CFNM à l'université Chapitre 15

Informations sur Récit
Arno se voit proposer de vivre en gynarchie.
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Partie 16 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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— Stéphanie, j'ai besoin de ton conseil.

Elle est venue se placer tout près de nous, en touchant un peu Arno qui était maintenant immobile contre le mur entre elle et moi.

— Avec plaisir.

— Je veux plaquer JC, j'en ai marre de ce type. Comment tu crois que je devrais faire.

— Je ne sais pas, tu veux le faire gentiment? Ou bien l'envoyer vraiment à la gare?

— Je ne sais pas. Comment devrais-je m'habiller?

— Je n'ai pas d'expérience à ce sujet, je lui ai répondu, je n'ai eu qu'un seul garçon et je n'ai aucune intention de le plaquer.

— C'est vrai. Et toi Arno, tu as plaqué des filles?

— O-o-o-o-oui, il a bégayé.

— Et comment as-tu fait?

— Je n'ai rien fait, je n'ai plus téléphoné et j'ai fait semblant de ne plus les voir.

— Quel vilain garçon!

Elle lui a caressé le ventre, très près du sexe et il a sursauté.

— Parlons autrement, comment devrait s'habiller une fille pour te plaquer?

— Mmm...

— Allons dans ta chambre, j'ai proposé, tu pourras lui montrer ce que tu as.

— Excellente idée.

Je l'ai poussé vers la porte, Marie-Dominique l'a précédé.

Nous sommes entrés dans le salon, et à son grand soulagement, il n'y avait personne. Marie-Dominique nous a emmenés vers son couloir et puis dans sa chambre. Arno était complètement subjugué par la situation.

— Alors? Tu trouves que je devrais être sexy.

— Oui, j'ai dit, comme ça il va regretter de ne plus être avec toi.

— Tu confirmes, Arno?

Il était perdu.

— Je vais le plaquer fin de semaine, sans doute vendredi, il m'a invitée à une soirée du barreau.

— Pourquoi le plaques-tu? Il a demandé.

— Regarde.

Elle lui a montré une photo de JC et une photo de lui, en maillot.

— Alors tu vois la différence?

— Mais...

Il se sentait flatté.

— Moi, il me faut un type comme toi qui me prend pour une déesse et non comme un objet acquis. Alors, je vais lui dire que c'est fini, et je veux qu'il le regrette, que le jour où il tombera sur une fille, il sache qu'il doit l'aduler.

— Toutes les filles n'aiment pas nécessairement ça, il a dit.

— Tu crois? Viens, on va demander aux autres.

— Nooon, il s'est écrié. Je te crois.

Nous nous sommes regardées en riant. Il était trop mignon tout perdu. Nu entre nous deux. Dire que cela faisait depuis lundi matin. Et ce n'était pas fini.

— Donc tu crois aussi que les garçons doivent adorer les filles et faire ce qu'elles exigent.

— Oui, il a dit.

— Et le monde devrait être commandé et gouverné par les femmes?

— Oui.

Il acceptait tout pour ne pas aller nu voir les autres et le leur demander.

— C'est une bonne idée, j'ai dit, nous devrions commencer ici, les femmes gouvernent et commandent, les garçons obéissent. Cela me plait.

Il n'en revenait pas. Habillé, cela lui aurait été égal, il en aurait discuté, mais il était tout nu et nous lui disions que les femmes devaient commander, et il y avait six femmes dans cet appartement, pour un garçon.

— Alors, tu vois? Tu ne crois pas que je mérité un garçon comme toi?

— Euh oui, certainement, tu mérites le meilleur, pas que je sois le meilleur, mais tu mérites ce qu'il y a de mieux pour toi.

— Justement, ce n'est pas JC, je ne comprends même pas comment j'ai pu tomber amoureuse de ce type.

— Parce que tu t'es cantonnée à un type de mec que tu crois bien pour toi, tu veux un avocat de bonne famille avec une belle gueule virile, lui a dit Arno, cela limite les possibilités.

— On m'a déjà dit la même chose. Tu dois avoir raison.

