Brandi et Le Valet de Pique

BÊTA PUBLIQUE

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Soudain, quelqu'un tambourine contre la lourde porte : le bruit sourd glace le sang de Brandi.

- Ouvrez-moi! Il faut que nous parlions.

- Partez ou j'appelle la police!

- Nous ne pouvons pas rester sur ce malentendu. Ma femme part pour la semaine : passez ce soir à la maison, nous dinerons et repartirons de zéro.

- Je n'ai pas envie de repartir à zéro. Sortez de ma vie!

La femme médecin s'adosse contre la porte et elle glisse son téléphone au fond de sa poche. Son kimono entrouvert sur son corps, son ventre musclé et son sexe lisse ; d'un mouvement d'épaules, elle contraint le bout de tissu à glisser vers le sol.

Quel plan machiavélique avait-elle en tête? Elle fait un pas et se retourne face à la porte, elle pose ses doigts sur la clé.

- Dites-moi que vous d'accord, Brandi! Ce soir chez moi à 20 heures?

- C'est d'accord! Mais je vous préviens, tout de suite, s'il y a une entourloupe, j'ai mes entrées au commissariat.

- Rassurez-vous, j'ai trop à perdre.

Le silence s'éternise... Brandi est nue et elle fixe la clé...

- Partez à présent!

Est-il encore là? Elle colle son oreille à la porte, sa poitrine heurte l'aluminium glacé, mais elle n'entend aucun son. Fière de sa plastique, elle fait les cent pas entre le couloir et le salon dans l'attente d'un silence perpétuel qui la rassurerait. Va-t-elle ouvrir le volet qui donne sur le portillon pour vérifier qu'elle est définitivement seule?

La tension habite encore quelques minutes ses nerfs, avant que la fatigue ne la pousse vers l'un des canapés. Elle réchauffa sa place et plongea dans le monde des rêves.

Le soir suivant...

Dans sa luxueuse demeure, le docteur Paul Planck a commandé un diner chez le traiteur. Il prépare une boite de préservatif et par précaution, il en glisse un dans la poche de son pantalon.

Pendant ce temps, dans la demeure de Brandi Desmarets, la situation était des plus étrange. Pourquoi rentrait-elle dans le jeu de Paul? Pourquoi avait-elle capitulé? Elle prit un long bain chaud qui embruma les miroirs.

Avant de quitter la salle de bains, elle ouvrit amplement les fenêtres pour en faire sortir l'humidité.

Elle revêtit une robe courte sans bretelle, des bas et une paire d'escarpins.

Au salon, elle passa entre les meubles pour vérifier l'agencement du mobilier, elle déplaça un coussin et sur la sellette derrière l'un des deux canapés, elle repositionna sa nouvelle lampe de table galet que lui avait installé Madame Rodriguez.

A quoi jouait-elle?

Le docteur Planck est prêt. Il fait une dernière fois le tour de -- son -- salon et tressaille en réalisant l'heure. Pour la première fois de sa vie, il est nerveux ; il roule des épaules pour se décontracter...

Depuis qu'elle l'avait pris entre ses doigts manucurés et depuis qu'elle s'était insoumise à lui, il avait éperdument envie d'elle.

Elle était déjà en retard!

Les minutes semblent des quarts d'heure ; il s'en va consulter son téléphone et même, sort jusque sur le trottoir au cas où elle se soit perdue dans le quartier.

A 20 heures 30, il appelle, mais personne ne décroche. Dernière solution pour ne pas exploser : un texto.

- Que faites-vous? Avez-vous un problème?

Le joueur voyait un drame là où il n'y en avait pas.

A l'autre bout de la ville, un sourire narquois s'affiche sur les lèvres épaissement peinte. Sereinement assise sur son canapé, Brandi esquisse la probabilité d'une furieuse visite.

A 23 heures, elle file vers la cuisine où elle se sert un verre de vin rouge. Le temps de prendre du plaisir avec son bouquet floral, un craquement à l'étage l'interrompt ; elle se perd dans ses pensées et déroutée, elle pose son verre, avant de hâter ses pas jusqu'au pied de l'escalier :

- Que faites-vous là?

