CFNM à l'université Chapitre 01

Informations sur Récit
Les amies d'Arno veulent le voir nu.
4.2k mots
3.64
9.3k
1

Partie 2 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs

Chapitre 1

Journal de Stéphanie.

Les examens étaient terminés, nous étions dans l'insouciance temporaire avant de nous concentrer sur la dernière ligne droite. Beaucoup de fêtes et de nuits de folies à partager nos émotions avec un peu de vin. Nous étions folles, et excitées.

Ce soir-là, peut-être un bon mois après la rentrée de février et les sports d'hiver de folie, l'idée est venue, elles voulaient voir Arno nu, elles adoraient ces moments, et elles m'ont forcée à lui demander à être nu. J'étais un peu ivre, et je le leur ai promis. Je leur ai même dit que j'adorais cela, et que lui aussi, mais qu'il ne l'avouerait jamais. Elles ont été très excitées. Elles imaginaient Arno tout nu au milieu de nous. Et moi cela me chauffait le ventre. Elles aussi. Chacune parlait, imaginait tout haut Arno nu dans la pièce, occupée de nous aider, de nous servir...

Au début c'était sage, il était nu et nous l'admirions, c'était le fantasme, mais elles ont commencé à dire que ce serait bien s'il nous servait nu, s'il dansait pour nous, s'il nous préparait à manger, si nous pouvions lui donner des tâches domestiques.

Arno et moi avions joué à cela, et même Anne-Sophie parfois. Elle me regardait souvent, avec un air triomphal, car j'ai accepté sous la pression et que rien ne pourrait faire plus plaisir à mon amie que de dominer Arno tout nu.

— Il faudra que ce soit naturel, j'ai dit. Par exemple, vous le voyez nu, il ne faut pas faire de grandes remarques qui le gênent, mais plutôt faire comme si tout était normal qu'il soit nu.

— Tu peux compter sur nous, a dit Virginie.

— Si nous faisons cela, il sera en érection permanente. Il faudra faire comme si nous ne le voyions pas.

— Wow, ce sera génial.

— Oui, mais dans un premier temps, il faudra faire comme s'il était habillé, nous faisons comme si tout était normal, et plus tard, petit à petit, nous faisons les remarques.

— Comment cela? M'a demandé Annick.

— C'est simple, vous le voyez nu, mais vous agissez comme s'il ne l'était pas, comme s'il était habillé, que tout était normal. Pas de remarque sur sa nudité.

— Trop génial, a dit Virginie. Oui, ce sera très excitant.

— Il faudra garder notre calme, Sandrine a dit. Pas commencer à devenir folles comme au spectacle des Chippendales.

— Et combien de temps? A demandé Marie-Dominique. Dans un mois ce sont les vacances de Pâques.

— Nous pourrions les passer ensemble, j'ai dit, tous les sept, comme notre dernier truc ensemble avant la vie active.

— Ce ne sera quand même pas notre dernière fois? A demandé Annick.

— Non, mais nous ne serons plus étudiantes. Je pensais que nous pourrions aller quelque part au soleil tous les sept, et que Arno serait nu avec nous pendant les 15 jours. Par exemple, sa valise est perdue, et quand nous sommes sur place, quelque chose arrive à ses vêtements, et il n'a d'autre choix que de rester nu, mais entretemps, il aura déjà été amené à nous servir tout nu, et donc pendant quinze jours, il nous sert tout nu.

— Wow, a fait Marie-Dominique, qui avait l'air complètement allumé. Oui, c'est trop bon. Je vais m'occuper de la villa.

Elle venait d'avoir un orgasme, et nous avons ri.

— Je vais avoir une maison comme à Ibiza, ou alors une île privée. Que nous puissions nous promener un peu dans la nature. Pour quinze jours comme ça, c'est budget illimité.

Nous étions heureuses. Il y avait beaucoup de bouteilles vides quand nous sommes allées nous coucher. J'étais certaine qu'elles allaient se faire plaisir seules dans leur lit, d'ailleurs aucune ne s'en était cachée.

Plus tard, Anne-Sophie m'a rejointe dans ma chambre.

— Dis donc, on va vraiment le faire?

— Oui, j'ai dit, je veux que nous ayons cette aventure. Depuis novembre et ce fameux dimanche...

— J'en rêve encore toutes les nuits.

