CFNM à l'université Chapitre 07

Informations sur Récit
Les filles organisent les moyens pour qu'Arno soit nu.
5.1k mots
4.4
4.8k
1
0

Partie 8 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs

Chapitre 7

Journal de Stéphanie.

Il est devenu tout rouge, il a bredouillé et a voulu entrer dans la chambre, mais je l'en ai empêché.

— Et bien réponds!

J'ai été très sèche, très vindicative, comme si j'étais très fâchée.

Il s'est bloqué. Il tremblait.

— Je t'attendais, tu m'avais mise en appétit. J'étais si excitée de te voir sur la terrasse.

— Désolé, il a bredouillé.

— Où étais-tu?

— Pouvons-nous entrer?

— Quand tu m'auras expliqué.

— S'il te plait, dans la chambre.

— Ici ou dans le living, j'ai dit un peu plus fort.

Toutes les portes étaient entrouvertes, et elles suivaient notre conversation à son insu.

— Euh, quand je suis sorti de la terrasse, Marie-Dominique était là, elle m'a demandé de faire le café, et puis j'ai eu peur, j'étais tout nu.

— Ah? Tu as préparé le café tout nu?

— Oui, elle ne voulait pas que j'aille m'habiller. Et ensuite, j'ai eu peur, quand vous êtes arrivées... enfin, j'ai entendu Anne-Sophie et Virginie, je ne voulais pas qu'elles me voient tout nu.

— Quelle histoire. Pourtant, hier tu as passé des heures nu avec chacune d'elles.

— Oui. S'il te plait, entrons.

— Non, termine ton histoire!

J'ai suivi Marie-Dominique dans sa chambre.

— Alors quand nous sommes venues, tu étais là?

— Oui

— Où cela?

— Sous la couette.

— Ah? Souris-je. Je n'aurais jamais imaginé. Mais c'est très sexy, tu es tout nu dans ce couloir et dans l'appartement. J'aurais bien aimé te voir dans la chambre de Marie-Dominique, j'aurais dû aller voir sous la couette et te surprendre.

— Non, il a dit, j'aurais trop eu la honte.

Je l'ai plaqué contre le mur et je l'ai embrassé. C'était une bonne idée pour la semaine prochaine, je le prends ainsi tout nu et une fille arrive, et nous parlons puis nous le prenons au salon et il nous sert à boire. Oui, ce sera super.

Du bruit. Il panique, une porte s'ouvre et je le pousse dans notre chambre.

— J'ai adoré le sport, je lui ai dit. J'étais vraiment dans tous mes états. Tu sais comment je suis quand je te vois t'entrainer tout nu. Et malgré tout tu me laisses seule

— Mais Stéphanie... Il y avait du monde.

— Qui? Des filles que tu connais depuis si longtemps et qui t'ont toutes déjà vu tout nu?

Il a un peu rougi.

— Cela ne changerait rien si tu étais tout nu devant elles, enfin si, elles seraient ravies.

Je l'ai poussé sur le lit, il est tombé et je me suis jetée sur lui. Il faudrait pouvoir le violer encore et encore, je ne me sens pas rassasiée après avoir vu et entendu ce qu'il venait de se passer. J'étais trop excitée, et les autres aussi.

Nous faisions l'amour, enfin, je faisais tout, et il lui était interdit de prendre des initiatives. Le monde devrait être mieux fait. Les hommes n'ont pas de ressources inépuisables, même si Arno est très fort. Mais il faudrait qu'ils puissent être en érection tout le temps. Ils perdent leurs moyens, on peut en faire ce qu'on veut. Heureusement, il y a des accessoires. Il faudrait qu'il puisse être bloqué dans un état pareil, sans jamais pouvoir éjaculer. Il serait ainsi toujours en mon pouvoir total. Les hommes sont idiots dès qu'ils bandent, et ils parviennent à réfléchir uniquement entre le moment où ils ont éjaculé et le moment où ils bandent à nouveau. Si je parvenais à ne plus le faire éjaculer, il serait complètement à ma merci.

Au bout de deux heures, je l'ai envoyé prendre une douche et il est sorti tout nu. Incroyable.

A peine était-il parti, Anne-Sophie est entrée dans la pièce.

— Je viens de le voir nu, il continue?

— Oui, je ne sais pas pourquoi

— Il est mordu. On y va?

— Nous avions dit une seule avant la semaine prochaine.

— C'est nous deux, il est habitué et les autres sont parties. Tu as leurs félicitations, tu as été encore moins discrète que d'habitude!

