Bondage Institute - Chapitre 02

8 jours plus tard, Jeanne revint dans le sous-sol retrouver Sara dans sa cage. Celle-ci était dans un sale état, fatiguée, les cheveux sales, l'air totalement ahurie. Elle leva les yeux vers sa tortionnaire mais n'eut même pas la force d'émettre un son.

- Alors, contente de ce petit séjour, Sara?

Abattue, elle était réduite à écouter les moqueries de Jeanne.

- Tu es dans une sale posture, hein? Personne ne sait que tu es là en plus... Pauvre chou...

Sara tenta de parler, et demanda d'une faible voix :

- Pourquoi me faites-vous ça? Qu'ai je fait? C'est par jalousie? Pour ma fortune?

- Par jalousie? Oh non, je ne t'envie pas une seule seconde.

- Alors quoi? Libérez moi, je vous en supplie...

- Tu n'as toujours pas compris? Observe moi bien, ne me reconnais tu pas?

Sara se concentra, observa Jeanne de la tête aux pieds, mais rien ne lui revint. C'était une parfaite inconnue. Jeanne enleva alors sa perruque blonde pour laisser place à une longue chevelure brune, et enleva ses lentilles. Alors, Sara la reconnut. C'était Jane, la soumise récalcitrante, qui s'était enfuie, 4 ans plus tôt du Bondage Asylum.

- Jane!

- Oui, Jane. Que tu as humilié pendant tant d'années. J'ai sucé des milliers de queues pour t'enrichir. J'ai vécu dans des conditions déplorables, juste pour assouvir ton besoin de vengeance sur le monde, sur les femmes... 4 ans que je prépare ma revanche, et te voilà à mes pieds, à me supplier de te libérer! Que c'est délicieux.

Sara reprit des forces et bougeait maintenant dans tous les sens, comme une démente.

- Salope... laisse moi sortir!

- Sale petite garce... On va bien s'amuser, toi et moi. Tu m'as tellement fait vivre l'enfer... Je n'ai rien oublié, tu sais. Rien. Crois moi que je vais te le faire payer au centuple. Et ça a déjà commencé dès ton arrivée. Tu t'es déjà punie toute seule.

- Que veux tu dire par là, Jane? demanda Sara avec inquiétude.

Jane se dirigea alors vers les esclaves attachés que Sara avait puni la semaine précédente. Ils étaient toujours attachés, en croix, avec des masques de chiens, des bouchons dans les oreilles et des baillons qui leur otaient tout rapport au monde extérieur. Jane entreprit d'enlever les masques et Sara hurla.

- NON!

Devant elle se tenaient sa famille et ses amis proches, au grand complet. C'était eux que Sara avait torturé la semaine passée. Ses parents, sa meilleure amie, ses frères et soeurs... Quand ces derniers découvrirent Sara dans la cage, ils hurlèrent à leur tour à travers leurs baillons. Jane exultait.

- Quelle belle réunion! Ne me remerciez pas surtout, ça me fait plaisir d'avoir organisé ça. Quoi que si, tu pourrais me remercier Sara, qu'en penses tu? Je ne te cache pas que ce n'était pas facile de réunir tout le monde!

- Va te faire foutre Jane! Libère moi!

Jane s'approcha de Kristen, la meilleure amie de Sara, et la fouetta.

- MMMMMMMMPPPPHHHH!

- Tu es sûre que tu ne veux pas me remercier pour ce que j'ai fait pour toi, Sara?

Sara se débattait à l'intérieur de sa cage, mais les chaines l'empêchaient de bouger. Voir Kristen se faire fouetter la mettait dans une rage folle. Quand à Kristen, elle suppliait Sara des yeux.

- Non visiblement, elle ne veut pas me remercier. Désolé pour toi, Kristen, mais ta copine Sara ne semble pas vouloir se sacrifier pour toi.

Jane la fouetta une seconde fois, encore plus fort.

- MMMMMMMMPPPPPPPPPPPHHHHHHH!

- STOP! cria Sara. Pitié, Jane, arrête ça. Je... Je te remercie pour ce que tu as fait pour nous.

Jane sourit.

