CFNM à l'université Chapitre 25

Informations sur Récit
Marie-D profite de la langue experte d'Arno.
2.8k mots
4.23
4.9k
1

Partie 26 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 03/05/2018
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Chapitre 25

Journal de Stéphanie.

Mon fiancé était ainsi nu devant moi. Je vivais des moments formidables de débauche. Mon fantasme total, et je l'aurais pour toute ma vie.

Il m'a prise dans ses bras, j'aimais ses bras puissants, son corps puissant d'homme sur moi, et j'aimais son regard très doux et amoureux. Il n'était pas soumis, il était mon chevalier servant des temps modernes.

Nous nous sommes embrassés, c'était très bon, comme toujours. Son regard était différent, plus confiant, maître de lui, pas comme quand il était désemparé au milieu de nous.

— Tu as vraiment bien aimé ta semaine? Lui demandé-je.

— Oui, elle a été très spéciale, je n'aurais jamais imaginé tes amies comme ça.

— Nos amies, j'ai rectifié.

— Oui, nos amies. Mais c'est agréable, je me sens moi-même spécial, être ainsi plébiscité par toutes ces jolies filles.

— Dans ce cas, nous allons continuer, toujours plus loin. Dimanche, tu refais ton moment avec Anne-Sophie, elle en est super heureuse.

— Oui, tu seras là aussi?

— Non, je ne viendrai qu'en soirée, j'ai déjà des plans avec Laetitia.

— Anne-Sophie m'a dit que Sylvie revenait bientôt d'Helsinki.

— Oui, elle viendra passer quelques jours. Tara aussi d'ailleurs, elle aimerait voir comment je gère ses affaires.

— Et je présume que tu voudras me montrer à poil?

— Nous verrons... Ce sont des amies proches.

— Si tu veux, je peux faire ce que tu aimes bien pour Tara, tu sais, jouer au serviteur, t'apporter le café...

— Tu ferais cela pour moi?

— Bien sûr.

Je l'ai embrassé. Je ne crois pas que je serais une excellente dominatrice, j'ai toujours trop envie de faire l'amour. Quand nous sommes en groupe, je me tiens, mais cette fois, je l'ai violé. Nous étions tous les deux pour la journée, et nous l'avons passée au lit, jusque 16h, quand je lui ai demandé de se préparer à accueillir les filles qui allaient arriver.

Il a pris une douche et est allé au salon.

La première a été Marie-Dominique. Il est allé à la porte pour la débarrasser de son sac et de son manteau. Elle était enchantée. Puis il l'a emmenée au salon, lui a servi un verre de thé glacé et il s'est agenouillé pour lui retirer ses escarpins et lui masser les pieds. Elle était extatique.

— Quelle vie! Il y a moyen de signer quelque part pour continuer?

— Pas besoin de signer, je lui ai dit en venant m'asseoir à ses côtés.

Elle gémissait d'aise. Arno a commencé à embrasser ses pieds, c'était encore mieux. J'adorais cela aussi.

— Stéphanie, j'ai envie... Il me le faut.

— Prends-le dans ta chambre, et utilise-le!

Elle l'a regardé.

— C'est bon, remets mes chaussures.

Dès qu'il a eu effectué sa tâche, Marie-Dominique lui a ordonné de se lever, et elle a pris son sexe en main pour le tirer dans sa chambre. Malheureusement pour elle, Virginie est arrivée. Arno a dû aller l'accueillir.

— Demain, mon cher Arno, avant que tu ne quittes le campus, j'aimerais que tu rencontres ma commanditaire. Elle tient réellement à rencontre mon modèle, elle adore tes photos mais veut te rencontrer en vrai.

— D'accord, il a répondu. Tout ce que tu veux...

Elle l'a embrassé, c'est agréable de se faire accueillir par un garçon, de l'embrasser, et puis, de se faire servir un drink et d'avoir un massage. Arno lui a fait tout cela, Marie-Dominique était un peu frustrée. Mais elle était contente quand même. En une demi-heure, toutes les filles étaient revenues, toutes accueillies de la même façon par Arno, qui prenait son rôle très au sérieux, et nous nous sommes retrouvées au salon, après un massage, à discuter pendant qu'il préparait le repas du soir.

— Dimanche, a commencé Anne-Sophie, il vient ici pour une séance SM. Il faudrait que vous soyez là à la fin, et que vous le voyiez ainsi.

— Oh oui, a dit sa sœur, j'ai hâte de jouer à ça avec lui.

— Et la semaine prochaine, nous avons des activités.

— Mardi, Sophie vient ici, nous annonce Marie-Dominique. Et jeudi, nous allons chez elle pour le repas promis.