— D'accord. Amusons-nous un peu!

J'étais trop excitée pour refuser.

— Nous sommes seules?

— Oui, les autres sont parties, Waterloo. Sauf Virginie qui ne revient que ce soir.

— Alors nous avons du temps.

Anne-Sophie est entrée la première dans la salle de bains.

— Ah, décidément, tu es chaque fois ici quand je viens, lui dit-elle. Où étais-tu?

— Euh... Dans ma chambre.

— Ah. Parce que nous avons mangé sans toi. Marie-Dominique a dit que tu avais tout préparé, merci.

Elle va près de lui et l'embrasse. Il est encore rouge. J'entre à mon tour dans la salle de bains.

Il était gêné, cela faisait très longtemps qu'il n'avait plus été nu avec nous deux. Il a terminé de se laver devant nous, puis je lui ai passé une serviette. Il s'est essuyé et a voulu la passer à la taille, mais Anne-Sophie veillait.

— Donne-la moi, je vais la mettre à sécher.

Cela l'a encore désemparé, mais son sexe était gonflé de désir. Il s'est lavé les dents et quand il a eu fini, je me suis collée à lui par derrière.

— Dis-donc mon chéri, tu pourrais laver la salle de bains pour moi?

— Euh...

— Fais-moi plaisir. C'est mon tour, mais j'aimerais que tu le fasses. Comme tu veux nous aider.

— D'accord, il a dit. Où se trouve le matériel?

— On voit bien que tu ne fais rien ici, je lui ai dit. Sous l'évier.

— Et pourtant, il veut nous aider, a dit Anne-Sophie d'un air presque moqueur.

Il a pris le matériel et a commencé à frotter et essuyer.

— Ouais, a fait Anne-Sophie, tu veux nous aider, c'est très bien, mais tu ne travailles pas comme il faut. Imagine que c'est mon tour de laver la salle de bains, tu me dis que tu le fais, je te fais confiance et après les autres croiront que je suis celle qui ne le fait pas bien.

Il ne comprenait pas. Ce n'était pas mal, mais il fallait mettre la pression. Il a recommencé, sous la direction d'Anne-Sophie, mais elle était soft, pas d'ordres secs, rien que des conseils d'une voix douce.

— Tu ne voudrais pas recommencer comme en novembre? Elle lui a demandé. C'était fun nous deux ici.

— Non, non, il a répondu gêné.

— C'est vrai, je lui ai dit. Et tu es nu en plus. C'est bien.

— Il veut recréer son fantasme tout seul, me dit Anne-Sophie. C'est dommage, nous pourrions bien nous amuser. Ce n'est pas gentil.

— Il est timide pour ça, j'ai dit.

Il a terminé, mort de honte. Nous sommes sorties et il nous a suivies.

— C'était très gentil le petit déjeuner, je lui ai dit, mais fais-le jusqu'au bout, pas à moitié.

— Quoi, il a demandé?

— Viens!

Je lui ai pris le poignet et je l'ai emmené vers le salon. Il a pris peur, a voulu reculer, mais Anne-Sophie suivait et elle l'a poussé par les fesses. Nous sommes entrées et il n'y avait personne. Il a eu chaud.

— Regarde, la vaisselle n'est pas faite. Au travail!

Anne-Sophie l'a poussé vers l'évier. Il tremblait un peu, mais il était excité.

— C'est bien de nous aider, elle lui a encore dit, mais alors, comme il faut, sinon cela ne nous aide pas. Tu promets et tu ne tiens pas parole.

Ce n'était pas vrai, et certainement pas gentil, mais nous voulions cet état de fait.

Devant nous, il a fait toute la vaisselle et a même nettoyé un peu à côté.

— Tu ne veux pas que je te suive de près avec ma cravache?? A encore demandé Anne-Sophie. Ce serait très sexy.

— Non, non, il a supplié.

— Dommage. Enfin, il est tard et tu as fini de toute façon, en tout cas, dès que tu veux, tu me le dis. Je me ferai un plaisir de t'aider.

— Tu pourrais au moins remercier Anne-Sophie, je lui ai dit.

— Merci Anne-Sophie.

Il ne savait quoi faire.

— On dirait que tu aimes travailler tout nu, je lui ai dit. Regarde ton sexe.

— Oui, a dit Anne-Sophie, nous lui faisons plaisir, il pourrait faire les tâches domestiques ici, tout nu puisqu'il aime cela.

Il a failli s'étouffer, et nous avons éclaté de rire.

— Allons-nous apprêter, je lui ai dit.

