CFNM à l'université Chapitre 20

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Arno doit déshabiller Virginie devant les autres.
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Récit n'a pas de balises

Partie 21 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 20

Récit d'Arno.

Cela recommence. Virginie est arrivée, et elle m'emmène dans sa chambre. J'ai peur. C'est trop. Elle entre dans notre couloir et Stéphanie me pousse par les fesses puis referme la porte. Je me retrouve nu devant Virginie mais aussi Anne-Sophie et Annick.

— Virginie, tu es rentrée, comment était ta réunion?

— Excellente, et j'ai eu une proposition de contrat pour mes photos ethniques. Allons dans ma chambre, je vous expliquerai. Viens! Me dit-elle encore sèchement.

Je les suis et nous entrons dans sa chambre.

— Retire mes chaussures, aboie-t-elle. Range-les et fais-moi un massage.

Je me mets à genoux à ses pieds et me retrouve une nouvelle fois nu aux pieds de trois filles. Je retire les chaussures pendant qu'elles parlent.

— Tu sais toutes les photos d'Arno nu avec les femmes de toutes les origines?

— Oui, répond Anne-Sophie, j'adore.

— Et bien elle veut me commander tout une série, pour en faire un livre et une exposition. Il faut un bel homme blanc tout nu, entouré dans des scènes de vie par des femmes vêtues de leur costume d'origine.

— Mais quel projet excitant.

— N'est-ce pas. Elle va me donner les thèmes, et en fonction, j'aurai carte blanche pour en faire les images. Elle va voir combien de thèmes elle veut, et en fonction de cela, j'aurai mon contrat. Il y aurait deux parties, une partie fixe et une partie en fonction des ventes.

— Et tu vas prendre Arno comme modèle?

— Bien sûr, qui d'autre? Il est mon modèle attitré depuis mes débuts. En plus, il a promis de m'aider, il n'a pas d'autre choix.

Elle s'assied pour me présenter ses pieds que je commence à masser doucement. Elle est occupée de parler de moi, de me mettre dans un programme sans me demander mon avis. Je n'ose rien dire. Elle parle déjà de décors et de costumes, et d'endroits où trouver des femmes qui seraient d'accord de poser pour des photos comme ça. Pendant ce temps, je masse toujours ses pieds. Elle a de très beaux pieds et j'aime les toucher. J'aimerais faire comme pour Stéphanie, voire Anne-Sophie, lui baiser doucement les pieds.

Mais je n'oserai jamais. Au-dessus de moi, elles parlent d'idées de photos, Virginie semble préférer des femmes plus âgées, des femmes qui sont à l'opposé des mannequins, pour faire ressortir une sorte de cliché sur la femme qui doit être toujours belle alors que pour l'homme c'est moins important.

— Cela va bien dans nos théories du « Pussy Power », conclut-elle.

Journal de Stéphanie

Marie-Dominique arrive aussi. Pour tout rendez-vous elle avait une réunion avec une fille de son cours, Sophie, pour un travail.

— Elle m'a demandé si j'allais à un rendez-vous avec mon petit ami. Je ne pouvais lui dire la vérité. Par contre, elle est ravie qu'Arno va tout faire, et qu'il accepte de tester nos théories.

— Nous les voyons toujours la semaine prochaine?

— Oui, notre dîner. Nous serons douze et Arno, et nous mettrons au point un gouvernement gynarchique.

— Ce sera intéressant.

— Stéphanie, après un matin pareil, je suis prête pour gouverner le monde, je te comprends, je t'ai vue pendant cinq ans avec un air satisfait et heureux. Je ressens la même chose même sans le sexe.

Nous avons ri, car c'était vrai elles ressentaient toutes cela.

— Alors, où est notre Arno?

— Il est aux pieds de Virginie, avec Anne-Sophie et Annick.

— J'ai hâte de reprendre, il est vraiment tout perdu.

— Oui, il n'en peut plus. Il ne pense même plus à s'habiller, il n'a pas le temps de penser, il a été perpétuellement en présence de trois filles. Et nous changeons souvent.

— On continue alors?

— Evidemment, on va plus vite, et parfois nous sommes plus nombreuses. Il est midi, il va devoir nous préparer à manger et nous apporter l'apéritif. Il faut défiler.

