Aventure Chapitre 02

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Nouvelle vie
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 02/26/2024
Créé 11/15/2023
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Le lendemain soir, en rentrant du travail, je la trouvait assise dans la banquette à siroter un apéritif.

Je profitais de cet instant de détente pour lui dire avec espoir ce que j'avais sur le cœur

"Bonsoir ma chérie"

"Bonsoir"

Je me servit un whisky bien tassé et m'assit en face d'elle.

Nous nous fixâmes un moment comme deux boxeurs avant un combat, il me semblait qu'elle savait ce que j'allai lui dire.

J'hésitais un moment puis me jetais à l'eau.

"Tu t'es caressée hier soir"

"Oui"

"Je ne comprends pas, si tu as envie, retire moi ce truc et faisons l'amour"

Elle me regarda comme on regarde un enfant qui à dit une bêtise

"On va pas revenir la dessus. Je t'ai déjà dit que je n'avais pas envie de baiser"

Je fus un peu choqué par cette expression vulgaire qui ne lui était pas habituelle.

"Mais ça te démange, ne le nie pas...sinon tu ne te serais pas caressée"

"Ça n'a rien a voir"

L'injustice de la situation me sauta aux yeux.

"Toi tu peux te caresser quand tu en as envie, moi non"

"Tu t'es assez branlé pour le restant de tes jours"

Je ne sais pas ce qu'elle s'imaginait, je ne me masturbais pas si souvent, juste quand j'avais trop envie, elle reprit sans me laisser le temps de répondre.

"Ça suffit, tu m'énerves...plus tu insistes, moins j'ai envie de te toucher"

Je l'aimai plus que tout et j'avais très envie d'elle. Ses mots me firent mal mais je dois reconnaître que sur le moment, ce fut la perspective de jouir qui s'éloignait et qui m'occupait l'esprit.

"Écoute, enlève moi ça. Je te promets que je ne te toucherai pas"

Elle me fixa un moment sans rien dire et c'est presque en murmurant qu'elle finit par me répondre.

"Il n'en est pas question"

Elle avait les yeux plissés et me regardait comme un oiseau de proie. Je compris à ce moment qu'elle prenait un plaisir malsain à mon humiliation. Nous avions déjà parlé de mon désir de soumission mais je ne pensais pas qu'elle pourrait en tirer du plaisir elle même, et surtout ce n'est pas du tout comme ça que j'envisageais les choses.

J'imaginais souvent qu'elle prenait la direction quand nous faisions l'amour, qu'elle "m'obligeait" à faire des trucs. Mais je n'avais pas imaginé être ainsi encagé, contraint à une chasteté forcée.

Avec un léger sourire, elle écarta ostensiblement les jambes. Placé comme je l'étais, je ne voyais rien mais j'imaginais l'entrejambe qu'elle dévoilait ainsi impudiquement et je sentis mon sexe gonfler encore, inséré dans sa prison d'acier.

Elle m'observait attentivement et son regard me mettait mal à l'aise.

"Baisse ton pantalon!"

Je la regardais surpris par son ordre, mais sans un mot, je me levais et descendis pantalon et slip, dévoilant mon sexe rouge dont la chair compressée s'écrasait sur par les barreaux de la cage. J'étais à présent en pleine érection.. C'était humiliant de se tenir ainsi le pantalon sur les chevilles devant ma femme qui sirotait tranquillement son verre.

"Tu bandes?"

C'était une question inutile et elle ajouta encore à mon malaise.

"Déshabille-toi"

Dans une sorte d'état second, je retirai mes vêtements et me retrouvais bientôt nu devant elle. Instinctivement, j'avais mis les mains dans le dos. Elle repoussa la table basse et s'installa plus confortablement, jambes écartées. Je voyais maintenant distinctement la chair claire de ses cuisses, encadrée par des bas noirs et une culotte blanche en dentelle qui camouflait mal la touffe de son sexe.