En haut de l'escalier, la silhouette de Paul Planck s'impose, froissé au propre comme au figuré, mais triomphant. Il était passé par l'une des fenêtres de la salle de bains et Brandi n'avait pas scénarisé cela : ça pouvait mal finir.

Brandi est prise d'une réelle angoisse, elle recule pour éviter la future confrontation.

- Pourquoi n'êtes-vous pas venue?

- Je n'en avais pas envie.

- A quoi jouez-vous Docteure?

Elle se précipite vers la console pour y prendre sa bombe lacrymo. Paul s'immobilise à deux marches du tapi et il esquisse un rictus narquois.

- Vous ne devez même pas savoir vous en servir!

Son regard cherche un doute ou une hésitation chez la quadragénaire, mais l'érotisme de sa robe sans bretelle le perturbe.

- Vous n'êtes qu'une sale petite allumeuse. Probablement la meilleure.

- Taisez-vous!

Las, Paul s'assied sur l'avant dernière marche en fixant l'une des deux bombes.

- Où est-ce que l'on va comme ça?

Brandi baisse son arme et soupire, avant d'aller récupérer son verre à la cuisine.

Une trentaine de seconde plus tard, elle revient avec un second verre qu'elle offre à Paul, avant d'entrer tous les deux au salon.

- Il faut que l'on parle.

- Vous me rendez fou.

Paul l'observe s'asseoir sur le canapé et Brandi, de son index tyrannique, lui indique le canapé d'en face.

- Excusez-moi!

- Je n'accepte pas vos excuses.

- Je vous demande de me pardonner. Dites quelques choses!

- Que vous êtes un connard? Gagner vingt mille euros pour se faire toucher la bite, j'appelle cela un jeu de con!

Le docteur Planck reste silencieux face au juge.

- Que pense votre femme de vos jeux idiots?

- Cela ne vous regarde pas.

- J'imagine la perspective d'un divorce à cinq zéros?

L'ironie le submerge et l'alarme.

- Plutôt six! Madame a une expertise sur les ruptures.

- Oui, vous êtes bien renseigné : deux fois.

Il soupire et avale d'un trait la fin de son verre. Enivré par l'alcool et la fatigue, il se dresse sur ses jambes.

- Il faut que je vous quitte.

- Qu'est-ce que vingt mille euros?

Paul fixe Brandi, il ne comprend pas, glousse, mais le rictus sadique promis de prolonger la soirée.

- Que voulez-vous dire?

- Vous allez me faire un chèque de vingt mille euros : c'est de l'argent que vous avez gagné sur mon dos n'est-ce pas? Nous dirons que c'est pour laver mon honneur et ainsi, j'accepterai vos excuses.

Une nouvelle fois, l'inspiration de Paul reste bloquée au fond de sa gorge, son regard s'égare sur le mobilier et Brandi pose bruyamment son verre.

- Alors?

- Mais... Vous n'y pensez pas?

- Vous n'avez plus envie de jouer?

- Pourquoi le ferais-je?

Elle fixe la braguette apaisée de cet homme sur le départ qui sans trop comprendre, flatté, risque ses yeux sur deux seins bien bordés dans un engageant décolleté.

- Ce soir, vous êtes rentré chez moi par effraction et vous avez tenté d'abuser de moi.

- Quoi?

Paul rigole juste avant que Brandi ne tire vigoureusement sur son décolleté qui craque, avant de libérer un sein généreux.

- Non! Arrêtez! Que faites-vous?

Le regard de Paul est hypnotisé par ce sein lourd et cette aréole claire qui le dévisage.

- Assis docteur Planck!

Un peu étourdi, Paul s'exécute. Il se pose lourdement, passe sa main sur le cuir et son regard vagabonde sur le sol.

- Mais vous êtes...

- ... folle? Vous commencez sérieusement à m'agacer monsieur l'agresseur! Vingt milles est trop cher payé pour vous? Soit! Que direz-vous de quarante mille euros? Mon prix vient d'augmenter et c'est celui pour acheter mon silence aux yeux de votre femme.

Nerveux, il pousse un autre rire.

