CFNM à l'université Chapitre 04

Chapitre 4

Journal de Stéphanie.

Anne-Sophie était partie depuis fort longtemps, nous nous demandions ce qu'elle avait bien pu inventer. Les photos étaient superbes. Virginie et moi étions allées chercher d'autres albums. Il y avait la première fois encore du bruit dans la salle de bains, Anne-Sophie s'amusait. Puis la deuxième, ils étaient dans sa chambre, et je l'entendais lui donner des instructions pour le rangement.

Virginie a montré des photos de groupes.

— Oui, a dit Virginie, quand j'ai commencé ce truc ethnique, il était nu au milieu de plusieurs femmes, cinq ou six et elles étaient vêtues de costumes traditionnels. Et bien il était en érection. J'avais dit aux modèles de ne pas faire attention. Et bien quand nous arrêtions pour les pauses, les filles se changeaient passaient un peignoir, même si elles n'étaient pas nues. Arno restait chaque fois tout nu, il allait boire il se promenait, discutait, toujours nu. J'ai d'ailleurs des photos.

— J'étais présente, j'ai dit, Arno voulait me faire plaisir, et m'exciter. Il y est bien parvenu.

— Pratiquement huit heures, Virginie a ajouté. Un champion.

C'était moins réussi, mais elle avait des photos d'Arno nu au milieu de filles entre les séances. Nous étions toutes les deux et les modèles.

— Fascinant. Et plus aucun scrupule, a dit Sandrine, il adore être nu au milieu de filles habillées.

— Et il aime aider, comme pour l'album, a dit Virginie.

Nous étions emballées.

— C'est dur de résister, a commenté Marie-Dominique, j'ai tellement envie d'aller le chercher.

Anne-Sophie est arrivée finalement. Plus d'une heure plus tard, il était pratiquement 23h.

— Une heure vingt minutes, lui a dit Marie-Dominique. Qu'est-ce que tu as fait?

— Je suis entrée dans la salle de bains, il était nu sous la douche. Je suis certaine qu'il jouait tout seul, mais il était sans doute encore en érection depuis que Virginie l'avait laissé. Enfin, il était tout perturbé. Nous avons parlé, je l'ai amené là où je voulais, je lui parlais de nudité, je lui ai parlé de la fois où il est resté toute la journée dans ma chambre, et qu'il avait tout rangé. Il m'avait déjà demandé ce qu'il pouvait faire pour moi, et je lui ai dit ranger ma chambre tout nu, mais il avait toujours refusé. Alors je me suis placée devant la porte, il n'a pas osé me toucher, et finalement je lui ai pris la main et l'ai emmené dans ma chambre, et je lui ai rappelé qu'il voulait m'aider et que pour moi l'aide c'était cela. Je l'ai regardé, je n'ai rien fait et il a tout fait tout seul, j'ai juste donné les instructions.

— Génial, se sont exclamées les filles.

— Et je l'ai raccompagné à sa chambre, je l'ai mis au lit et bordé. Il était dans tous ses états, indécis, timide, gauche. Il doit encore trembler d'excitation, je l'avais rarement vu comme ça.

Anne-Sophie racontait bien et nous excitait. J'ai rappelé que seule Anne-Sophie pouvait raconter le passé, les autres ne devaient pas mentionner sa nudité.

— Et moi? A demandé Sandrine, il a été dix jours avec moi en Israël, il dormait nu avec moi.

— Et toi pas?

— Non, elle a dit, j'étais en chemise de nuit.

— Et il ne t'a pas sautée? A ri Annick.

— Arno? Incapable de faire cela, je suis son amie. J'aurais bien aimé, sans rancune Stéphanie, mais j'y pensais tout le temps, il est super canon, il se met nu devant toi, va à la salle de bains, revient, se couche tout nu. Je n'aurai jamais un mec comme ça.

— Il y a d'autres beaux garçons, je lui ai dit, David n'est pas mal.

