Brian est en Irak Ch. 02

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Suite de la dégradation.
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Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 05/05/2022
Créé 09/23/2007
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Brian est appelé en Irak Ch 2

Brian is gone Ch 2

Coulybaca / Vulgus

Chapitre 2 : séance de poses et de baise, sous l'empire d'aphrodisiaques.

Il était presque 11 heures en cette matinée ensoleillée, beaucoup de gens traînaient dehors.

Des gens lavaient leurs voitures d'autres se dirigeaient vers la piscine d'autres encore se promenaient là où ils n'allaient jamais habituellement le samedi.

Chaque personne que l'on croisait arrêtait ce qu'elle faisait et braquait leurs yeux sur moi.

Les mâles reluquaient mes nichons clairement visibles et mon cul qui s'affichait à chacun de mes pas.

Les femmes arboraient des mines dégoûtées et choquées.

Ce quartier était surtout occupé par des jeunes célibataires et des couples informels qui vivaient ensembles où étaient récemment mariés.

J'avais déjà remarqué qu'ils observaient les promeneurs qui passaient dans leur azimut.

J'avais remarqué, la veille à la piscine, de nombreuses jeunes femmes arborant des bikinis minimums.

Aussi était-il évident à la vie de leur réaction que je leur offrais une vue enivrante de mes charmes largement dénudés.

Mais je ne pouvais que rougir et avancer en gardant la tête basse.

Nous nous dirigions vers la voiture de Tom et on offrit un spectacle folklorique en prenant place aux 4 places passagères. Je notais le nom de mes deux tourmenteurs inconnus lorsque Tom intervint :

- "Harry, tu es le plus petit, prend la place du milieu entre John et Steve, la salope s'assiéra sur vos genoux! ..."

Rory le plus costaud des cinq s'assit sur le siège passager à coté du conducteur et se retourna pour s'amuser des chamailleries des 3 autres qui se serrèrent sur la banquette arrière avant de m'attirer sur leurs genoux.

On était serré comme des sardines ce qui les fit hennir de joie.

Avant qu'ils ne referment les portes, Harry ouvrit ma chemise en grand et la repoussa sur mes épaules, offrant mes nibards à l'œil de la caméra et aux nombreux passants qui se trouvaient sur le parking.

Ils trouvèrent tous cela incroyablement amusant, j'étais horrifiée de n'être que leur marionnette.

Je n'avais aucune idée de l'endroit où nous nous rendions, je savais seulement qu'où que ce soit, je haïrais cet endroit, je détestais tout ce qui m'arrivait.

Je me lovais entre les bras d'Harry pour arrêter de heurter du crane le toit de la voiture, il se mit immédiatement à me malaxer les miches alors que John et Steve me caressaient les cuisses.

Ils m'écartèrent fortement les cuisses de façon à permettre à Rory de prendre des photos de plus en plus obscènes de mes appâts dénudés.

Tom nous emmena dans un quartier où se concentraient les affaires d'adultes et se gara dans un parking face à un bâtiment appelé "Le Caméra Club".

Il sortit de la voiture et dit :

- "Ca ne devrait pas être long! ....."

Dès qu'il était sorti de la voiture, je m'étais tournée sur la banquette, j'avais le dos contre la portière et mes jambes s'étalaient sur les hommes serrés sur la banquette.

Ils écartèrent mes jambes et houèrent avec mes appâts, riant cruellement de mes réactions.

L'un d'eux saisit un de mes mamelons dans sa bouche et après l'avoir fait darder, il le mordit cruellement, je hurlais et sautais de coté pour me libérer de ses dents imprimées dans ma chaire. Ils trouvèrent tous cela hilarant.

Lorsqu'ils en eurent marre de s'amuser avec mes tétons, Harry saisit rudement ma touffe de poils pubiens.

Il enroula ses doigts dans ma toison et tira fortement et lentement. , je cramponnais ses poignets cherchant vainement à freiner ses gestes, je hurlais de douleur le suppliant d'arrêter.

Ils riaient et riaient alors qu'ils tiraient de plus belle sur mes poils par longues saccades.

Il relâcha finalement mon buisson et montra à ses potes les mèches de poils qu'ils avaient arrachées à mon mont de Vénus.

Tandis que je le suppliais d'arrêter, Rory filmait toute la scène relatant mon extrême humiliation.

