Changements de vie pour Jessica 18

Informations sur Récit
Jessica subit encore les stagiaires vicieux.
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Partie 18 de la série de 25 pièces

Actualisé 01/08/2024
Créé 07/28/2021
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Traduction d'une histoire de Cathartico.

Ce récit est une FICTION contenant chantage, contraintes et humiliations. Ne continuez pas à lire si vous n'aimez pas.

*******

En quittant le bureau des stagiaires je suis nerveuse. J'ai à peine survécu au test du rouge à lèvres et je ne veux pas savoir ce qui m'attend ensuite. De plus, je dois m'assurer que Matt ne fasse rien de stupide et ne nous cause pas d'ennuis ;

En me rendant à mon bureau, je croise mes collègues qui arrivent au travail. En chemin je remarque que plusieurs d'entre eux me regardent d'un air curieux en passant. Je sais qu'ils voient mes bijoux sur les poignets et mes bracelets de cheville scintillants. Je crois que j'ai même vu quelques sourires cachés.

Émotionnellement, je suis complètement harassée. d'une part je voudrais ramper dans un trou et m'y cacher. D'un autre côté, je veux qu'ils m'admirent. Je veux que mes subordonnés me respectent en tant que dirigeante d'entreprise, mais en même temps je veux me sentir jolie et attirante.

Quand enfin je regagne mon bureau, je m'assois sur mon siège et j'essaie de me calmer, ce qui s'avère difficile. Embrasser des chaussures sales dans un bureau ouvert est la chose la plus avilissante que j'ai jamais endurée. Si bien que ma chatte dégouline et mon esprit est si brumeux qu'il m'est impossible de me mettre au travail. Je ne peux pas me concentrer. Pourtant il faut que j'assiste à une réunion importante.

Assise dans la salle de réunion, mon état ne s'améliore pas. Je suis complètement distraite et je passe la plupart du temps à penser à ce qui va m'arriver dans ce défi du rouge à lèvres. Les membres de mon équipe me surprennent plusieurs fois à rêvasser. Ça me gêne de ne pas pouvoir répondre à leurs questions avec autant d'éloquence que d'habitude. Pourtant j'essaie, mais je n'y arrive pas.

Mon manque de concentration est particulièrement gênant, car cette réunion est cruciale pour mon prochain voyage d'affaires. Le projet de changement le plus important de l'entreprise arrive sur la fin et je dois présenter un projet pour la phase suivante. Ce projet a consommé une grande partie du budget alloué à mon service et il est essentiel à la prospérité de la société. Dont ça doit être un succès.

J'entends Damon chuchoter à Eric :

- Je parie qu'elle pense à de nouvelles tenues et bijoux. Elle fait une liste dans sa tête au lieu de suivre les présentations.

Eric répond en faisant allusion à mes bijoux scintillants. Il ne peut réprimer un petit rire :

- Notre patronne si sévère a trouvé sa vraie vocation hé hé hé ! Qui aurait pensé qu'elle soit si intéressée par tous ces accessoires.

Pour montrer que je suis toujours la directrice, je me racle la gorge bruyamment pour calmer mes deux subordonnés et je leur jette un regard méchant. Cependant mes yeux doivent avoir l'air plus vitreux que fâchés, car les deux gars me font un sourire lubrique en réponse. Bon sang, leur conversation me fait tellement mouiller que j'ai peur qu'une tache sombre n'apparaisse sur ma jupe.

Leurs commentaires désobligeants me poussent également plus loin dans mes pensées de soumission. Je ne veux pas critiquer la présentation de mon équipe, mais je veux me mettre à genoux, ramper sous la table et sucer toutes les bites présentes. Pour la première fois, je ne veux pas me sentir comme leur supérieure qui leur assigne des tâches. Au lieu de ça, je veux les servir et leur plaire comme une salope de bureau.

Même si je sais que mes subordonnés se sont rendu compte de mon manque d'attention inhabituel, leur dernière question m'a surprise. Je n'avais pas écouté. En bégayant je cherche une réponse, mais je n'en trouve pas. Le visage tout rouge, je m'excuse et je demande à celui qui a posé la question de venir dans mon bureau plus tard pour discuter du problème.