— Compte sur nous, c'est le plus beau jeu auquel j'ai participé.

— Et ce n'est que le début.

Je suis allée voir dans la chambre de Virginie, elle était assise avec Anne-Sophie et Annick et finissait de raconter son nouveau contrat.

— Je me souviens, en octobre, Arno est arrivé chez moi à Ohain pour les photos, c'était la première série. Je lui ai demandé de se mettre tout nu pour le maquillage, il faut lui passer une lotion spéciale sur le corps pour ne pas briller sous les projecteurs. Les femmes noires sont arrivées. Je leur ai expliqué le topo et montré le vestiaire. Elles sont arrivées avec leurs costumes, et sont allées avec Arno dans mes décors. J'ai pris les photos, en demandant des poses. J'ai pris pas mal de photos, et comme il y avait des changements de costumes, il y avait des pauses. Arno ne s'habillait pas, il restait tout nu et allait boire un verre, se promenait, venait parler avec nous. Il a même parlé longuement avec mes modèles, tout nu au milieu d'elles, et quand elles sont parties, il était encore nu.

Sandrine m'a vue et est sortie de la chambre puis je l'ai remplacée. Virginie m'a regardée en souriant. Arno était gêné, je voyais le rouge sur ses oreilles et sa nuque. J'étais là pour les photos, et il avait fait tout cela pour moi, pour m'exciter, et ça avait bien marché.

— Arno, je lui ai dit en posant mon pied sur le bas de son dos, il est midi, va préparer à manger.

Il a sursauté, il ne savait pas que j'étais là. Il s'est retourné et a constaté que Sandrine était partie. Je ne sais pas s'il a été soulagé, mais il a encore eu peur, rien que des surprises, il ne s'habituait à rien.

— Nous sommes cinq? A demandé Anne-Sophie.

— Non, nous sommes toutes les six, ta sœur est rentrée.

— Ah. Très bien. Je vais aller la voir.

Elle est partie et Sandrine est entrée dans la pièce. Arno n'osait pas se lever.

— Tu peux laisser mes pieds, lui a dit Virginie.

Il a arrêté.

— Lève-toi. Avant d'aller préparer, tu vas m'aider à me changer. Je passe l'après-midi ici, j'ai envie d'être un peu confortable.

Elle s'est levée, lui aussi, et il était nu entre nous trois.

— Retire mes vêtements.

Fébrilement, il a pris la veste de tailleur.

— Mets-la sur le cintre, je lui ai dit. Et dépêche-toi, tu dois préparer à manger pour tout le monde.

Il s'est retrouvé devant un dilemme, il devait déshabiller Virginie, la veste de tailleur, c'était facile, mais maintenant c'était son chemisier ou sa jupe. Il a commencé à déboutonner le chemisier. Virginie le regardait.

— Cela te plait hein? Retirer les vêtements d'une fille.

— Réponds, je lui ai ordonné en claquant ses fesses.

Il a sursauté, il aimait mais il ne pouvait le dire. Il a quand même répondu «Oui Virginie».

— Je sais.

Elle le regardait, en poussant sa poitrine vers l'avant. Il tremblait tellement qu'il peinait à retirer les boutons.

— On dirait un garçon de quinze ans, se moque un peu Virginie. Je croyais que tu avais plus d'expérience.

— Mais... je n'ai pas quinze ans, il a dit en se révoltant un peu. J'ai presque vingt-deux ans!

— Doucement, Arno, je lui ai dit fermement. Ce n'est pas un ton que j'apprécie pour parler à Virginie.

— Oui Stéphanie, il a répondu en reprenant une voix soumise.

— Quel que soit l'âge, a repris Virginie, il ne sait pas déshabiller une fille.

A ce moment, il a pu retirer les boutons, et il a pris les pans de la chemise hors de la jupe et il a retiré le tissu du chemisier hors de la jupe, tout en louchant pratiquement sur la poitrine de Virginie. Elle portait un joli soutien mauve qui soulignait et portait bien sa poitrine, qu'elle se plaisait à lui garder le plus près possible de son nez.

— Sur le cintre, je lui ai dit, et arrête de fixer les seins de Virginie.

— Oui Stéphanie.

Il a pris le cintre dans la penderie et a accroché le chemisier tout en regardant sans arrêt en direction de Virginie.

