Château Ragia Chapitre 01

BÊTA PUBLIQUE

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-Phouiiiiiii! Depholer!

Son corps était redevenu aussi sensible qu'avant et la femme semblait d'instinct connaître les endroits les plus sensibles de sa peau.

-Tu es désolée d'avoir mal parlé de ta maîtresse?

-Phouiiii! Phitier!!!

Rose sentit soudain une nouvelle sensation à la base de son ventre, elle avait envie d'uriner! Non! tout sauf ça! S'uriner dessus comme une enfant devant cette femme la ferais sans doute mourir de honte! Usant toute la volonté qui lui restait elle se concentra de toute ses forces pour empêcher l'urine de sortir.

Heureusement les chatouilles cessèrent peu après. La laissant souffler quelques instants.

-Dis-le.

Rose ne comprenait pas.

-Phoi?

-Dis « je suis désolée d'avoir mal parlé à ma maîtresse »

Rose baissa les yeux de honte, elle n'en revenait pas de devoir dire ça dans un tel accoutrement, mais elle ne pouvait pas se permettre que les chatouilles continuent. La femme lui retira son bâillon, laissant un flot de salive couler sur sa poitrine.

-Je suis désolée...

-De?

Rose résista quelques secondes, mais la sensation dans son bas ventre se faisait de plus en plus présente.

-D'avoir mal parlé à ma maîtresse.

La langue de la femme s'enfonça dans sa bouche avec vitesse et tendresse, fouillant son palais et goûtant sa langue dans un long baiser qui détendit la jeune fille.

-Maintenant que tu es désolée, tu dois assumer tes actes.

Dit-elle à son visage en brisant le baiser au bout d'une longue minute de tendresse.

-Quoi?! Non!

Rose mendia, supplia , l'appela « maîtresse », lui jura qu'elle sera une bonne fille, mais rien ni fit.

Tout d'abord elle ouvrit les piliers de bois du lit qui se révélèrent creux et contenant tout un appareillage. Deux bras métalliques terminés par un rouleau furent placés sous ses bras, une pression sur un bouton et les rouleaux s'ornèrent de centaine de petites tiges.

-Pitié! Non! Je ferais tout ce que vous voulez!

Hurlait Rose en comprenant le but de la machine.

-Alors je veux que tu te taises, si j'entends encore un mot de plus j'allume ceci et je te laisse toute la nuit à ses soins. Compris?

La voix était autoritaire et ne laissait aucune place au doute. Rose baissa les yeux face au regard qui semblait pénétrer son être.

-Oui...

Soufflât elle de dépit.

-Oui quoi?

-Oui maîtresse.

La femme acquiesça. Et donna un coup de cravache sur ses seins.

-Bien.

Elle finit son installation en attachant un vibromasseur sur son entrejambe, une petite boule vibrante posée directement sur son clitoris.

Elle en profita pour ré ajuster la coiffe de servante de la jeune fille ainsi que son corset, Rose était rouge de honte en se voyant dans le grand miroir en face d'elle.

-Parfait.

Elle saisit une petite télécommande et s'assit sur un des sièges de la pièce qu'elle tira face à la jeune fille attachée.

Confortablement installée elle écarta les jambes, laissant apparaître son intimité rasée.

-Je veux que tu écoutes bien ce que je vais te dire, si tu m'interromps je serais obligée de recommencer du début. Si tu brises la moindre règle que je vais t'énoncer, tu seras punie de la même manière, donc soit bien attentive.

Rose avait compris, elle ne dit rien.

-Très bien.

Avec un sourire elle appuya sur la télécommande et la bille se mit à vibrer, propulsant des ondes de plaisir dans tout le corps de la jeune fille qui fit son possible pour gémir le plus silencieusement possible alors que l'envie de jouir montait en elle.

-Je m'appelle Maria, mais tu m'appelleras Maîtresse ou Madame en toute circonstance.

Le corps de Rose savourait le plaisir avec bien plus d'enthousiasme que la jeune fille aurait voulu, elle offrait à sa maîtresse une vision extrêmement excitante. Toute ces chatouilles mêlée au divers coup de cravaches avaient finalement rendus la jeune fille extrêmement humide et bien trop excitée à son goût.

-J'entends que tu restes impeccable en toute circonstance, tu devras avoir une hygiène irréprochable.

Elle commença doucement à se caresser alors que Rose s'apprêtait à jouir, ses gémissements devenant de plus en plus durs à étouffer. La bille s'arrêta à cet instant et les rotors prirent le relais, l'empêchant de jouir tout en la chatouillant. Rose voulut hurler de surprise, mais se souvint de la menace de Maria et parvint à refréner son cri. Elle gloussait et se tortillait le plus silencieusement possible, repoussant son envie de rire, espérant la fin de la torture. Elle mourait de frustration tout en ce concentrant sur sa terrible envie d'uriner qui devenait de plus en plus présente.

-Tu porteras un des uniformes fournis en toute circonstance et tu effectueras toutes les tâches domestiques avec.