— Nous avons eu quelques bonnes soirées, j'ai continué, mais je veux plus. Chaque fois qu'il y a quelque chose, c'est un moment unique. Il faut que cela dure.

— Je suis heureuse que tu penses comme cela. J'en rêve depuis si longtemps.

— Il n'ose pas en parler ni le demander, mais je sais qu'il adore.

— Bien sûr. Cela se voit. Tu te souviens des vacances de Noël? Et les sports d'hiver? Mais il en est presque arrogant, il sait que nous sommes folles de son corps parfait, il ne faut pas qu'il mène la barque.

— Exactement.

— Alors, comment vas-tu amener cela?

— Il faut trouver. C'est le jeu qui est génial, si je lui dis : « à poil et va me préparer à manger et baise les pieds de Virginie », ce serait trop fort et il se brusquerait.

— Wow, tu m'excites. J'imagine que ça arrive.

— Cela arrivera, je lui promets. Mais il faut y aller très lentement. Ce sera un jeu très agréable également. De toute façon, il m'a dit après qu'il avait adoré votre séance.

— Vraiment? Il ne me l'a pas dit.

— Il n'ose pas.

— Pourquoi? Nous sommes entre nous. Même à toi il n'en parle pas?

— Non, il n'ose pas. Je connais ses fantasmes, mais il ne me les dit pas.

— Et c'est quoi?

— Il adore être tout nu avec moi, et par extension avec d'autres filles. En fait, je ne crois pas qu'il y pensait avant de me rencontrer, mais il m'a avoué un jour qu'il avait appris à apprécier cela, et qu'il y pensait souvent.

— C'est vrai, il me semble que cette année, cela n'a pas été trop difficile de le voir à poil.

— Et en plus, il aime que je sois autoritaire, que je lui donne des ordres et le force à les réaliser.

— Wow, quel fantasme génial, moi je veux l'aider à le réaliser.

— Justement, il faut y aller mollo. Par exemple, il se retrouve nu avec une ou deux d'entre nous, plusieurs fois pendant quelques jours, et puis, alors qu'il est justement tout nu, on lui demande de nous chercher quelque chose ou de nous servir un verre, comme nous le faisons d'habitude.

— Oui, c'est un jeu assez sexy.

— Et il faudrait que ça vienne des autres, indépendamment de nous deux, il sait que nous aimons le voir nu à notre service. Mais si par exemple c'est Virginie qui le fait, il ne se doutera de rien mais sera excité.

— Et ensuite?

— Il y a plein de jeux. Tu te rappelles en octobre? Il était dans la salle de bains et je suis partie toute la journée en ayant fermé la porte de notre chambre à clef.

— Tu es certaine que tu ne l'avais pas fait exprès?

— A peine, j'ai répondu et nous avons beaucoup ri.

— Donc nous pourrions refaire la même chose?

— Oui. Par exemple, il est nu dans la salle de bains, je pars en fermant à clef, il est donc forcé d'être complètement nu pendant tout la journée. Et par exemple toi tu t'en occupes.

— Oh oui... ce sera super.

— Mais vraiment, il faut y aller longtemps.

— Et on arrivera où?

— Le but ultime, c'est de faire ce que nous avons fait à trois. Il est nu, il nous obéit, il travaille, il fait tout. Imagine qu'il soit ici pour tout faire, y compris le nettoyage, le rangement, tout.

— Oh, ce serait super. J'en rêve. Je le vois bien me servir à genoux, me masser les pieds, me déclamer des poèmes...

— Cela commencera vraiment à Pâques, et nous pourrons ensuite lui faire des journées de fou, tu vois à Pâques c'est un peu consensuel, mais on y va crescendo, quelques punitions, des engueulades, et on en arrive à la situation où nous lui faisons avouer que c'est lui qui veut vivre nu et nous servir, mais que dans ce cas-là, nous acceptons, mais qu'il doit se conformer à nos règles.

— Stéphanie, tu es perverse. Tu devrais écrire des scénarios pornos.

— Rien de porno ici.

— Non, mais c'est génial.

— Nous apporterons toutes nos idées. Et nous nous réunirons pour mettre tout cela en route, il faudra bien coordonner le tout, et faire qu'il soit nu le plus possible, et le week-end, il est nu à Bruxelles, et tu viens nous visiter, ou Marie-Dominique. Je lui ferai jurer qu'il sera toujours tout nu à Bruxelles, et donc si l'une de vous vient, il devra être nu.