— Je disais bien que tu as quinze ans, tu n'as jamais vu une poitrine. Tu me fixes comme si tu n'avais jamais vu cela de ta vie.

J'ai frappé ses fesses.

— Tu désobéis, j'ai crié.

— Non, Stéphanie, non, je ne le ferai plus.

Il s'est agenouillé pour retirer la jupe, il ne savait comment faire et Virginie a continué de se moquer de son âge. Elle s'est quand même retrouvée en sous-vêtements, elle avait une culotte assortie, vraiment très belle. Je le lui ai dit.

— Oui, j'ai acheté cela dernièrement, personne ne me regarde malheureusement.

Elle a tourné sur elle-même pour montrer son corps délicatement emballé dans la fine lingerie.

— Au moins Arno ne peut détacher ses yeux de toi, a ri Sandrine.

— C'est vrai, depuis que je le connais, il ne peut que mater mes seins.

Arno rougissait de plus en plus, Virginie s'est pressée un peu plus contre lui, il lui était impossible de ne pas admirer son beau corps.

— Prends cette robe et passe-la moi, Virginie lui a demandé.

Elle a désigné une robe d'intérieur. Il ne bougeait pas, il ne faisait que la regarder.

J'ai frappé violemment ses fesses, plusieurs fois jusqu'à ce qu'il revienne à lui.

— Ca suffit, obéis!

Il a finalement pris la robe, gêné qu'on lui fasse de telles remarques. Il l'a passé à Virginie en tremblant et lui a mis ses mules aux pieds, à nouveau à genoux entre nous.

— Voilà, ce n'était pas si difficile.

Nous l'avons pris dans le couloir, nous étions autour et nous le touchions aux épaules, hanches et fesses. Il tremblait et nous sommes arrivées à la porte sur le salon. Annick a ouvert et elle l'a poussé de l'autre côté, tout seul. Il s'est retrouvé devant les trois autres alors que nous refermions la porte derrière lui.

— Arno, tu es là, a dit Marie-Dominique. Tu vas bien?

— Oui Marie-Dominique il a répondu en s'étranglant.

— Je suis revenue plus tôt de mon rendez-vous avec mon amie. Tu auras un travail de plus à me taper.

— Euh oui, il a répondu, je le ferai Marie-Dominique.

— Merci

Je l'ai entendue le prendre dans ses bras.

— Sophie est vraiment heureuse que tu y participes. Elle tient à te remercier personnellement.

— Oui...

— Et elle est ravie aussi que tu veuilles bien tester la gynarchie. Elle a été très heureuse quand je lui ai dit que tu soutenais un tel gouvernement. Tu aimes toujours bien?

— Oui, il a répondu encore plus troublé.

La porte s'est ouverte. Nous voyions Arno de dos dans les bras de Marie-Dominique, et Annick est entrée pour que je puisse sortir et la remplacer. Cela allait vite. J'ai mis mes mains sur ses fesses.

— Alors, tu vas nous préparer à manger?

— C'est vrai, a dit Marie-Dominique, je te monopolise mais tu as promis de préparer le déjeuner pour nous toutes.

Il est surpris il se retourne et me voit au lieu d'Annick. Il est complètement perdu.

— Sers donc l'apéritif, lui ordonne Anne-Sophie, tu prépareras pendant que nous discutons entre nous.

Il ne répond pas et va vers la cuisine. Elle le rattrape par le bras et le stoppe puis le retourne.

— Je n'en crois pas mes oreilles, elle lui dit en haussant la voix, malgré les remarques. Tu oses être grossier!

Je viens aussi près de lui, et lui prend le sexe, que je serre très fort.

— Tu avais promis d'être sage et poli.

Il est perdu, il ne sait pas ce que nous lui reprochons.

— Je t'ai déjà dit de toujours répondre, fait Anne-Sophie,

— Oui Anne-Sophie.

Il est honteux, ne sait plus où il en est. Il a peur alors qu'il pourrait toutes nous envoyer au loin et retourner dans sa chambre pour s'habiller. Je ne crois même pas que si nous sommes six contre lui nous puissions le vaincre. Un jour, il avait fait une épreuve de force, il m'avait prise aux cuisses et torse, et en me demandant de rester fixe, il m'avait soulevée comme des haltères et m'avait fait monter et descendre de nombreuses fois, presque comme si j'étais un fétu de paille. Il a donc la force. Et là, il est perdu et faible devant les filles. Il subit ce que nous voulons.

