Changements de vie pour Jessica 14

BÊTA PUBLIQUE

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- Regardez cette vieille salope ! Son sourire montre qu'elle est fière de ça. Intervient Matt.

Il retrouve lentement son attitude moqueuse. Il ajoute :

- Je parie que tu veux montrer ça à tous tes subordonnées, hein ?

Et il continue, me surprenant :

- Ce n'est rien pourtant. Je te l'ai dit Taylor, elle n'est pas prête. Peu importe ce que cette chienne pense.

Visiblement il a retrouvé son arrogance et il n'a pas l'air content de mes provocations. Il pense encore que je ne suis pas assez classe. Il me crie presque dessus :

- Tu mets des cristaux sur ta chatte et tu crois que tu es devenue une poupée de luxe ? C'est nul, ce n'est pas permanent, ça ne crie pas « je suis une poupée de luxe ». Tu dois faire mieux que ça !

Waouhhh ! Il vient de me prendre au dépourvu. Je pensais l'avoir bluffé mais c'est l'inverse. Ma fierté l'a seulement mis en colère.

- Voici le mot juste ! Dit Matt en tournant les dés.

« MBRATZ ». Avec un gémissement, je réalise ce qu'il vient d'écrire. Ça signifie Miss BRATZ, du nom de ces poupées vulgaires, pâles imitation de Barbie.

- Voilà, c'est ce que tu es en ce moment, une poupée bon marché. Cette salope devrait porter le bracelet avec ce mot pour montrer ce qu'elle est réellement. Qu'est-ce que tu en penses Daniel ? Dit Matt pour s'affirmer.

- Hum, c'est une bonne idée. Accepte le latino.

NON ! Daniel ne peut pas être d'accord avec cet enfoiré ! Je suis déjà son animal de compagnie n'est-ce pas ? Je n'ai pas besoin d'être le jouet de baise des stagiaires.

Que Daniel soit d'accord avec Matt me rend très nerveuse. Serais-je capable de répondre à leurs attentes ? Pourrais-je aller plus loin pour améliorer mon apparence de salope ?

- Merci Monsieur ! Miss BRATZ est fière de pouvoir vous servir ! Puis-je porter ce bracelet toute la journée ! Dis-je, accablée.

Merde, je ne veux pas du tout porter ce mot autour de mon poignet ? Malgré tout, le défi de Matt me plonge dans l'expectative. Je n'avais pas l'intention de paraître aussi soumise, mais je le veux quand même.

Aussi étrange que cela puisse paraître, je veux réellement faire mes preuves auprès de ce groupe de jeunes garçons. Peu importe combien je peux mépriser Matt, son comportement de dominant fait que j'aspire à avoir son approbation. Je veux gagner un nouveau nom.

Quelle putain de contradiction ! Je suis la directrice, ils sont stagiaires ! Pourtant je ne peux pas me plaindre n'est-ce pas ? Combien de femme de plus de trente ans sont convoitées par de jeunes adolescents après tout ?

- J'ai l'impression que tu as besoin d'un rappel de ton statut ici. Tu n'as pas à te montrer désagréable avec Matt ou ses copains. Compris ? Dit Daniel.

Quoi ? Non seulement Daniel est d'accord avec l'arrogant stagiaire, mais en plus, il se range de son côté.

- Je pourrais comprendre ça d'un gamin, mais pas d'une pute de bureau mature. Compris ? Tant que tu garderas ce comportement de garce, tu n'obtiendras pas de nouveau titre. Dit-il pour souligner sa déception.

-Oui Monsieur ! Je suis désolé Monsieur Daniel ! Cela ne se reproduira plus ! Dis-je lentement, la tête rouge d'embarras.

C'est tellement injuste ! J'ai seulement essayé de me défendre et de montrer à Matt que Daniel est mon homme. Je l'ai fait autant pour lui que pour moi.

Il a raison cependant. Ce n'est pas ma place. Il n'a pas besoin de sa salope, il est capable de se défendre tout seul.

Les stagiaires me laissent seule pendant quelques heures, ce qui me surprend. Je m'attendais à ce qu'ils me harcèlent dès le début. Mais au moins, ça me laisse le temps de continuer à vérifier les taux de réussite de mes subordonnées. Une décision doit être prise rapidement et je veux être prête sur ce sujet. Cependant, j'ai du mal à me concentrer sur cette tache, mon esprit s'égarant constamment pour réfléchir aux éventuels défis que peuvent préparer les stagiaires.