— Ce sera très fun.

— Et mercredi, nous avons notre journée spa.

— J'aurai confirmation de la villa pour les vacances de Pâques, a annoncé Marie-Dominique, si je peux avoir ce que je pense, ce sera très fun, une villa isolée, la mer, un bateau...

Arno est arrivée pour servir un apéritif et nous signaler que le repas serait prêt dans une demi-heure. Il a mis la table et Sandrine est allée le trouver. Elle l'a pris dans ses bras, par derrière.

— Mon bel Arno, tu fais les choses si bien, cela ne te dérange pas?

— Pas du tout, c'est pour vous, j'aime prendre soin de vous.

— Tu le fais depuis longtemps, et maintenant, tu es tout nu, c'est encore mieux.

— Oui.

— C'est génial. Tu nous as montré comment sera notre vie lorsque nous serons tous ensemble l'année prochaine.

Il l'a regardée bizarrement. C'était une histoire, quoique...

— Alors, tu vas avoir une séance avec Anne-Sophie dimanche?

Elle avait bien trouvé ce qu'il fallait dire pour l'ébranler.

— Euh, tu sais, c'est privé et...

— Il n'existe rien de privé entre nous, mon cher Arno. Tu aimerais avoir une telle séance avec moi?

Il était bluffé, incapable de répondre.

— Tu le fais avec Anne-Sophie, tu dois la même chose à chacune de tes épouses.

— Euh oui, mais enfin, je ne peux pas faire ça avec toi.

Il était vraiment gêné, mais excité, je le voyais bien.

— Pourquoi? J'ai envie d'essayer, j'en rêve souvent avec toi.

— Euh.

— Allons, dis-moi oui, nous pourrons même faire cela chez moi à Waterloo, comme tu dois toujours venir ranger. Le week-end prochain. C'est entendu. Tu reviens avec moi.

Sandrine est revenue, ravie de son bon tour.

— Mais je n'ai jamais fait ça, elle a ajouté, il faudra m'apprendre.

— Stéphanie et moi sommes expertes, lui a certifié Anne-Sophie, nous te montrerons, c'est très facile.

— Et il faut des accessoires spéciaux?

— Non, pas obligatoirement, mais c'est mieux.

— Moi, a poursuivi Anne-Sophie, je m'habille avec du cuir, je me sens puissante et cela impressionne. Il obéit encore plus et c'est très fun pour lui aussi.

— Je veux aussi le faire, a dit Virginie.

Elles voulaient toutes. Il allait falloir organiser des moments SM.

— Si nous aimons bien, nous pourrons aussi faire cela en vacances.

— Toutes les six avec lui?

— Virginie doit faire des photos, non? Nous organisons une séance de photos où il est nu et nous en cuir, et quand c'est fini, nous poursuivons, et n'arrêtons pas.

— Excellente idée, Stéphanie, m'a appuyé Anne-Sophie, il est déjà désemparé quand je suis seule, six maitresses sur lui, il va être complètement dépassé.

Il est venu nous avertir.

— Le repas est servi, vous pouvez venir à table.

— Dis donc, lui a demandé Marie-Dominique, tu as accepté une séance SM avec Sandrine, moi aussi je veux cela,

— Moi aussi, a dit Annick puis Virginie, tu dois accepter, nous allons planifier.

— Cela doit durer combien de temps, Anne-Sophie, a demandé Virginie alors que nous nous mettions à table.

— Autant de temps que tu veux. Nous avons déjà fait une séance d'un week-end. Mais il faut commencer avec une heure ou deux.

— Arno, ce sera génial, tu ne le regretteras pas.

— Et nous deviendrons expertes, tu apprécieras.

— Oui, il a répondu distraitement à genoux en servant les plats.

— Ce sera génial!

— Tu te rends compte? Lui a demandé Anne-Sophie. Toi qui aimes tant cela. Nous allons pouvoir te faire des séances, toutes les six.

— Sans compter les fessées, j'ai dit, il faut cela quand tu ne fais pas bien ton travail, nous avons été très indulgentes jusque maintenant.

Il tremblait, n'en pouvait plus de nos commentaires. Il savait que tout arriverait, maintenant, il savait ce dont nous étions capables.

A la fin du repas, nous sommes allées au salon et il a fait son travail avant de nous rejoindre.

— A genoux, au milieu, lui a dit Anne-Sophie. Alors, cher Arno, comment allons-nous organiser cela? Ce que tu aimes, c'est nous voir vêtues de cuir noir? Je viens juste de m'acheter une nouvelle tenue que tu verras dimanche après-midi, ne viens pas trop tard.

— Non Anne-Sophie, il a répondu.