"Mets-toi à genoux et approche"

Dans l'état ou j'étais, il ne me vint pas à l'esprit de résister et je m'approchais à quatre pattes. Elle me prit par les cheveux et guida ma tête à quelques centimètres de sa chatte dont je respirais l'odeur musquée, un peu forte en cette fin de journée.

Elle me maintint ainsi un instant, me laissant m'enivrer de cette odeur animale. Carole avait toujours eu une certaine gène de ses odeurs corporelles et c'était étonnant qu'elle me fasse ainsi sentir son odeur intime. Elle ne tarda pas cependant à me presser le visage sur sa culotte.

"Lèche"

Docilement, je passai la langue sur le nylon humide. Cela faisait très longtemps que je ne lui avait pas fait de cunnilingus et là, j'étais en train de la lécher nu, à quatre pattes entre ses jambes.

Elle écarta bientôt sa culotte pour me laisser accès à son sexe. Je passais et repassai la langue sur sa vulve gonflée, absorbant une mouille visqueuse et fade. Elle ajouta d'une voie rauque.

"Entre ta langue"

Je m'exécutais comme hypnotisé, pointant la langue pour la mettre dans son vagin, y récoltant davantage de cyprine. Elle commença à onduler doucement du bassin, allant au devant de mes pénétrations.

Je passais les minutes suivantes à alterner léchage et pénétrations, guidé par sa main dans mes cheveux. Je sentais à sa respiration oppressée que le plaisir montait en elle. J'avais mal à la langue, aux genoux, les joues irritées par le frottement contre ses bas, et je ressentais une terrible douleur dans le sexe. Pourtant, malgré cet inconfort, je ressentais un certain plaisir à être ainsi le jouet de ma femme.

Elle eut un profond frisson quand remontant ma tête, elle amena ma langue sur son clitoris. À partir de ce moment, elle me maintint sur cet organe sensible où je m'escrimais du mieux que je le pouvais. Ses ondulation se faisaient plus amples. Elle poussait des petits soupirs étouffés et je sentis qu'elle approchait de l'orgasme. Cela devait faire dix minutes ou un quart d'heure que je la léchais, inondé dans l'odeur musquée, la bouche pleine d'une mouille grasse.

Soudain, elle me saisit à deux mains par les cheveux et pressant mon visage sur sa chatte, se mit à se frotter violemment sur moi, se servant de l'arrête de mon nez comme d'un godemiché. Ballotté par ce rodéo érotique, j'avais le visage enduit de cyprine et je ne pouvais plus respirer. Elle ne fut pas longue à jouir, m'écrasant encore davantage contre elle et poussant un long soupir extatique.

Quand elle me relâcha enfin, je retombais en arrière, reprenant ma respiration, stupéfait par ce qui venait de se passer. J'étais imprégné du goût et de l'odeur de ma femme. J'avais tellement mal dans le sexe que j'en avait des larmes aux yeux. Je ne reconnaissais plus Carole. Elle d'habitude si prude, venait de se comporter comme la dernière des putains. À ceci près que c'est elle qui avait pris du plaisir et qu'elle s'était servi de moi pour y parvenir comme d'un vulgaire sex toy.

Reprenant ses esprits, elle se réinstalla plus correctement dans la banquette. Je la contemplais hagard. Elle avait les yeux brillants et des tâches rouge sur les joues.

Je me relevais en titubant, assommé par ma longue station agenouillé.

"Tu coules!"

Je baissais la tête pour constater le filet transparent qui s'échappait de mon sexe martyrisé. Elle l'enleva d'un doigt qu'elle me glissa dans la bouche.

Ça n'avait aucun goût mais c'était le comble de l'humiliation.

Montrant son verre vide, elle me demanda de lui servir un autre apéritif. J'étais tellement choqué que je ne pensais même pas à me rhabiller.

