saisit la notice et commença à la lire.

" Ils disent que si on envisage une utilisation fréquente ou prolongée , il est plus confortable de se raser avant d'enfiler la cage. "

Elle me fixa les joues empourprées

" Tu ferais mieux d'aller te raser "

Dans une sorte d'état second, je passais dans la salle de bain pour me raser le pubis.

C'était un peu douloureux, surtout pour enlever les poils follets que j'avais sur les testicules. Jamais je ne m'étais aperçu de leur présence mais en les rasant, le rasoir écorcha la peau tendre de mes bourses.

Ça faisait bizarre d'être ainsi complètement glabre. Je n'avais pas coupé ses poils depuis ma puberté et mon sexe paraissait disproportionné sur ce ventre lisse.

Quand je revins au salon, Carole s'était servi une belle rasade d'apéritif.

" Approche et baisse ton pantalon "

J'obtempérais en silence. Elle observa un instant mon ventre rasé, mais ne fit pas de réflexion.

Elle attacha fermement un anneau de métal derrière mon scrotum, le serrant au moyen d'une sorte de vis, puis glissa la cage métallique sur mon membre et referma l'ensemble avec un clic sonore.

Le métal était froid et le poids de la cage la fit glisser entre les cuisses.

Nous regardions tous les deux avec l'étonnement d'en être arrivé là.

Je pensais connaître ma femme parfaitement mais jamais je ne l'aurais cru capable de faire ça...et jamais je n'aurais imaginé me plier ainsi à sa volonté.

La cage était plus courbe que je ne l'aurais pensé. Mon sexe au repos en occupait les deux tiers et restait clairement visible au travers du grillage d'acier chromé.

Elle le saisit à la main, comme pour la soupeser. Ses doigts fins pouvaient à peine passer entre les barreaux et je grimaçais en sentant ses ongles pénétrer la chair tendre de mon pénis.

" Tu me fais mal! "

Elle ne répondit pas mais cessa de me malaxer.

" Remonte ton pantalon "

Une fois rhabillé, la cage passait presque inaperçue. Tout au plus pouvait-on distinguer une légère bosse à l'entrejambe mais cela se remarquait à peine.

Carole contemplait avec fascination la clé dorée qui ouvrait ma cage, puis elle fit quelque chose qui me stupéfia.

Écartant sa jupe d'une main, elle la glissa dans sa culotte.

Nous ne dîmes rien devant ce geste symbolique mais je sais que nous en avions tous deux saisit le sens.

---

La cage se révélait moins inconfortable que je l'aurais cru. Certes, elle m'obligeait à m'asseoir pour uriner, et son poids constant entre mes jambes me rappelait ma condition.

C'est étrange comme le fait de ne plus pouvoir se donner du plaisir avait comme effet sur un homme.

Bien que 'porté sur le sexe' comme on dit, il était rare que je pense à ce genre de chose dans la journée. Mais le fait d'être en cage avait sur moi un effet aphrodisiaque et je n'arrêtais pas à présent d'avoir des idées érotiques.

C'était encore pire le soir quand je m'allongeais à côté de Carole.

Sentir la chaleur de son corps, l'odeur de ses cheveux, m'amenait un début d'érection douloureuse.

Au bout de trois jours, je n'y tenais plus.

" Quand est-ce que tu retires ce truc? "

Elle me regarda comme si elle ne comprenais pas ce que je disais.

" Cette cage "

Je fis un geste du menton pour lui désigner mon entrejambe.

" Mais ça fait à peine trois jours "

" C'est largement assez "

" Ça te fait mal? "

" Non...enfin par moments, mais c'est pas ça. J'ai envie de te faire l'amour "

" Dis plutôt que tu as envie d'aller te branler dans ton bureau "

" Non, non, c'est pas ça, j'ai envie de toi "

" Moi non. "

Son affirmation brutale me mis mal à l'aise.

" Tu...tu ne veux plus faire l'amour? "

" Je n'ai pas dis ça, juste que je n'en ai pas envie en ce moment "

L'injustice de la situation m'apparut brusquement.

" Mais tu n'as jamais envie "

" C'est pas vrai. disons qu'en ce moment ça ne me tourmente pas "

Je compris à ce moment la dépendance qu'elle m'imposait. J'avais très envie d'elle et elle, apparemment moins. Jusque la, je m'en était arrangé en me masturbant mais à présent, ce n'était même plus possible. Elle interrompit mes pensés.

" Montre moi "

Elle me fixait avec un regard égrillard. Sans trop réfléchir, je repoussais le drap et écartais mon pantalon de pyjama.

Son regard tomba ostensiblement sur mon sexe gonflé écrasé dans la cage.

