Bourgeoises Rééduquées : Partie 09

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Charlotte et Natacha réfléchissent à leur week-end
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Partie 9 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines situations peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

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Résolutions du Week-End

Charlotte

En enfilant le plug ce matin, je me demande ce qu'attend Monsieur Didier, comment veut-il que je le supplie de m'enculer? Me veut-il à genoux devant lui, implorant son sexe dans mon cul? Je repense aussi, aussi à Natacha et à l'aveu qu'elle m'a fait hier, qui est son amant mystère? Où l'a-t-elle rencontré et comment fait-elle avec ses enfants?

Je la comprends, les absences de Pierre-Henri sont si longues. Comment pouvais-je imaginer qu'elle restait sagement à l'attendre? Moi-même, je me caresse régulièrement quand François par en déplacement et pourtant il ne part jamais aussi longtemps que le mari de Natacha.

En sortant de l'immeuble, je salue Albert qui comme tous les matins se penche pour être embrassé par les enfants. Je le regarde aussi différemment après la punition que j'ai reçue chez Alain. J'ai affirmé à Monsieur Didier que j'acceptai qu'il m'offre à Albert s'il me le demandait. Sur le moment, cela me semblait évident mais en le voyant, je ne peux m'empêcher d'avoir un frisson de recul. C'est impossible, je ne pourrai jamais baiser avec noir. Mais, je pense que je n'y échapperai pas, Monsieur Didier n'est pas un homme à dire les choses à la légère. Mais ce qui me fait le plus peur, c'est quand il a parlé de m'offrir à un groupe d'hommes. J'ai encore les images de Justine avec ses amis et celle de la Générale, le dimanche matin.

Malgré moi, le fait de penser à ces choses me fait mouiller. Je sens l'humidité au fond de ma culotte. C'est trop tard, je ne peux plus remonter me changer.

Devant l'école, je salue de loin Justine Chalon, je préfère ne pas croiser son regard et je pense qu'elle n'a pas envie de croiser le mien.

J'embrasse Natacha qui me semble inquiète et elle a des cernes, comme je lui en ai rarement vu.

— Que t'arrive-t-il?

— Oh rien! J'ai juste passé une mauvaise nuit, Baptiste doit commencer à faire ses dents...

Je n'insiste pas, mais il est encore petit pour ça, me dis-je. Je souris en voyant Clotilde et Noémie qui entrent en courant dans l'école.

En arrivant à l'agence, Adeline me demande si mon client particulier doit passer aujourd'hui. Que sait-elle, elle aussi, de ce que Monsieur Didier me demande dans mon bureau. Certes, si je ne doute pas de l'isolation de la pièce, je la sais assez observatrice pour avoir remarqué que ce n'est pas un client normal.

—Je ne sais pas Adeline. Je n'ai rien dans mon agenda aujourd'hui?

— Non, Charlotte... Je n'ai rien vu de particulier.

Je m'enferme alors dans mon bureau et m'installe du mieux que je peux pour être le moins incommodée possible par le plug. Il n'y a rien à faire, je ne m'y habitue pas.

— Tu vas bien Charlotte, me demande Adeline quand nous déjeunons ensemble.

— Oui! Merci, mais je me pose des questions sur mon couple avec François...

— Pourquoi?

— Je le trouve de plus en plus distant, il est rentré il y a deux jours après presque quinze jours d'absence et le mercredi soir, c'est tout juste s'il a fait attention à moi...

— Oh! Tu sais, moi les hommes...

— Oui je sais, mais...

J'hésite, je ne sais pas comment lui dire cela et nous n'avons encore jamais évoqué notre vie intime entre nous. Je sais qu'elle est lesbienne et je connais son amie qui est très sympathique.

— Mais quoi?

Je rougis, puis je me lance.

— Pendant son absence, je me suis amusée à m'épiler, et...

Elle me regarde, amusée.

— Toi aussi, tu as succombé à cette mode...

— Oui! Je voulais savoir ce que cela donnait, et je voulais voir l'effet que cela aurait sur François...

— Et?

— Rien... Comme s'il n'avait rien remarqué...

Là, elle me regarde et elle prend son air compatissant que je lui déteste.

— En effet, tous ces efforts pour rien... Cela confirme ce que je pense depuis un moment, tu l'intéresse plus depuis un moment... il va voir ailleurs...