— Oui. J'ai hâte de revivre ce dimanche après-midi ou nos week-ends de l'année passée.

— Lui aussi, mais il ne l'avouera pas.

— C'est vrai, pourquoi?

— Il est honteux.

— Pourquoi? Il est beau, et il aime être chevalier servant. Il nous fait plaisir.

— C'est son ego, il adore, mais imagine, tu aimerais être nue devant six types et les servir?

— Non, mais cela n'existe pas, on parle de domination féminine ici, les filles n'ont pas ce fantasme, et les mecs qui aiment les filles esclaves, c'est uniquement sexuel. Nous, nous aimons le voir nu, pour nous rincer l'œil, et qu'il nous serve.

— Et pas de sexe? J'ai ri?

— C'est secondaire.

— En tout cas chaque fois cela se termine par du sexe.

— Non, tu ne te rappelles pas? Quand nous avons ces sessions, il n'y en a pas eu.

— Mais moi oui, j'étais dans un tel état, j'ai dû le violer sans arrêt.

Nous avons ri.

— Mais le plaisir est au-delà du sexuel, nous pouvons nous retenir et certainement les autres aussi.

Anne-Sophie et moi avons laissé aller les choses. Nous voulions que les filles reviennent à la charge avec ce fantasme. Depuis quelques temps, nous avions organisé de telles séances tous les trois. Depuis trois ans, Arno avait eu un gage, Anne-Sophie devait lui donner une fessée alors qu'il était nu. Elle l'avait pris sur ses genoux et l'avait fessé sans pouvoir s'arrêter. Les autres étaient fascinées et elles m'avaient avoué par la suite s'être fait une petite gâterie personnelle de retour dans leur chambre. Nous n'étions que voisines à l'époque, et nous avions organisé ce genre de gage assez souvent.

Mais Arno est un garçon très intelligent, il ne tombait plus dans certains de nos pièges. Un jour, nous avions organisé une partie de cartes, nous nous étions liguées contre lui pour le faire perdre, et lui faire retirer ses vêtements. Il le savait, et il fallait boire. Déjà, il tenait très bien l'alcool, mais en plus il avait mis des doses très fortes chez les filles. Elles s'étaient toutes retrouvées nues et ivres.

— Il faut aussi nous venger de l'épiphanie, Anne-Sophie a repris.

— Je ne comprends toujours pas ce qui est arrivé.

Pendant le break de Noël et les examens, Virginie et Arno s'étaient beaucoup faussement disputés, Virginie avait fait beaucoup de blagues à Arno et il lui avait promis une belle revanche. Dès notre retour sur le campus, elle avait subi de belles blagues, tous les jours. D'abord, le plastique tendu sur la cuvette des toilettes, puis la farine dans son sèche-cheveux, puis tous ses tampons remplacés par des sachets de thé... Alors, elle avait acheté un gâteau des rois, et l'avait coupé en sachant qu'elle recevrait la fève. Elle avait fait jurer tout le monde d'accepter les ordres de la reine. Elle avait pourtant tout arrangé, Arno ne se faisait aucune désillusion et il s'attendait à de belles représailles. Mais il avait eu la fève, contre toute attente, il était le roi. Il avait exigé de se faire servir par toutes les filles, elles devaient être les seins nus. Il avait ainsi profité une bonne heure. Mais c'étaient les examens, et il avait eu la sagesse de ne pas en profiter plus avant.

Sans compter les photos de Virginie. Depuis la deuxième année, elle l'avait pris comme modèle nu pour ses compositions artistiques. Quelque part, il avait apprécié, au début, c'était fait assez timidement, mais par la suite, il avait apprécié. Même lorsque nous étions tous les deux, je n'avais plus trop besoin de le lui demander, il restait nu en ma présence, c'était devenu notre mode de vie, surtout depuis les derniers examens.

Il était ma récompense. Cette année, il avait travaillé, en cachette comme disait Annick. Il avait réussi sa plus belle session, et il avait déjà écrit un mémoire d'anthologie, plus de 300 pages dont son directeur n'arrêtait pas de vanter les mérités. Et nous avions trouvé les cours faciles, résultats, trois examens à recommencer, et nos mémoires.

