Bourgeoises Rééduquées : Partie 10

Informations sur Récit
Le calvaire de Charlotte et Natacha continue.
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Partie 10 de la série de 12 pièces

Actualisé 06/13/2023
Créé 06/13/2020
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Cette histoire est le fruit d'une collaboration épistolaire avec Trouchard. Chaque personnage raconte son point de vue, de ce fait certaines situations peuvent être répétées selon le ressenti de chaque personnage.

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Nouvelles Epreuves

Didier :

Lundi soir, 21h00, j'arrive enfin chez moi, épuisé de mon week-end avec Philippe. Mais bon, il a maintenant une petite secrétaire toute dévouée. Je jette mon sac dans un coin, me sert un verre et m'affale dans mon canapé.

J'ai envie de voir Charlotte, elle m'a manqué ma petite chienne. Je prends mon téléphone, trouve son numéro et lui envoie un SMS : "Trouve un prétexte! Chez moi dans 10 minutes!"

Je regarde la grande horloge fixée sur le mur. Il ne se passe pas dix minutes avant que l'on frappe à la porte.

— Entre!

Charlotte pénètre dans mon appartement. Elle porte un jogging un peu informe. Je suppose que c'est ce qu'elle doit mettre quand elle est tranquille chez elle. Je fronce les sourcils. Elle le voit et baisse la tête gênée. Puis elle se dépêche de venir au centre de la pièce, de se déshabiller et de se mettre en position au milieu du salon, jambes écartées, mains sur la tête, regard fixé sur le mur au-dessus de moi.

Je la regarde pendant un bon moment sans parler. Elle attend sans broncher.

— Comment vas-tu petite chienne?

— Bien Monsieur!

— C'était quoi cette tenue horrible?

— Je suis désolé Monsieur, je n'ai pas eu le temps de me changer et mon mari se serait posé des questions si je l'avais fait.

— D'accord, j'avais envie de te punir pour ça, mais tu as une excuse. Est-ce que tu as fait quelque chose pendant ces quatre jours, qui mériterait une punition?

Elle réfléchit et me dit :

— Non Monsieur!

— Tu es sûre?

Je vois que le doute s'installe dans son esprit. Elle doit se demander si je sais qu'elle m'a désobéi pour une chose ou si je bluffe. Mal assurée, elle répond :

— Euuuhhh non Monsieur!

— As-tu toujours eu le plug?

— Oui Monsieur, comme vous me l'aviez demandé. Tous les jours je le mets avant le travail et le retire au retour chez moi.

— Et ce week-end?

Elle réfléchit encore, je la vois trembler. Elle doit essayer de se rappeler mes instructions pour savoir si elle devait le porter ou non.

— Je ne l'avais pas Monsieur.

— As-tu baisé avec ton mari?

Je la vois souffler de soulagement à mon changement de sujet.

— Oui Monsieur!

— As-tu joui?

— Non Monsieur!

— Depuis combien de temps n'as-tu pas joui?

— Depuis le week-end chez votre ami, quand vous m'avez fait jouir Monsieur!

— Ça te manque petite chienne?

— Oui Monsieur! S'il vous plaît Monsieur, puis-je parler?

— Je t'écoute!

Je la vois alors s'agenouiller à mes pieds, baisser la tête, les mains dans le dos et dire.

— S'il vous plaît Monsieur, je vous supplie de me sodomiser. J'ai besoin de sentir votre bite dans mon cul, S'il vous plaît Monsieur...

— Ah, ah! Tu veux échapper au plug! Je dis non, pas tout de suite. Retourne te mettre en position!

Elle se relève et se replace debout au milieu du salon. Je sors de mon canapé et m'approche d'elle. Je fais le tour de son corps en faisant glisser un doigt sur sa peau blanche. Je le passe sur sa poitrine, son ventre, ses hanches, ses fesses. Elle frissonne. Je me replace alors face à elle, mon visage très près du sien.

— Embrasse-moi!

Elle est tout d'abord interloquée, puis elle réagit et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue dardée contre ma bouche. Je l'ouvre et lui laisse titiller la mienne. Nous avons un long baiser langoureux, elle les mains sur la tête, moi les mains sur son gros cul.

Puis, je romps le contact. Je vois qu'elle est désorientée, se demandant sûrement la raison de cet acte. Je retourne m'asseoir sur le canapé et je lui dis :

— Je vais t'autoriser à jouir ce soir. Mais, je suis épuisée et je ne peux rien faire. Alors débrouille-toi avec ma bite!