— Je sais, mais d'abord pas aussi beau, ensuite, il ne se met pas tout nu, il déteste cela. J'ai voulu plusieurs fois le voir nu, ou faire l'amour lui nu et moi vêtue, il a refusé.

— Il n'y a pourtant rien de plus sexy, a dit Virginie, renforcée par les autres.

— Notre fantasme de lycée. Vous vous rappelez les statuts de notre « Pussy Power »? Combien de fois avons-nous rêvé d'un bel homme nu à notre disposition?

— C'est occupé d'arriver, les filles, a dit Marie-Dominique, je le sens. Retenez-moi où je vais le chercher.

— Tu sauras te retenir demain? Lui a demandé Virginie.

J'ai dû raconter plusieurs histoires de sexe avec Arno nu et moi habillée. En fait, même quand ce n'est pas sexuel, cela le devient. Quand il est nu et me prépare un petit déjeuner, c'est romantique, mais très sexuel, on ne peut s'empêcher d'avoir des frissons.

— C'est mon fantasme, j'ai dit. J'aime le dominer, et je le mets souvent nu.

— En tout cas, il t'attend nu, tout émoustillé, ça va être ta fête.

— Pas comme vous le pensez, surtout après ce qu'il s'est passé. Il va être soumis et obéissant, nu en face d'une fille, il devient timide, il n'osera pas me toucher, et je vais le violer. Ou je vais lui ordonner d'aller entre mes cuisses.

Elles étaient toutes émoustillées. Nous devions encore trouver une mise en scène pour Sandrine et Annick mais personne n'avait d'idée sauf la salle de bains.

— Ou alors, comment lui faire retirer ses vêtements, par exemple on renverse quelque chose sur lui, et il doit vite tout retirer et pendant un moment, il est nu, et on l'occupe.

— Oui, j'ai dit c'est une excellente idée.

— Je vais demander à Marianne, dans ce cas, a conclu Annick, il doit bien exister un produit qui dissout le coton sans abîmer la peau.

— Et si elle demande pourquoi?

— Elle fait partie du « Pussy Power », non?

— Laissons la en dehors, a dit Virginie. Nous sommes déjà six.

— Moi, a dit Sandrine, c'est très simple, il faut qu'il croie qu'il soit seul. Et quand il est sous la douche, je vais le chercher et je lui demande de m'aider à quelque chose, par exemple un cours, et je le fais rester nu ainsi, et je lui demande un verre d'eau, une tisane, un café...

— Excellent aussi, j'ai dit. Tu le retiens comme s'il n'était pas nu, pour qu'il ne parte pas d'habiller. Le plus longtemps possible.

— Adopté, j'ai dit, ce sera lundi et mardi prochains.

— Et ensuite, nous repasserons à tour de rôle, a proposé Marie-Dominique. Je veux cela très souvent.

— Alors, nous commencerons les scènes à deux, et puis à plusieurs, j'ai dit. Il faudra commencer à donner des ordres, il sera perdu.

Nous avons ri et imaginé plein de choses. Et les photos n'arrêtaient pas de passer. Elles s'imaginaient toutes avec lui. Nous sommes allées chercher encore plus d'albums, nous avons revu toutes celles où il était nu. Il y en avait!

Nous riions dans le couloir, il devait nous entendre. Virginie a même regardé par le trou de serrure, mais il lisait. Nous voulions le voir de dehors, mais il faisait froid, et la fenêtre était ouverte, il nous aurait entendues.

Je suis allée le rejoindre dans la chambre, il lisait.

— Virginie t'a dit? Il a demandé.

— Dit quoi?

Je l'ai regardé. Il était trop sexy, et j'étais très excitée.

Il m'a raconté l'histoire, sans omettre un détail.

— Mais pourquoi l'as-tu suivie tout nu?

— Je ne sais pas, c'est venu comme ça. Je pensais que c'était un truc de deux minutes.

— Alors, il ne faut pas t'en plaindre, si tu te mets nu devant une fille, elle en profite.

— Je ne sais pas si elle était intéressée. Elle m'a juste demandé les albums.

J'ai souri. A ce niveau il était très naïf, et pourtant c'était un garçon intelligent.