En sortant de la salle de réunion, je pousse un grand soupir de soulagement, même s'il n'y avait pas grand-chose à soulager. J'avais à peine réuni quelques informations. Ma prestation avait été horrible. Ça ne doit plus se reproduire. A la prochaine réunion je dois être mieux préparée et plus attentive. Je ne peux pas prendre le risque que O'BANNON ou ORTEGA soit au courant de mon inattention.

Merde, il faut que j'aie la tête claire et les pensées rapides. En allant vers les escaliers, je tombe sur Justin. Un dossier dans les mains il est visiblement en route vers la salle du photocopieur pour faire des copies.

- Mademoiselle ADDAMS ! Appelle-t-il quand je le croise.

Pendant un moment, je me demande si je dois simplement continuer à marcher et l'ignorer. Mais ça ne fera que le mettre en colère. Après le jeu dans le bureau des stagiaires, je me dis qu'il vaut mieux que je joue le jeu. Alors je me retourne et je lui souris.

- J'ai des questions concernant un travail ! Me dit-il.

Bien sûr, c'est une couverture et nous le savons tous les deux. Alors je joue le jeu et je lui explique le contenu du dossier jusqu'à ce que le reste des participants à la réunion ait disparu dans leurs bureaux. Quand nous sommes seuls dans le couloir, Justin attrape mon bras et me tire rudement dans la salle de photocopie. Là il me dit :

- Il est temps pour moi d'avoir une autre marque de rouge à lèvres, Miss BRATZ. Et cette fois-ci ça sera sur ma bite ! Mais d'abord, amusons-nous avec ces chaînes.

Je remarque que Justin est devenu plus agressif. Il a vu comment Daniel et Matt me traitaient. Mais comme j'ai pu le remarquer hier, il est moins dans l'humiliation que dans le traitement rude et brutal de mon corps. Il vit pleinement ses fantasmes.

L'étudiant en commerce est un lèche-bottes qui fait des courbettes à tous les autres employés, mais pas à moi. Au contraire, il me traite comme un vulgaire morceau de viande qu'il peut brutaliser comme il le veut. Cette différence de traitement est encore plus dégradante pour moi.

La salle de photocopie est aussi utilisée comme salle de stockage pour divers équipements de bureau et appareils qui ne sont pas utilisés pour le moment. Me tirant par le bras, Justin me conduit au milieu de la pièce.

- Allez poupée, sors-moi ces gros nichons ! Ordonne-t-il simplement.

Résignée à mon sort, j'ouvre ma veste de costume en cuir bordeaux et je la laisse glisser au sol. Secouant mes épaules, mes gros seins rebondissent dans le satin noir.

C'est incroyable, un seul ordre et je me change en mode soumise immédiatement. Et je fais un strip-tease sexy.

Même si au fond de moi ça me gêne, je continue. Balançant doucement mes hanches, j'ouvre les boutons du chemisier en satin en commençant par le haut. A chaque bouton la chair de ma poitrine serrée apparaît. Et je me retrouve devant le jeune stagiaire seulement vêtue de mon corset en satin noir, d'une jupe en cuir bordeaux, de bas noirs, de talons hauts rouges et des bijoux scintillants.

- Sors ton rouge à lèvres et prépare-toi pour ton défi Miss BRATZ. Me dit-il d'une voix autoritaire.

Daniel m'a ordonné d'exécuter tout ordre concernant le défi à tout moment et n'importe où au travail. Je ne peux donc vraiment pas discuter. Au moins, Justin m'a traînée dans une pièce qui est rarement utilisée par mes collègues. Ce sont les stagiaires qui y viennent. Justin saisit mon sac, sort le rouge à lèvres et me le tend. Alors que je commence à l'appliquer, il m'arrête.

- Je n'ai pas dit où n'est-ce pas ? Maquille ta chatte pour moi salope ! Ricane-t-il.

Je gémis en réponse. Je n'aime pas le tour que prennent les évènements. Pourtant j'obéis et je recouvre d'une épaisse couche de rouge vif les lèvres de ma chatte. C'est vraiment obscène, mais Justin adore.

Satisfait de mon maquillage, il attrape mon bras et me conduit près d'un tableau à feuilles mobiles couché et appuyé contre le mur pour le ranger. Il le saisit et le pose au milieu de la pièce, puis il m'ordonne de le chevaucher.