Enfin Tom revint et ses potes cessèrent de me tourmenter.

Je pleurais à chaudes larmes lorsque Tom se pencha dans l'habitacle et hurla :

- "Tout le monde dehors! ..."

J'essuyais mes yeux sur mes manches et pleurnichais :

- "Pourquoi me faites-vous subir cela? ....."

Lorsque je me tins debout à coté de la voiture, Tom se tourna vers moi me releva la tête et me répondit :

- "On te fait tout ça parce que ça nous amuse! .... T'es une sacrée allumeuse ma chérie! ...... Tu m'as laissé en plan la nuit dernière, alors que je voulais t'enculer, tu es repartie chez toi! .... Putain de salope..... Tu ne m'allumeras pas une seconde fois! ..... La prochaine fois qu'un des gars voudra t'enculer, tu lui tendras tes fesses... T'as compris ma belle salope frigide! ...."

- "Je ne suis pas une allumeuse! ..." m'exclamais-je vexée.

- "Je ne vous ai pas provoqué... J'ai juste dansé avec vous... Pensez-vous que toutes les filles qui dansent avec vous doivent coucher avec vous? ...."

Tom ricana et rétorqua :

- "Par l'enfer t'as fait bien plus que danser avec moi ma petite salope! ... T'as commença par passer une paire d'heures à me raconter à quel point tu te sentais seule et combien ton mari te manquait tout en balançant tes nichons et ton cul sous mes yeux ce qui me fit penser que t'avais surtout envie de te faire baiser! ...... Que t'étais surtout en manque de sexe! ..."

Puis tu m'as dit :

- "Je dois rentrer maintenant! ..." alors que je venais de passer toute la nuit à t'écouter délirer.

Je secouais la tête totalement incrédule, je ne m'étais pas comportée ainsi, je ne lui avais pas laissé espérer...

En fait, J'avais essayé de lui fausser compagnie à plusieurs reprises, mais il n'avait pas daigné relever mes insinuations.

- "Ce n'est pas du tout ce que je voulais! ..." soufflais-je sourdement.

Son visage affichait maintenant de la haine, il hurla :

- "Conneries, t'as passé des heures à m'allumer et, quand t'as eu bien pris ton pied, t'as voulu rentrer chez toi! .... Il est temps que tu reçoives une bonne leçon ma chérie! .... Et c'est nous qui allons t'enseigner que lorsque tu chauffes un mec tu dois obligatoirement éteindre le brasier ensuite! ..... Crois-tu que ta chatte vaut de l'or où quelque chose d'aussi précieux pour que tu ne veuilles pas en faire profiter les malheureux que t'allumes! .... C'est juste une foufoune ma salope, et une foufoune faite pour être baisée! ...."

Je le regardais choquée, je commençais à me dire qu'en plus du fait qu'il m'avait droguée et violée, ce mec était dérangé! ....

Il semblait croire que si une femme lui adressait la parole et refusait ensuite de coucher avec lui, il était en droit de lui faire endurer ce qu'il voulait et qu'elle n'avait qu'à la fermer passivement.

Il empoigna mon bras et m'entraîna vers le bâtiment devant lequel on était arrêté.

Tout en marchant il reprit :

- "Et rappelle-toi bien ma petite chérie, tu n'es qu'une petite chatte à bourrer! ...."

Il m'entraîna dans "Le Caméra Club" je jetais un coup d'œil circulaire et vis un paquet de photos de femmes nues ou demi-nues placardées sur les murs.

Il y avait une douzaine d'hommes à l'intérieur dans la salle.

Dès qu'ils virent ma tenue, ils se montrèrent intéressés. Tom leur sourit et me poussa vers un bureau dans le fond de la salle. Il me poussa à l'intérieur et ferma la porte dans notre dos je braquais les yeux sur un colossal quinquagénaire noir qui me regardait au travers d'un large bureau fort encombré.

Il me reluqua de la tête au pied et commenta :

- "Pas mal, et maintenant vire-moi cette chemise! ...."

Je jetais un oeil anxieux sur Tom, mais il se contenta de hocher de la tête.

Aussi je déboutonnais lentement la chemise qu'il m'avait donnée et je la laissais grande ouverte sur mes charmes.