Elle s'approche de moi et s'agenouille. Elle défait mon pantalon et sort ma bite semi-raide avec précaution, comme s'il s'agissait d'un trésor. Elle la lèche lentement avant de la prendre en bouche. Il ne faut pas longtemps avant que je bande comme un âne.

Elle lâche alors mon engin, monte au-dessus de moi, les genoux sur le canapé. Puis elle reprend ma bite et la guide alors qu'elle s'empale dessus. Nous gémissons en cœur. Elle pose ses mains sur mes cuisses et commence à monter et descendre sur ma queue. Je lui prends les seins et les tripote, tirant sur ses mamelons bien durs. Elle semble ne pas sentir la douleur. Elle a fermé les yeux et sa respiration est rapide. De la sueur apparaît sur son front. Elle commence à accélérer le mouvement et bientôt je la vois pousser un cri en souriant. Elle vient de jouir, ma bite nage dans sa chatte humide. Elle tremble et je sens qu'elle n'a plus beaucoup de force pour bouger. Je mets alors mes mains sous ses fesses et je la soulève puis la repose. Après quelques répétitions de ce mouvement, je remplis son ventre de ma semence.

Nous restons ensuite immobiles quelques secondes. Je fais glisser Charlotte sur le canapé à côté de moi et lui laisse reprendre ses esprits. Après une ou deux minutes, sans que je dise quoi que ce soit, elle glisse du canapé pour s'agenouiller devant moi et s'applique à bien nettoyer ma bite.

— Tu as aimé petite chienne?

— Oui Monsieur, Merci Monsieur!

— J'espère que tu en as profité, parce que tu ne sais pas quand tu auras le droit de jouir à nouveau. D'ailleurs, je veux qu'avant de mettre le plug le matin et après l'avoir enlevé le soir, tu te caresses et que tu arrêtes juste avant l'orgasme. Je veux que tu sois continuellement excitée. Compris?

— Oui Monsieur!

— Bon va rejoindre ton mari, il va s'inquiéter!

— Oui Monsieur!

Elle va récupérer ses vêtements et les tient en boule sur sa poitrine. Elle se dirige vers la porte. Elle s'habillera sur mon palier. Alors qu'elle a la main sur la poignée, je la vois hésiter et se tourner vers moi.

— Monsieur?

— Oui quoi?

— Je voulais vous dire que mon mari a accepté un poste à l'étranger. Il part samedi pour trois mois.

— Ok!

Elle sort et referme la porte. Voilà que ça m'ouvre d'autres perspectives. Mais j'y penserai plus tard. Il faut que je me couche et me repose, j'ai une journée bien remplie le lendemain. Et mon ami Alain sera chez moi tôt.

Le lendemain matin, Alain et moi prenons un café dans un bar face à l'appartement de Natacha. Nous parlons de la secrétaire de Philippe, Agnès. Nous attendons que Natacha revienne de l'école. Elle devrait être seule toute la journée, Alain m'ayant averti que son mari est en débriefing au ministère pour sa dernière opération. Bientôt nous la voyons arriver les mains sur la poussette avec le petit dernier. Elle porte un jean avec un petit pull léger. Nous décidons de la rejoindre.

— Bonjour petite salope!

— Hein! Euhhhh.... Bonjour Monsieur Didier, bonjour Alain!

Je la vois étonnée et un peu effrayée de nous voir. Je me tourne vers mon ami et lui dit :

— Tu ne trouves pas qu'elle est un peu familière avec toi? A moi elle me dit Monsieur.

— Oui c'est une chose à régler! Me dit Alain l'air sévère.

Elle ouvre de grands yeux en entendant notre échange.

— Allez, invite-nous chez toi! Tu vas appeler le père Sylvain pour lui dire que ton gamin est malade et que tu ne peux pas le rejoindre.

Elle ne dit rien et ouvre la porte de son immeuble. Nous voilà bientôt chez elle. Elle prend le petit Baptiste endormi et l'emmène dans son petit lit. Puis elle téléphone au père Sylvain. Nous nous sommes installés sur le canapé dans le salon. Quand elle revient, elle semble embêtée, elle tord ses mains. Je la vois prendre une grande inspiration et dire :

— Écoutez-moi s'il vous plaît, tout ce qui s'est passé n'aurait pas dû se produire. J'aime mon mari et je n'aurai jamais dû le tromper.