" Tu bandes? "

Ce n'était pas vraiment le cas mais j'en rajoutais dans l'espoir de l'amadouer.

" Oui "

" Ça te fait mal? "

" Oui "

" J'ai lu ton histoire, "

" Quelle histoire? "

" Tu sais, celle que tu lisais en te branlant "

Je sentis le rouge me monter aux joues mais elle continua.

" Ça devrait te plaire de souffrir "

" C'était juste une histoire comme ça "

" Mais ça te faisait bander "

" Ben oui, mais c'était juste comme ça "

Je me rappelais du contenu de cette histoire que j'avais lu bien des fois et qui me faisait bander et je n'avais jamais envisagé de vivre tout ce qu'elle décrivait.

Elle me parlait comme on parle à un enfant pris en faute.

" Je n'aurai jamais crû ça, mais je dois avouer que ça m'a plutôt plus. "

" Tu devrais être content que je fasse ce qui est écrit "

" Non, non, c'est juste des fantasmes, on ne fait pas assez souvent l'amour et il faut bien que je me satisfasse autrement "

" Ça te fait bander ou non? "

" Heu..oui, mais "

" Alors, tu devrais être content que je fasse comme cette femme "

" Peut-être,...juste par moments "

" Tss, tss, c'est un chemin Pascal, as-tu envie de le suivre? "

Elle posait là la vrai question. Avais-je vraiment envie de me soumettre à elle. Les détails croustillants de l'histoire me revinrent en mémoire et j'avais envie de lui dire 'Non', mais je me contentais de baisser la tête.

" Je considère ça comme un oui "

Je ne répondis rien. Elle éteignit la lumière et se retourna pour dormir. La cage me serrait encore davantage le sexe et je fus long à trouver le sommeil.

---

Ça faisait huit jours que je n'avais pas éjaculé. Ça m'était déjà arrivé souvent mais le fait de ne plus être capable de le faire était difficile à vivre.

Carole semblait inconsciente de mon malaise.

Je n'avais pas renouvelé ma demande, sachant que ce serait vain. Elle avait décidé de me maintenir dans cet état et je la connaissais assez pour savoir qu'elle ne changerait pas d'avis.

Plus le temps passait, et plus les pensées érotiques m'occupaient l'esprit.

La moindre poitrine féminine un peu aguichante, ou une jupe trop courte me provoquait des élancements douloureux dans la verge.

Carole ne faisait rien pour arranger les choses. C'était peut-être à cause de mon état, mais je constatai qu'elle prenait plus soin d'elle même qu'à l'habitude.

J'étais de plus en plus souvent mis à contribution pour remonter la fermeture éclair de sa robe ou l'aider à enfiler ses chaussures. Elle semblait ne pas se rendre compte de ce que cela provoquait chez moi mais chaque fois, c'était un torture.

J'avais toujours aimé ma femme, mais il me semblait la redécouvrir, avec un subtil mélange d'émerveillement et de crainte.

Un soir, nous lisions au lit quand je sentis des mouvements rythmiques à côté de moi. Je tournais la tête pour voir Carole se masturber, tenant son livre d'une main tandis que l'autre était plongée entre ses cuisses.

En vingt ans de vie commune, je ne l'avais jamais vue se caresser ainsi et, immédiatement, je ressentis une douleur dans la queue.

Elle commençait à haleter sous la montée du plaisir. Je posais mon livre et la regardait se faire jouir. Je crevais d'envie qu'elle me libère pour pouvoir la prendre mais je ne dis rien, la contemplant incrédule tandis que sa main s'agitait sur son sexe.

Elle ne tarda pas à poser le sien, se concentrant sur l'orgasme qu'elle sentait monter en elle. Il n'y avait pas un bruit dans la chambre, en dehors de sa respiration et du léger clapotis que faisait son doigt sur son clitoris.

J'étais comme hypnotisé, la regardant se faire jouir sous mes yeux, me sentant impuissant à participer à son plaisir.

Elle jouit avec un grand soupir. Je n'avais jamais éprouvé une telle douleur dans le sexe.

Reprenant ses esprits, elle me fixa avec un regard brillant.

Nous ne dîmes rien et tout passa dans ce regard, sa nouvelle liberté, ma soumission consentie. Pendant des années, j'avais rêver de la voir plus active lors de nos rapports sexuels, et à présent qu'elle m'avait rendu impuissant, elle semblait comme libérée.

Elle éteint la lumière et ne tarda pas à s'endormir. Ce ne fut pas mon cas et je passais un long moment à manipuler ma cage, cherchant au début à obtenir un quelconque plaisir, puis simplement pour faire baisser la tension insupportable que je ressentais.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Superbe récit

AnonymousAnonymeil y a 5 mois

Hum, j'adore.

Rudy

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