Dès qu'on parlait de choses sérieuses, dans un domaine où il peut exceller, il oubliait presque sa situation.

— Et je veux quelqu'un comme toi, beau, intelligent, et avec un corps de rêve.

Elle a placé une main sur ses abdos pour les caresser, et l'autre sur ses cuisses, pratiquement sur ses testicules.

— Tu vois? Je veux quelqu'un comme toi, même si je dois le partager.

Arno m'a regardé assez paniqué, c'étaient des avances non dissimulées, et je suis sa fiancée.

— Il est notre mari à toutes les six, j'ai confirmé en souriant. Mais revenons à ta rupture.

— Oui, je m'habille sexy?

— Oui, il a répondu un peu soulagé.

— Et qu'est-ce que je lui dis?

— Je ne sais pas.

— Trouve quelque chose.

— Je ne sais pas, dis-lui que c'est fini. Dis-lui que tu es une déesse, ou en tout cas, tu veux qu'on te considère ainsi. Et qu'il t'a tout de suite traitée comme une chose acquise. Dis-lui qu'il ne te fait pas rêver, qu'il ne t'a jamais... je ne sais pas, tout ce qu'il n'a jamais fait et qu'il aurait dû faire.

— Par exemple?

Il reprenait du poil de la bête en parlant d'un bon sujet. Oubliant presque qu'il était nu devant nous.

— Une fille, cela se mérite, et cela se mérite tous les jours, toutes les secondes, il faut qu'il se réveille le matin et que même si tu n'es pas là, il ouvre les yeux en souriant et en se disant qu'il a la meilleure petite amie du monde, qu'il a la chance de l'avoir, ou plutôt qu'elle ait daigné s'intéresser à lui, il est le grand veinard. Comment faire pour la remercier? Comment la rendre heureuse? Comment la saouler de bonheur? Comment la surprendre?

Marie-Dominique écoutait Arno, fascinée. Elle m'avait dit qu'elle voulait Arno, pas nécessairement sexuellement, mais juste pour profiter de lui, elle ne pouvait s'empêcher de penser à lui.

Elle l'a embrassé et le serrant contre elle.

— Bravo, tu as trouvé mes arguments, tu es comme ça toi?

— Oui.

— Je confirme, j'ai dit, il est même en deçà de la vérité.

— Et tu es unique... Donc je dois être sexy? Quel genre de robe?

— Je ne sais pas.

— Quelque chose qui respire la féminité, j'ai dit.

Marie-Dominique lui a montré plusieurs robes et il a fini par en choisir une. Et elle lui a fait choisir toute la panoplie, avec les chaussures et les sous-vêtements.

— Je mettrais des bas avec un porte-jarretelles?

— Réponds, tu adores cela.

— Est-ce qu'il le verra?

— Bonne question, il n'apprécie pas la lingerie. Tu aimes la lingerie, toi?

— Il adore, j'ai dit.

— Oui, il a murmuré en même temps.

— Alors, il faudra que tu m'aides, tu pourras? Je veux acheter d'autres trucs, et puis aussi tu pourras voir ce que j'ai et me dire ce qui te plait?

Il était gêné, nu à parler de lingerie. Même habillé, il aurait été confus.

— Il t'aidera, j'ai dit, je ne sais pas ce qu'il a aujourd'hui, mais il n'est pas dans son assiette.

— Tu n'es pas malade, j'espère?

— Non non.

— Tant mieux. Je te remercie du fond du cœur, tu as été d'un très grand secours, comme d'habitude.

— Si tu veux vraiment lui faire mal, dis-lui qu'il est nul au lit. Que tu as dû toujours simulé, et que tu as besoin d'un vrai orgasme.

— Wow, c'est vrai que c'est très important pour un mec.

— Oui, mais ne lui dis pas si ce n'est pas vrai. Il n'y a rien de pire!

— Mais tu as raison, j'aimerais avoir un orgasme. J'aimerais qu'un garçon me fasse l'amour pendant des heures, j'aimerais crier comme Stéphanie.