Il était excité et content de participer à cela, mais embarrassé devant les autres, et pourtant il aura du bon temps, je le sais, je l'ai initié.

— Maintenant, discutons de notre vie tous les sept, lui a dit Annick, bientôt, tu seras notre mari qui nous attend à la maison, comme aujourd'hui, c'est parfait.

— Oui, il a répondu, je suis content que vous appréciez.

— Tu es donc prêt à agir comme cela tout le temps pour nous?

— Bien sûr, il a encore dit en me regardant. Tant que vous le voulez.

Nous en avions discuté, c'était fun, mais nous ne vivrions jamais comme ça, pourtant, nous pouvions fantasmer.

— Nous habiterions toutes dans le loft.

— Il faudra aménager pour qu'il y ait une chambre par personne, a ajouté Marie-Dominique, mais ce sera fun, nous habitons ensemble depuis deux ans, nous n'allons pas arrêter.

— Les chambres seront plus petites, il a déclaré.

— Les chambres sont immenses, il suffit de les diviser en deux.

— Lorsque vous êtes arrivées, a dit Marie-Dominique, Arno allait s'occuper de moi. Si vous le permettez, je vais le prendre dans ma chambre.

Elle s'est levée, il a dû l'accompagner, et nous sommes restées dans le salon.

— Il le prend bien, a noté Virginie.

— Il a confiance en nous, j'ai dit. Il est déjà beaucoup moins intimidé.

— Mais c'est marrant quand il est intimidé.

— Il l'est mais il commence à avoir l'habitude. Mais si nous sommes en maitresses SM, il sera très gêné, et excité.

— Il n'a toujours pas demandé à être masturbé.

— Nous le forcerons ce soir, il ira sur la terrasse, et nous le masturberons pendant qu'il reçoit une solide fessée.

Elles ont été choquées et excitées. C'était une image forte, mais il fallait attendre le retour de Marie-Dominique. Nous l'entendions crier de plaisir derrière le fond musical.

Récit d'Arno.

— Viens, me dit Marie-Dominique. Ce matin, tu m'as mise en appétit, et j'ai gagné le droit de t'avoir la première.

— La première pour quoi?

— Il faut te faire un dessin? Tu vas utiliser ta langue magique... Déshabille-moi!

Je retire d'abord ses souliers, puis la robe dont je connais désormais le mécanisme. Marie-Dominique est dans mes bras.

— Alors, la semaine prochaine, nous jouons à des jeux SM tous les deux?

— Euh, je ne sais pas.

— Mais oui tu sais, tu seras content, non?

— Oui, réponds-je. Tu as déjà fait cela?

— Non.

— Tu m'apprendras?

— Mais... je ne peux pas t'apprendre, c'est... enfin, tu dois savoir ce que tu veux faire.

— C'est vrai, je demanderai à Sophie, elle adore, elle est experte.

Je n'en crois pas mes oreilles. Sophie maintenant. C'est vrai que lorsqu'elles m'avaient attaché chez elles Sophie et Carine semblaient aimer le bondage et le SM, elles m'avaient d'ailleurs frappé plusieurs fois les fesses et avaient eu des comportements similaires à celui d'Anne-Sophie.

Marie-Dominique me pousse sur le lit, elle vient s'asseoir sur mon ventre et retire son soutien.

— Je le fais, sinon tu vas t'embrouiller, tu aimes mes seins?

— Ils sont magnifiques, réponds-je en déglutissant mal, merveilleux, j'aimerais tant les toucher.

— Plus tard. Tu es ici pour me faire plaisir.

— Et toucher tes seins ne te fait pas plaisir?

Elle sourit en s'abaissant un peu.

— Embrasse-les doucement, comme des œuvres d'art fragiles.

Elle passe doucement sa lourde poitrine sur mon visage, alors qu'elle est assise sur mon ventre. Mon sexe dur pousse entre ses reins, juste au-dessus de sa culotte qu'elle a gardée, et je sens son excitation sur mon ventre, je la vois dans ses yeux, je l'entends dans sa voix et dans sa respiration. J'embrasse doucement ses seins, et place mes mains sur ses hanches, elle gémit, c'est un point de non-retour qui semble aboutir pour mon amie, elle veut de moi depuis si longtemps, dire qu'elle me détestait avant l'université.

— Tu vas faire comme pour Stéphanie votre première fois, je veux que tu embrasses chaque millimètre de mon corps pendant au moins une heure, et alors, tu iras avec ta langue en moi.

Elle a un regard trouble, et je la bouge pour qu'elle soit étendue sur le lit. Alors, j'embrasse ses lèvres, et son visage, elle ferme les yeux. Son bassin ondule déjà, comme un appel à mon sexe, elle frotte parfois ses cuisses, pour se donner un plaisir toute seule.