Des rumeurs courent dans la journée. Selon certaines informations, Brittany PALMER va être licenciée, alors que Michelle KEELAN conserve son poste. C'est une nouvelle étonnante pour moi. Cependant O'BANNON me l'avait confirmé quand je lui en avais parlé. Cette information me met en colère.

Brittany PALMER est une secrétaire expérimentée de quarante ans qui fait un excellent travail. Michelle KEELAN, par contre, est exactement son contraire. C'est une jeune secrétaire inexpérimentée d'une vingtaine d'années qui est plus préoccupée par son apparence que pas son travail. Pour moi, elle est l'incarnation d'une bimbo de bureau superficiel qui ne s'en sort que grâce à son apparence et à la taille de son soutien-gorge.

Je suis prête à parier que ORTEGA a joué un rôle dans cette décision. Il veut probablement la garder sous son regard, sans se soucier de ses performances au travail.

Enfin, le moment de ma tâche habituelle est venue. La gorge serrée, j'ouvre le tiroir de mon bureau. Il me faut quelques secondes avant de saisir la fausse glace rose et la ranger dans mon sac à main. A la hâte, je me lève pour sortit de mon bureau. Je veux en finir le plus vite possible.

Alors que j'atteins la porte, elle s'ouvre et me frôle le visage. Je trébuche. Les quatre stagiaires s'engouffrent dans mon bureau avec des sourires de satisfaction collés sur le visage.

- Vous êtes fous ? Vous ne pouvez pas venir ici en groupe tout le temps. Ça va attirer l'attention. Protesté-je après avoir repris mes esprits.

Daniel me répond simplement :

- Ne t'inquiète pas salope ! Tes subordonnés sont partis en rendez-vous toute la journée. Ils ne sauront pas où nous sommes tant que le travail est fait.

Puis il me demande :

- Alors, je suppose que tu allais accomplir ta tâche quotidienne. As-tu emporté ton cadeau ?

- Oui... Oui Monsieur ! Dis-je après avoir fermé rapidement la porte derrière les quatre gars.

Je ne peux pas dire que je me sens rassurée, mais de toute façon, je ne peux pas me débarrasser des garçons. Avec Daniel, je ne sais jamais quel endroit pas sûr il va choisir pour ses défis. Il vaut donc mieux que je garde les stagiaires dans mon bureau fermé. J'ouvre mon sac à main et je montre le gode.

Daniel attrape la fausse bite et la sort de mon sac en disant :

- Ne perdons pas de temps alors. Je parie que tu es impatiente de sucer ta belle glace rose.

Puis il jette l'objet à son copain joueur de football en ajoutant :

- Taylor a le défi du jour pour toi !

- Ouais... Répond le garçon noir avec hésitation en attrapant avec facilité le gode.

Je peux voir qu'il se prépare et rassemble tout son courage pour me dire le défi. Ça me semble absurde. Après tout, c'est mois qui ait besoin de courage pour faire le défi, non ? Bientôt, il me présente son idée :

- Tu as vraiment aimé jouer avec les dés n'est-ce pas ? Alors j'ai pensé que tu aimerais aussi jouer à quelques manches de papier-ciseaux. Tu joueras une partie contre chacun de nous. Si nous gagnons, tu devras faire ce que nous te dirons. Si tu gagnes, tu pourras faire ta tâche.

C'est ça le défi ? Il me semble très simple. Il ressemble à Taylor. Il n'y a pas dedans les aspects perfides et dégradants de ceux de Daniel. En quelque sorte il convient à Taylor et à son attitude timide et hésitante. Mais, de façon étrange, je suis un peu déçue et moins excitée que pour le précédent défi.

Mon Dieu ! A quel point Daniel a-t-il corrompu mon esprit. Je suis déçue d'un pari facile. C'est vraiment fou !

Quand il se place devant moi, je vois une seconde d'hésitation sur le visage de Taylor, mais ça disparaît très vite. Il est évident que les autres stagiaires ont poussé et encouragé le jeune homme noir avant de pénétrer dans mon bureau. Pourtant il est lent à lancer les choses. Même s'il a vu la façon dont ses amis me traitent, cela semble une épreuve pour lui de mettre son défi en action.

- Commençons ! Dit Matt.

C'est le déclencheur dont Taylor avait besoin pour continuer. Il chasse les doutes qu'il peut avoir de son esprit.