Ensuite il tire mes bras derrière mon dos et il accroche les attaches ensemble, mes poignets à mes chevilles. Enchaînée ainsi mes jambes se soulèvent du sol et mon corps descend sur le côté du tableau. C'est à ce moment que je réalise ce que fait Justin.

- Ooooohhhh ! Qu'est-ce que vous faites ?

Je laisse échapper un petit cri lorsque le métal s'enfonce dans ma chatte sensible.

Tout mon poids ne repose que sur mon entrejambe. Ma chatte et mes fesses sont pressées contre le bord métallique. La seule chose que je peux faire pour protéger mes parties intimes est de me soulever sur la pointe des pieds. Mais les bras attachés à mes jambes, je ne peux pas descendre du tableau.

- C'est un appareil de torture appelé « Spanish Donkey ». Tu vas apprendre à aimer salope ! Tu restes dessus jusqu'à ce qu'il prenne la marque de ton rouge à lèvres. Me dit le jeune salaud.

Satisfait de son travail, Justin se retourne et commence à faire des photocopies. Il accomplit sa tâche sans même faire attention à moi. Je reste sur la pointe des pieds au milieu de la pièce, le visage brûlant de honte. Tout ce que je peux faire c'est d'attendre, complètement impuissante. Les minutes s'écoulent. Le temps me parait très long.

La sueur s'accumule sur mon front alors que je me balance sur la pointe des pieds. Je sens de la fatigue dans mes jambes. C'est inévitable, après environ cinq minutes, elles commencent à trembler dangereusement.

Je n'en peux plus ! Mes mollets sont trop fatigués. Aussi lentement que possible, je me baisse sur la tranche du tableau. Ma chatte sensible se pose sur le bord métallique dur et froid.

- Aie ! Grogné-je quand j'ai l'impression d'être fendue en deux.

- Ne te plains pas et sois contente qu'il s'agisse que d'un bord plat et non pointé comme le véritable appareil. C'est facile en comparaison ! Dit Justin pour me faire taire.

Honnêtement cette comparaison ne me remonte pas le moral. La façon dont le bord métallique presse contre ma chatte est assez inconfortable. Je n'ai pas envie de connaître le vrai appareil de torture.

Luttant pour endurer ce bord dur qui entaille ma chatte, je réussis à le tolérer pendant près d'une minute avant de devoir me relever. Avec mes muscles tremblants d'une manière exaspérante, le temps pendant lequel je peux rester sur la pointe des pieds est considérablement plus court qu'auparavant. Mes mollets cèdent d'eux-mêmes. Avec toute la force qu'il me reste, je me baisse doucement en essayant de disposer mon poids autrement.

- Arggghhh ! Gémis-je quand le bord du tableau coupe mes fesses en deux et appuie sur mon cul.

Ce n'est pas mieux ! Il me faut beaucoup plus de temps cette fois pour rassembler assez de force pour me relever. Pourtant je réussis. La sueur coule sur mon visage.

Le temps où j'arrive à rester sur mes orteils est de plus en plus court. La fatigue s'installe et je suis de plus en plus souvent posée sur le bord métallique. Bientôt je ne peux pas faire autre chose que chevaucher ce maudit tableau. Ma chatte et mon cul me font mal alors que je me tortille encore et encore sur l'appareil. Mes mouvements deviennent de plus en plus effrénés jusqu'à ce que je bouge de haut en bas sur le tableau comme si je chevauchais un âne. Même la bague scintillante de mon nombril rebondit en rythme contre mon corset.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

- Ohhhh... Aiiieee... Ohhhh... Aieeee !

Je gémis et grimace en rythme alors que mes gros seins rebondissent à l'unisson avec la bague de mon nombril. Même si je fais de mon mieux pour étouffer mes gémissements, ils deviennent de plus en plus forts. Je ne peux plus me contrôler.

La peut m'envahit. Le bruit est si fort que quelqu'un dans le couloir peut l'entendre. A chaque seconde je m'attends à ce que la porte s'ouvre et qu'ORTEGA entre dans la pièce. Je ne pourrai pas me cacher.

- Alors poupée ? As-tu oublié où tu es ? Tu n'es pas censée faire autant de bruit, stupide animal de bureau. Me réprimande Justin.

Il avance vers moi, ôte sa cravate de son cou et la fourre directement dans ma bouche. Encore une chose qu'il a apprise de Daniel.