Dans la chambre, je l'ai plaqué encore contre le mur.

— Arno, tu es trop sexy. Il faut que je te viole encore. Je n'en ai jamais assez.

Il s'est laissé faire, et j'ai été assez violente, j'adore. J'aimerais être beaucoup plus forte que lui. Je ne le serai jamais, mais j'ai le grand pouvoir de ma féminité. Avec lui, je le domine de toutes les manières, il est tellement gentil que si j'étais une salope, je pourrais lui faire tout ce que je veux, il tomberait toujours dans le panneau.

Quand nous avons eu fini, je l'ai fait rester nu pour m'habiller. Il était à mes pieds occupé de mettre mes escarpins quand Anne-Sophie est entrée. Elle était aussi habillée et prête à partir, alors qu'Arno était toujours nu et en plus à mes pieds. Il a voulu se relever.

— Arno, tu ne m'as mis qu'une chaussure.

— Encore tout nu, elle a dit, décidément, c'est de la rage. Et après il vient faire le timide en disant qu'il veut s'habiller.

— Laisse-le, s'il aime cela, je lui ai répondu.

— Justement, il adore, et il ne le fait pas. Moi aussi j'aime qu'il soit nu, et toi aussi. Alors, qu'il vive nu.

Il était si mal à l'aise. C'était trop excitant, et je me demandais si je tiendrais le coup. Anne-Sophie était déjà trop excitée et parlait de nudité, et les autres étaient dans le même cas.

— Je sais, je lui ai dit, mais je suis certaine que cela viendra.

C'en était trop pour lui, il aurait pu se lever, s'habiller, ses vêtements étaient là, mais il est resté nu à nos pieds. Mon amie lui a demandé de se lever et lui a demandé de l'aider, il a rangé sa chambre puis la nôtre et encore le living, je lui ai demandé de faire du café. Et il était midi.

— Après tout, mangeons ici avant de rentrer, a proposé Anne-Sophie. Arno, puisque tu es là, prépare-nous à manger.

Pendant qu'il préparait, elle m'a dit.

— La semaine prochaine, tu veux venir avec moi faire du shopping? J'ai encore envie de trucs en cuir noir.

— Excellente idée.

— Et puisqu'on est dans le domaine, tu pourras me donner Arno pour un nettoyage complet de ma chambre?

— Bien sûr. Ne me le demande pas, j'ai dit assez fort pour qu'il l'entende, si tu as besoin de lui, prends-le!

Comme si c'était un bien.

— J'adore quand il travaille nu.

— Et bien laisse-le tout nu.

Il avait préparé trois couverts.

— Arno, je lui ai dit gentiment, quand tu sers tout nu, tu sers tout nu, tu ne viens pas à table, retire cette assiette.

Il était choqué, mais toujours excité. Il a obéi. Il tremblait, une telle remarque était vraiment un choc pour lui. Je me rappelle en première, nous avions décidé de passer le week-end tous les trois chez moi. Nous avions fait l'amour, et nous étions tous les trois nus dans le salon. Nous avions dû nous rhabiller, Arno ne pouvait quitter nos poitrines des yeux. Et donc il était resté seul tout nu.

En tremblant, il a apporté les plats.

— Et aussi, a dit Anne-Sophie, quand tu es tout nu pour servir, mets-toi à genoux, regarde, j'ai ton sexe dans la figure. J'aime bien, mais pas en mangeant.

Il a été surpris, mort de honte qu'il était. Elle a pris son sexe qui était proche de sa poitrine plutôt et l'a serré dans sa main.

— Hein? Mets-toi à genoux, c'est mieux.

Il a obtempéré, trop honteux pour rouspéter. Et il a continué à servir, en tremblant, il était tout rouge. Anne-Sophie adorait le torturer ainsi.

Un jour, elle m'avait même confié qu'elle adorerait être une dominatrice professionnelle. J'avais pu la convaincre de ne pas le faire. Cela reste de la prostitution. C'était une période assez triste pour elle.

Depuis un mois, elle avait trouvé l'amour avec Sylvie. Mais elle était partie à Helsinki, et nous avions décidé que Sylvie et elle pouvaient jouer avec Arno, car toutes deux adoraient mon fiancé.

Mais pas de pénétration, juste sa langue, elles étaient autorisées à l'utiliser comme ça. Mais c'était une longue histoire.

Quand nous avons eu fini de manger, il a débarrassé, et a fait la vaisselle.

— Bon a dit Anne-Sophie, il faut que je file.

