Bourgeoises Rééduquées : Partie 05

BÊTA PUBLIQUE

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— Chéri, il est trois heures du matin...

— Et alors! grogne-t-il.

Il m'installe sur le ventre. J'écarte les cuisses. Il vient sur moi. Son gland appuie sur mon anus. Va-t-il me sodomiser? Une amie m'en a parlé, il paraît que c'est aussi bon que par la chatte. Mais non, ce ne sera pas pour cette nuit, encore une fois. Je n'ose pas lui dire que j'aimerai essayer.

Il entre en moi, il me caresse en même temps. Le visage dans l'oreiller, je jouis. Il continue d'aller et venir en moi jusqu'à son plaisir. Encore une fois son corps sur moi me comble.

Nous nous rendormons sans un mot. Au matin, j'attrape un long tee-shirt pour couvrir ma nudité. Je prépare les petits-déjeuners avant d'aller chercher Baptiste dans son lit.

Je retourne dans la chambre et je le nourris. Nue sur le lit, la couette recouvre mes cuisses et mon bas ventre. Mon mari me regarde en buvant son café. Je ferme les yeux, mon bébé me tète, mon mari me caresse les cuisses. J'ai un orgasme silencieux.

Nous déposons les enfants à l'école et nous nous promenons ensuite en amoureux dans un parc.

Ce midi, mes beaux-parents viennent manger. Pendant le repas, Pierre Henri nous parle un peu de sa mission, du moins de ce qu'il peut nous dire. Belle-maman intervient alors.

— Je peux garder Baptiste aussi. J'ai eu des enfants.

— Je vous remercie, belle maman, mais il n'est pas encore sevré.

— Tu vois, je te l'avais dit, dit mon beau père.

Pierre Henri s'amuse de ces chamailleries incessantes entre ses parents. Sa main me caresse la cuisse tendrement sous la table. Mon beau père reprend :

— Cet Alain chez qui vous allez passer le week-end, n'est-il pas le fils d'un général?

— Si papa!

—Hhhmmmm! Un jeune officier prometteur si je me souviens bien, pourquoi a-t-il été s'enfermer au ministère...

La question restera en suspens, car ma belle-mère apporte le gâteau qu'elle a préparé.

Je passe mon après-midi avec elle tandis que les deux hommes se racontent leurs récits de guerre. Je sens mon beau père un peu jaloux de son fils, car il fut militaire pendant une période beaucoup moins agitée que celle que nous vivons même s'il fut Casque bleu au Proche Orient.

À la sortie de l'école, les enfants sautent au cou de leur grand-mère et après le goûter, ils partent avec leurs grands-parents. Seuls avec Pierre Henri, nous appelons une baby-sitter pour surveiller Baptiste pour profiter d'un petit restaurant du Quartier Latin.

Le samedi matin, je replonge vite mon époux dans le quotidien d'une famille nombreuse pour le traîner au centre commercial. Il faut bien assurer la logistique de tout ce petit monde. Devant un magasin de sport, je lui dis qu'il me faut un maillot de bain pour la piscine chez Alain.

Nous le choisissons ensemble, un maillot, deux pièces, noir, à la culotte très échancrée. Ce n'est pas celui que j'aurais choisi pour me montrer devant Alain, mais je veux faire plaisir à Pierre Henri.

Après le repas, je prépare nos affaires, enfin surtout celle du bébé et nous partons en milieu d'après-midi. Pierre Henri conduit, je somnole un peu.

Quand nous franchissons le portail de l'immense propriété de notre ami, je remarque le jardinier noir en train de tondre sur son tracteur. Il est torse nu, ses muscles saillants. Je rougis en me demandant s'il est vrai que les noirs ont un sexe plus gros que les blancs.

Nous nous garons devant la bâtisse imposante. Il y a une bonne dizaine de voitures. Des sportives, des grosses berlines, des SUV de luxe, nous dépareillons avec notre monoplace familial.

Je prends la nacelle ou Baptiste dort et nous entrons dans le hall. Par les baies vitrées, je peux entendre des rires et des éclats de voix. Une noire imposante nous accueille.

-Bonjour, je suis Rosalinde, suivez-moi je vais vous montrer votre chambre...

Elle nous précède dans l'escalier. C'est la domestique noire telle qu'on peut la voir dans les films hollywoodiens qui décrivent la vie dans le sud des États Unis, une poitrine et des fesses comme je n'en ai jamais vu.

Dans la chambre, Pierre Henri ouvre le lit pliant où je dépose Baptiste toujours endormi.