- Mmmmppphhhhh... Mmmmppphhh...

Mes gémissements sont étouffés. Même si le jeune stagiaire imite mon homme, je suis reconnaissante, car la cravate étouffe le bruit, donc réduit les chances que je sois découverte.

En haut ! En bas ! En haut ! en bas !

Je suis obligée de continuer à chevaucher le tableau de feuilles mobiles pendant les prochaines minutes. Je rebondis si fort que le cœur en strass « Missy » se soulève de haut en bas et cogne ma peau douce et bronzée au-dessus de mon nombril. Ça doit être vraiment comique.

Justin me laisse comme ça une bonne vingtaine de minutes pendant qu'il finit de photocopier le dossier complet. De temps en temps en temps, il me regarde et rigole de me voir essayer de me relever. La douleur se mélange à la honte d'avoir à accomplir cette tâche infernale pour ce salaud de lèche-bottes alors qu'il me prête à peine attention.

CRIIIIIIIII

Soudain la porte s'ouvre avec un grincement.

Non ! Ça ne peut pas arriver ! Pas après que mes cris ont été étouffés ! Pas après tout ce que j'ai vécu ! Je crois que je vais m'évanouir et m'effondrer. Je suppose que j'aurai glissé du tableau si je n'avais pas été enchaînée.

Mais la porte s'ouvre et se referme aussitôt. Avant que je m'en rende compte, deux autres personnes se trouvent dans la salle de photocopie.

- Nous vous cherchions partout !

Il s'agit de Matt et Taylor. Je pousse alors un soupir de soulagement. Je n'ai jamais été aussi contente de voir leurs visages. Ici et tout de suite je les aurais embrassés si j'avais pu me sortir de cette position infernale.

Puis je réfléchis. Je ne devrais pas être contente que Matt soit là ! Surtout sans Daniel ! De plus, attachée comme je suis, il peut faire ce qu'il veut de moi et en profiter.

- Oh je vois, tu prends l'animal de compagnie avec toi lorsque tu travailles. Dit Matt à Justin en m'ignorant.

- Je parie qu'elle t'a supplié de la laisser monter sur ce tableau. La salope n'en a jamais assez hein ? Et elles disent que c'est nous qui pensons tout le temps avec nos bites ! Ajoute-t-il pour recommencer à se moquer de moi

- Qu'est-ce que vous en pensez les gars ? Voyons à quel point elle aime ça ! Je parie que je peux la faire mouiller sur le tableau. S'exclame Justin pour garder l'initiative.

N'attendant pas la réponse des gars il s'approche de moi et saisit mes gros nichons. Il commence à tripoter ma chair molle et la pétrit fermement. Quand il commence à me pincer les mamelons en rythme avec mes mouvements, je commence à me tortiller en gémissant.

Bon sang, ce salaud joue avec mon corps comme avec un violon. Je sens des vagues de plaisir déferler dans mon corps et se mélanger avec la douleur dans mes reins.

La façon dont Justin me manipule si facilement est embarrassante. J'ai très mal sur cet appareil. Pourtant mon corps devient excité par son simple toucher.

Maintenant Justin tient fermement mes mamelons en place sans bouger. De cette façon c'est moi qui agite mes seins en sautant sur le tableau. J'ai l'impression que mes seins sont enfilés sur une brochette. La traction sur mes tétons tendres est à peine tolérable. Et ça conduit mon excitation à de nouveaux sommets malgré la douleur dans ma chatte et mon cul.

Lorsque mon corps est levé, Justin se penche soudainement et gifle mon clitoris. Une décharge explose dans ma chatte et traverse mon corps. Mes jambes tremblent si fort que je redescends instantanément sur le tableau ? Je sais que je dégouline de mon jus.

Ce jeune lèche-bottes a su m'amener à l'orgasme malgré la torture du tableau de feuilles mobiles. Il a réussi en si peu de temps que j'en suis ébahie. Ses camarades stagiaires sont encore plus impressionnés et sifflent d'admiration avant que Justin ne détache mes chaînes et me libère du dispositif infernal. Il me montre alors le tableau et me dit :

- Je te l'ai dit poupée que tu allais aimer ! Regarde le gâchis que tu as fait !

Je remarque alors que le tableau est collant de mon jus. Quelques traces de rouge à lèvres sont encore visibles, mais elles ont été recouvertes par mon jus de chatte. C'est trop pervers !