Et elle l'a pris dans ses bras il était mal à l'aise avec son sexe gonflé contre le pubis de Marie-Dominique. Elle m'a fait un clin d'œil. Nous nous amusions vraiment, toute cette aventure était la meilleure du monde.

— Bon, j'ai assez pris de ton temps.

Nous sommes allées vers la porte, il commençait à être à l'aise. Il était perdu, personne ne lui disait qu'il était nu, au contraire, chacune faisait comme si c'était normal, usuel. Elle a ouvert et nous sommes sortis, Elle l'a encore serré dans ses bras un long moment et nous nous sommes retrouvés seuls.

— Et bien, je lui ai dit, Marie-Dominique maintenant. Tu vas tout nu partout?

— Non.

— Mais je suis avec toi, je le constate.

Il voulait avancer, mais je le retenais.

— Et bien reste ici je te parle.

— Allons dans notre chambre.

— Non, je veux te parler ici. Avoue-moi que tu as aimé te retrouver nu en face de Marie-Dominique.

— Oui, il a dit, pour aller vite se réfugier dans notre chambre

— Et sa proposition de gouvernement féminin?

— Oui, je le lui ai dit.

— Et bien tu sais quoi? Frappe à sa porte, et dis-le lui.

— Quoi? Mais non.

— Arno, fais ce que je te dis.

J'ai frappé et elle a ouvert.

— Alors?

— Encore toi, Arno, quel plaisir, tu as oublié quelque chose?

— Arno a repensé à ton histoire de gouvernement féminin.

— Ah? Elle lui a dit et alors?

— Il aimerait qu'on le fasse ici.

— Sérieusement?

— Oui, il a dit tout bas pour me plaire.

— C'est génial. Je vais préparer quelque chose en ce sens. Tu as raison, les femmes devraient toujours commander. Un peu comme toi et Stéphanie.

— Quoi moi et Stéphanie, il a demandé.

— Et bien c'est elle qui commande, c'est elle qui décide de tout et tu lui donnes les pleins pouvoirs, et tu lui as même donné tout l'argent, tu ne possèdes en fait rien. C'est un monde de rêve que vous avez à deux et qu'il faut construire.

— Euh oui, il a dit troublé.

— Je vais en parler aux autres, je crois que tu as raison, il faut que les femmes prennent les choses en main. Tu accepterais un monde comme ça?

— Oui.

— C'est formidable, surtout venant d'un garçon qui de facto n'aurait pas de pouvoir dans cette société.

Il ne voyait pas où elle voulait en venir, il ne pensait qu'à pouvoir retourner dans sa chambre. Cela devenait de trop, aucun moment de répit.

— Merci.

Elle l'a encore pris dans ses bras et serré. Puis elle a fermé sa porte.

— C'est bien tu as bien réagi.

— Pouvons-nous aller dans la chambre?

— Bien sûr, tu aimais bien être nu devant Marie-Dominique.

— Oui, je t'ai déjà dit.

— Donc tu aimes être nu?

— Oui

— Pourquoi ne leur demandes-tu pas si tu peux te promener nu?

— Jamais. Je ne peux pas demander cela.

— Ce serait plus simple. Enfin, comme tu veux. Moi je trouve que tu es très sexy tout nu.

— Elles font comme si de rien n'était. Je suis nu et elles le remarquent à peine.

— Elles le savent. Et elles apprécient. Elles trouvent cela normal et naturel. Tu préférerais qu'elles te le disent?

— Non, je serais encore plus embarrassé. C'est mieux comme maintenant.

— Je suis contente, tu admets que c'est mieux d'être tout nu...

La porte s'est alors ouverte sur Annick avant qu'il puisse répliquer.

— Ah, Arno, tu es là.

Il a encore rougi, et s'est senti tout confus. Encore nu devant une des filles.

Elle est venue près de nous depuis sa chambre.

— Je n'avais pas encore pu te le dire depuis hier, mais je suis terriblement désolée pour tes vêtements.

— Que s'est-il passé? J'ai demandé comme si je n'étais pas au courant.