-Ne vous inquiétez pas, Madame. Je vais veiller sur lui.

-Merci Rosalinde.

Je sais que je peux lui faire confiance, mon instinct de mère me trompe rarement.

Nous allons rejoindre les autres sur la pelouse, autour de la piscine.

En approchant, je reste stupéfaite. Que fait Charlotte ici? Quelle classe!

Pierre-Henri ne se rend pas compte de mon trouble, car un de ses camarades vient lui donner une accolade virile. Je remarque aussi de nombreuses personnes que je ne connais pas, je suis un peu mal à l'aise. Et j'aperçois aussi le voisin de Charlotte. Étrange...

******

Didier

Toute la journée de mercredi, je traîne chez moi ayant trop la flemme de fait quoi que ce soit. Pourtant je ne suis pas fatigué par le travail. J'ai un coup de fil de mon ami Alain, le colonel. Il m'invite samedi chez lui à la campagne pour un barbecue. Je peux amener quelqu'un et dormir sur place si je le veux. Je pense tout de suite à Charlotte, il faut que je continue son dressage.

Alain a hérité d'un grand manoir de famille avec un immense parc et une grande piscine ainsi que de dépendances. Ce manoir est spécial, il dispose de nombreuses pièces bien cachées dans les caves, la famille d'Alain y cachant des juifs ou des résistants pendant la guerre. Il a hérité aussi de la richesse énorme d'une vieille et honorable famille française.

Il me dit que nous serons une vingtaine de personnes. Il me donne leurs noms. C'est alors que je réagis :

— Tu viens de me dire que tu invitais Natacha et Pierre-Henri Rivière. Je connais la femme, elle semble un peu délaissée.

Il me répond alors qu'il invite quelques camarades de promo avec leur épouse. Puis il m'avoue qu'il a toujours rêvé secrètement de sauter Natacha, mais comme il n'a pas mon assurance, il n'a jamais osé lui proposer. Je pense alors que je peux l'aider.

Je passe la journée à réfléchir comment je peux amener Natacha à se livrer à mon ami. Je compte beaucoup sur mon charisme. Le soir, je me fais livrer par un traiteur et j'appelle Rachel pour qu'elle se joigne à moi. Nous dînons en silence et je la laisse ranger. Ensuite je la fais mettre à quatre pattes et je baise rudement sa chatte. Et tout d'un coup, je la sodomise. Elle crie et pleure. Je sais que c'est encore douloureux pour elle, mais il faut qu'elle s'habitue. Après m'être bien amusé, je la renvoie chez elle et me couche.

Le jeudi matin je suis impatient. J'ai trafiqué l'agenda de Charlotte l'autre jour pour y placer un rendez-vous cet après-midi à 15h00.

À l'heure dite, j'ouvre la porte de son agence et entre. Charlotte est à l'accueil, mais je ne vois pas son assistante. Elle se rue sur la porte et la verrouille. Elle veut m'emmener dans son bureau, mais comme je veux l'humilier, je m'assieds dans le fauteuil en cuir pour les personnes qui attendent. Je ne dis rien. Au bout d'un moment, toute rouge, elle comprend. Elle se déshabille et se met en position de soumise.

Je prends alors mon air sévère et lui indique qu'elle doit être punie pour ne pas avoir mis de bas ces derniers jours. Nous convenons de vingt coups de badine et cinq supplémentaires pour ne pas m'avoir dit que son mari avait prolongé son séjour.

Je lui donne les vingt premiers sur son cul en faisant attention de ne jamais frapper au même endroit. Je ne veux pas déchirer sa peau fragile, seulement la marquer. Ainsi, les marques disparaissent au bout de deux jours.

Pour les cinq prochains, je la surprends en la frappant sur ses gros seins. C'est un plaisir de les voir s'écraser sous la badine. Elle hurle, je me demande si ça s'entend de la rue.

Ayant fini de la punir, je me place devant elle. Des larmes de douleur coulent sur ses joues son maquillage ne ressemble plus à rien. Bien que je le sache déjà, je vérifie qu'elle est excitée. Je la fais me suivre à quatre pattes dans son bureau et m'assieds dans son fauteuil. Cette gourde espère me sucer, mais je l'arrête. Elle comprend alors qu'elle doit faire comme d'habitude, me branler et avaler mon sperme.

Je n'avais pas envie de lui parler de samedi. De toute façon, dans l'état où elle est, elle ne retiendra pas. Je lui laisserai un mot chez Albert.

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