— A genoux! a presque crié Anne-Sophie.

Il a obéi, j'ai lâché son sexe que je tordais un peu, c'était presque un soulagement pour lui, et Je me suis placée contre lui sur son flanc pendant que Marie-Dominique faisait la même chose de l'autre côté.

— C'est la dernière fois, elle a commencé en se plaçant contre lui.

— Excuse-moi Anne-Sophie, je suis désolé.

— Tu es désolé, mais tu continues, comment puis-je avoir confiance en toi.

— Aïe.

Elle lui tordait l'oreille et il la laissait faire, incapable de se défendre contre nous. Elle s'est penchée devant lui et a flanqué ses seins sous les yeux.

— Alors? Que dois-je faire de toi? Tu ne fais pas ce que je te demande?

— S'il te plait, je veux faire ce que tu veux, mais parfois je fais des erreurs.

C'était la première fois qu'il parlait autant. Il ne se défendait pas, il demandait pardon. Elle l'a embrassé sur les lèvres.

— Je te pardonne, parce que tu es si mignon.

— Merci Anne-Sophie.

— Baise mes pieds, elle lui a demandé.

Il a été un peu choqué qu'elle lui demande cela.

Un jour, nous étions tous les deux aux sports d'hiver, il y a déjà trois ans. Il était si beau, si mignon devant moi, je lui ai demandé la même chose, et cela l'avait choqué. Il trouvait cela si humiliant. Mais je lui avais fait comprendre que c'était un acte d'amour, et finalement, il avait accepté. C'était si érotique, le voir ainsi devant moi, à mes pieds.

— Allez, Anne-Sophie a répété, ne me fais pas attendre, tu me dois bien cela après avoir désobéi de la sorte.

Il s'est baissé, rouge de honte et de désir, alors, il a touché plusieurs fois les pieds de mon amie. Anne-Sophie adorait cela et Frédéric n'a arrêté que lorsqu'elle le lui a demandé.

— Vas préparer le repas

— Oui Anne-Sophie.

Il s'est relevé. Anne-Sophie m'a regardée, heureuse. Arno semblait vaincu, mais toujours heureux, son sexe dur en était la preuve. Il est allé à la cuisine pour préparer, et nous nous sommes assises au salon. Dès qu'il a vu cela, il est venu vers nous.

— Désirez-vous boire quelque chose en attendant?

— Du vin, lui a dit Marie-Dominique.

— De mieux en mieux, a-t-elle murmuré dès qu'il s'est éloigné. Il est fait pour cela. Je me sens trop excitée.

Il est revenu avec une bouteille et trois verres, et il nous a servies. Alors, devant lui, Anne-Sophie s'est levée et est allée vers la porte de notre couloir, l'a ouverte et est sortie en laissant passer Virginie.

— Ah, vous êtes déjà à l'apéritif? Sers-moi un verre aussi.

— Oui Virginie.

Il est parti chercher un autre verre et l'a servie.

Il était à peine arrivé à la cuisine qu'Annick l'appelait.

Marie-Dominique venait d'aller dans sa chambre et Annick l'avait remplacée. Il lui a apporté un verre et à nouveau, quand il est retourné en cuisine, Virginie nous a dit qu'elle voulait parler à Marie-Dominique. Elle est sortie au moment où Sandrine venait. Nous avons joué comme cela pendant une heure, cinq minutes maximum et une fille changeait. Il n'en pouvait plus, mais anticipait toujours plus et en avait peur. Il a servi le repas, et nous étions chaque fois trois à table, nous bougions très vite, un changement toutes les deux minutes, nous attendions derrière les portes. Nous avons mangé toutes les six, mais il n'y avait jamais plus de trois filles à table. Il ne s'habituait pas, comme s'il avait peur que nous soyons plus nombreuses. Trois semblait être son nombre maximum.

Il n'en pouvait plus, il avait peur, il tremblait, mais était excité.

— Je vais le prendre un peu, a dit Marie-Dominique, nous allons faire des tours une par une, avant qu'il revienne à plus de monde.

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AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Diabolique

Arno est sous contrôle

Rudy

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Diabolique

Arno est totalement sous contrôle

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