Bourgeoises Rééduquées : Partie 02

BÊTA PUBLIQUE

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Dans l'appartement, je vérifie rapidement les devoirs des enfants. Décidément, il va vraiment falloir que nous leur trouvions une école digne de ce nom. Il faudra que je me renseigne sur les écoles privées des environs.

Je prépare rapidement le repas du soir pour que tout soit prêt quand François arrivera. Avec ses horaires à rallonge, il va encore manquer le coucher des enfants.

François arrive enfin. Je viens juste de finir de les coucher et je profite d'un peu de calme en regardant une émission sans grand intérêt à la télé.

— Le repas est prêt... lui dis-je.

— Heureusement, je l'entends grommeler. J'ai passé une journée épouvantable. Ces Russes sont absolument abominables. J'avais déjà du mal avec les Américains, mais alors les Russes...

—Je sais mon chéri. J'en ai aussi dans ma clientèle. Mais ils ont de l'argent, tout comme les Chinois et les Arabes...

— Mouais...

Je me lève pour me rapprocher de lui. Il me fait un bisou furtif au coin des lèvres avant de s'installer à table.

Il attrape la télécommande et passe sur une chaîne d'information en continu, plus absorbé par les paroles des journalistes que par ce que je lui raconte sur les enfants.

— Au fait! J'ai croisé le voisin en rentrant... Je lui ai proposé de venir prendre l'apéritif vendredi soir. Tu ne rentreras pas trop tard...

— Oui... Oui...

Je comprends bien qu'il n'a pas vraiment écouté ce que je viens de lui dire. À la fin du repas, je le laisse débarrasser et finir de ranger avant de prendre une douche et d'enfiler mon pyjama. Je reste nue sous mon pyjama court, mais je sais bien que François ne me touchera pas encore cette nuit.

La semaine se passe sans grand évènement, j'ai juste été troublé par la réception d'une relance de facture qu'il me semblait avoir payée. Encore une fois, une preuve de l'incompétence d'Adeline. Il faudra peut-être que je pense à m'en débarrasser.

Tous les matins, nous croisons Albert qui astique le hall d'entrée. Thomas et Clothilde ont pris l'habitude de l'embrasser. Cela me gêne un peu, mais je les laisse faire. Je le salue en souriant. Je suis presque certaine que lors je lui tourne le dos, ses yeux sont fixés sur mes fesses. Mais après tout, pourquoi le priver de ce plaisir.

Le vendredi matin, je rappelle à François notre invité de ce soir. Bien évidemment, il avait oublié. Mais il me promet d'être à l'heure.

Je suis encore dans la cuisine où je viens de faire manger les enfants quand on sonne à la porte. C'est notre voisin. Je demande à François d'aller ouvrir, et je les entends se saluer. Quand j'arrive dans le salon, les enfants ont obéi pour une fois et ils sont montés dans leurs chambres.

Je rougis quand Didier me félicite pour ma tenue et me tient longuement la main. Par réflexe, j'ai retenu un mouvement vers lui pour lui faire la bise. Mais dans mon dos, je réalise que François est encore perdu devant le bar. En me penchant pour attraper les bouteilles, je ne peux m'empêcher de le trouver mon voisin bel homme dans son costume et sa lavallière. Qui porte encore ce genre d'accessoire de nos jours? Il n'y a pas à dire, François ne lui arrive pas à la cheville.

Je sers les verres et invite notre invité à s'asseoir pendant que je vais chercher de quoi grignoter à la cuisine.

— Excusez-moi! Ce ne sont que des surgelés que j'ai réchauffés, mais vous savez ce que c'est quand on travaille... On n'a pas le temps à perdre à faire de la grande cuisine.

Comme à son habitude François s'est installé dans le canapé du fond, il ne me reste plus que celui qui fait face à Didier. Je pose le plateau sur la table basse, en me penchant un peu sous son regard. Je suis certaine qu'il regarde dans mon décolleté. Au lieu de me mettre en colère, cela me flatte.

Une fois assise, je réalise mon erreur. Tel que je suis installée, j'offre une vue plongeante sur ma culotte sous ma jupe à Didier. À son sourire, je comprends qu'il a vu. Je baisse les yeux en rougissant. Il serait malvenu de changer de place.

— À notre rencontre! Lance François en levant nos verres.