Je n'étais plus grandement couverte, mais il insista :

- "Je t'ai dit d'enlever cette chemise, salope! ...."

Il regarda Tom d'un air interrogateur et celui-ci précisa :

- "Elle encore très timide, c'est une toute nouvelle esclave! ... Ne t'inquiète pas elle ne nous causera aucun ennui! ...."

Sur ces mots il se tourna vers moi et m'interrogea :

- "N'est-ce pas stupide petite pute! ..."

Je baissais la tête et enlevais ma chemise la tenant entre mes mains tremblantes. Tom la prit, la balança par terre et m'ordonna de me tourner lentement.

J'obéis servilement, le colosse noir faisait des commentaires sur mes charmes :

- "Elle est plutôt mignonne, les nibards sont petits mais bien ferme, bien ronds, son cul est bien rebondi mais pas trop, parfait, sa petite chatte est très jolie, bien entretenue, ouais je suppose qu'elle fera l'affaire! ...."

Lorsque j'eus fini de tourner sur moi-même, il se leva et m'entraîna dans le hall puis dans une petite salle remplie d'étagères de vêtements.

Il cherchait une tenue particulière et prit une poignée de vêtements qu'il m'enjoignit d'enfiler.

Ils me regardaient enfiler les froufroutants sous-vêtements de dentelles puis une paire de bas montant haut sur les cuisses, je revêtais alors un kilt et un chemisier blanc et une paire de sandalettes vernies, ils me regardaient avec approbation, visiblement ma tenue leur convenait pleinement.

Je me regardais dans le miroir et je compris qu'ils m'avaient fait endosser la tenue d'une écolière de pension catholique.

Le colosse noir me demanda :

- "Sais-tu ce qui va se passer maintenant? ....."

Il ajouta en se tournant vers moi :

- " T'as compris stupide connasse? ...."

Je baisais la tête et la secouais affirmativement, puis je passais ma chemise au-dessus de mes épaules et la leur tendais.

Tom s'en saisit et m'ordonna de pivoter sur moi-même lentement.

J'obéis servilement le colosse détailla alors mes charmes d'un œil critique :

- "Elle est plutôt jolie! .....Ses nichons sont trop petits et elle n'a pas beaucoup de cul! ...... Mais elle un ravissant petit chaton! .... Oui je crois qu'elle fera l'affaire! ...."

Lorsque j'eus fini mon tour sur moi-même il se leva et m'entraîna à sa suite dans le hall petite pièce une pleine d'étagères de vêtements.

Il jeta un coup d'œil attentif et saisit une poignée de vêtements qu'il m'intima d'enfiler.

Ils me regardaient faire en discutant alors que j'enfilais la petite culotte en dentelle puis une paire de bas montant haut sur les cuisses.

J'enfilais alors un kilt, un chemisier blanc, une paire de chaussures vernies, ils me regardaient visiblement contents du résultat.

Je me regardais dans le miroir, Il m'avait fait mettre une tenue d'écolière d'une pension catholique.

L'homme me demanda :

- "Sais-tu ce qui va se passer maintenant? ...."

Je secouais la tête, je ne savais pas, j'aurai préféré ne jamais le savoir! ....

Je savais que quoi que ce soit, je haïrai ce que je devrai faire! .....

Il m'ordonna alors :

- "Tu vas retourner dans la salle et te promener parmi les clients pendant quelques minutes..... T'as tout intérêt à te montrer gentille avec eux! .... Ne joue pas les salopes! ..... Je prépare quelques autres effets et quelques gadgets de cinéma que tu détesteras encore plus que ta tenue actuelle! ..... Aussi ferais-tu mieux d'afficher un grand sourire sur ta face de cul! ..... Promènes toi parmi les consommateurs, souris leur, sois gentille avec eux, et si l'un d'eux se plaint de toi, ça bardera pour ton matricule! ....."

- "Quand tu les auras bien chauffés, je t'emmènerai au fond du hall dans une pièce plus intime où tu poseras pour des amateurs de photos érotiques....... Tu prendras toutes les poses qu'ils te demanderont de prendre... Au bout de cinq minutes une cloche sonnera sonnerie, tu enlèveras alors ton chemisier...... 10 minutes plus tard nouvelle cloche, tu ôteras ta jupe...... Puis ton soutien-gorge..... Puis ta petite culotte..... Et tu poseras alors juste vêtue de tes bas pendant 20 minutes... Toutes les poses qu'ils réclameront! ...... Je ne veux pas recevoir de plaintes! ..... As-tu des questions? ....."

