Baiser La Peur Au Ventre

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Si les archives de ma société pouvaient parler.
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C'est une histoire vraie, que je partage avec une de mes ex-collègues. Tout est rigoureusement exacte, à l'exception des prénoms d'emprunt des « acteurs ». Je vais m'exprimer au présent de l'indicatif, bien que cette histoire remonte à plusieurs années.

Je suis entré en fonction dans une société américaine de taille moyenne, environ 80 collaborateurs, répartis sur plusieurs étages d'un grand immeuble.

Je m'appelle Daniel et j'occupe le poste de responsable des achats dans le domaine de l'industrie. Mon bureau se situe au dernier étage (10e), à l'extrémité d'un long couloir. La porte de mon bureau étant ouverte en permanence, j'ai vue sur toutes les allées et venues de mes collègues.

Dès mon entrée en fonction vers l'automne, je remarque Nadia, une charmante collaboratrice qui officie quelques bureaux plus loin du mien et qui est responsable de statistiques et de l'approvisionnement en matériel de bureau (gommes, crayons, papier, etc...).

Le dernier jour ouvrable de l'année, fin décembre, on se retrouve à une dizaine dans la brasserie du rez-de-chaussée pour prendre le dernier verre de l'année ensemble, même plusieurs verres.

Après avoir bien bu et bien ri, on se sépare dans de chaleureuses accolades, on se souhaite de bonnes Fêtes et belles retrouvailles au début janvier. Chacun part de son côté.

Je m'apprête à traverser la grande avenue pour rejoindre ma voiture dans le square derrière le bureau de poste, et je vois Nadia, au passage piéton, à côté de moi. Son véhicule est stationné dans le même square.

Chemin faisant on se demande quels sont nos projets respectifs pour ces Fêtes. Elle va rejoindre son fiancé sur la côte, moi je vais en montagne faire du ski.

Arrivés à sa Golf GTI, il est environ 19 heures, il fait nuit, on se salue à nouveau, mais ce n'est pas l'accolade de tout à l'heure. C'est une étreinte, suivie de longs baisers langoureux au relent d'alcool. Impossible de nous séparer. S'il faisait plus chaud et que n'ayons pas obligation de part et d'autre, je crois que nous aurions fait l'amour dans sa voiture, au cœur du square, relativement fréquenté. Notre séparation est déchirante, pathétique.

Elle a ses bagages à préparer pour un départ tôt le matin, et moi, avec déjà une bonne heure de retard, dois impérativement rentrer à la maison où mon amie a invité et ses parents pour le dîner. A l'arrivée, sauce à la grimace assurée. Bref...

Les Fêtes se déroulent sur les skis, dans la neige et la bonne humeur, mais Nadia me trotte dans la tête du matin au soir. J'attends que début janvier pour reprendre le boulot. Elle aussi, je suppose. Pas de possibilité de se contacter. Il n'y a pas encore de téléphones portables en ce temps.

Le 3 janvier je retrouve mon bureau, mes collègues et Nadia. On se fait un bisou « professionnel » avec, pour elle comme pour moi, une grande joie teintée de retenue, d'interrogation et une légère gêne même. Doit-on mettre notre embryon de relation du mois de décembre sous l'effet de l'alcool, ou y a-t-il plus?

En aparté je lui demande

- Ça s'est bien passé ces Fêtes de fin d'année?

- Moyennement, mon ami a changé, moi aussi et j'ai beaucoup pensé à toi, me répond-elle

- J'ai, moi aussi, beaucoup pensé à toi et le goût de notre baiser est encore dans ma bouche.

La journée se déroule dans la bonne humeur, retour de fêtes oblige, et Nadia passe et repasse sans cesse devant mon bureau, décrochant, à chaque fois, un large sourire. Le futur est encourageant.

Elle bit, seule, à une quinzaine de minutes du bureau, son mec étant lui à plus de 500km de là, elle me propose de faire un crochet chez elle après le travail, prendre « l'apéro ». Offre à ne pas refuser.

