Bourgeoises Rééduquées : Partie 07

Informations sur Récit
Où l'on découvre un peu le passé de Didier.
3.6k mots
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1

Partie 7 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

_______________________________________________________________

Seconde Nuit de Noces

Didier

Le lendemain je rejoins mes amis au restaurant de Marc. Nous nous asseyons tous les sept autour d'une table. Je prends alors la parole :

— Je voulais te dire Virginie, et je pense exprimer la parole des autres que nous sommes très heureux que tu sois là et surtout guérie. Nous aurions aimé être plus présents pour toi, mais...

— Tu plaisantes? Vous plaisantez? Vous m'avez envoyé tellement de fleurs que j'aurais pu ouvrir une jardinerie. Et vous êtes tous passés me voir malgré la route. Et même si vous aviez des excuses bidon, je sais que c'était pour moi.

En effet nous nous étions concertés pour aller la voir chacun notre tour en inventant des excuses bidon pour nous rendre dans le sud afin qu'elle ne voie pas que nous nous inquiétions pour elle.

— Vous avez toujours été là! Je vous aime les garçons!

Elle essuie une larme et je vois Pierre, le gros ours en faire autant. Nous sommes tous gênés et n'osons nous regarder, nous n'avons pas l'habitude de telles effusions. Nous sommes soudés et nous le resterons, nous le savons tous.

C'est alors que Virginie reprend :

— Je voulais vous parler d'une chose que je ne peux dire à personne d'autre. Depuis ma maladie, mon mari me couve. Il m'aime et a peur de me faire mal. J'ai subi de grosses séances de rayons qui ont fini par brûler mon vagin qui a été réduit d'un tiers. Depuis que je suis guérie, il n'a pas osé me pénétrer. Je sais que vous savez, vous, ce que c'est que d'avoir envie d'un rapport sexuel. Je ne veux pas le forcer, nous nous aimons et je ne veux pas qu'il se sente coupable. Je vais vous demander un service que je ne peux que demander à mes amis.

Nous attendons tous dans le silence le plus complet. Que va-t-elle nous demander?

— Je voudrais que l'un de vous se dévoue et me fasse l'amour. Je veux avoir sa bite dans mon ventre. Je veux une queue en moi, je veux me sentir normale et me faire baiser comme tout le monde.

Nous sommes tous estomaqués. Il ne nous est jamais venu à l'idée de faire l'amour avec Virginie. Oui, plus jeune, nous avons tous eu le béguin pour elle, mais pour ne pas fissurer notre solide amitié, aucun de nous ne lui a jamais fait d'avance.

Je passe les visages de mes amis en revue : Pierre, Philippe, Marc, Éric et enfin Alain. Je vois qu'ils ne savent pas que faire. Ils sont partagés entre l'envie de faire plaisir à Virginie et de garder notre amitié intacte. Je regarde Virginie, elle a l'air si malheureuse. Il faut que quelqu'un se décide à parler, alors je m'y colle.

— Tu viens de nous clouer le bec, douce Virginie. Je vais encore parler pour tout le monde. Nous ne pouvons te donner une réponse immédiatement, il faut que l'on en discute ensemble.

Je vois tous les gars acquiescer. Virginie dit alors :

— N'oubliez pas que je repars jeudi!

Je lui souris et réponds :

— Ne t'inquiète pas!

Ainsi je clôture la discussion sur ce sujet. Nous déjeunons tous ensemble en riant et discutant du passé et des bêtises que nous avons pu faire. Vers 15 heures, Virginie nous laisse pour profiter des grands magasins et surtout pour nous laisser décider qui va la baiser.

Une fois partie, je me tourne vers mes amis et leur dit :

— J'ai une idée les gars, mais je vais avoir besoin d'aide.

Je leur explique mon plan et je vois les sourires éclairer leur visage.

***

Le lendemain, Virginie est étendue dans un grand lit, habillée d'une simple petite nuisette, un bandeau sur les yeux. J'avais demandé à Alain qu'il réserve une grande suite dans un grand hôtel. Pierre et Marc devaient aller chercher Virginie, l'amener dans cette suite, lui demander d'enfiler une nuisette et lui bander les yeux. Ils devaient prétexter qu'elle ne devait jamais savoir qui la baisera.