--------------------

À partir de ce jour, les relations avec ma femme évoluèrent. Jusque là, je m'étais considéré comme le mari heureux d'une femme encore belle qui avait quelques problèmes de libido et la cage ans laquelle elle m'avait enfermé me semblait être un jeu sexuel comme un autre.

À présent, je me considérais davantage comme l'esclave d'un épouse exigeante qui m'avait enfermé pour son propre plaisir et que je commençais à craindre un peu.

De plus en plus, elle commandait et j'exécutais, dans l'espoir un peu vil qu'elle me retirerait ma cage si je me montrais assez serviable.

Petit à petit, au fur et à mesure que mon désir inassouvi grandissait, cette docilité devint naturelle et il ne me venait plus à l'esprit de réagir aux instructions qu'elle me donnait.

Elle, à l'inverse, se révélait de plus en plus autoritaire, semblant puiser dans cette autorité nouvelle une satisfaction profonde et imprévue.

Bientôt, je me retrouvais à faire la plupart des tâches ménagères tandis qu'elle vaquait à ses affaires, me regardant m'activer avec un regard gourmand.

La cage était au cœur de nos pensées mais nous n'en parlions pas, moi dans le vain espoir que constatant ma bonne volonté, elle m'ôte cet engin de torture, elle se demandant sans doute pourquoi elle n'y avait pas pensé plus tôt.

Plusieurs fois elle renouvela sa demande de cunnilingus impromptue, dans les endroits les plus étranges et dans toutes les situations. La plupart du temps, elle m'ordonnait de me déshabiller et je passais de longues minutes nu à genoux entre ses cuisses

Durant nos années de mariage, je n'avais pas souvent sucé ma femme, et c'était toujours en guise de courts préliminaires avant de passer à des choses plus sérieuses.

À présent, je passais de longs moments à la lécher, m'imprégnant de ses goûts et des ses odeurs qu'il me semblait redécouvrir à chaque fois. D'autant plus qu'elle ne prenait plus la peine de se laver avant de m'ordonner de la satisfaire.

Malgré les terribles douleurs que ça m'infligeait à chaque fois, j'éprouvais une étrange fierté à l'amener à l'orgasme qu'elle atteignait systématiquement en se frottant brutalement sur mon visage.

Carole n'avait jamais eu une vie sexuelle très active, mais à présent, elle semblait prendre un malin plaisir à se faire sucer fréquemment et dans les endroit les plus incongrus...et elle arrivait à l'orgasme pratiquement à chaque fois.

Je dis pratiquement car nous avions inauguré une nouvelle coutume et je passais mes soirée entre ses jambes tandis qu'elle regardait la télé. Elle ne cherchait pas forcément à atteindre le plaisir, plutôt à se détendre agréablement. Moi, je passais des heures à genoux, les oreilles bouchées par l'étau de ses cuisses, entendant vaguement l'émission qu'elle regardait. J'avais maintenant l'habitude de la douleur que je ressentais dans les genoux et dans la langue, mais je ne m'habituais pas à celle plus vive de mon sexe écrasé dans la cage. Malgré la fréquence et l'inconfort de ses rapports buccaux, ça me faisait bander à chaque fois et souvent je constatai en me relevant le filament de liqueur séminal qui coulait de mon sexe martyrisé. Quand elle s'en apercevait, elle le récoltait d'un doigt qu'elle me mettait dans la bouche avec un regard attentif.

C'était maintenant la seule relation sexuelle que nous entretenions.Elle exigeait maintenant que je la serve ainsi plusieurs fois par semaine.

Cela faisait maintenant plus d'un mois que je n'avais pas jouis et ça ma montait à la tête. Je vivais dans une sorte d'excitation continuelle et la moindre pensée plus ou moins érotique amenait une tension douloureuse dans mon membre. Carole en était consciente et s'amusait à se promener devant moi dans des tenues affriolantes. Elle connaissait mon fétichisme pour les bas et ne se privait pas de me les montrer à chaque occasion.