— Comment peux-tu dire cela? Tu viens de me dire que tu ne connais rien aux hommes.

— Je suis peut-être lesbienne, mais quand la personne avec qui tu vis ne remarque plus tes détails intimes c'est qu'il y a quelque chose de casser entre vous. Et qu'est-ce qui brise, un couple, si ce n'est l'arrivée d'une tierce personne?

Je ne peux qu'approuver ces paroles, mais je ne pouvais pas lui dire non plus que c'est plutôt moi qui aie un amant. Mais, je me promets d'être attentive pour découvrir si François me trompe ou pas.

Dans l'après-midi, François me téléphone pour m'annoncer que ses parents nous invitent pour le week-end. Il me dit qu'il y aura sa petite sœur et son grand frère, de retour des Etats-Unis avec ses enfants. Ce n'est pas ce qui m'enchante le plus, mais je sais que Thomas et Clotilde seront contents de voir leurs cousins américains.

Le dimanche soir, en rentrant, je réalise que cela fait trois jours que Monsieur Didier ne s'est pas manifesté. Je me prépare au pire le lundi et je n'oublie pas de remettre mon plug avant de partir travailler. Après deux jours sans l'avoir porté, je grimace en l'enfilant. Je suppose que je vais avoir droit à sa visite au bureau, je réfléchis à ce que je pourrais avoir commis comme erreur depuis notre dernière visite. Je n'en vois, pas je ne me suis pas caressée et j'ai simulé quand avec François nous avons fait l'amour dans le parc chez ses parents comme nous le faisions quand nous étions jeunes mariés.

Le samedi après-midi, alors que les enfants étaient partis faire un tour de poney avec leur oncle et leurs tantes, nous étions seuls avec François. Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu aussi amoureux. Il m'a pris la main et il m'a demandé son absence n'avait pas été trop longue. Nous marchions dans les bois en nous éloignant de la maison.

— Et, Didier le voisin, il a pris soin de toi comme il me l'avait promis?

-Oh oui! Il a été très prévenant, il est passé au salon du tourisme et il s'est proposé de me ramener le dimanche soir. Maman l'a croisé et l'a trouvé aussi très sympathique.

— J'en suis ravi, car vois-tu, on vient de me proposer de prendre la responsabilité de notre filiale en Arabie Saoudite...

Je l'ai regardé stupéfaite.

— Et? Tu leur as répondu quoi?

— Rien pour le moment, je voulais en parler avec toi, avant... Car tu ne pourras pas venir avec moi. D'une part, ce n'est pas un pays pour les femmes et d'autre part, tu as ton agence qui se développe bien d'après ce que j'ai pu voir.

— Oui! C'est sûr que je ne me vois passez mes journées avec un drap sur le corps... Mais, pour toi c'est une opportunité à ne pas rater. Accepte, tu reviendras régulièrement, n'est-ce pas?

— Oui, d'après ce que j'ai pu voir à peu près quinze jours tous les trois mois.

— Alors fonce! lui ai-je dit.

Et en même temps, je me suis jetée dans ses bras. J'ai aussitôt senti ses mains sur mes fesses. Nous étions arrivés dans cette petite clairière où nous avions l'habitude de faire l'amour il y a quelques années et où nous avions surement conçu Thomas. J'ai ressenti une pointe de nostalgie et je lui ai ouvert son pantalon et je me suis agenouillée pour le sucer. Quand il fut bien raide, j'ai rapidement retirer mon pantalon et ma culotte et je me suis allongée sur l'herbe et j'ai écarté les cuisses. Il m'a lentement pénétré, j'ai poussé un soupir de bien-être. Il a commencé à aller et venir en moi. Cependant, c'est le visage ce Monsieur Didier qui m'est apparu subitement, je me suis souvenue qu'il m'avait interdit de jouir. Heureusement François a rapidement éjaculé dans mon ventre. J'ai fait semblant de pousser des petits cris de ravissement. Nous sommes restés quelques minutes, étendus à nous souvenirs de nos ébats passer puis nous avons rejoint le reste de la famille.

Aujourd'hui, au bureau, je me dis que samedi prochain, je conduirais François à l'aéroport et que je ne le reverrai pas pendant trois mois.

Il va me falloir préparer les enfants à l'absence de leur père.