Et encore, mon dernier examen, c'est grâce à lui que je l'ai réussi. Il m'a emmenée à notre loft, et il m'a fait réviser. Quand je connaissais bien, j'avais des récompenses. Il a tout le temps été nu pour me motiver, et j'avais des massages, et des caresses quand je connaissais bien. J'ai eu des dizaines de cunnilingus, et j'ai connu tout très bien. Il savait ce que j'aimais, et il n'avait plus aucune honte à réaliser cela, même si ce n'était pas conventionnel.

Arno était souvent dehors, il profitait de son statut, et il avait terminé et rendu son mémoire. Assuré d'une grande distinction. A plusieurs reprises, il nous avait dit qu'il avait du temps et qu'il était prêt à nous aider, qu'il voulait bien faire des trucs dans l'appartement et même nos travaux. Mais les filles avaient été réticentes à accepter, elles avaient déjà trouvé qu'il en avait fait assez. Il m'avait même dit qu'il était déçu, qu'elles ne profitaient pas de ce qu'il était prêt à faire.

— Je tape vite, je peux faire leurs travaux et taper les mémoires, et puis je peux faire des trucs à l'intérieur, cuisiner, aller faire les courses, je n'ai rien à faire, je fais la fête et je fais du sport.

— Je sais mon chéri, je lui avais dit, mais elles pensent qu'elles profitent assez de toi comme ça.

— Elles ne me connaissent donc pas? C'est un peu décevant.

— Elles ne veulent pas abuser.

— Je leur ai proposé plusieurs fois. Seule Anne-Sophie accepte, tu vois avec son petit air vicieux, elle veut que je le fasse tout nu et que je nettoie sa chambre.

— Et tu l'as fait?

— Ce n'est pas rendre service.

— Je crois que si tu veux rendre service, tu dois faire ce que nous te demandons et pas ce que toi tu veux.

— Je veux bien nettoyer sa chambre mais pas tout nu.

— Pourquoi? Tu l'as déjà fait...

Il a rougi. C'était toujours la même chose. Il n'osait pas dire que cela lui plaisait.

— Je sais très bien que tu adores, d'ailleurs, rien que de le mentionner, tu es occupé de bander.

Encore plus rouge.

— Je trouve que tu devrais accepter, au moins une fois, et comme ça tu prouves que tu veux réellement rendre service.

— Oui, soit, il a biaisé, mais c'est Anne-Sophie, les autres ne font pas cela et elles ne veulent pas que je fasse quelque chose pour elles.

— Ce n'est quand même pas comme si nous étions surchargées, et Virginie fait les courses et prépare à manger.

— Je sais. Tant pis. J'irai guindailler. Tu sais quoi? Je vais un peu voyager. J'ai quelques mois sans absolument rien, cela ne se reproduira pas de sitôt. Prague, Budapest, et un peu de Scandinavie. Je verrai. Mais pas trop longtemps, je ne peux pas me passer de toi.

Nous attendions donc que les filles reviennent à la charge. Il n'a pas fallu deux jours, nous étions occupées de dîner à six. Arno était dehors, il avait pris plus de sport. Il passait une ceinture marron de karaté, et il avait aussi commencé l'aïkido grâce à Sylvie. Et surtout, il s'entrainait tout seul, toujours courir plus loin et plus vite, et il faisait de la musculation sans poids, comme le lui avait appris Sylvie.

Beaucoup de ses amis avaient du travail, et il s'amusait comme il le pouvait, en augmentant le sport tous les jours.

— Stéphanie, a commencé Marie-Dominique, au sujet de notre discussion de la dernière soirée.

Anne-Sophie et moi avons échangé un regard triomphant. On y était.

— Oui?

— Nous y tenons vraiment. Comment organiser cela?

— Tu veux dire... Avec Arno?

— Oui, je n'arrête pas d'y penser, nous toutes d'ailleurs. Il faut que nous le fassions.

— C'est vrai, Virginie a confirmé. Je veux vivre cela. Si tu es toujours d'accord, comment devons-nous procéder?

— Petit à petit. Nous ne devons pas le brusquer, au contraire. Je leur ai expliqué.

— Il adore vivre nu, il a déjà rêvé de vivre tout nu avec nous. Mais il est trop timide pour le dire, a dit Anne-Sophie.

— C'est ridicule. Nous aimerions vraiment.

— Oui, mais il n'ose pas. Il faudra y aller petit à petit et finalement le forcer.

— Oui.

— Et il a déjà demandé plusieurs fois à aider. Vous avez toujours refusé.