Alors que depuis des années, nous dormions vêtus, elle d'une nuisette souvent "tue l'amour" et moi en pyjamas, nous nous couchions maintenant entièrement nu. Elle en profitait souvent pour se frotter contre moi et la chaleur de son corps, l'odeur de sa chair amenait systématiquement la douleur de mon sexe. C'était étrange mais plus elle se montrait perverse envers moi et plus je l'aimais. J'avais toujours aimé ma femme mais au fil du temps et de la vie commune, cet amour s'était transformé en une profonde affection qui nous unissait. Mais à présent, j'éprouvais à nouveau cette adoration muette que je ressentais pour elle aux premiers temps de notre mariage.

À cinquante ans passé, je retrouvais des réflexes d'adolescents et plus d'une fois je fus réveillé dans la nuit par la douleur provoqué par un rêve érotique dont Carole était l'unique héroïne. Ces rêves avaient souvent le même thème, nous allions faire l'amour quand au dernier moment, un événement imprévu nous empêchait de conclure et je me réveillais en sursaut, couvert de sueur, la queue écrasée par les barreaux d'acier.

Un soir, elle me téléphona au travail pour me dite qu'elle sortait avec des copines et rentrerait plus tard. Je dînais donc seul comme ça m'était arrivé quelques fois. Je ne sait pas pourquoi, mais je ne pouvais ôter de ma tête une certaine angoisse. Carole m'avait dit qu'elle sortait avec des copines et je n'avais aucune raison de m'inquiéter, je la savais fidèle et jamais il ne m'était venu à l'esprit qu'elle puisse avoir une aventure. Était-ce le manque sexuelle qui me taraudait, ou son changement d'attitude, mais ce soir là, je ne pouvais chasser cette éventualité de mon esprit.

En temps normal, j'aurais probablement profité de cette soirée seul pour me masturber tranquillement en lisant un roman sur la domination féminine, mais à présent, je ne le pouvais plus, et d'une certaine façon, je vivais tous les jours cette domination.

Elle rentra vers 23h. À la manière dont elle se comportait, je compris qu'elle était un peu grise. Elle posa ses affaires s'installa dans la banquette.

"Sers-moi un digestif"

C'était ses premières paroles, ni bonsoir, ni la bise qu'elle me faisait habituellement en rentrant, juste cet ordre brutal. Un peu interloqué, je lui servi un cognac. Elle me fixai avec un air dubitatif.

"Déshabille-toi"

Je la regardais perplexe. Je savais ce que cela voulait dire et je n'avais absolument pas envie de la sucer à cette heure, néanmoins, je m'exécutais tandis qu'elle farfouillait dans son sac. Puis elle me dit de m'approcher et, sortant la clé dorée du cadenas, enleva délicatement ma cage.

Enfin libre, mon sexe gonfla immédiatement. Ce n'était pas vraiment une érection, juste une légère tumescence. C'était étrange, dans le cage grillagée, l'air passait facilement et de ce point de vue, il n'y avait pas vraiment de différence. Mais il suffisait que je me sente à nouveau libre pour que ma verge gonfle instantanément.

"Mets-toi à genoux"

Quand je fus en position devant elle, elle retira son escarpin et posa sur mon visage son pied humide de sueur. Aussitôt, l'odeur forte m'envahis, une odeur fauve, chaude, un peu acide. Ce n'était pas une odeur agréable mais elle eut sur moi un effet immédiat et je sentis croître mon érection contre mon ventre.

Elle eut un rire ironique.

"Ça te plaît?"

Je ne sus quoi répondre, chaque respiration m'apportait un peu plus de ce parfum rance et à ma plus grande honte, je crois que je n'avais jamais autant bandé.