VIRGINIE

Je suis allongée dans un grand lit dans un grand hôtel. Comme d'habitude, les gars n'ont pas pu faire simple. Pierre et Marc sont venus me chercher à mon hôtel. Ils m'ont amenée ici et m'ont demandé d'enfiler une nuisette. Puis ils m'ont bandé les yeux. Ils ne veulent pas que je sache qui va me pénétrer. Je les comprends.

Ça fait bien cinq minutes que j'attends dans le noir quand j'entends la porte s'ouvrir. L'un d'eux vient d'entrer. Il monte sur le lit et remonte doucement ma nuisette. Des doigts caressent mes cuisses et mon ventre. Ils remontent sur ma poitrine et titillent mes mamelons. Qu'est-ce qu'ils sont doux? À qui peuvent-ils appartenir? Je suis habituée à des doigts couverts de gouache et à l'odeur des diluants allant avec.

Je pense à mon mari, j'espère qu'il ne saura jamais ce que je fais. Je l'aime énormément et je ne voudrais pas le blesser. Il est si prévenant et précautionneux avec moi. Saleté de maladie, ça l'a bloqué.

Je sens les mains me caresser et bientôt une tête se baisse entre mes jambes. Une langue commence à lécher ma petite fente. Je sais que ce n'est pas Philippe, il est barbu comme mon mari et généralement sa barbe me pique les cuisses. Avec ce traitement, je ne tarde pas à mouiller et gémir.

L'homme se relève alors et se place entre mes cuisses. Ça y est, c'est le moment. J'ai un peu peur quand même. Je sens un gland frotter contre mes petites lèvres. L'homme pousse lentement, mon vagin résiste un peu, mais les parois s'écartent et laisse entrer le membre viril. Oh que c'est bon! Des frissons de plaisir traversent ma colonne vertébrale. Je bouge mes hanches pour venir à la rencontre de la queue bien raide. J'avais oublié cette sensation de plénitude. Je ne mets pas longtemps à jouir une première fois avec un petit cri strident. Mon partenaire, lequel de mes amis, ne se laissent pas démonter par mon orgasme. Il commence à me baiser avec un rythme soutenu. Ses lèvres trouvent mes tétons dressés et les mordillent. Il prend son temps, mais s'applique. Le plaisir monte en moi, j'ai l'impression que chacun de mes nerfs est à vif. Il continue à pomper sa queue dans mon vagin qui ne demande que ça. C'est alors que je le sens donner un dernier coup de reins et jouir en moi. Je ne peux me retenir, je pousse un grand cri de jouissance. C'est bien le plus gros orgasme que j'ai eu depuis de nombreuses années. Mon ami s'est effondré à côté de moi.

Il faut que je sache lequel m'a fait jouir ainsi. Mais en réfléchissant, je me dis que je ne peux pas faire ça, ils ont fait ça pour rester anonymes. Je respecterai leur volonté. Je leur dois bien ça. C'est alors que des mains enlèvent mon bandeau. La lumière subite et ma myopie font que je ne distingue pas l'homme à côté de moi. Je ne le connais pas!

Effrayée, j'attrape mes lunettes sur la table de nuit et regarde l'homme de plus près. Mon Picasso! Rasée de près, bien coiffée, parfumée, je n'en reviens pas! Je regarde ses mains et je vois qu'elles sont manucurées. Je me jette sur lui :

— Oh! Mon amour, C'est toi!

— Oui, dit-il timidement.

Je l'embrasse à pleine bouche, tellement heureuse. Il m'a pénétré alors qu'il avait peur.

Je sens qu'il recommence à bander, alors je m'empale sur sa queue et nous recommençons a faire l'amour, infatigables comme des adolescents.

*****

Didier

— Ton plan marche comme sur des roulettes! Me dit Pierre.

— Tu nous as encore sauvé la mise! dit Philippe.

— Je n'aurais pas pu le faire! dit Alain.

Nous sommes attablés à la grande table de la suite de l'hôtel. Nous nous sommes fait livrer des boissons et une grosse collation. Nous entendons le couple s'éclater dans la chambre à côté. Nous sommes vraiment contents d'avoir pu régler le problème ainsi. Le plus dur a été quand même de persuader le mari de Virginie qu'il pouvait et devait le faire.