Elle m'a embrassée, puis a pris son imper et elle a pris Arno dans ses bras.

— J'adore quand tu es nu, c'est super. Merci.

Elle l'a embrassé sur la bouche en le plaquant contre lui. Il n'en pouvait plus.

— A la semaine prochaine, j'espère qu'elle sera encore mieux que cette semaine, je vais te prendre au mot et accepter ton aide. Tu es toujours d'accord?

— Oui oui, il a dit.

— Merci. J'aurai plein de choses à faire.

Elle est partie.

— Et bien, je lui ai dit, tu es tout le temps tout nu, c'est bien. Admirable, il faudra que je trouve une solution, tu aimes tant.

— Non, s'il te plait, ne fais rien.

— Mais tu es nu depuis hier, tu vas avec Virginie, Anne-Sophie, Marie-Dominique, chacune. Encore Annick et Sandrine et tu auras fait tout le monde.

— C'est le hasard, il a répondu tout penaud, je... je ne le voulais pas.

Il pleurait presque.

— Mais je ne suis pas fâchée, mon amour, au contraire, je suis ravie que tu vives enfin ta passion et la mienne.

Il était trop embarrassé pour nier.

— Allez, fais donc la vaisselle et range la pièce, nous devons y aller et tu ne peux pas laisser cette pièce en désordre!

J'avais repris un ton plus sec. Il a obéi. Après, nous sommes allés dans la chambre, et je l'ai laissé s'habiller. Un jour, il serait tout le temps nu. Toute une semaine, je me demande si ce serait possible.

Nous sommes rentrés à Bruxelles. Il avait repris un peu d'assurance. Avec des vêtements sur lui, il était un bel homme, un homme avec de la prestance et sur de lui. Cette année, il était devenu irrésistible. Je me rappelle la première, voir la deuxième, il était monsieur Stéphanie, il a eu du succès parce qu'il était avec moi, enfin pas que ça, aussi parce qu'il était très populaire, mais cette année, je suis pratiquement devenue madame Arno. Celle qui a la chance d'avoir un mec si beau et surtout si formidable.

Et j'adorais cela aussi. J'étais fière de me promener à son bras. J'étais une vraie femme comblée.

Il m'a invitée au restaurant. Comme d'habitude, nous étions comme un couple de vedettes. Il était exquis, amusant, prévenant. C'était l'homme de ma vie. Nous avons parlé de beaucoup de choses, car nous étions les meilleurs amis, jusqu'au dessert, alors j'ai abordé la semaine.

— Ne t'en fais pas, Stéphanie, je fais ce que tu aimes. C'est bizarre, et embarrassant, mais c'est OK. Et c'est fun.

— Donc, nous pourrons encore faire des séances SM à trois?

— Oui, mais pas à l'appartement, je n'ai pas envie de me faire voir par les autres.

— Pourtant, tu t'es fait voir par Virginie et Marie-Dominique.

— Oui, mais pas dans un truc SM.

— Tu aimais quand même bien? Tu étais avec Virginie pendant une heure, tu aurais pu partir.

— Quand je suis ainsi, je suis différent, je suis incapable de résister.

Il m'expliquait sans honte toutes ses pensées, c'était agréable, et je savais qu'il adorait la situation, même s'il ne le dirait pas.

Le garçon est arrivé avec la note et il n'a pas pu payer, car je lui avais chipé ses cartes. Après un petit moment d'embarras quand il cherchait, je lui ai proposé de payer. Le maitre d'hôtel était dédaigneux.

— C'est moi qui ai tes cartes, mon chéri. Regarde, je paie avec tes cartes, tu as oublié?

Il a été soulagé.

— Excusez mon fiancé, j'ai dit au connard, il m'a tellement bien fait l'amour toute la journée qu'il a oublié que j'avais ses cartes, il me les avait prêtées pour faire du shopping.

Il a râlé. Personne ne doit dénigrer mon fiancé. C'est le type le plus formidable qui soit. Il m'a emmenée boire un verre et puis nous sommes allés aux Jeux. Je l'ai gardé près de moi, nous dansions, nous nous embrassions, et je lui rappelais qu'il avait été nu et que cela me plaisait. Nous sommes rentrés tard.

Evidemment, samedi matin j'avais mon petit déjeuner servi par un bel homme nu.

— Tu n'aimerais pas que je sois tout le temps nue?

— Oh non.

— Pourquoi? J'ai fait un peu vexée.

— Tu es trop belle, tu es une déesse, il faut le mériter.