J'étais si profondément choquée que je frissonnais, puis, d'une voix tremblotante, je posais la seule question qui me vint à l'esprit :

- "Que dois-je faire s'ils veulent me toucher? ....."

Il sourit et rétorqua hilare :

- "Ils peuvent te toucher s'ils le veulent, la seule chose qui leur est interdite c'est d'avoir des rapports sexuels avec toi, ils devront payer un extra pour te baiser! ....."

Je frémis de peur et de dégoût et le visage entre les mains je me remis à pleurer.

Tom me saisit brutalement par les cheveux et m'intima :

- "Y'en a marre maintenant... Il est temps que tu arbores un grand sourire et que tu ailles les allumer comme tu m'as allumé la nuit dernière! ....".

Il m'essuya les yeux dans le revers de sa chemise et nous quittâmes ce vestiaire.

- "Attendez! .... " m'écriais-je soudain.

- "J'ai une autre question...... Que feront-ils de leurs photos? .... Oh mon Dieu..... Et si quelqu'un que je connais les voit! ..... Elles pourraient tout aussi bien se retrouver sur Internet! ...."

Le colosse noir sourit et me répondit :

- "Ca peut effectivement arriver, et maintenant souris bordel de Dieu! ....."

J'essayais, je savais que cela tenait plus de la grimace que du sourire, en fait ils n'étaient pas satisfaits, le gros noir faisait grise mine il m'apostropha :

- "Tu peux faire mieux petite pute stupide! ....."

Ils m'entraînèrent dans la salle du devant et me poussèrent vers la douzaine d'hommes qui se promenaient en regardent les photos de femmes nues accrochées au mur.

Il attira alors leur attention et annonça :

- "Messieurs, notre nouveau modèle, la petite Kim.... C'est sa première expérience... Elle est trop intimidée pour pouvoir dire un mot..... Reluquais la bien, et si celà vous intéresse, elle posera pour vous dans quelques minutes.... Vous pouvez lui poser vos questions! ...."

Les hommes grouillaient autour de moi.

Au début ils ne me touchaient pas, ils me regardaient comme une sucrerie qu'ils aimeraient savourer, ils avaient tous la soixantaine et ils me reluquaient comme de jeunes ados de 18 ans.

La plupart semblaient plutôt bienveillants, il m'apparut soudain que c'était certainement leur seule chance de voir une jeune femme entièrement nue.

L'un d'eux, le plus vieux je pense me demanda :

- "Quel âge avez-vous, ma chérie? ...."

- "21 ans... " répondis-je d'une voix tremblante.

- "Vous semblez apeurée..." constata l'un autre.

- "Avez-vous peur de nous? ...."

Je frissonnais et avouais :

- "C'est la première fois que..... Je suis horriblement nerveuse! ...."

Un autre remarqua mon alliance et s'enquit :

- "Votre mari sait-il ce que vous faites? ...."

Je rougis encore plus et secouais la tête;

- "Etes vous une prostituée? ..." ajouta-t-il d'une voix douce.

Je m'exclamais que non.

Il n'était pas satisfait de ma réponse et insista :

- "Alors que faites-vous ici? .... Est-ce parce que vous aimez vous montrer nue en public? ...."

Je ne savais pas quoi lui répondre, je jetais un oeil éperdu sur Tom qui se tenait prêt de moi et savourait jovialement ma gêne.

Tom prit alors la parole et précisa :

- "J'ai amené ici cette allumeuse pour lui donner une bonne leçon! ...... Je déteste les allumeuses! ...... Elle avait besoin d'une bonne leçon! ....."

Tous mes admirateurs semblaient penser que c'était là une excellente raison.

Comme je me tenais entourée par ces amateurs de chair fraîche, d'autres arrivèrent et, après m'avoir reluquée sous tous les angles, ils discutaient avec le colosse noir et lui donnaient une somme d'argent.

Lorsqu'il fut satisfait du nombre de clients il intervint :

- "Allez messieurs, le show va débuter, vous connaissez tous les règles! ...."