La veille, après notre déjeuner, j'ai couru à ORSAY pour le trouver bloqué en admiration devant un tableau. Avec ma persuasion je lui ai parlé du problème de Virginie. Puis je l'ai emmené chez mon médecin, le professeur Richet qui lui a longuement expliqué que le corps humain était bien fait et qu'il ne risquait pas de lui faire mal en la pénétrant.

Ensuite, ce matin il a prétexté vouloir passer la journée au Louvre et je l'ai emmené chez le coiffeur, le barbier et la manucure pour lui donner un aspect différent pendant que mes amis s'occupaient de Virginie. Je voulais qu'elle continue de croire que c'était l'un d'entre nous qui s'était dévoué. J'avais peur que, si elle découvrait que c'était son mari, elle se bloque en se disant qu'elle ne pouvait pas le forcer.

En tout cas, en les entendant à côté, ils ont l'air de s'amuser. Je suis content de moi et surtout d'avoir de si bons amis. Comme d'habitude, lorsque nous mangeons et buvons ensemble, les vieux souvenirs remontent.

— On dirait qu'elle a toujours besoin de nous la petite Virginie, vous vous rappelez la première année de fac? Dit Alain.

— Les deux grosses salopes? Reprend Pierre.

— Oh putain! de sacrés garces, mais on avait bien rigolé! Ajoute Marc.

******

Je me remémore cette histoire. Effectivement c'était notre première année de fac. Nous étions ensemble dans le même établissement, mais nous ne suivions jamais les mêmes cours. Mais on avait un rituel immuable, à la fin de la journée nous nous attendions tous pour rentrer ensemble. Nous étions jeunes et n'hésitions pas à nous moquer les uns des autres, ou à faire des bêtises comme soulever la jupe d'une fille qui passait. Mais Virginie était toujours là pour nous canaliser et nous engueuler si nous exagérions. Je crois qu'elle nous a souvent évité des ennuis. C'est assez étonnant, car Virginie est la plus jeune de notre groupe, mais aussi la plus mature.

En tout cas, nous nous sommes vite aperçus que quelque chose n'allait pas. Elle faisait moins attention à nous, marchait la tête basse à côté de nous, ne nous engueulait plus pour nos gros mots ou bêtises d'adolescents.

Un jour, alors que nous étions assis sur des marches et que nous attendions notre amie, Philippe dit :

-- Vous avez remarqué les gars, Virginie ne va pas bien.

— Oui c'est vrai, on dirait qu'elle a perdu sa gaieté. Répondit Pierre.

— Peut-être est-ce trop dur les cours à son âge, elle est jeune pour être à la fac. Ajoute Marc

— Non il y a autre chose, dit Alain.

— Oui, il y a un problème... commente Éric pour ne pas être en reste.

Et comme à chaque fois où nous avions un problème, les cinq se tournèrent vers moi pour me demander mon avis.

- Ça va les gars, j'ai remarqué aussi. Je vais faire mon enquête.

Ils semblèrent tout d'un coup soulagés, J'avais pris les choses en main. A partir de ce jour-là, je commençai à épier Virginie. Je la suivis en cours et m'assis au fond de l'amphithéâtre alors qu'elle se mettait toujours au premier rang. Et je vis rapidement ce qui clochait. Il y avait toujours deux filles, une brune et une blonde trop maquillées qui s'installaient derrière elle et lui parlaient. Je voyais alors Virginie rentrer la tête dans les épaules sans répondre.

Je me renseignai sur ces filles-là et appris que c'était de vraies garces. Au lycée elles avaient terrorisé tout le monde. J'appris aussi qu'elles n'hésitaient pas à ouvrir les jambes pour coucher avec les garçons qui leur plaisaient.

Un jour, alors que Virginie avait enfoui sa tête dans ses épaules et ne quittait pas son livre des yeux, je me rapprochai et m'installai juste derrière les deux filles. C'est alors que je les entendis dire :

-- Alors ma grosse, c'est quand que tu commences ton régime? A ton âge, tu as vu les mamelles que tu te trimballes?

— Tu as beau être intelligente, avec ton corps de vache tu seras toujours une mocheté.

— Dis-nous, tu dois encore être pucelle non? Tu risques de le rester longtemps avec ton physique bovin.