Nous trinquons et nous commençons à parler. Didier nous apprend qu'il possède la quasi-totalité de l'immeuble. Au premier étage vivent deux couples de personnes âgées. Et Albert habite dans la loge du rez-de-chaussée. J'apprends qu'il loue six chambres de bonne à des étudiants, et qu'il est à la tête d'une fortune considérable.

François est impressionné et lui parle de son métier, de ses affaires, des projets de son entreprise. Je lui raconte mon expérience professionnelle et comment j'ai peu à peu réussi à faire mon trou dans le secteur du voyage.

C'est alors qu'un de nos enfants appelle.

— Sûrement un cauchemar, dis-je.

— Vous devriez aller voir, me dit Didier. Et si cela ne vous gêne pas, accepteriez-vous de me faire visiter rapidement? Je savais que les anciens propriétaires avaient fait réaménager pour faire ce duplex, mais je ne l'ai jamais vu fini.

— Non! Bien sûr vous pouvez venir avec moi.

— Oui! dit François, sans lever les yeux de son téléphone.

J'invite Didier à me suivre. Il est tout près de moi quand je monte l'escalier en colimaçon qui permet l'accès à l'étage. C'est tout juste si je ne sens pas son visage contre mes fesses.

Je calme Clothilde qui avait effectivement fait un cauchemar. Après un câlin et un bisou, elle se rendort.

Je sors de la chambre de ma fille et me prépare à continuer la visite quand Didier me toise et me fixe.

— Charlotte, tu es une femme élégante, mais tu as fait une faute de goût dans ta tenue...

Je le regarde stupéfaite, pour qui se prend-il pour me tutoyer ainsi? Mais je ne veux pas faire de scandale, surtout avec les enfants qui dorment à côté et je me contente de serrer les dents.

— En effet! Avec une jupe pareille, on ne met pas de culotte, à la limite un string! Retire-moi cette culotte immédiatement!

— Mais...

— Il n'y a pas de "mais" qui tiennent. Veux-tu que j'appelle ton mari pour lui demander ce qu'il en pense?

— Non... Non... dis-je en bafouillant.

Je commence à me tourner pour lui obéir, affolée, effrayée. Mais, il me retient par le bras.

— Non! Face à moi! Regarde-moi et soulève ta jupe!

Rouge de confusion, je retrousse lentement ma jupe, je lui dévoile alors une culotte de coton blanc avec des fleurs.

— J'attends! dit-il.

En tremblant, je fais glisser ma culotte sur mes cuisses. Il peut voir mon intimité, ma toison rousse, je n'ai jamais eu aussi honte de ma vie. Sans un mot, il me tend la main.

— Donne!

Je lui tends ma culotte. Il la prend et la porte à son nez avant de la glisser dans sa poche. Je veux rajuster ma jupe, mais il m'en empêche.

— Fais-moi visiter comme cela... et prends ton temps!

Je le précède dans le couloir et lui indique la chambre de Thomas qui dort, je lui ouvre notre suite parentale. Il me demande à voir la salle de bain. Je finis par la chambre d'ami. J'essaye de rester naturelle en lui disant.

— Elle peut aussi servir pour la baby-sitter quand nous sortons le soir. Comme cela elle peut rester dormir ici et elle n'a pas besoin de rentrer chez elle, tard dans la nuit, mais nous n'en avons pas encore trouvé.

Il opine du chef sans me parler. Je me prépare à retourner vers le salon. Arrivée en haut des escaliers, je le regarde implorante. Je ne peux pas descendre avec la jupe remontée, la chatte et le cul à l'air.

— Tu peux baisser ta jupe! Mais assise, tu gardes tes genoux écartés...

— Oui! dis-je en soufflant.

Je chuchote même un "Merci!"

Quand nous arrivons au salon. François fait les cent pas au téléphone. Il est énervé. Il raccroche et nous regarde.

— Ma chérie, il y a un problème sur un site de production. Il me faut absolument partir. Je ne sais pas quand je pourrais rentrer du week-end.

Il regarde Didier en s'excusant.

— Apparemment, il y a eu une explosion, on ignore si c'est un accident ou autre chose.

— Je comprends! dit Didier. Ne vous inquiétez pas, je prendrais soin de votre charmante épouse.

Mon voisin me fixe et il se dirige vers la porte. Il a toujours ma culotte dans sa poche.

— À bientôt!

Je regarde mon mari.