- Oh, ce n'est rien ma grande, ça me fait plaisir. Tiens, regarde. Je n'en ai pas fini avec les surprises.

Elle tourna le corps de Kristen, pour que son cul se retrouve en face de Sara. Sara découvrit avec horreur que le mot "SALOPE" qu'elle avait marqué au fer rouge la semaine passée sur une esclave avait en fait été inscrit sur le cul de sa meilleure amie. Elle en pleurait.

- Que tu saches, dit Jane en un sourire en regardant Kristen et en lui enlevant le baillon, ta meilleure amie t'a gravé au fer rouge sur tes fesses le mot "Salope".

- QUOI? Non ce n'est pas vrai... Sara, dis moi que ce n'est pas vrai!

Kristen essayait de regarder la marque sur son cul, sans y parvenir.

Sara, elle, assistait impuissante à la scène, les larmes coulant sur son visage.

- Sara! Dis moi que c'est un mensonge!

- Non, Kristen... Ce n'en est pas un.

- Mais pourquoi as tu fait ça? POURQUOI?

Sara baissa la tête. Elle n'avait pas de mot.

- JE TE DÉTESTE! C'est par ta faute qu'on est là, aux ordres de cette folle! Avec ton maudit asile à Los Angeles! JE TE HAIS! JE TE HA...

Jane remit le bâillon à Kristen pour la faire taire et se tourna vers Sara.

Admire les conséquences de tes actes, Sara. Tout cela, c'est à cause de toi. Si tu n'avais pas piégé tous ces gens, tes proches ne seraient pas là, attachés de partout à souffrir le martyr. Tu ne t'en dois qu'à toi-même, souviens t'en.

Sara regarda tous ses proches alignés en face d'elle. Elle prit soudain conscience qu'elle avait branlé son frère, fouetté sa mère jusqu'au sang, marqué sa meilleure amie au fer rouge... Elle était abattue. Elle avait été piégée dans les grandes largeurs.

- Je te laisse songer à tout ça encore une semaine. Et quand je reviendrai, j'aurai une surprise pour toi, salope.

Riant du désarroi de sa captive, Jane replaça le baillon sur la bouche de Sara et remit en fonctionnement la machine. Elle verrouilla à nouveau la cage pour 8 jours. Aussitôt, la bouffe immonde de la machine parvint à travers le tuyau, et Sara ne put que l'avaler. Cette dernière releva la tête, vit les longues jambes de Jane s'éloigner au loin avant que l'obscurité se fasse à nouveau. Seuls les gémissements des prisonniers se faisaient entendre.

Comment Sara allait elle s'en sortir? Ne voyant aucune issue, des larmes finirent par couler sur ses joues. Elle n'en revenait pas d'avoir été à ce point idiote et imprudente.

La semaine suivante, Jane descendit à nouveau au sous-sol retrouver Sara. Elle était accompagnée d'une femme qu'elle ne connaissait pas, une grande blonde avec un blazer ouvert qui laissait entrevoir une grosse poitrine. Sara la regarda avec méfiance. Mais elle avait d'autres soucis en tête : sa famille et ses amis avaient été emmenés ailleurs au cours de la semaine, ce qui avait causé beaucoup d'inquiétude et de peur chez Sara. Jane lui enleva son baillon.

- Qu'avez vous fait d'eux? demanda t'elle.

Jane ne répondit pas. Elle mit des menottes aux chevilles et aux poignets de Sara, et plaça un collier et une laisse autour de son cou. Pour finir, elle plaça un plug dans son cul. Elle ouvrit la cage et tira sur la laisse. Sara avait les membres endoloris, après être resté tant de temps en cage, mais elle finit après quelques minutes par sortir de la cage. Elle se mit à quatre pattes, aux pieds de Jane.

- Ce soir, j'ai organisé une soirée en ton honneur. Tu vas en savoir plus sur ton avenir. Tu m'appelleras Maitresse Jane désormais. Sara n'existe plus, tu seras désormais ma pute à foutre, et je te nommerai ainsi en conséquence. Tu regarderas le sol en permanence. Si tu n'obéis pas à mes ordres, j'enverrai une décharge électrique à ton plug à distance. C'est clair?