C'est en rentrant le soir, que je remarque que la voiture de Monsieur Didier ne se trouve pas sur dans le parking de l'immeuble. Je comprends alors la raison de son absence. Je me demande combien de temps, il va être absent. Malgré tout, je dois m'avouer qu'il me manque.

******

Natacha

Avouer à Charlotte que j'ai un amant, m'a soulagé, mais en même temps je suis inquiète. Puis-je avoir confiance en elle? Va-t-elle garder cela pour elle?

De plus ce matin en la croisant devant l'école elle voit bien que je suis perturbée, je lui dis que c'est à cause des dents de Baptiste, mais me croit-elle?

En rentrant, je me décide de faire du tri dans les vêtements des enfants, je veux penser à autre chose. Je suis partagée entre Alain et Monsieur Didier. Chacun à leur manière, ils savent ce que je désire au fond de moi. Cela me fait peur mais je ne peux pas résister.

A onze heures, mon téléphone sonne, un numéro masqué. Je ne réponds pas mais quand j'entends le message, je suis affolée : "Alors Salope, on oublie sa photo! Tu as deux minutes pour l'envoyer sinon..."

Aussitôt, je me rue dans la salle de bain, je me déshabille et retrace la lettre sur mon pubis lisse et prend la photo avant de l'envoyer.

Je reprends mes esprits. Qu'a-t-il voulu dire par sinon...? Je n'ai pas reconnu la voix. Elle semblait avoir été trafiquée, était-ce Alain ou Monsieur Didier?

Je me replonge dans mon rangement et le soir quand Pierre-Henri rentre, il me dit qu'il a déjeuné avec Alain et qu'ils ont parlé de moi. Je tremble. Que se sont-ils dits? Qu'a raconté Alain?

— Alain t'a trouvé vraiment très gentille et très agréable. Il t'apprécie depuis toujours et il veut te proposer quelque chose quand je serais en mission...

— Ah bon! Quoi?

— Il serait ravi que tu viennes passez les week-ends avec les enfants. Il sait que tes parents sont loin dans le sud et que les miens ne sont pas à côté. Rosalinde sait très bien s'occuper des enfants et comme cela tu pourras souffler un peu.

— En parlant, de sud, tu te souviens de Virginie?

— Oui bien sûr! Quand on la croise une fois, on ne peut pas l'oublier.

— Eh bien! Elle m'a proposé de venir passer quelques jours dans leur propriété du Lubéron...

— Mais bien sûr! On t'organisera cela. Mais pour ce week-end, on reste tranquille à la maison.

Nous faisons un week-end cocooning dans l'appartement, malgré le beau temps, nous décidons de rester à l'aise. Nous jouons avec les enfants, nous regardons la télévision assis sur le canapé.

A l'heure fatidique, je trouve une excuse pour aller m'isoler dans la salle de bain, écrire le "S", prendre la photo, l'envoyer.

Dans l'après-midi, lorsque Pierre-Henri passe sa main sur ma cuisse sous ma robe avec les enfants pas loin, je réagis à ses caresses et quand le soir nous nous retrouvons au lit, je suis tellement trempée que je ne résiste pas longtemps et l'accueille en moi. Il entre dans ma chatte trempée. Je ferme les yeux et je jouis plusieurs fois avant qu'il ne jouisse à son tour et me remplisse de son foutre.

Le dimanche se passe de la même manière. Nous décidons même de ne pas nous rendre à l'église.

Le soir, alors que nous venons encore de faire l'amour, je réalise que Monsieur Didier a raison, ma vie se résume à m'occuper des enfants, de la maison, attendre le retour de mon mari, me faire baiser par lui quand il est là... Décidément, où est passé la Natacha Lambert-Wilson, jeune avocate féministe qui devait devenir un des ténors du barreau? A quel moment, ai-je raté quelque chose?

Il faudra que j'en parle à Pierre-Henri. Je pourrais peut-être reprendre une activité professionnelle. J'ai encore quelques relations et en demandant à mon père, il pourra surement me trouver une place dans un cabinet.

Le lendemain, quand je me lève, toutes mes idées du soir ont disparu. Il faut que je m'occupe des enfants et de mon mari. J'ai des remords de l'avoir trompé. Il faut que cela cesse. Satisfaite de ma résolution, je prépare les enfants pour l'école.

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