— C'est quoi cette histoire d'explosion?

— Regarde la télé, ça fait le tour des chaînes d'infos... Un taxi m'attend en bas pour m'emmener à l'aéroport. Je prépare mes affaires et j'y vais.

En effet, je découvre les images de la catastrophe. François m'embrasse en partant et je me retrouve seule.

Choquée par ce que je viens de subir avec Didier, je n'arrive pas à trouver le sommeil.

A deux heures du matin, je n'arrive toujours pas à dormir. Je décide alors de faire ce que j'ai trouvé de mieux pour m'endormir, me caresser et jouir. Je glisse mes doigts entre mes cuisses et je commence à jouer avec mon clitoris. Je remue dans le lit, je peux me permettre de le faire, seule dans ce grand lit. Rapidement, j'atteins l'orgasme et je jouis en silence. Je maîtrise cela parfaitement, car il m'arrive régulièrement de faire cela, lorsque je me sens en manque et que François n'a pas daigné m'honorer. Immobile, silencieuse dans le lit, je me fais jouir à côté de mon homme endormi.

Je suis réveillée par Clothilde qui grimpe dans mon lit.

— Maman! J'ai faim...

— Oui ma chérie, je vais te préparer ton chocolat...

Reprendre mon rôle de mère me permet d'oublier l'humiliation subie hier soir avec Didier. Quelle audace! Oser faire cela sous les yeux de mon mari ou presque... me dis-je. Mais en même temps, je n'ai rien fait pour l'en empêcher. Il faut reconnaître que son regard, sa voix m'ont conquise. Je dirais même séduite. L'autorité naturelle qui se dégage de cet homme est incomparable. C'est un homme, un vrai. Rien à voir avec François qui se laisse trop souvent marcher sur les pieds.

Je me lève en pyjama et je prépare le petit-déjeuner. J'explique aux enfants que leur père a dû s'absenter pour le travail. Cela ne les perturbe même plus tellement c'est devenu fréquent. Papa n'est pas là, c'est normal.

La matinée est déjà bien avancée quand un enfant dans chaque main, je traverse le hall pour aller faire des courses. Comme d'habitude depuis le début de la semaine, ils me lâchent pour aller embrasser Albert, toujours fidèle au poste. Je le vois se pencher pour les serrer dans ses bras. J'ai presque de la peine pour lui, seul, ici dans un pays étranger, sans famille, sans enfants. Mais je me ressaisis. Je ne vais tout de même pas lui montrer de l'empathie.

— Bonjour Madame Charlotte!

— Bonjour Albert!

Tiens, il m'appelle par mon prénom, cela me surprend un peu, mais je sais aussi que c'est une manière courant pour eux de nous appeler ainsi.

— Monsieur Didier m'a demandé de vous remettre cette enveloppe.

-Merci! lui dis-je en prenant l'enveloppe qu'il me tend.

Je la glisse dans mon sac à main et après avoir vérifié que les enfants sont bien installés dans la voiture, j'ouvre cette enveloppe.

"Ce soir, une étudiante qui habite dans un de mes studios viendra à vingt heures faire du baby-sitting chez toi. Je veux que tu me rejoignes un quart d'heure plus tard. Je veux que tu t'habilles en bourgeoise sexy. Ça veut dire sous-vêtements en dentelle, chemisier et jupe classe, porte-jarretelles, bas et talons hauts. Ne sois pas en retard"

Par réflexe, je froisse le papier et le jette en boule par la fenêtre. Il tombe dans le caniveau et il est emporté au loin.

Non! Mais pour qui se prend-il! Il est hors de question que je fasse ce qu'il me demande. Je ne suis pas une pute!

Je me gare énervée sur le parking du centre commercial, en ayant insulté plusieurs automobilistes au passage. J'essaye de me calmer et le désir de Thomas d'aller chercher le caddy pour les courses finit de faire tomber ma colère. Je me mets à réfléchir.

Enfin! Un homme qui semble avoir de l'intérêt pour moi! Et qu'est-ce que je risque? Une bonne partie de jambes en l'air me fera du bien, depuis le temps que François m'ignore...