Elle voit que mon visage se ferme.

— Euhhh... Je vous remercie... J'ai apprécié l'attention que vous m'avez porté... Mais je ne peux pas continuer...

Je la regarde encore plus durement. Je fixe ses yeux. Je vois une larme se former. Elle n'arrive pas à soutenir mon regard et baisse la tête.

— C'est vraiment ce que tu veux? Tu as oublié notre discussion? Il faut que je te remontre les photos que tu nous as envoyées? Je parierais ma fortune sur une chose : Je suis sûr que depuis que tu nous as vus ce matin tu mouilles, ce n'est pas vrai?

Elle ne répond pas. Je continue alors :

— Voilà ce que l'on va faire. Soit tu nous dis de sortir tout de suite, soit tu te déshabilles!

Elle hésite pendant une minute en tordant ses mains devant elle, tête toujours baissée. Je la vois rougir sous ses cheveux blonds. Enfin, elle se baisse et enlève ses chaussures. Ensuite elle tire son pull au-dessus de sa tête, déboutonne son pantalon qu'elle laisse tomber. Puis c'est l'ensemble soutien-gorge et culotte qui rejoint le tas de vêtements. Elle n'ose toujours pas nous regarder et se couvre les seins avec un bras, l'autre main cachant son sexe.

— Mains sur la tête! Jambes écartées! Tête haute! Ordonné-je d'une voix qui ne laisse aucune alternative.

Apeurée, elle s'exécute. Une larme coule sur sa joue.

— Tu as fait le bon choix, Natacha. Mais, nous devons te punir pour ton manque de respect vis à vis d'Alain et ton manque d'obéissance. C'est Monsieur Alain quand vous êtes en privé. Compris?

— Oui Monsieur Didier! Excusez-moi Monsieur Alain.

Je me lève du canapé, suivi d'Alain et nous faisons le tour de Natacha en la palpant et la tripotant.

— Joli cul, même si la cellulite commence à apparaître.

— Et ces seins, de vraies mamelles de vache nourricière.

— Elle a gardé un ventre plat malgré s'être fait engrosser plusieurs fois.

Mon but est de l'humilier afin qu'elle soit plus malléable. Alain me connaît et suit mon exemple. Cette fois, ce sont plusieurs larmes qui coulent sur le visage tout rouge de Natacha.

— Dis Alain, je viens de parier ma fortune, tu ne veux pas voir si j'ai raison.

Mon ami ne se fait pas prier, il descend sa main sur la chatte de Natacha, la fait glisser sur sa fente et introduit deux doigts rapidement dans son sexe. Il les ressort presque immédiatement et il me les montre. Ses phalanges luisent de la mouille de la mère de famille.

— Tu vois que j'avais raison petite salope, tu mouilles donc je suppose que tu aimes ce traitement.

Elle baisse la tête en sanglotant.

— REPONDS!

— Euhh... oui Monsieur Didier!

— Bien, lèche les doigts d'Alain!

Elle ouvre la bouche pour laisser entrer les doigts de mon ami et elle s'applique avec sa langue à bien les nettoyer.

— Bon! Passons aux choses sérieuses. Tu sais que tu dois être punie. Je n'ai pas amené ma badine, donc nous allons te fouetter avec nos ceintures, cinq coups pour ton manque de respect envers Alain et cinq coups pour ta désobéissance. Est-ce que ça te paraît correct petite chienne?

— Oui, Monsieur Didier.

Je vois dans ses yeux qu'elle a peur. Je lui explique les règles :

— Tu compteras chaque coup et nous remercieras. Je veux que tu restes debout. Si tu t'écroules, je doublerai le nombre de coups. Compris?

— Oui, Monsieur Didier!

Alain s'est placé derrière elle. Je lui fais un signe de tête et il abat immédiatement sa ceinture en cuir sur le fessier de la belle. Elle crie, sursaute et a un mouvement involontaire de fuite en avant. Mais elle se ressaisit très vite et se remet en position :

— Un, Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain!

A mon tour, je fais claquer ma ceinture sur ses cuisses.

— Ouille! Deux, Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain.

Avec mon compère nous alternons nos coups, lui derrière, moi devant. Natacha continue de compter, mais bientôt elle pleure à chaudes larmes tout en serrant les dents. Je suis le dernier à la frapper. Ma ceinture s'abat en travers de ses seins et laisse une belle traînée rouge.

— Ouille ouille, snif... Dix... snif... Merci... snif... Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain.