- Si je gagne, vous devrez faire une gorge profonde avec le gode. Si tu y arrives, tu es autorisée à jouir pendant que tu te masturbes. Explique Taylor.

En écoutant le jeune homme noir, j'étudie son visage. Il a l'air déterminé et partant pour le défi. Il commence le jeu en serrant la main :

- Pierre... Papier...

Je veux vraiment gagner ce jeu. Être autorisée à jouir est trop beau pour que je perde. Alors je sers le poing aussi. Et je décide de faire « ciseaux » en écartant l'index et le majeur de ma main.

- Dadoum ! Crie joyeusement Matt quand Taylor garde le poing fermé.

Il a choisi de faire « Pierre ». J'ai perdu.

- Hé hé hé, tes faux ongles sont peut-être aussi tranchants que des ciseaux, mais ils n'égratigneront pas la pierre. Tu perds Miss BRATZ. Dit Matt pour se moquer.

Bon sang, j'ai perdu le premier tour.

Taylor commence à agiter le gode devant mon visage. J'essaie de l'attraper avec la bouche. C'est le comportement typique d'une pute, et je me suis senti humiliée. Je me suis senti comme un animal de compagnie, une salope. Toutefois, je ne peux pas l'éviter. J'entends les autres stagiaires rire.

- Rappelle-toi que tu as généralement cinq minutes pour te masturber. Maintenant tu as cinq minutes pour t'enfoncer ce gode dans la gorge, salope. Me dit Matt pour m'indiquer d'agir rapidement.

Je commence alors à sucer la fausse bite rose. La perspective de pouvoir gagner un orgasme n'est pas si mal après tout. Le haut du gode n'est pas un problème. Toutefois, plus mes lèvres glissent sur le corps de l'objet, plus elles doivent s'étirer. Mais je commence à bouger ma bouche de haut en bas sur l'engin en silicone souple, le mouillant. Cependant, sa taille m'empêche de mettre plus de la moitié dans ma bouche. Il est trop gros !

- Nous voulons t'entendre t'étouffer ! Disent les garçons en cœur.

- Allez Taylor, c'est l'heure de la gorge profonde ! Apprends donc à cette chienne d'être une bonne gorge à bites. Dit Matt pour stimuler le garçon noir.

Mais celui-ci semble réticent. Il me laisse continuer à sucer le gode comme je veux.

- Cette grosse salope ne veut pas être câlinée, Taylor. Cette pute veut que tu lui donnes une leçon ! Ajoute encore Matt.

Honnêtement, je ne demande rien. Pourtant, d'une certaine façon, Matt a raison. Je veux être guidée.

Finalement Taylor réagit à leurs sollicitations et prend l'initiative. Il saisit le gode et commence à le pousser dans et hors de ma bouche. Plus d'hésitation, de toute évidence, il en a marre d'être le gentil du groupe.

Il baise ma bouche plusieurs fois avant de pousser le gode contre ma luette. Bien que l'objet soit trop gros pour descendre dans ma gorge étroite, il le maintient contre mes amygdales.

- Urrrggggghhhh !!

Au moment où un gargouillis guttural sort de ma gorge ; il retire la bite en silicone et un jaillissement de bave épaisse sort de ma bouche. Des filets de salive relient mes lèvres à la fausse glace et menacent à tout moment de tomber.

- Tu ne veux pas tacher ta robe élégante n'est-ce pas ? Dit Daniel avec un petit rire en m'indiquant que la bave risque de tomber sur ma robe.

Bien sûr que je ne veux pas que ça se produise. J'aurai trop honte ensuite de me montrer à mes subordonnées pendant tout le reste de la journée. Bien que je sois contente que mon homme prenne le contrôle, mes yeux se posent sur lui avec colère. Toutefois, je suis sa recommandation et baisse ma robe sous mes seins, dévoilant ainsi mon chemisier rouge.

Dès que je dévoile ma poitrine, Taylor essuie le gode sur la chair de mes seins. Je frissonne de dégoût, c'est tellement dégueulasse. Mais au moins, ma robe reste immaculée.

La fausse bite nettoyée, Taylor me la présente de nouveau devant mon visage, puis il la descend au niveau de son entrejambe. Je le regarde et je vois une lueur vicieuse dans ses yeux pour la première fois. Je suis habitué aux regards pervers de Daniel ou Matt, mais il semble que le stagiaire noir timide commence à apprécier la situation.