— Evidemment, a dit Annick, il a déjà tant fait.

— Mais imaginez que vous pourriez avoir Arno tout nu ici pour servir et faire tout.

— Vraiment tout? A demandé Sandrine.

— Oui, pourquoi pas?

— Parce que cela veut dire le nettoyage, la vaisselle, le rangement, et surtout le service. Je veux qu'il me serve un drink en étant tout nu.

— Et bien oui, ce sera exactement ça, et bien plus.

— Et tu penses qu'il voudrait passer sa journée à faire tout cela pour nous?

— Oui, nous pouvons y arriver. Et il ne l'avouera jamais, mais il aimera.

— Je le pense aussi, m'a appuyée Anne-Sophie. Il y a quelques mois, Stéphanie a fermé sa porte à clef et est partie toute la journée. Arno était nu dans la salle de bains. Il a dû rester nu dans ma chambre jusqu'à son retour. Pendant ce temps, il a tout nettoyé, tout rangé, il m'a aidée tout nu, et pendant que vous étiez toutes parties, il m'a même fait du café. Quand il est tout nu, il devient très désemparé, on peut lui demander ce qu'on veut, il ne sait pas refuser.

— Et tu n'as pas partagé?

— Non, j'adorais, je ne voulais pas le mettre mal à l'aise.

— Il sera mal à l'aise, j'ai dit, mais nous devrons jouer le jeu.

Elles étaient vraiment excitées, et nous avons décidé de commencer. Nous avons fait un plan et avons trouvé des codes pour que nous puissions communiquer et faire en sorte que tout se passe comme il faut.

Nous allions accepter son aide, mais uniquement tout nu. Nous allions lui dicter ce que nous voulions qu'il fasse pour nous, à notre manière.

Plus de vie privée pour Arno, nous allions le trouver nu dans la salle de bains et sa chambre, et puis, j'allais le faire aller nu sur la terrasse pour s'entrainer.

— Et le but ultime? A demandé Marie-Dominique.

— Il vit nu avec nous, et il fait absolument tout. Une fois que nous avons atteint ce but, nous vivons comme cela.

— Donc nous avons une sorte d'esclave, elle a demandé.

— Oui, on peut appeler cela comme ça.

— D'accord, je suis pour.

Elles ont toutes voté oui.

— D'accord, a ensuite dit Virginie, mais Arno est quand même mon meilleur ami. J'aimerais le voir nu tout le temps, et profiter de ses services, mais j'aime parler avec lui.

— Si tu veux parler avec lui, tu le fais, il n'a pas besoin de vêtements pour cela, Marie-Dominique a répondu.

— Arno est souvent nu avec moi, j'ai raconté. Mais nous parlons toujours, cela n'a rien changé. C'est juste dur de se concentrer quand vous avec un bel homme nu en face de vous.

Les filles étaient remontées, il leur fallait commencer, mais Arno était dehors, et il risquait de rentrer très tard de ses fêtes.

— Nous commençons tout de suite, a décrété Sandrine, le plan secret. Nous devons avoir un plan, avec un timing.

— Oui, et il faut que ce soit égalitaire, a appuyé Annick.

— Comment?

— Et bien il faut qu'au bout du compte, chacune ait le même temps avec lui que les autres. Donc nous comptabilisons les temps, et nous arrangeons les horaires aussi en fonction des temps.

C'était assez pernicieux, mais il ne fallait surtout pas de dispute. Je ne nous voyais pas argumenter parce qu'une avait plus de temps qu'une autre. C'était accepté.

Nous avons travaillé nos plans et imaginé plein de situations, nous étions vraiment excitées.

Arno est arrivé et nous a trouvées ainsi toutes les six à table, avec nos plans. Il a fallu vite cacher les feuilles et les agendas sans que ce soit suspect.

Il a retiré sa veste et est venu près de nous. Virginie s'est levée la première pour se pendre à son cou et l'embrasser. Pendant ce temps, nous cachions nos affaires et chacune s'est levée pour l'embrasser et le vénérer comme un super héros.

— Que me vaut tant de sollicitude? Il a demandé en riant.

— Tu es un mec génial, a dit Virginie, et bientôt tu verras, tu seras récompensé.

— Qu'est-ce que vous avez encore inventé, il a répondu. Je suis un mec normal et je n'ai pas besoin de cadeau. Vous avez été calmes à ce sujet, il ne faut pas recommencer.

OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs
12