Et ça continua pendant cinq minutes avant le début du cours. Je vis les épaules de mon amie tressauter et je l'entendis renifler. Elle sanglotait en silence. Sur le coup je faillis me lever attraper les deux garces par les cheveux et les traîner dehors. Mais après mûre réflexion, je me dis que ce n'était pas la meilleure chose à faire.

Je montai alors un plan dans ma tête et en discutai avec les copains. Ils acquiescèrent tous les cinq.

— Bon les moins moches de nous, Marc et Alain, vous vous occupez de draguer les filles.

Bien sûr, comme d'habitude il y eut les plaisanteries d'usage sur la beauté bien relative de mes deux amis et nous nous sommes tous charriés pendant cinq bonnes minutes. Mais notre plan était en route.

Une semaine plus tard, nous avons raccompagné Virginie chez elle. Elle faisait vraiment peine à voir, les yeux toujours rouges, sans entrain. Puis Marc et Alain partirent de leur côté. Ils avaient rendez-vous avec les deux filles. Ils ne leur avaient pas fallu longtemps pour les draguer et les faire tomber dans leurs filets.

Quant à Pierre, Philippe, Éric et moi, nous nous rendîmes à notre quartier général pour préparer la soirée. Mes parents habitaient en ce temps-là un grand hôtel particulier et ils m'avaient laissé aménager la cave pour pouvoir me retrouver avec mes amis et être tranquille. De plus cette grande cave avait une entrée extérieure discrète.

Environ une heure plus tard, nous entendîmes frapper à la porte. Les deux jeunes filles, suivies par Marc et Alain entrèrent dans la cave. Elles firent deux pas avant de tous nous voir. Elles se figèrent, ne comprenant pas pourquoi nous étions là. Devant nos mines sévères, elles commencèrent à prendre peur. Elles tournèrent sur leurs talons pour essayer de sortir, mais Marc et Alain avaient verrouillé la porte et se tenaient devant, tout en arborant eux aussi un air inquiétant.

— Mais... Quoi? Que... Que se passe-t-il? Demanda la brune, inquiète.

— Ou... oui... Que... Que faites-vous? Ajouta la blonde tremblante.

Il est vrai que nous devions avoir l'air impressionnant tous les six. Nous nous forcions à avoir l'air méchant et dangereux. Je pris alors la parole.

— Nous allons vous expliquer mesdemoiselles. Mais tout d'abord, asseye-vous! Dis-je d'une voix autoritaire en montrant deux chaises que nous avions installées au milieu de la pièce.

Tremblantes les deux jeunes filles s'assirent lentement. Tout de suite, Philippe et Pierre passèrent derrière elle, pour attraper leurs bras et attacher leurs mains derrière la chaise. Elles étaient à notre merci. Je pouvais voir la frayeur s'afficher sur leur visage.

— Je vais vous raconter une petite histoire que vous allez écouter jusqu'au bout. COMPRIS?

Elles hochèrent de la tête, j'avais leur attention.

— Nous avons une amie qui nous est très chère : Petite, boulotte, mais intelligente et très gentille. Il y a un an, une garce au lycée l'a prise en grippe et s'amusait à la tourmenter. Un jour, cette fille-là fut retrouvée attachée à un arbre dans un parc. Elle était nue et avait été tondue. Sur son crâne, il y avait marqué « GROSSE PUTE ». Et d'après ce que je sais, elle serait restée toute la nuit comme ça et des clochards auraient profité d'elle. Personne n'a retrouvé le ou les auteurs de cet acte et la fille n'a jamais rien dit.

Bien sûr, c'était une pure invention, mais les deux filles devant nous ne pouvaient le savoir. Je fis alors un pas sur le côté et dévoilai une petite table avec une tondeuse à cheveux et un gros marqueur noir.

Les deux garces écarquillèrent les yeux dans lesquels des larmes commençaient à se former. Je continuai :

— Je vois que vous commencez à comprendre. Si je vous dis fac, amphithéâtre, grosse, mamelles, mocheté, vous comprenez mieux?

— M... Mais... Commença la brune.

La blonde se contenta de baisser la tête et sangloter.

— Oui nous vous écoutons?

— Ce... ce n'était pas sérieux, nous nous amusions seulement.

— C'était un jeu?

— Oui... Enfin non... S'il vous plaît, laissez-nous partir! Demanda la brune avant d'éclater en pleurs.