L'horaire flexible nous permet de moduler nos heures de travail tôt, alors nous quittons la société tôt, en léger décalage, pour éviter les spéculations de la part d'autres collègues. Je la rejoins près de son véhicule et suis sa Golf jusqu'à son adresse.

Nous retrouvailles, seuls, sont torrides. L'attente a été insoutenable. Nos regards se croisent et ses lèvres viennent se ventouser aux miennes et nous reprenons ce que nous avions commencé avant Noël.

Elle habite un minuscule studio, alors 2 pas suffisent pour passer du hall d'entrée au lit.

On se jette sur le lit, collés l'un à l'autre, je bande comme un fou et elle doit être trempe. Nous sommes affamés de sexe, notre appétit est énorme, notre envie est sans limite. Ça fait deux semaines que l'on attend ce moment. Nous n'allons pas nous nourrir de sexe, mais nous goinfrer.

Je dois reconnaître que cette première fois avec Nadia, il n'y a pas eu beaucoup de préambules.

Je lui retire ses vêtements, elle me foutu à poil tout aussi vite et après quelques baisers brûlants, quelques caresses, je me plante sauvagement en elle, sans préambules. Elle dégouline déjà.

Il y a les fast-food, nous c'est le fast-sexe. Après une ou deux minutes, tout est consommé.

Au fond de ses entailles c'est un confort divin. Quelques mouvements de va-et-vient, elle accroche ses jambes autour de mon bassin, cambre ses reins et je l'entends jouir sauvagement, bruyamment, intensément, une vraie tornade. Ce puissant orgasme me donne une poussée d'adrénaline sans pareil et, à mon tour, dans un ultime coup de rein, je me vide puissamment d'un long jet de foutre dans sa chatte brûlante et toute tuméfiée.

Pas de prémices, pas de temps d'observation, pas de retenue. Nous venons de baisé comme des animaux, par instinct, par besoin physiologique.

Je reste allongé sur elle de longues minutes, sans bouger, sans prononcer le moindre mot. Ma bite toujours plantée au fond de sa vulve, aspirant les sécrétions vaginales et péniennes mélangées. Nous sommes juste heureux et comblés.

- Je t'ai simplement invité pour l'apéro!!!, me susurre-t-elle

-....... (sourire)

- Que veux-tu boire?

- Une petite bière m'irait bien

Je me pousse sur le flanc, elle se dégage, abandonne le lit et se dirige vers la kitchenette. Je la vois entièrement nue pour la première fois. Une jolie femme. Taille moyenne, fine, visage rieur, cheveux ondulé châtain, mi long, Des petits seins, trop petits pour tomber, des hanches bien formées, ventre plat, mon de Vénus épilé, jambes fines et musclées. Une allure générale très athlétique. Elle doit certainement fréquenter une salle de sport et faire des UV, sa peau est caramel, sans trace de maillot de bain.

Elle revient, deux verres de bière à la main, s'assied sur le rebord du lit, me tend un verre et avec un grand sourire me dit ;

- A ta santé, et à notre complicité. Qu'elle dure

- Oui, à notre santé Nadia, oui, ça se passe bien entre toi et moi

« Dois-je rappeler à mes lecteurs que chez moi (je devrais dire chez nous) ma Bretonne m'attend. »

Je termine donc ma bière, me rhabille et après un dernier baiser savoureux, je prends congé de ma collègue.

- A demain, passe une bonne nuit

- OUI, à demain!! me répond-elle encore nue au milieu de la pièce

Le cœur lourd, les couilles vides, je rentre chez moi sans grande envie. Je serais bien resté près d'elle toute la soirée, voir toute la nuit.

La soirée se déroule normalement. Après le repas, je tente de lire un bouquin que j'ai entamé pendant les Fêtes, mais j'ai beaucoup de peine à me concentrer. Une biographie de Catherine II, la Grande. Rien à la TV. Je m'ennuie comme un rat mort. Nadia trotte dans ma tête.