En gardant mes jambes tendues, je baisse le haut de mon corps. Je sens la robe serrée s'étirer sur mon cul. Une fois de plus je commence à sucer le gode. Je fais de mon mieux pour le faire pénétrer dans ma bouche, mais il est si épais qu'il étire mes lèvres au maximum. Et une fois encore, le jeune footballeur noir prend la main. Il me baise le visage avec l'objet jusqu'au moment où des bruits sourds indiquent que ma bouche déborde de salive.

Me faire baiser le visage avec un gode, c'est tellement absurde !

Soudainement, Taylor augmente la pression, et d'un coup, le gode glisse dans ma gorge. Ça me prend au dépourvu et tout mon corps se contracte et tremble. Avec la fausse glace en silicone qui écarte ma gorge, j'étouffe et je gargouille pitoyablement.

- Urggghhhh... Urgghhhhh... Urghhhhh...

Cette fois-ci, le stagiaire garde la fausse bite dans ma gorge pendant quelques secondes, bien que mes gargouillements emplissent la pièce. Il attend avant de me libérer qu'un torrent de bave épais et mousseux coule des coins de ma bouche.

La salive mousseuse pend à mon menton. Taylor la récupère et la remet dans ma bouche. Je grimace et gémit de révolte, mais néanmoins j'avale tout. Son travail terminé, Taylor jette le gode à Justin.

- Le temps passe, Miss BRATZ ! Me rappelle-t-il.

Quand je me retourne, Justin tient le gode. Les quatre hommes forment maintenant un cercle autour de moi.

- C'est mon tour poupée ! Me raille-t-il en agitant le gode devant moi.

Je me précipite vers lui, mes seins lourds se balançant. Mais à la dernière seconde il jette la fausse bite à Daniel.

- Trop tard salope ! Me réprimande-t-il en donnant une grosse claque à chacun de mes seins.

- Aie ! Aie ! Couiné-je de surprise autant que de douleur.

- Il faut que tu te dépêches, le temps passe ! Ajoute-t-il en me montrant Daniel.

Tournant les talons, je cours vers mon homme, ma grosse poitrine rebondissante. Lorsque je l'atteins, il tient la fausse glace rose devant mon visage. Et quand mes lèvres essaient de toucher l'objet, il l'abaisse.

Puis, faisant un pas sur le côté, il s'approche de la déchiqueteuse. C'est une simple machine de bureau posée au-dessus de ma corbeille à papier. Il insère la poignée du gode dans la fente de la déchiqueteuse pour qu'il se tienne dressé.

Sans qu'il me dise quoi que ce soit, je sais ce que je dois faire. Je regarde le gode fièrement dressé et, repoussant mon dégoût, je me mets à quatre pattes et place mon visage au-dessus de la corbeille. Avec mon cul en l'air, je sens la robe remonter sur mes fesses et exposer mon derrière sans culotte.

Je n'arrive pas à y croire. J'ai la tête au-dessus de ma poubelle de bureau, prête à sucer une fausse bite en silicone. Et pendant ce temps, mon cul nu fait face à la porte de mon bureau. Mon Dieu, je suis sur le point de m'entraîner à la gorge profonde dans la position la plus dégradante à laquelle je puisse penser.

Je ne peux m'empêcher de gémir pitoyablement. C'est trop dégueulasse. Être si près de la poubelle est absolument ignoble pour moi.

Apparemment, Daniel a aimé ce que Taylor m'avait fait. Il attrape mes cheveux châtains et pousse mon visage vers le bas et empale le gode dans ma bouche jusqu'à ce qu'il soit au niveau de mes amygdales. Au moment ou un gargouillis sort de ma bouche, il enfonce ma tête. Avec un sursaut, le gode entre dans ma gorge. C'est si abrupt que ma tête et mes jambes en tremblent.

- URGGHHHHH ! Crié-je en étouffant quand il me relâche.

La façon dont mon corps convulse doit être un super spectacle. Bon sang, Daniel commence à me dégrader. Alors que les autres gars commencent à m'utiliser et à abuser de moi, il veut prouver qu'il est toujours le mâle dominant. Il continue donc son jeu plusieurs fois :

Il tire sur ma tête, puis l'enfonce jusqu'à ce que je gargouille, l'enfonce encore plus pour que j'étouffe et que je convulse. Puis il me relâche et je crie :

- URGGGHHHH !