— Mes amis et moi avons une règle d'or. Toute personne méchante doit subir un châtiment. Pierre tu prends la tondeuse, Philippe le marqueur.

— Ok! Acquiescèrent mes amis en prenant les objets sur la table.

La blonde releva alors la tête, renifla et nous dit alors :

— Oui c'est vrai nous nous sommes moquées d'elle, mais nous ne le ferons plus. Je vous le promets, nous vous le promettons. Dit-elle en se tournant vers son amie qui hocha la tête.

— Pourquoi devrais-je croire deux salopes comme vous? Je crois que vous méritez bien une leçon, non?

La blonde me regarda les yeux pleins de larmes. Elle me supplia alors :

— Nous sommes deux garces et nous méritons une punition. Mais je vous promets qu'à partir de maintenant nous n'embêterons plus votre copine. Au contraire nous serons aux petits soins pour elle. Mais s'il vous plaît, ne nous faites pas de mal.

La brune me regarda elle aussi en me suppliant du regard. Je savais qu'elles étaient tellement effrayées qu'elles respecteraient leurs paroles.

— Je vous crois! Mais d'après vous, quelle devrait être votre punition.

Les deux filles se regardèrent, puis la blonde me dit :

— Nous ne savons pas. Mais nous sommes prêtes à faire tout ce que vous voulez.Mais ne nous tondez pas s'il vous plaît.

Je m'approchai alors d'elle, baissai ma braguette et sortit mon sexe. Je lui présentai devant le visage. Sans hésiter, elle ouvrit la bouche et engloutit mon membre. Avec beaucoup de motivation, elle s'appliqua à me sucer et me faire plaisir. Pierre fit de même avec la brune qui s'appliqua aussi bien que sa copine.

Puis je me retirai de la bouche accueillante pour laisser la place à Alain. Je passai derrière les chaises et je défis les liens de nos prisonnières. Bientôt, sans qu'elles n'opposent aucune résistance, les deux filles furent à genoux sur le sol, suçant chacune une bite en en ayant deux autres dans les mains.

— Putain ces salopes savent sucer! Dit Marc.

— Des professionnelles! ajouta Éric.

Les deux garces s'activaient sur nos bites en sachant qu'elles devraient leur salut à leur habilité à nous satisfaire. Les uns après les autres, nous éjaculions dans les bouches habiles. Les filles avalèrent sans dire un mot.

— A poil! commandai-je alors.

Elles n'hésitèrent pas un instant, complètement soumises à nos volontés. Nous les tripotâmes pendant qu'elles nous masturbaient pour faire revenir à la vie nos bites.

— Elles mouillent ces garces! Dit Philippe après avoir passé la main entre les jambes des filles.

Elles méritaient leur réputation. Elles avaient dû perdre leur virginité depuis longtemps. Philippe s'assit sur une chaise et saisit la brune par les hanches. Puis il la fit descendre sur sa bite bien raide. La jeune fille ferma les yeux et poussa un gémissement étouffé par la queue qu'elle est en train de sucer.

Alain s'était installé sur un canapé. La blonde était penchée sur sa bite pendant que Pierre la fourrait par-derrière.

Nous étions partis pour une orgie qui dura près de deux heures. Les deux filles soumises eurent droit à tout, mais elles ne se plaignirent pas. Elles furent baisées dans toutes les positions et même enculées. Elles ne devaient pas être vierges du cul non plus. Et même si nous les avions un peu forcées au début, elles semblaient apprécier ce traitement. Elles jouirent plusieurs fois.

Plus tard dans la nuit, je les raccompagnai chez elle en les faisant jurer de ne jamais rien dire à Virginie de cette soirée.

Le lendemain je me glissai discrètement dans l'amphithéâtre de la fac pour espionner les deux jeunes filles. Au lieu de s'asseoir derrière notre amie, elles se placèrent de chaque côté d'elle et je les vis parler un bon moment à Virginie puis la serrer dans leurs bras.

Le soir, les copains et moi, nous retrouvâmes une Virginie radieuse. Nous lui fîmes un grand sourire et elle nous regarda bizarrement en nous souriant. Elle ne nous a jamais parlé de cette histoire, mais au fond de moi je sais qu'elle se doutait que nous étions intervenus.

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