Vers 10h30 je décide d'aller me coucher, prétextant un coup de fatigue et une dure journée le lendemain avec pas mal de coups de fil à mes fournisseurs de par le monde.

La nuit a été très longue et je suis content de me lever le matin et gai comme un pinson pour partir au bureau.

Nadia passe dans mon bureau pour faire un brin de causette. Ele est radieuse ce matin. Elle me signale, ce que je ne savais pas, c'est qu'au 4e étage, outre la partie réservée aux archives et au stockage des fournitures de bureau, c'était, anciennement un appartement, donc la cuisine et la salle de bain sont toujours là, et c'est Nadia qui est la garante de la clé.

Une ou deux fois par jour elle descend au 4e pour apporter ou retirer du matériel. Pour s'y rendre, elle doit passer obligatoirement passer devant mon bureau. Si je suis seul, elle me brandit le trousseau de clés et je comprends qu'elle est aux archives et qu'elle est disposée à se faire sauter.

Sauter une si jolie collègue de bureau, pendant les heures de travail et être payé pour ça, c'est Byzance. Seulement il ne faut pas se faire prendre.

Gling, gling, gling!!! C'est l'heure de la secousse

J'attends quelques minutes, prends l'escalier et pas l'ascenseur et gratte à la porte. Nadia et là à m'attendre. Je rentre, on s'enferme.

Direction salle de bain. La cuisine est encombrée munie d'une large fenêtre, sans rideau, sans store, sans volet. Dangereux.

La salle de bain est spartiate, équipée d'une baignoire, lavabo et bidet. Ce n'est pas le confort absolu, mais c'est bon tout de même et ça évite de s'assoupir.

Pas de perte de temps. Nadia est toujours en robe ou jupe. Elle a déjà retiré son slip et en soulevant le pan de son vêtement, m'offre se chatte.

Je m'installe assis sur le rebord du bidet et lui lèche abondamment l'abricot. Elle adore. Moi aussi. Avec la pointe de ma langue je lui titille son clitoris que j'appelle le « petit clown ». C'est bon, c'est sucré, ses sécrétions sont du miel. Je m'en nourrirais si je pouvais. Je la sens gémir, ses genoux tremblent et flanchent, c'est le moment de la pénétrer. C'est aussi le moment de libérer ma bite coincée dans mon boxer.

Mon pantalon sur les chevilles, je retourne Nadia qui se penche en avant les mains posées sur le bord de la baignoire, et j'introduis mon sexe, dur comme un silex, dans sa chatte béante et humide à souhait. Merde comme c'est bon. Merde comme elle bonne cette collègue. Ses petits gémissements me motivent et m'encourage à continuer et à augmenter le rythme. Elle voudrait crier, mais la zone reste dangereuse. On est en terrain miné. Je ne vais pas pouvoir résister longtemps. Elle a un beau cul la salope, il va falloir tester le petit trou un de ces jours. Ces fesses vont d'avant en arrière, à contre sens de mes mouvements, et chaque fois que mon pubis vient heurter ses fesses la tension monte, monte, monte. C'est le moment de se laisser aller. Dans un dernier coup de boutoir je m'enfonce au plus profond de sa chair et j'envoie un jet de sperme brûlant au fond de sa vulve. Ce dard, planté au fond de ses entrailles, crachant son jus, provoque chez Nadia une jouissance grand cru accompagnée d'un râle et d'une sécrétion de cyprine importante.

Bien sûr que j'on ne peut pas s'éterniser dans ce local exigu, dans l'enceinte de l'entreprise, mais cette trouille qui devrait nous paralyser nous aiguillonne et booste notre libido.

Nous passons généralement pas beaucoup de temps dans ces archives, rarement plus que 15 minutes, mais ce quart d'heure est doublement délicieux. Premièrement cette collègue est une affaire en or, la reine du plumard, et secondement pendant ce lapse de temps mon patron me paie.

Epilogue : Généralement c'est le patron qui baise ses collaborateurs, là, ce sont les collaborateurs qui baisent le patron.

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