- Elle ne vaut pas cette somme de dingue.

- Elle sera contente de l'apprendre.

- Vous n'êtes pas sérieuse? Ne le prenez pas mal : quarante mille?

- Auriez-vous l'illumination?

- Avec cette somme, vous me garantissez votre silence auprès d'elle?

- Je suis une femme d'honneur!

- Je trouve que c'est disproportionné, mais j'aimerais négocier.

Brandi mime un « non » qui laisse Paul de marbre.

- Pour cette somme, puis-je avoir l'honneur de vous saillir?

Brandi ouvre de grands yeux et se retient de rire.

- Me saillir?

- Juste une fois. Avouer que ma queue vous a laissé sans voix? Alors donnant donnant? Un coursier vous apportera votre chèque demain matin.

- Ça vient de passer à cinquante mille euros!

- Arrêtez!

- Cessez de me prendre pour une putain! Je suis simplement une femme qui aime le sexe.

Paul place son visage entre ses deux mains.

- Vous me tenez par les couilles. Vous savez, je ne fais pas fortune en jouant aux cartes!

- D'accord.

Paul redresse la tête, fixe cette bouche qui lui lut les termes d'un accord.

- Cinquante mille euros et je fixe les règles : si vous me violentez, tentez de me sodomiser ou de me traiter comme une pute, vos couilles vous feront bien plus mal que dans vos pires cauchemars.

Le fautif réalise que le verdict n'allait lui couter que cinquante mille euros.

Le docteur Planck se lève et sort vulgairement son sexe. Se rapprochant du bord de son canapé, Brandi esquisse un sourire.

- Où en étions-nous?

Paul contourne la table.

- Plus ou moins là!

Brandi tend ses doigts vers la pièce de chair dressée et la caresse du bout des ongles, des doigts...

- C'est pour ce genre de comportement que des hommes finissent seul. Ce n'est pas ce que vous voulez?

Les doigts de Brandi testent la rigidité du membre ébène et préfèrent le soumettre à la verticale pour permettre à sa bouche d'embrasser délicatement les deux gros abricots fraichement rasés.

Paul ferme les yeux et renverse la tête pour la ressentir, remonter, jusqu'au gland où une paire de lèvres tente de le capturer... entièrement... mais vainement. Elle l'enduit de salive, sa langue fait reluire le gland rose, alors que ses doigts cajolent les gros testicules.

Sa bouche dépose un baiser, le regard autoritaire cherche celui du soumis qui n'assume pas, alors elle l'attaque avec ses incisives et les regards se croisent, le sexe de Paul se dresse, plus neveux que jamais et trébuche sur le visage.

- Vous êtes à cran n'est-ce pas?

Paul détourne le regard et fait un pas en arrière pour échapper à la folie d'une femme. Il souffle... Se calme... Le front de Brandi se fronce, un sourire moqueur se dessine et ses doigts autoritaires agrippent le gros membre.

- Venez là! Auriez-vous des problèmes, Paul?

- Fermez-la!

Despotique, elle le lâche et s'interrompt.

- Non! Pardonnez-moi, s'il vous plait!

- Déshabillez-vous.

Pendant cette mi-temps, l'index de Brandi diagnostique la commissure de ses lèvres « abîmée » de n'avoir pu accueillir le gros présent.

Alors que Paul se retrouve entièrement nu, la doctoresse se lève pour ôter sa robe, dévoiler une paire de bas et un fragile string de couleur noir. Aussitôt, « l'animal » rue ses deux mains sur la poitrine qu'il malaxe grossièrement sur les moqueries de Brandi. Excédée par un plaisir arbitraire, elle se libère de l'emprise en allant se poser à genou sur le canapé.

- Venez me faire voir ce que vous faites avec votre langue!

Brandi fixe sa position sur le cuir, puis s'accoude sur le dossier, ses fesses sportives et cambrées vers le mâle. Son regard ne peut ignorer la lampe aux galets. Embarrassé par la table basse et son érection, Paul écarte la première et branle fermement la seconde.