Et il recommence.

- Ouais, c'est ce que j'appelle l'entraînement de la gorge. Un autre trou bien habitué aux bites. S'exclame Daniel en me torturant.

Putain, que ma gorge soit ainsi maltraitée est inconfortable et tellement fatigant. Je deviens un réceptacle à queue. Je ne suis plus qu'un objet sexuel.

La façon dont Daniel m'utilise sans aucun égard pour mes sentiments est écrasante et enivrante. La dégradation de devoir être la tête au-dessus de la poubelle et de baver dedans ne fait qu'ajouter de l'huile sur le feu. Toute cette situation est bien au-delà de l'humiliation, et fait donc palpiter ma chatte.

Toutefois, même avec la force du latino, je n'arrive pas à ce que le gode soit complètement enfoncé dans ma bouche. Finalement il renonce et lâche ma tête. Toutefois, quand je relève la tête au-dessus du gode, je continue à m'étouffer. Ma gorge est sèche et continue à se contracter après ce dur traitement.

- Urgghh... Urghhh... Urghhh...

Daniel prend le gode, essuie la bave sur mes lèvres et le jette à Matt. En colère je rouspète.

CLAC

CLAC

- AIE !!!

Je crie plus de frustration que de douleur.

- Tic Tac ! Il ne reste plus beaucoup de temps. Me rappelle Daniel.

Une fois encore, je tourne les talons et je cours vers l'autre stagiaire. Sur mes hauts talons, ce n'est pas facile de courir. Je chancelle en me précipitant. Ce qui fait que mes seins se balancent encore plus fort et que mes hanches se trémoussent.

Avant même que j'atteigne Matt, celui-ci lance le gode à Taylor. Ils se jettent l'objet entre eux, me faisant courir dans tous les sens.

Je dois être ridicule. Je suis une dirigeante d'entreprise qui trébuchent avec précipitation dans son bureau, la poitrine tressautant. Et le fait que je cours après un gode que mes stagiaires se lancent dans les airs rend la chose encore plus risible.

Quand le gode revient à Matt, il décide de ne pas le renvoyer. Au lieu de ça, il le maintient contre son entrejambe pour me faire me pencher. Sans penser à rien, je baisse le haut de mon corps tout en gardant les jambes tendues.

Cependant, lorsque ma bouche se rapproche de la fausse glace rose, le stagiaire vicieux l'enlève et saisit l'arrière de ma tête. Il appuie dessus et pousse ma bouche sur son entrejambe.

Je gémis et proteste quand je sens le tissu en jean contre mes lèvres douces. Je sens aussi sa bite dure tendre son pantalon. Avec délice, ce bâtard arrogant frotte mon visage contre son pantalon et sa queue bandante. Il m'humilie pour ne pas avoir été assez rapide pour poser mes lèvres sur le gode. Mais il ne m'a pas laissé beaucoup de chance.

Quelle différence entre Justin et Matt ? De toute évidence, l'étudiant en commerce est plus physique, plus brute que l'autre qui se délecte des aspects psychologiques de mon humiliation. De toute façon, l'approche de Matt est plus puissante et persistante. Néanmoins, je me retrouve à apprécier les deux styles par rapport aux tentatives timides de Taylor. Ils stimulent ma soumission.

En tirant sur mes cheveux châtains, Matt me montre où est le gode. Il le tient au-dessus de sa tête. En gémissant, je me relève et redresse la tête. Je ne peux pas atteindre l'objet, il le tient beaucoup trop haut.

Je regarde le stagiaire et je lui jette un regard suppliant qui veut dire : « Allez, laisse-moi une chance d'être une bonne salope ». Cependant, ça le fait seulement rire.

- Tu ne peux pas l'atteindre Miss BRATZ ? Essaie mieux salope ! Saute !

Et merde ! Il veut que je saute sur place. Il tient le gode comme une carotte pour un âne. Il m'attire comme un animal domestique.

A contrecœur je commence à sauter sur mes talons hauts. Je ne sais pas si il est plus humiliant de faire sauter ma poitrine sur place ou de la faire balancer en courant. En tout cas, c'est vraiment dégradant.

Chaque fois que je saute, Matt lève le gode encore plus haut, me forçant ainsi à sauter encore plus haut. A chaque fois mes gros seins rebondissent encore plus violemment. Ce bâtard me fait sauter huit fois sans me laisser atteindre le gode.

trouchard
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