Je me suis approchée et j'ai retiré la couette, histoire de profiter de son corps moi aussi. C'était fantastique, je l'ai regardé et son sexe a gonflé tout de suite, pour être prêt en quelques secondes. Il est très émotif avec moi, avec toutes les filles en tout cas.

— Ce n'est pas tout, il m'a déclaré en s'asseyant. Anne-Sophie est entrée dans la salle de bains pendant que je me douchais.

— Elles ne nous ont rien dit, j'ai commenté en mentant bien sûr.

Il m'a ensuite raconté Anne-Sophie sans rien omettre.

— Je te félicite, au moins tu as fait quelque chose qu'elle désirait.

Il ne comprenait pas bien. Il était encore très excité.

— Montre-toi nu, je lui ai dit, tu sais que j'aime voir ton corps. Debout!

Il a rougi en m'obéissant.

— Tu devrais vivre tout nu, tu sais? Tu me rendrais très heureuse.

Il a avalé de travers. J'ai pris son sexe en main.

— Tu te souviens de nos premières nuits? Je t'ai torturé avec tant de plaisir et maintenant, je peux toujours faire la même chose. Tu as peur de me sauter dessus?

— Mais non, il s'est écrié. C'est juste que...

— Ne te défends pas, j'apprécie. C'est moi qui commande, non?

— Euh oui.

— Et donc j'aime te voir nu en mon pouvoir.

— Je sais.

— Il faudra que nous organisions encore une petite séance avec Anne-Sophie, j'ai dit.

— Pourquoi?

— Tu adores, et en plus la dernière fois tu me l'as demandé.

— Non, il a répondu sur la défensive. Tu m'as forcé à raconter un rêve et tu lui as demandé.

— Mais c'était bien, non?

— Oui, mais nous n'aurions jamais dû le faire.

— Pourquoi? Nous avons bien aimé. Je me rappelle l'état dans lequel tu étais.

— Oui mais c'est gênant. Et en plus, Marie-Dominique est arrivée. Enfin heureusement, elle ne s'était rendu compte de rien.

Encore de la naïveté, mais il avait un peu raison, elle n'avait fait qu'admirer, sans se poser de questions, même lorsque nous étions arrivées ensemble plus tard. Elle n'avait pas reconnu les coups de cravache.

— Non, nous aimons, nous faisons ce qu'il nous plait. Anne-Sophie aimerait recommencer. Et c'était un excellent moyen de nettoyer l'appartement. Nous pourrions organiser cela après la prochaine soirée.

Il avait peur, mais je tenais son sexe et le caressais doucement.

— Alors? C'est d'accord?

— Oui, il a répondu en sachant que nous n'avions rien de prévu, ce en quoi il se trompait, nous allions organiser quelque chose rapidement.

J'avais envie de lui, mais je voulais le pousser dans ses derniers retranchements. Je me suis déshabillée lentement, en tenant son sexe, il n'en pouvait plus. Je l'ai mis entre mes seins, il a failli jouir tout de suite.

— Je te lâche, sinon ce sera la catastrophe, je vais plutôt utiliser ta langue magique. Tu me dois beaucoup de sexe!

Je l'ai poussé sur le lit, et je suis allée m'installer sur son visage, j'adore cette position très dominante, et il est le champion du monde du cunnilingus. Il m'a fait jouir je ne sais combien de fois. Toutes ces histoires augmentaient encore ma libido, il devait me satisfaire. Je ne pouvais pratiquement plus arrêter.

Je ne lui ai accordé qu'un plaisir à la main, mais cela n'a pas suffi, à mon avis, se retrouver nu avec Virginie et Anne-Sophie a augmenté son endurance. Je l'ai envoyé prendre une douche, mais cette fois, il n'a pas été vu. Moi aussi, je suis allée, j'étais trempée.

— Demain, je lui ai dit alors que je le caressais encore, je veux te voir t'entrainer tout nu sur la terrasse.

Dans son état, il a accepté. Il ne pouvait qu'obéir!