- Tu es trop stupide pour laisser une trace de rouge à lèvres décente Miss BRATZ ! Me réprimande Justin.

Bon sang, j'avais complètement oublié le défi. D'une certaine manière il avait raison. J'étais tellement excitée que je n'avais pas été en mesure de réaliser son défi correctement. Daniel va être déçu.

- Nettoie ça idiote ! Je ne peux pas laisser sale notre matériel de bureau ! Dit cet enfoiré en retirant sa cravate de ma bouche.

Saisissant mes cheveux châtains, il pousse mon visage sur le tableau. Je lèche mon jus sucré sur le métal tout en pensant que Justin m'avait si facilement fait jouir et juter sur le dispositif infernal. Et comme s'il devinait que ma chatte est toujours excitée, il pousse deux doigts dedans et commence à me baiser avec pendant que je suis penchée.

- Ohhhhh.... Ohhhhh...

Je me retrouve vite à gémir les dents serrées. Juste au moment où je suis au bord de l'orgasme, il s'arrête et donne deux grosses claque sur mes fesses, enterrant ainsi mon excitation.

- il ne faut pas que tu oublies le défi, petit animal de bureau. Je devrais te remettre sur le tableau pour que tu recommences. Dit-il avec un petit rire.

Puis il m'attrape une nouvelle fois par les cheveux et s'exclame :

- Il est temps de laisser une marque de rouge à lèvres sur moi.

En me tirant par les cheveux, il me conduit au fond de la pièce. Une table est placée contre le mur. Il fait demi-tour et me pousse pour que je m'allonge sur le dos sur la table. Puis il la contourne et tire mes épaules pour que ma tête pende du bord.

Je réalise enfin ce qu'il fait. Il veut baiser ma bouche. Dans cette position malaisée, je n'offre presque aucune résistance. Avec ma tête en arrière, ma gorge s'ouvre d'elle-même. Quelle position odieuse !

Justin aggrave encore les choses quand il prend ma jambe droite, la soulève du sol et la plie au genou. Puis tenant ma jambe sur la table, il attrape mon bras droit et le tire pour le placer à côté. Et enfin il utilise mes bracelets de poignets et de chevilles pour les accrocher ensemble.

Après avoir fait de même avec ma jambe et mon bras gauche, je me retrouve allongée sur la table, la tête pendante au bord et ma chatte grand ouverte. Tous mes orifices sont complètement exposés.

Debout devant mon visage, Justin prend mon rouge à lèvres et barbouille ma bouche jusqu'à ce qu'il soit satisfait. Puis il baisse son pantalon. Me regarder chevaucher le tableau l'a tellement excité que sa bite est déjà bien raide. Il saisit ma tête et tire mon corps dans la bonne position. Il me bouge comme une poupée gonflable jusqu'à ce que son membre soit contre mes lèvres. Je suis complètement impuissante. Tout ce que je peux faire c'est de regarder sa grosse bite bien dure planer au-dessus de mon visage. Il m'explique alors :

- Je n'arrêterai pas tant que tu n'auras pas laissé ta marque de rouge à lèvres sur mon entrejambe, salope. Tu as compris ?

Je hoche la tête pour signifier mon accord. Ma position est vraiment dégradante. Pourtant je veux lui montrer que je ne suis pas stupide et que je peux supporter ça. Je suis trop fière pour ne pas lui montrer que je ne suis pas idiote et que je peux réaliser le défi.

Avec un grognement, le jeune stagiaire pénètre ma bouche. Je ferme rapidement mes lèvres peintes autour son sexe dur. Ma langue joue avec son gland, mais il pousse sa bite plus profondément. Je me concentre sur mon réflexe nauséeux et je baisse ma tête plus bas pour ouvrir ma gorge. Je sens son bâton de chair presser contre ma luette.

Puis la bite de Justin glisse profondément dans ma gorge. Il me faut quelques instants pour réaliser que je ne peux plus respirer. Néanmoins ce salaud garde sa queue dans ma gorge jusqu'à ce que ma vision se trouble. Je manque d'air.

Je commence à lutter et je m'agite dans mes entraves. Toutefois, je ne peux presque pas bouger. Je dois vraiment avoir l'air ridicule de me débattre dans mes liens.

trouchard
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