C'était un beau compliment comme d'habitude, j'étais sa déesse. J'aimais le troubler, nous sommes allés nous promener en ville, et puis j'ai travaillé pour mes sociétés. Il avait préparé plein de fichiers super qui m'aidaient à gérer les parkings et les sociétés immobilières de Tara.

— Il faudra que je lui parle de ton génie.

Il était nu évidemment, près de moi dans le bureau. Il tapait les travaux de Sandrine je crois. J'ai appelé Tara pour lui parler des nouveaux fichiers et tableaux de bord.

— C'est Arno qui a tout fait.

— Un bon secrétaire, elle m'a dit, pas plus.

— Je sais, ne t'en fais pas, c'est mon assistant. Il n'a aucun pouvoir. Et puis, nous vivons de mieux en mieux, il va falloir que je t'explique.

— La prochaine fois que je viens à Bruxelles, ou alors tu viens à Dublin.

— Je pourrais envisager cela.

Je ne lui ai pas parlé du fait que Arno était nu à mes pieds et me les massait. Il avait peur que je le dise.

Tara était une grande amie rencontrée il y a quelques années. Nous avions eu une relation avant que je sorte enfin avec Arno. Elle était très puissante, et gérait un empire créé par elle-même. Un empire surtout dans l'immobilier. C'est moi qui gérait ses affaires dans le pays. Elle aimait bien Arno, mais malgré tout, elle détestait les hommes. Dans sa société, il était interdit à un homme d'avoir un poste autre que chauffeur ou nettoyeur. Rien que du subalterne. Lors de la dernière visite de Tara, Arno avait été très sympa, il avait joué le rôle de majordome, il avait servi le café, il avait préparé à manger. Et pourtant, c'était lui qui connaissait le mieux. Il avait même donné de bonnes idées à Tara qui les avait mises en pratique, et elle lui en voulait juste un peu parce que c'était un homme qui avait eu cette idée.

Nous sommes encore allés au restaurant et au cinéma, et puis une peu en boite. Dimanche, beaucoup de sexe au lit, et il m'a pomponnée comme une déesse.

— Dire que je vais moins te voir nu, je lui ai dit. A Louvain tu seras toujours habillé.

— Oui, il y a les autres, mais nous pourrions rester ici, il n'y a plus de cours.

— C'est mieux le campus, d'ailleurs tu as promis quelque chose à Anne-Sophie.

— Elle y pense vraiment?

— Bien sûr.

— Ecoute, quand nous sommes tous les deux, je pourrai rester nu avec toi.

— Tu aimes bien?

— Oui.

— Pourquoi?

— Parce que c'est excitant, j'adore quand tu me domines, et être nu alors que tu es habillée, cela fait de toi une femme supérieure.

— C'est comme cela que je l'entends. Quand tu seras mon assistant, tu seras souvent nu. Je rêve, c'est une utopie, que tu es toujours nu, que tu n'as plus rien, rien du tout, tout nu, et moi, je te prends avec moi, et tu dois aller partout tout nu, et travailler pour moi. Ce serait génial, non?

— Oui, il a dit. Malheureusement, ce n'est pas possible.

— Pourquoi?

— Mais, tu imagines que je sois nu tout le temps? Comment sortir de la maison et aller au bureau?

— Et bien d'abord nous sommes chez nous et au bureau, mais si nous allions travailler autre part, je pourrais te mettre nu dans la voiture et tu sors nu dans le bureau, un autre endroit occulté comme ici. Et bien sûr, je n'aurais que des employées féminines. Tu devrais être nu au bureau, et me servir.

— Une belle utopie, il a dit avec une moue bizarre.

— Je sais, c'est mon fantasme. Je veux le vivre. Je sais très bien que ce ne sera pas possible, mais autant en profiter maintenant, non?

Nous sommes partis vers 16h et sommes rentrés. Il m'a montré le parking du sous-sol de l'immeuble, un endroit isolé, impossible à trouver, entre les parkings Agora et Grand-Rue. Effectivement. Et l'avantage, on monte directement dans l'immeuble. Evidemment, j'ai tout de suite imaginé que je pourrais le sortir et le faire entrer tout nu de la voiture au quatrième.

Les filles étaient là. Ravies de nous revoir et surtout Arno. Il se demandait ce qu'il lui valait tant d'embrassades. Il avait un peu peur d'Anne-Sophie qui aurait pu parler, mais elle n'a rien fait. Ou en fait, tout le monde était au courant, mais jouait le jeu.

OmegaNu
OmegaNu
13 Admirateurs
12