"Branles-toi"

Dans une sorte d'état second et oubliant la gêne infinie que j'éprouvais, je saisis mon sexe et commençait ma masturbation, m'imprégnant de l'odeur de son pied.

Le plaisir monta très vite, mais je voulais faire durer ce moment où vous sentez l'orgasme monter et ralentis mon mouvement. Elle s'en aperçut et plaçant son autre pied sous moi, et m'interdit de ralentir le va-et-vient de ma main et, malgré l'envie de temporiser la montée de la jouissance pour y prendre un peu de plaisir, j'obéis et ne tardais pas à éjaculer, projetant de longues traînées de sperme blanc sur son bas.

J'étais déçu par la rapidité de mon orgasme. J'avais à peine éprouvé de plaisir, juste une libération provisoire de la tension qui m'habitait.

Revenu de mon excitation, j'éprouvais à nouveau de la honte à ce que je venais de faire. C'était la première fois que je me masturbais devant ma femme, et dans des conditions plus que glauques, avec l'odeur de son pied.

Nous regardions tous les deux le sperme qui commençait à couler sur son bas noir qu'elle maintenait légèrement surélevé, comme pour mieux observer la sécrétion épaisse que j'avais déposé.

L'ordre me stupéfia

"Lèche"

"Quoi?"

"Nettoie mon bas, lèche ton foutre"

Il y eut un instant de silence. Je n'avais aucune envie de faire quelque chose d'aussi répugnant, mais son regard brillant me montrait qu'elle ne plaisantait pas. Nous avions tous deux conscience que c'était une sort de test.

Malgré mon dégoût et presque contre ma volonté, je me penchais sur son pied et passais la langue sur le nylon empesé.

Plus que son goût acre, c'est la texture gluante du sperme qui me donna des haut-le-cœur tandis que je nettoyais le nylon rêche du bas jusqu'à ne plus sentir sous ma langue que le goût vaguement salé de sa sueur.

Je me redressai lentement, lutant contre l'envie de vomir. Elle me fixait avec une attention fiévreuse.

Elle regarda son pied pour apprécier la qualité de mon nettoyage.

Je ne m'étais jamais senti aussi humilié de ma vie.

La jouissance expéditive que je venais d'avoir n'avait pas calmé le manque sexuel que je ressentais. J'avais le goût acre du sperme dans la bouche. J'étais surtout stupéfait de la cause de cette brutale excitation. J'avais toujours été plus ou moins fétichiste des pieds, attachant beaucoup d'importance à la manière dont une femme se chaussait, mais jamais je n'aurais cru que cette forte odeur 'sui generis' provoque une telle réaction. Le plus étonnant, c'est que je ne l''avais pas trouvé agréable, loin de là. Mais elle avait eu sur moi un effet terriblement aphrodisiaque, mon érection en était témoin

Je dois reconnaître que le fait qu'elle m'impose ça n'étais pas pour rien dans l'excitation que j'avais ressentis. Carole avait toujours été assez complexée par ses odeurs corporelles, mais depuis ces dernières semaines, elle avait complètement basculé et semblait éprouver un certain plaisir à me les imposer, que ce soit celle de son sexe qu'elle ne prenait plus soin de laver avant de me demander de la sucer, ou maintenant celle de ses pieds.

Curieusement, cette nouvelle situation, bien qu'elle ne soit pas toujours agréable, me satisfaisait. J'étais certain qu'elle ne prenait plus de gants avec moi et qu'elle ne simulait pas le plaisir que je lui donnais. Et puis, cela satisfaisait mon masochisme latent.

Le plus surprenant était la découverte que je faisais de Carole. J'avais vécu 25 ans auprès d'un femme prude, presque réservé, et je la découvrais aujourd'hui comme une maîtresse exigeante et sûre d'elle même.

Elle me fit me relever, remit ma cage en place et nous nous couchâmes.

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a environ 2 mois

L'évolution de cette relation est si bien décrite... beaucoup de plaisir à la vivre

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