Je m'approche d'elle et essuie de ma main les larmes qui coulent le long de ses joues. Son corps est couvert de striures rouges, mais ce sont ses cuisses et son cul qui ont le plus pris.

— Je crois qu'il va falloir que tu caches le résultat de ta punition à ton mari pendant un ou deux jours. Mais tu as bien résisté Natacha et je suis très fier de toi! Qu'en penses-tu Alain, elle mérite une récompense?

— Oui pour sûr!

— Bien! A genoux petite soumise, tu vas nous sucer.

Dans la seconde elle s'exécute et sort nos bites de nos pantalons. Elle commence à nous faire une fellation digne d'une professionnelle. Elle alterne entre Alain et moi. Elle y met vraiment de l'énergie, elle veut vraiment nous faire plaisir. Je sens que je ne vais pas résister longtemps à ce traitement. Alors je lui fais lâcher ma queue et je vais m'asseoir sur son canapé.

— Viens me chevaucher petite chienne! Dis-je

Elle laisse la bite d'Alain et viens se positionner au-dessus de moi avant de s'empaler sur mon membre qui rentre sans difficulté dans sa chatte bien humide. Elle se lève et descend sur mon sexe plusieurs fois avant que je passe mes mains derrière elle pour l'attirer sur mon torse. Sur le moment elle ne comprend pas pourquoi. Mais quand Alain se positionne derrière elle, sa bite sur son petit trou, elle grimace.

Mon ami force l'entrée interdite, et pénètre son cul déjà bien endolori. Natacha pousse un cri de douleur, mais je vois sur son visage que la douleur disparaît devant le plaisir d'être complètement pénétrée. Tandis que nous la baisons en rythme, je vois de l'extase sur son visage. Elle a les yeux fermés et passe sa langue sur ses lèvres. Il faut peu de temps avant qu'elle pousse un long cri de bien-être et s'écroule sur mon épaule. Nous continuons à la baiser et lui provoquons des répliques de l'orgasme qu'elle vient de subir. Elle n'arrête pas de gémir de plaisir sur mon épaule. Involontairement elle pousse son cul sur nos bites pour que nous nous enfoncions encore plus en elle.

Quelques minutes plus tard, Alain et moi jouissons et remplissons son ventre de nos foutres. Alain se retire et vient s'asseoir à côté de moi. Je soulève le corps inerte de Natacha pour le poser de l'autre côté. Elle a toujours les yeux fermés, la respiration très lourde, elle est épuisée de sa série d'orgasme.

Je la laisse récupérer pendant cinq minutes, puis je lui tapote la joue. Elle ouvre les yeux.

— Nettoie-nous! Dis-je.

Avec difficulté, elle sort du canapé pour se placer entre nos jambes et lécher soigneusement nos attributs virils.

— Tu n'as pas une petite faim Alain?

— Oui, l'exercice ça creuse.

— Quand tu auras fini de nettoyer, tu seras gentille et tu iras nous préparer quelque chose à manger. D'accord petite chienne?

— Oui Monsieur Didier! Dit-elle après avoir sorti ma bite de sa bouche.

Quelques instants plus tard elle se lève et se dirige vers sa cuisine. Nous regardons son corps strié de rouge, un mélange de sperme et jus glissant sur ses cuisses. Elle nous tourne le dos pour nous préparer des sandwichs.

Alain se lève alors et la rejoint. Il la recule légèrement du plan de travail, écarte ses jambes avec ses pieds et pénètre sa chatte d'un coup sec. Elle pousse un long gémissement :

— Ooooooooohhhhhhhhhhhhhh

Alain agrippe ses seins et commence à la baiser violemment. Il prend de l'élan pour bien enfoncer sa bite au plus profond. Natacha abandonne son travail sur les sandwichs. Elle agrippe le plan de travail pour se tenir sous les assauts répétés de mon ami. Bientôt elle jouit à nouveau, accompagné d'Alain qui se vide une nouvelle fois en elle.

Après s'être fait nettoyer, mon compère me rejoint sur le canapé, un sourire de satisfaction sur son visage. Dix minutes plus tard, Natacha, fatiguée, revient avec un plateau chargé de sandwichs et boissons. Elle pose le tout sur la table basse et attend, debout, ses prochaines instructions. Nous nous servons et je dis :

— Suce-nous!