Je peux rester très longtemps à embrasser Stéphanie ainsi, un petit baiser, un petit coup de langue, une succion, elle devient folle, et je fais durer le plaisir, j'embrasse ses seins, mais surtout toutes les autres parcelles de son corps que les garçons oublient toujours, je suis là pour elle, uniquement pour elle. Quand j'arrive à son entrejambe, je ne fais que passer autour, elle a un très bon vagin, une fente toute lisse, aucun poil, rien qui ressort. Elle sent très fort, elle est excitée, j'embrasse aux alentours, doucement, longuement, puis je descends pour continuer ma route jusqu'à ses pieds dont je m'occupe jusqu'à sucer ses doigts de pieds. Alors, je la retourne sur le ventre et remonte, j'embrasse ses belles fesses charnues, divines, nulle part n'a-t-elle un défaut, c'est un corps de déesse comme celui de Stéphanie. Je ne veux laisser aucun endroit, et je peux être patient, dans un cas pareil, concentré comme je le suis, je peux continuer des heures, c'est elle qui m'arrête et qui me supplie d'aller entre ses cuisses.

Elle est allongée, dans un état second, je vais alors entre ses cuisses, doucement, je l'énerve de quelques soufflements sur ses lèvres que j'ouvre, j'aperçois son clitoris déjà gonflé, et lentement, doucement, je pose mes lèvres dessus, c'est comme une décharge électrique. Je continue doucement jusqu'à ce qu'elle me demande fermement d'entrer ma langue en elle.

J'adore son goût, j'adore son parfum. Depuis que l'on m'a fait découvrir le cunnilingus, j'adore cela, Stéphanie en profite tout le temps, elle aime se réveiller ainsi. Je suis maître de l'art, surtout grâce à un cours d'une fille plus âgée lorsque j'allais arriver à l'université, elle avait pris soin de moi, j'avais dix-sept ans, elle en avait vingt-cinq ou vingt-six, elle m'avait démontré qu'en fait, malgré mon expérience, je ne savais rien, je ne savais pas baiser. En un week-end, j'étais devenu un champion, toute modestie mise à part.

Marie-Dominique empoigne mes cheveux, ils sont courts, elle tire, les enroule entre ses doigts, elle crie, les sons me parviennent un peu étouffés grâce à la moiteur de ses cuisses douces qui sont serrées sur mes oreilles. Lentement, je passe mes mains sur son corps et remonte pour empoigner ses seins. Quels gros seins, bien fermes, elle crie encore plus fort, se tend lorsque je joue avec ses tétons.

Ma langue et ma bouche sont actives sans arrêt, je la sens jouir plusieurs fois, de petits orgasmes, et je continue, utilisant ma force physique pour qu'elle ne puisse me repousser. Soudain, elle s'arc-boute, elle soulève son bassin, un grand cri, un orgasme puissant qui vient de loin, et elle retombe. Elle me pousse de ses deux mains.

— Arrête, arrête cette fois, me supplie-t-elle.

J'attends donc en me relevant et en la regardant. Elle tremble encore un peu.

— C'était puissant, je ne savais pas qu'on pouvait jouir comme ça, je n'en peux plus, murmure-t-elle.

Remplis de fierté, c'est sans doute le meilleur compliment qu'on puisse faire. Je souris, et attends qu'elle revienne à elle.

— Wow, Arno... Tu es un champion. C'est ce que tu fais à Stéphanie tous les jours?

— Oui, réponds-je sauf quand c'est sa mauvaise période.

Elle sourit.

Je prends ses pieds, et les baise doucement.

— Attends, je suis encore comme une pile, mes terminaisons nerveuses sont chargées.

J'attends donc un long moment, puis elle s'assied.

— Donne-moi mon peignoir, et puis mes mules, je dois prendre une douche.

Je lui passe d'abord ses pantoufles, puis elle se lève et je lui passe sa robe de chambre, elle me prend dans ses bras et m'embrasse longuement.

— Wow, Arno, tu m'as chamboulée. Je n'en reviens pas. Oui, je sens que tu es dans un état désespéré. Mais comme j'aime te voir comme ça, tu vas rester, compris?

— Oui, réponds-je frustré quand même.

Nous sortons de sa chambre et entrons dans le living.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Super, hyper, méga...

Ca devient super, hyper, méga chiant ton histoire. 25 chapitres de la même chose ça te fatigue pas ?

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
SM

ça se précise le we BDSM

Mais pour le moment Arno va satisfaire ses charmantes colocataires.

Rudy

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