- Oui Maitresse Jane, dit Sara en regardant le sol.

- Remercie moi pour tout ce que je fais pour toi.

- Merci Maitresse Jane pour tout ce que vous faites pour moi.

- Je te présente Anya, la reine qui partage ma vie, et à qui tu devras également obéissance. Tu l'appelleras Maitresse également. Anya, je te présente donc ma pute à foutre.

En disant ses mots, Jane tendit la laisse à Anya, qui sourit. Cette dernière prit rapidement à coeur ses nouvelles responsabilités :

- Allez, on y va. Suis moi, pute à foutre, ordonna Anya.

Après avoir déambulé dans cette fâcheuse posture, elles arrivèrent dans la salle de réception du domaine. Sara regarda autour d'elle. La salle était somptueuse. Il y avait un quartet de jazz qui jouait dans le fond, un bar à cocktails était ouvert, et des danseuses effectuaient des postures lascives autour de la barre de pôle danse. En plein centre, une piste de danse était éclairée, et des tables étaient placées un peu partout dans la salle.

Beaucoup de personnes étaient présentes. Elles étaient assises sur des fauteuils humains, des corps nus recroquevillés pour que les invités puissent s'installer confortablement sur eux. Sara vit que c'était ses proches qui servaient de meubles. Elle en trembla de rage. Anya continuait de tirer sur la laisse et Sara était contrainte de la suivre à quatre pattes, comme une chienne. Elle détestait cette situation. Comment avait elle pu se laisser entrainer là dedans, elle qui avait tant piégé de personnes dans le passé?

Sara, Anya et Jane arrivèrent au bar à cocktails. Sara regardait toujours le sol, les yeux rivés sur les escarpins des deux femmes.

- Deux mojitos, demanda Jane au serveur.

- Tout de suite, Maitresse Jane.

- Lèche nos talons, pute à foutre.

Désarçonnée, Sara se figea quelques instants, puis après avoir reçu une décharge électrique dans son cul, elle approcha sa langue des escarpins de Jane et commença à lécher, pendant que ses Maitresses buvaient leurs mojitos.

Quelques minutes plus tard, Sara vit débarquer deux autres paires de talons. Puis...

- Esther! Alana! Vous êtes arrivées! Avez vous vu ma nouvelle pute à foutre?

Sara leva immédiatement la tête, sous le choc. Esther et Alana, ses lieutenantes, se tenaient devant elle, et la regardaient d'un air hautain. Elles étaient sublimes comme toujours, portaient des robes courtes aux décolletés plongeants et des Louboutin aux pieds. Sara commença à parler puis se prit un coup avec le bout du talon de Jane.

- Qui t'a autorisé à parler? Et qui t'as autorisé à lever la tête? Sale pute!

Jane sortit son téléphone et appuya sur un bouton. Aussitôt, Sara ressentit une violente décharge électrique au niveau de son cul.

- MMMMMMPPPHH!

Sara rebaissa la tête.

- Contente toi de lécher.

Sara obtempéra. Elle ne comprenait plus ce qui se passait... Esther et Alana l'avaient donc trahie? Elle ne pouvait y croire. Tout en léchant les chaussures de Jane, elle écoutait la conversation.

- Vous avez fait bon voyage? demanda Jane.

- Très bon, merci. répondit Alana. Vous avez reçu nos colis visiblement?

Elles regardèrent le mobilier humain d'un air amusé.

- Oui, merci beaucoup. Ils sont arrivés en parfait état. Peut être pouvons nous aller les voir des plus près?

Anya tira sur la laisse de Sara, puis le petit groupe se dirigea vers quatre fauteuils libres.

- Asseyons nous donc sur la famille de notre pute à foutre, en invitant de la main Esther et Alana à s'asseoir.

Sara croisa le regard de ses parents et de son frère et de sa soeur, qui souffraient de leur position inconfortable. La mère de Sara émit un gémissement quand Alana s'assit sur elle. Des traces de coups de fouet étaient encore bien visibles sur son corps endolori.

- Lèche les chaussures d'Esther et Alana, pute à foutre. Et plus vite que ça.