Je prends ma décision, j'irai voir Didier chez lui ce soir. De plus il m'a trouvé une baby-sitter, je n'ai même pas besoin de m'en occuper. Par contre je suis un peu plus embêtée par sa demande pour mes dessous. Ce n'est vraiment pas le type de sous-vêtements que je mets, de la dentelle et un porte-jarretelles. Encore un fétichiste de l'ensemble trois-pièces! Où vais-je pouvoir trouver cela? Il y a bien un rayon sous-vêtements au supermarché, mais il mérite mieux que des dessous bon marché. Je me rappelle alors avoir vu une boutique de lingerie dans la galerie marchande. Avec les enfants ce ne sera pas très pratique, mais je ferai vite.

Je traverse les rayons du supermarché de manière organisée et efficace. Avec le chariot plein, je retrouve cette boutique.

— Restez à côté du caddy, les enfants, je n'en ai pas pour longtemps.

Je rentre dans la petite échoppe en gardant un œil sur les enfants. Rapidement, je trouve ce que je cherche, un ensemble coordonné, mais s'il y a des culottes en taille 40, impossible de mettre la main sur un 90C pour le soutien-gorge. Heureusement la vendeuse vient à mon secours et s'empresse d'aller en chercher un dans la réserve. À la caisse, je rougis un peu en lui demandant si elle a des bas qui vont avec le porte-jarretelles.

— C'est pour faire une surprise à monsieur! me dit-elle en souriant.

De quoi je me mêle, pensé-je. Mais je n'ai pas envie de polémiquer, il me faut ces bas.

— Je vous propose ceux-là! Et si vous voulez un conseil, enfilez votre culotte après les bas... mais je dis ça, je dis rien...

Je la remercie et règle mes achats pour rejoindre au plus vite mes enfants.

Dans l'après-midi, je regarde plus attentivement ce que je viens d'acheter. Je ne vais pas avoir le temps de les passer à l'eau et je n'aime pas porter des sous-vêtements sans les avoir lavés avant, mais je n'ai pas le choix. J'ai aussi eu François au téléphone qui me dit que l'accident est vraiment grave et qu'il va être absent plus d'une semaine. Peut-être pourrais-je demander à la baby-sitter si ses horaires lui permettent d'aller chercher les enfants après l'école?

Plus l'heure approche et plus je suis énervée. Je me sens comme une adolescente qui se rend à son premier rendez-vous amoureux. Didier me renvoie à mes émois adolescents, jamais je n'aurais imaginé cela.

Pendant que les enfants jouent dans le salon, je me prépare. Que m'a dit la vendeuse ce matin au sujet des bas? Je ne m'en souviens plus. Tant pis et je commence par mettre ma culotte avant de fixer les bas au porte-jarretelles. Je me regarde dans le miroir ainsi. Je ne me reconnais pas. D'habitude je me vois en culotte et soutien-gorge de coton blanc.

L'heure approche, je passe rapidement me rafraîchir le visage dans la salle de bains quand on sonne à la porte. Ce doit être la baby-sitter envoyée par Didier.

J'ouvre et découvre Rachel dans une jupe plissée vraiment courte et un chemisier trop petit pour elle. Décidément, il va falloir quelque chose pour cette pauvre petite! Ces tenues sont vraiment bonnes à jeter.

— Bonsoir Madame! Monsieur Didier m'a dit que vous aviez besoin de moi pour garder vos enfants ce soir!

— Oui! Et je te remercie... tu es vraiment gentille de venir comme cela. J'espère que cela ne te dérange pas?

— Oh non, madame, j'ai emmené de quoi travailler quand ils seront couchés.

Je souris, j'espère que mes enfants seront aussi studieux qu'elle quand ils seront étudiants. Je lui explique rapidement la personnalité des enfants et ce qu'il faut faire pour les rassurer en cas de besoin, mais je ne m'inquiète pas. Elle semble avoir l'habitude et Clothilde trouve de suite une amie pour jouer.

À mon tour... me dis-je.

Je respire un grand coup et je vais frapper à la porte de Didier. Il vient m'ouvrir aussitôt. Il est toujours aussi élégant, il me fixe et me fait signe d'entrer dans le salon. Alors que je me prépare à m'asseoir, il me reprend d'un ton ferme. Je reste debout et me fige comme il me le demande.

Il tourne autour de moi, regarde ce que je porte sous ma jupe et entrouvre mon chemisier. Je tente de calmer ma respiration quand il m'affirme que j'ai besoin d'être prise en main et dressée. Je murmure un oui inaudible, puis il me demande de me mettre nue, de ne garder que les bas, le porte-jarretelles et mes chaussures. Ça y est! me dis-je. Nous y sommes!