Elle se remet à genoux et s'applique à nous faire plaisir. Alain et moi mangeons avec appétit pendant que la mère de famille nous tire des gémissements de bonheur. J'éjacule dans sa bouche en pensant qu'il faut bien qu'elle se restaure elle aussi. Elle avale sans un mot avant de retourner s'occuper d'Alain.

A la fin de notre casse-croûte improvisé, je sors de la poche de mon manteau un collier en cuir que je tends à Natacha.

— Désormais, tu garderas ça avec toi et tu le mettras quand tu dois nous rencontrer.

Elle est effarée devant ce collier et ses yeux s'agrandissent quand elle voit l'inscription gravée dessus : « S : Salope, suceuse, soumise ». Je sens qu'elle veut protester, mais elle réfléchit et baisse la tête en disant :

— Bien, Monsieur Didier.

Avec Alain nous nous rhabillons, et après une dernière claque sur le cul de notre hôtesse, nous sortons de chez elle. Je quitte mon ami sur le trottoir. Je veux passer à l'agence pour voir si Charlotte continue de suivre mes instructions.

Dix minutes plus tard, j'entre en trombe dans la boutique et me dirige vers le bureau de Charlotte, sous le regard ébahi d'Adeline.

Je ferme la porte du bureau et regarde Charlotte se lever et venir au milieu de la pièce. Elle porte une robe qu'elle commence à déboutonner. Je l'arrête tout de suite :

— Attends! Tourne-toi et penche-toi!

Elle m'obéit. Je trousse sa robe et je vois qu'elle porte bien le plug et qu'elle n'a pas de petite culotte.

— Bien redresse-toi et tourne-toi!

Elle m'obéit encore et reste immobile, les bras sur le côté.

— T'es-tu caressée ce matin comme je l'avais demandé?

— Oui Monsieur Didier :

— As-tu joui?

— Oh non, Monsieur Didier!

— Es-tu excitée?

Elle rougit, de ce beau rouge qui ne va qu'aux rousses. Elle me répond honnêtement :

— Oui Monsieur Didier, très!

— As-tu envie de ma bite?

— Oui Monsieur Didier, s'il vous plaît Monsieur Didier!

Je la vois hésiter un moment, puis prenant son courage à deux mains, elle continue :

— Je suis prête à vous satisfaire comme vous le voulez Monsieur Didier. Je suis totalement à vous. Vous pouvez faire ce que vous voulez de moi. Baisez-moi Monsieur Didier, je ne veux que votre plaisir.

Je vois l'envie dans ses yeux. Elle ne ment pas, elle veut me faire plaisir et se faire plaisir en même temps. Je souris et lui réponds :

— Pas maintenant, je viens de bien baiser une salope et je suis fatiguée.

La consternation s'affiche sur son visage. Ses yeux viennent de lancer des éclairs meurtriers. Elle est jalouse. Elle se demande sûrement qui ose lui prendre son maître. Je la laisse réfléchir et fulminer. Je quitte son bureau aussi rapidement que je suis venue et je sors de l'agence. Du coin de l'œil, je vois la jeune Adeline se précipiter dans le bureau de sa patronne.

******

Charlotte

Je viens à peine de me poser sur le canapé devant la série du soir que mon téléphone vibre : "Trouve un prétexte! Chez moi dans 10 minutes!". Je me mors les lèvres, j'ai presque joui en recevant ce message. Je regarde mon mari qui est sur son ordinateur à préparer son départ. Il fait à peine attention à moi.

Je panique. Comment faire, pour aller rejoindre Monsieur Didier, quel prétexte trouver? En plus, je suis en pull et jogging, ce n'est absolument pas la tenue qui va plaire à Monsieur Didier. Mais si je me change, François va se poser des questions.

— Chéri! Monsieur Didier vient de me dire que j'ai oublié quelque chose chez lui, il vient de le retrouver... Je vais le chercher, je reviens vite.

— Oui, oui! Pas de problème, vas-y!

Quelques minutes plus tard, je frappe à la porte de Monsieur Didier. Je crains un peu sa réaction en me voyant dans cette tenue.

J'entre, je me mets nue et je lui explique. Je suis soulagée en constatant qu'il comprend la situation. J'ai un peu peur quand il me parle des consignes qu'il m'avait données. Il n'a que ma parole. Je ne saurais pas lui mentir, il doit le savoir. Je lui dis donc la vérité, que j'ai porte le plug comme je devais le faire et que je n'ai pas joui depuis le dimanche chez Alain, même ce week-end avec mon mari quand nous avons fait l'amour.

Verdu
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