— Hier, je lui ai demandé d'ouvrir un flacon pour moi, et il a tout renversé sur lui, un produit dangereux qui a dissous ses vêtements. Ne t'en fais pas, juste des dégâts matériels, je l'ai examiné et ensuite lavé, il n'avait pas de brûlure sur le corps.

— Mon dieu Arno, tu ne m'avais pas dit que c'était si grave.

Il était encore plus ennuyé, anticipant ma colère. Mais je l'ai regardé.

— Où le produit est-il tombé.

— Un peu partout, tout a été détruit, dissous, il était nu devant moi. Tout était à la poubelle, et ensuite je lui ai mis une lotion apaisante.

— Il vaudrait mieux en remettre, j'ai dit, pour que je sois rassurée.

— Pas de problème, viens.

Elle lui a pris la main et il a suivi comme un automate. Elle a placé Arno au milieu de sa chambre et j'ai fermé la porte. Puis elle a pris une lotion, un truc normal comme de la lotion solaire je crois, dont elle avait retiré l'étiquette.

— Je vais en mettre partout, c'est mieux.

— Oui, j'ai approuvé.

Et lentement, elle a commencé à le masser, en commençant par le visage et la nuque, elle se pressait contre lui tout le temps et il n'en pouvait plus, excitation et confusion.

— Pauvre Arno, je vais te racheter des vêtements, il faut bien que je compense.

— Ce n'est pas la peine, il a dit.

— Mais si, j'insiste. Nous irons faire du shopping. Je veux te gâter et compenser.

— Ne dis pas non, Arno, je lui ai dit fermement. Annick ira avec toi et t'achètera des vêtements.

— Oui Stéphanie, il m'a répondu presque machinalement.

Il a rougi quand il s'est aperçu qu'il se soumettait à moi devant Annick. Elle a terminé son dos et ses fesses. J'étais en face de lui et il n'osait même pas me regarder. Son sexe allait exploser tellement il palpitait, il se jetait en avant, comme s'il donnait des coups de bassins dans le vide. Je ne sais pas si c'est mauvais, peut-être qu'il doit se reposer.

Elle est venue devant, elle me regardait d'un air espiègle et elle a commencé à le caresser tout en me parlant de vêtements. Il sursautait, surtout quand elle a approché son ventre. Elle adorait ses abdos, elle n'en avait jamais touché de pareils et elle insistait beaucoup sur cette zone qui avait été la plus touchée.

— Mets-en bien partout, je lui ai dit, je ne veux pas qu'il ait des blessures.

Elle a alors caressé son sexe lentement, et il est devenu tout rouge, il suffoquait presque.

— Tu as entendu l'histoire de Marie-Dominique? Elle fait un travail sur un gouvernement de femmes, m'a demandé Annick.

— Oui, elle m'en a parlé. C'est super.

— Pas si évident, il n'y a pas de documentation.

— Non, mais il faut créer, d'ailleurs Arno lui a dit que ce serait bien.

— Vraiment? Je trouve aussi.

— Elle veut faire un gouvernement féminin ici.

— Ce serait une bonne idée.

Elle a terminé ses jambes.

— Voilà c'est tout ce que je peux faire.

— Tu es bien gentille.

— C'est naturel, après tout c'était de ma faute, même si Arno a refusé que je m'excuse.

— Pourquoi?

— Tu le connais, les femmes sont des déesses, tout ce qu'elles font est normal.

— Oui, je connais. Bon, je suis rassurée, il va bien.

— Je lui en ferai une autre application demain, elle m'a dit.

Nous sommes sortis. Il était comme un automate.

— Tu vas bien?

— Oui...

— Encore tout nu, décidément...

— Stéphanie, retournons à la chambre

— Oui. Bien sûr, et je vois que tu aimais être nu devant Annick aussi. Tout le monde en fait.

Il n'a pas répondu. Il était trop troublé. Nous sommes entrés dans le salon, Sandrine était devant l'ordinateur.

Arno a voulu aller directement à la chambre.

— Attends, je lui ai dit. Sers-moi d'abord un verre d'eau.

Sandrine nous a entendus et s'est retournée.

— Mon sauveur, elle s'est écriée. Arno, merci pour cet après-midi, j'ai encore besoin de ton aide.