Sara était au maximum de l'humiliation. Lécher les chaussures d'Esther et Alana étaient au dessus de ses forces. Elle leva la tête et supplia :

- Pitié, Maitresse Jane...

Pour toute réponse, Jane attrapa les couilles du frère de Sara, et les serra si fort qu'il hurla de douleur.

- Aaaaaaaaarrrrrgh!

- Je te conseille de de te dépêcher d'obéir, salope! ordonna Jane.

Sara se précipita immédiatement sur les pieds d'Alana.

- Bien.

- Qu'allez vous faire d'elle, maintenant? demanda Alana, pendant que Sara s'appliquer à lécher consciencieusement chaque centimètre carré des Louboutin de ses tortionnaires.

- J'hésitais à la faire couler au fond de l'eau, moi aussi... Mais ce ne serait pas assez savoureux. Je préfère assister à sa lente déchéance... Anya m'a convaincu de la garder à notre service et de récupérer sa fortune. Elle va donc me transférer la totalité de ses biens. Les 64 milliards sur son compte, ses entreprises, ses voitures, ses maisons...

- Ahah! Tu peux rêver sale garce! rétorqua Sara sur un ton de défi, en relevant à nouveau la tête.

Cette fois, c'est Anya, qui, depuis son application, s'occupa de lancer une décharge électrique à Sara pour la faire taire.

- Cette salope ne se laissera pas faire, dit Esther. Elle a une grande force de caractère.

- Nous connaissons sa faille, Esther, répondit Jane. Nous torturerons ses proches sous ses yeux. Elle craquera rapidement, crois moi. Et comme prévu, Alana et toi, vous toucherez 10 milliards de dollars chacune, pour les services que vous m'avez rendu. Cela vous convient toujours?

- Parfaitement, répondit Esther avec un sourire.

- Depuis le temps qu'on bosse avec cette garce, elle ne nous a jamais gratifié de quoi que ce soit, ajouta Alana. On mérite cet argent.

Sara croisa le regard suppliant de sa fratrie, installée sous les fesses d'Esther, Alana, Anya et Jane. Elle semblait vaincue. On allait lui voler sa fortune durement gagnée depuis des années sous la menace et la torture de ses proches. Elle ne pouvait s'y résoudre. Elle allait trouver une solution. Elle allait gagner ce combat, elle avait toujours tout gagné. Elle releva la tête.

- Tu n'auras pas un seul centime, sale garce, dit elle à Jane.

Jane gifla Sara de toutes ses forces. Puis elle reprit son calme et dit :

- C'est ce que nous allons voir, salope.

Elle se leva brusquement.

- Alana, je te laisse placer Emma, la soeur de Sara qui se trouve sous ton cul, au pilori. Esther, prépare deux groupes parmi nos invitées : les cracheuses et les enculeuses. Pour ces dernières, je vous invite à attraper un gode ceinture dans le bac près de la cheminée.

Emma fut emmenée et mise au pilori, la tête et les poignets pris au piège, le cul offert.

- NOOOOON! S'il vous plait Maitresse Jane... supplia Emma. Pitié...

Deux heures durant, les invités crachèrent au visage d'Emma pendant que d'autres l'enculaient vigoureusement. Au début, Emma tentait de se libérer et de supplier qu'on arrête la séance :

- Pitié, je vous en supplie... MMMMPPPPHH... Saraaaa, sauve nous de cet enfer... Pitié...

Pour Sara, c'était un cauchemar qui se déroulait sous ses yeux. Elle savait qu'elle ne céderai jamais à cette torture, et qu'elle avait la force de caractère pour, mais quand ce fut le tour d'Alana et Esther de cracher à la figure de sa soeur, elle ne put s'empêcher de réagir avec fureur :

- Après tout ce que j'ai fait pour vous! Vous n'avez pas honte?

- Ce que tu as fait pour nous? répondit Alana. On t'a toujours servi, et tu nous as toujours donné des miettes en remerciement. Jane, qu'on a humilié pendant des années, partagera ta fortune avec nous et nous versera des milliards à chacune!