Il pose un genou à terre, écarte le bout de dentelle et plante sa langue dans le con trempé. Il s'abreuve, le gout, l'odeur le déraisonnent et le poussent au dépassement. Paul grogne, son sexe dressé frotte et cogne contre le cuir qu'il ensemence de quelques trainés. Brandi se cramponne au dossier et ferme les yeux, lorsqu'un doigt pénètre sa fente. La fouille n'efface pas le bonheur d'une grosse langue, mais le mouvement répété, couplé à un second doigt suffit à lui procurer un troublant plaisir.

- Voulez-vous me montrer que vous n'êtes pas stupide?

Fasciné par la promesse, Paul se redresse et file en direction de son pantalon ; il fouille ses poches, pendant que le visage de Brandi se réjouis de son soumis.

- Ne deconnez pas!

- Promis Madame.

Brandi libère une place en avançant sur les genoux ; derrière elle, le sexe protégé balance, Paul le saisit et immobilise son dard sur la fente trop étroite et force... Brandi serre les dents, grimace, le gland entre... imperceptiblement... et disparait. Paul anime son bassin, soigneusement, alors que la main droite de Brandi supervise la profondeur de la visite. Elle retient son souffle, tortille sa bouche, hésite à l'interrompre, puis il entre un peu plus profondément en elle.

Imperceptiblement, la moitié du membre se fait une place.

- N'allez pas plus loin!

Paul n'en a pas besoin, les gémissements de sa partenaire suffisent à son triomphe. Alors qu'elle sent le plaisir monter dans sa petite chatte, elle réaffirme son autorité.

- Retenez-vous!!!

Brandi prend définitivement la baise à son compte et traumatise son clitoris comme le faisait sa petite copine.

- Ne bougez plus!

Paul obéit et empalée, elle jouit sur l'énormité immobile en elle, ses cris de jeune vierge étaient déroutants dans la gorge d'une femme de son rang.

Brandi se retourna en laissant échapper le mandrin étrangement défaillant. Le canapé crissa et elle posa ses fesses sur le cuir où sa fente libéra le jus de sa jouissance.

- Je vais vous prendre entre mes doigts, puis, vous me finirez en levrette.

Cuisses vulgairement ouvertes au regard, Brandi joint ses mains câlines autour du bélier. Ragaillardit, le patient baise les mains, lorsque soudainement, l'unique capote de Paul se déchire.

La stupeur s'éternise dans le salon.

- Putain! Je n'en ai qu'une seule!

- Le ciel vous puni : allez-y docteur Planck. Honorez-moi!

Elle jette la capote au sol, cale son dos plus confortablement et contraint plus fort ses doigts autour du sexe dévêtu. Quitte à être ridicule, Paul va lui montrer ce que c'est qu'un vrai mec : à défaut de sa croupe, il baisse ses doigts, ses mains, ses bras s'ébranlent et bientôt, son corps tout entier. Il pose son regard sur les deux joyaux qui ballottent sous ses yeux et ne tarde pas à ralentir, s'immobiliser sur la douleur... Sa voix devient plus grave et elle précède une copieuse jouissance qui éclabousse le ventre de Brandi ; des coulées épaisses et d'autres laiteuses s'agglutinent sur son ventre et près du nombril.

Vaincu sexuellement et financièrement, le docteur Paul Planck renfila son pantalon. Brandi prit quelques mouchoirs en papier et le corps parfumé d'une liqueur forte acceptable, elle essuya son corps.

Brandi raccompagna le joueur jusqu'à la porte où il réitéra sa promesse.

Dans le soudain silence de sa demeure, elle marcha jusqu'à sa lampe qu'elle prit fermement entre ses doigts : le bout de son index se referma sur l'objectif d'une caméra et de sa main libre, sous le luminaire, elle arrêta l'enregistrement.

Dix heures plus tard, la promesse fut tenue! Un coursier déposa une enveloppe matelassée au cabinet : elle contenait un chèque de cinquante mille euros.

Sa semaine avait été très fructueuse et à l'analyse de l'enregistrement, Brandi Desmarets s'interrogea : jusqu'où le docteur Planck serait-il prêt à aller pour sauver son mariage?

FIN

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Rarement j‘ai tellement joui lors d’une lecture. Super bien écrit!

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