Je fais glisser ma jupe à mes pieds puis retire mon chemisier. J'hésite un peu avant de retirer ma culotte.

C'était ça! Il fallait enfiler la culotte en dernier... Je suis obligée de dégrafer les bas puis de les refixer pour retire ma culotte. Cela dure plus longtemps.

Dans un réflexe de pudeur, je cache mon sexe et ma poitrine avec mes mains après avoir ôté mon soutien-gorge. Cela ne plaît pas à Didier qui m'ordonne de les poser sur ma tête. J'ai honte. Je suis totalement à sa merci. Il est assis sur le canapé, il m'inspecte de haut en bas, puis il commence à me poser une série de questions sur mon intimité. Je rougis encore plus humiliée. Mais je lui dis la vérité, certaine qu'il se rendrait compte de mes mensonges. Quand il me parle de la pilule, je n'en reviens pas.

Pourquoi ne veut-il pas du stérilet? Pourquoi veut-il que je prenne la pilule? J'ai toujours peur de l'oublier et de risquer de tomber enceinte. Il est vrai que le risque est nul au vu de la fréquence de mes rapports avec François. Mais si Monsieur, il veut que je l'appelle comme cela maintenant, me fait l'amour, cela reviendra au même, j'aurais toujours ce risque au-dessus de ma tête.

Il se lève enfin et il s'approche de moi, je sens son souffle sur mon visage. Il plaque sa main sur mon pubis et me tire sur les poils. Je crie, il me fait mal. Il semble dégoûté, je m'épilerai dès que possible comme il le souhaite. J'en ai encore des larmes aux yeux quand il me palpe les fesses et me lance :

— Quel gros cul! Un vrai cul de grosse vache, tu ne penses pas?

— Oui Monsieur...

Quelle honte! Jamais on ne m'avait parlé comme cela, mais malgré tout, je sens des papillons dans mon ventre. L'attitude de Monsieur m'excite. Il vient ensuite me tripoter les seins et il leur donne une violente gifle à chacun. En baissant les yeux, je peux voir la marque de ses doigts sur ma peau laiteuse. Je n'ai pas bougé. Il me félicite, mais je vois sa main retourner vers mon bas-ventre. Instinctivement, j'ai un mouvement de recul auquel il ne semble pas prêter attention.

C'est alors que je sens ses doigts me pénétrer et me fouiller. Je frémis. Il les ressort et il me les passe sous le nez. Je sens mon odeur intime. Je suis trempée.

— Tu mouilles Charlotte! Ça te plaît ce traitement?

— ...

Je ne sais que répondre, et surtout, comment répondre.

— Je ne répéterai pas ma question!

— Euhhh ... Oui Monsieur! Dis-je d'une voix de petite fille, prise en faute.

— Ouvre la bouche!

J'ouvre les lèvres et j'ai alors le goût de ma mouille sur ma langue, je grimace. Mais le pire arrive quand il entre profondément ses doigts dans ma bouche et qu'il me demande de le nettoyer. Ses doigts presque dans ma gorge me donnent la nausée, je ne peux pas bouger ma langue, je sens que je bave. Je ferme alors ma bouche et je déglutis, avalant ma salive au goût de ma chatte.

Il retire alors ses doigts pour les introduire de nouveau en moi. Mais, en plus, je sens son pouce sur mon clitoris. Avec un talent incomparable, il trouve mes zones les plus sensibles et les plus excitables. Rapidement, je ne peux plus résister et dans un gémissement, je jouis. Je flageole, heureusement qu'il me retient sinon je serai tombée au sol.

Il présente de nouveau ses doigts à ma bouche. Cette fois sans hésiter je les suce, je bave dessus pour les lui nettoyer. Quand j'ai dégluti, il retourne s'asseoir dans le canapé. À sa demande, je dois venir le rejoindre à quatre pattes. Je sens ma poitrine remuer à chaque mouvement. Je le vois se délecter de ce spectacle humiliant. Puis il me demande une chose que personne ne m'a jamais demandée :

— Bon! Je veux que tu me masturbes et que tu recueilles mon sperme dans tes mains. Ensuite tu le mettras dans ta bouche et tu me montreras, puis tu l'avaleras. Je veux te voir tirer la langue et me montrer ta bouche vide.