Je l'ai poussé vers le bureau, il était pratiquement tétanisé.

— Allons, je lui ai soufflé, ne sois pas timide, tu as passé la journée tout nu avec Sandrine.

Il est allé vers elle.

— Mais n'oublie pas, je t'ai demandé un verre d'eau.

Il s'est arrêté. Il avait encore peur, je viens de lui donner un ordre devant Sandrine, et il est nu.

— Alors? J'ai fait un peu plus sèchement. Tu n'as pas compris?

— Si si.

Il est vite allé au frigo et a pris une bouteille et m'a servi un verre puis me l'a apporté.

— Moi aussi, je veux bien un verre.

Il est vite allé le chercher.

— Voilà, elle lui a dit. Ton travail de ce matin était super, mais j'ai deux trois petites questions, pour ce graphique. Oh, elle a poursuivi après avoir mis sa main sur ses fesses, ta peau est si douce, tu mets enfin de la lotion?

— Non, Annick lui a mis sa lotion spéciale contre le produit qui s'est répandu et qui a dissous ses vêtements.

— Ah oui, elle était vraiment ennuyée. Mais on dirait que tout va bien, non?

— Oui, il a gargouillé.

Il a dû refaire le graphique et un deuxième. Une demi-heure. Quand il a eu fini, Sandrine et moi étions occupées de discuter de son mémoire. Il a voulu aller vers notre chambre.

— Arno, je lui ai dit, prépare donc le repas. Nous sommes toutes là.

Il a eu vraiment peur, il se voyait déjà nu à nous servir toutes les six, mais ce n'était pas encore maintenant.

Sandrine le fixait en souriant, et il est allé docilement dans la cuisine, vaincu sans doute par la force des choses. Il nous a préparé un bon repas, pendant une demi-heure, avec une jolie table, il n'avait mis que six couverts.

— C'est super, me disait Sandrine, il est complètement dans le coup.

— Il vient de m'avouer qu'il aimait bien, mais il a peur, enfin...

— Oui, c'est bizarre. Mais je comprends.

— Et il a approuvé le gouvernement féminin de Marie-Dominique, il le lui a dit.

— Il ne sait pas à quoi il s'attend.

— Non, mais il aime le principe. De toute façon, il aime être nu avec nous, et cela va continuer.

— Que se passe-t-il maintenant?

— Nous allons discuter en dînant.

— Il va nous servir?

— Non, c'est trop tôt. Il faut d'abord plusieurs fois deux filles sans moi, une combinaison de deux chaque fois, et ensuite trois dont moi. Nous serons alors bien avancées.

— J'adore Stéphanie. Nous avons toujours essayé de le mettre nu, mais maintenant, c'est sérieux et réel. Cela ressemble à nos fantasmes de retraite en dernière année au lycée, tu te souviens?

— Oui, bien sûr. J'ai eu cela assez vite.

— Notre fantasme était d'avoir un seul garçon pour le dominer complètement en groupe. Evidemment, c'est notre meilleur ami aussi, mais il semble aimer cela, et nous ne ferons jamais rien de mal, tout est fait avec amour.

— C'est vrai. Tu sais, je veux qu'il nous demande, qu'il nous dise qu'il aime vivre nu. Que ce soit comme si nous l'acceptions, une faveur.

Elle a ri. Arno est venu nous dire que c'était prêt.

— Merci mon chéri, je lui ai dit. Tu peux aller te reposer.

Il a paru soulagé, mais aussi déçu.

— Ou bien tu veux rester? Lui a demandé Sandrine.

— Non, il s'est écrié, je vais vous laisser. Bon appétit!

Il est parti vers notre chambre, et à peine avait-il fermé la porte que Marie-Dominique et Annick sont entrées.

— C'était génial!

Nous nous sommes raconté en détail les moments avec Arno.

— C'est un jeu follement amusant, a dit Marie-Dominique.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Oui oui oui

ça y est le cap va être franchi ! Arno sera nu dans une colloc gynarchique.

Humm que de belles perspectives en vue !

Rudy

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