Ils hochèrent la tête en marmottant entre leurs dents, aussi le colosse s'avança, me prit le bras et invita les amateurs à nous suivre :

- "Messieurs, si vous voulez nous suivre! ...."

On redescendit tout le grand hall pour gagner une pièce figurant une petite salle de classe d'un coté, une chambre à coucher de l'autre.

Entre les deux était dressée une petite scène, habillée d'une couverture de fausse fourrure, à une quarantaine de centimètres du sol.

Il m'emmena dans l'aire scolaire puis il se recula et invita mes clients :

- "C'est bon messieurs, ce sera à vous dès que la cloche tintera! ....."

Et il se retira du chemin. Je jetais nerveusement un coup d'œil circulaire, je remarquais alors que les cloisons ne montaient pas jusqu'au plafond, je notais aussi que Rory regardait par-dessus la cloison et filmait la scène avec sa foutue caméra digitale.

Les autres, Harry, Tom, John et Steve se tenaient au fond de la pièce, il était évident qu'ils étaient ravis, il était tout aussi évident que ce spectacle les excitait.

La cloche sonna alors et je vis la quinzaine d'hommes me lorgner en me suggérant des poses.

L'un d'eux m'intima de m'asseoir derrière le petit bureau d'écolière et ils formèrent un demi-cercle autour de moi, ils m'ordonnèrent rapidement d'écarter les cuisses de plus en plus grandes.

Lorsqu'ils eurent tous pris leur comptant de photos de ma petite culotte, je dus me relever et me pencher en avant, mains touchant le sol.

La courte jupe que je portais était remontée en haut de mes reins et je suppose, que du fait de ma position, plus de la moitié de mon cul était offert à leurs regards.

Je dus garder cette position humiliante quelques minutes, puis je me postais derrière le bureau de la maîtresse d'école.

Ils ne me dirent quelles poses adopter cette fois, deux d'entre eux s'assirent sur le bureau me saisirent les jambes et les positionnèrent avec les talons sur le rebord du bureau exhibant à nouveau ma petite culotte.

Il me sembla pourtant que les rectifications de ma position entraînèrent beaucoup de frôlements et de caresses sur mes cuisses, ils remontèrent ma jupe jusqu'à la taille, me disposant à leur entière convenance.

Je baissais les yeux, et atterrée, je constatais qu'une large tache plus sombre auréolait le fond de ma petite culotte, ma chatte était trempée! ....

Pourtant j'étais certaine que non. Je ne pouvais pas me sentir excitée par ce qu'on m'obligeait de faire! ....

Cette idée me terrifiait! .....

Lorsque tous les clients eurent pris leurs photos, je remarquais d'ailleurs que ravis, ils prenaient tous de nombreuses photos, ils me remirent debout et me positionnèrent à quatre pattes sur le bureau, tête penchée vers le bas.

Ils se rassemblèrent autour de moi et prirent de nouvelles photos toutes aussi humiliantes que les premières.

Puis la cloche sonna.

Ils se mirent à deux pour m'aider à me relever et ils me regardèrent tous avec avidité déboutonner et enlever mon chemisier.

Je me rendis tout de suite compte que mes mamelons dardaient, on les distinguait clairement au travers de la dentelle de mon soutien-gorge.

Ils émirent un tas de commentaires tous aussi salaces, concernant l'excitation que traduisait mes tétons raidis et érigés.

Je repris les poses qu'ils me réclamaient. Je mettais les mains sur ma nuque, tirais mes épaules en arrière, et tendais la poitrine pour une série de photos obscènes.

Puis je bouclais mes mains dans mon dos et cabrais mes miches.

L'un d'eux se plaça sur le coté du bureau se saisit de mes chevilles pour lever ma jambe sur l'arête du bureau. Ma jupe remonta sur mes cuisses, ils prirent de nouvelles photos.

Ils prirent encore de nombreuses photos chacun en profitant pour me frôler en me faisant adopter des poses lascives avant que la cloche ne tinte à nouveau, cette fois je me dépouillais de ma jupe.

Cette fois le plus vieux, celui qui avait une bonne soixantaine d'années et qui semblait s'être chargé de la direction des opérations, décida de m'installer sur la petite estrade, mains sur les fesses.

Je dus m'allonger sur la fourrure sur le rebord de l'estrade, et ils me firent prendre différentes poses toutes aussi lubriques.

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