- Si vous m'aidez à sortir d'ici, répondit Sara en un chuchotement rapide que les autres ne pouvaient entendre, je vous promets à toutes les deux de partager ma fortune en trois parts équitables. Je vous le promets. Je vous offrirai plus de 20 milliards à chacune.

Esther et Alana écoutèrent avec attention. Mais Jane arrive et coupa court à la négociation en cours.

- Qu'est ce que c'est que ces messes basses? demanda Jane.

- Rien, Madame, répondit Sara. Rien.

Jane la regarda d'un air soupçonneux et lança :

- Attrape le fer rouge, Alana. Je crois qu'il va falloir lui faire comprendre à qui elle a affaire.

Sara gigota soudain dans tous les sens.

- NON! NON! ALANA! NON! Par pitié!

- Tu as vite compris la suite du programme, rigola Jane. Vois tu, je n'ai pas oublié la marque que tu m'as laissé (elle montra les initiales « MS » apposées sur son cul, que Sara lui avait fait graver au fer rouge il y a 4 ans). Aujourd'hui c'est ton tour.

Sara fut emmenée au pilori, à la place de sa soeur, et ne put que subir son tourment, sans bouger. Alana apposa un premier fer rouge sur sa fesse gauche et Esther en apposa un second sur sa fesse droite. Sara hurla de douleur, et sentit les larmes couler sur son visage. Tout le monde put admirer le résultat sur son cul, sauf elle même.

- Allez, nous avons assez ri! s'amusa Jane. Allons nous coucher, les filles!

Sara fut remise dans la cage connectée. Anya s'occupa de verrouiller la cage depuis son téléphone et s'approcha d'elle.

- Je ne t'en veux pas à toi ou tes proches. Je ne te connais pas. Mais vois-tu, je suis vénale. Je ferai tout pour être riche et puissante, comme toi. Même si ça te fait finir ta vie au milieu des ordures.

Puis Anya rejoignit Jane, Esther et Alana, qui tenaient Emma, la soeur de Sara, en laisse au milieu du parc, où trônait une cabine en bois. Jane déclara aux trois autres femmes :

- Les toilettes à l'intérieur de la maison sont inutilisables, je m'en excuse. Je vous inviterai donc à faire vos besoins ici. Désolé pour le désagrément. Ceci dit, vous aurez le droit à une animation, et ce à toute heure du jour ou de la nuit.

Puis Jane ouvrit la cabine, et tira Emma à l'intérieur à l'aide de la laisse. Elle entreprit ensuite de déverrouiller la trappe sous le cabinet de toilette, qui ouvrait sur un grand bac. L'odeur d'excréments qui y régnait était immonde. Emma eut un haut-le-coeur.

- Bonne nuit Emma, dit Jane en un sourire.

Et elle poussa Emma à l'intérieur du bac. Cette dernière chuta au milieu des excréments et vit la trappe se refermer immédiatement sur elle. Elle entendit le verrou et se retrouva dans l'obscurité.

- Bien, ce problème étant réglé, je vous propose de retrouver vos chambres. Je vous souhaite une bonne nuit.

Et tout le monde regagna ses appartements. Emma, elle, avait envie de vomir. Elle était maintenant pleine de merde et pleurait intensément. Elle ne comprenait pas ce qu'il se passait depuis ce jour où elle avait été enlevée en pleine rue à Los Angeles, comme le reste de sa famille. Elle avait simplement compris que sa soeur était dans un business de club SM et que ça avait dérapé... Emma connaissait sa soeur, elle allait la sortir de là, c'est sur...

Soudain, une lumière apparut au dessus d'elle. Elle reprit espoir, pensant que Sara avait réussi à s'échapper et allait l'aider à s'échapper de cet enfer. Elle regarda au dessus d'elle, puis vit des excréments lui tomber sur le visage.

La trappe se referma, et Emma se retrouvera à nouveau dans l'obscurité.

C'est à ce moment qu'elle comprit que personne ne viendrait la sauver, pas même sa soeur si vaillante. Elle était livrée à elle-même, pour faire face à ses folles tortionnaires.

Et elle était sûre d'une chose... C'est qu'elle ne se laisserait pas faire.