Rose acquiesçait la tête frénétiquement comme pour lui dire qu'elle avait compris, mais sa maîtresse continua de parler calmement et lentement.

-Il t'est formellement interdit de jouir sans mon autorisation, et sauf instruction de ma part tu n'es autorisé à aucun sous-vêtement.

Les chatouilles stoppèrent alors qu'elle était sur le point de se souiller, mais l'œuf se remis à vibrer et Rose à gémir.

-Tu t'occuperas des invités de la même manière. Leurs demandes seront mes demandes.

Encore une fois Rose manquât de jouir et encore une fois l'œuf s'arrêta, alors que les chatouilles revenaient.

-Concernant tes tâches quotidiennes. Tu te lèveras à sept heures, préparera le petit déjeuner et te lavera, ensuite tu me réveilleras avec ta langue. Puis ménage jusqu'à ce que je me mette à travailler. Là tu seras mon assistante, si j'ai des invités tu les accueilleras et t'occuperas d'eux. Je te veux à mon service constant, tu prendras mes appels, me servira le thé et me détendra quand je te le demanderai, ensuite... Quoi!?

Les chatouilles étaient revenues, et Rose avait craqué, elle avait résisté autant qu'elle l'avait pu mais son corps l'avait trahit. Un long filet d'urine coulait de son entrejambe alors qu'elle se tortillait encore sous la torture de la machine.

-Déjà à jouir sans autorisation! Très bien! Visiblement tu ne comprends pas ta leçon! Eh bien recommençons depuis le début.

Rose n'en pouvait plus, si cela continuait elle allait devenir folle, elle ne tiendrait pas une nouvelle fois autant de temps.

-A-a-attendez! J-j-je n'ai p-pas joui mai-m-maîtresse!

S'écria-t-elle avec une voix hachée par des gloussements qu'elle tentait de cacher. Abandonnant tout respect d'elle-même pour mettre fin à son calvaire elle prit une voix douce et lui offrit les yeux de biche les plus mignons possible.

-J-je vous j-jure maîtresse, je suis une b-bonne fille, je n'ai pas joui pas sans votre autorisation.

-Et qu'est ce que c'est que ça? Tu jouis comme une fontaine et tu oses me mentir!

Dit-elle en pointant la petite flaque qui s'étendait sous la jupe de la jeune fille.

Rose détourna les yeux alors que l'œuf se remettait a vibrer.

-Mmmmmhhhhh, Je, je, je ....

Elle hésitât un instant n'osant pas faire sortir les mots de sa bouche encore luisante de salive

-Je me suis urinée dessus maîtresse, je suis désolée.

Elle ne put réprimer le long gémissement de plaisir qui suivit, mais il sembla satisfaire Maria

Elle avait tant honte, obligée de s'humilier ainsi devant cette femme. Celle-ci s'approcha du liquide et le renifla. Après quelques secondes elle prit le visage de Rose dans sa main, celle-ci était complètement essoufflée, rongée par la frustration et la gêne honteuse de s'être souillée devant sa ravisseuse . Elle lui déposa un baiser sur la joue.

-C'est très bien, je comprends, tu as bien obéi en effet.

-Est-ce que vous avez d'autres règles pour moi maîtresses? uuuhhhhhh!

Demanda-t-elle en se mordant la lèvre pour s'empêcher de gémir de plaisir trop fort. Elle ferait tout ce qu'il faut pour que son calvaire cesse.

Maria sembla ravie et reprise sa position sur la chaise.

-Encore quelques-unes oui.

L'orgasme ne vint pas et les chatouilles recommencèrent, elle était maintenant trop faible pour bouger et subissait juste les caresses en tentant de plus en plus difficilement de ne pas glousser trop fort. La pression dans son bas ventre l'avait libéré d'un poids et elle se sentait un tout petit peut mieux.

-Toutes les personnes avec qui tu seras en contact connaissent ta situation et tu ne pourras attendre d'eux aucune échappatoire. De toute façon je suis sûre que tu finiras par vraiment te plaire ici.

Rose se mordait désormais la joue pour s'empêcher de rire, elle était tant excité que les salves devenaient de plus en plus courtes tant elle était prête à jouir au moindre contact

-Tu te masturberas le matin en te levant et avant de te coucher, interdiction formelle de jouir, ton collier m'indiquera si tu as désobéi. Et pour finir tu devras toujours remercier ceux qui te punisse, car c'est pour ton propre bien.

Le corps entier de Rose n'était plus qu'une bombe prête à exploser de plaisir désormais, elle aurait tué pour pouvoir jouir.

Enfin l'œuf cessa de vibrer, mais les chatouilles ne vinrent pas. Était-ce fini?! Enfin?

Les cordes se relâchèrent et ses bras retombèrent enfin alors que la machine était rangée dans son étui de bois par Maria. Les cordes à ses jambes se détachèrent également la laissant enfin libre de ses mouvements. Sa main se précipitât vers son entrejambe, mais s'arrêta à quelque centimètre. Si elle se faisait jouir, elle la punirait de nouveau! Elle se souvint de la dernière règle, elle ne pouvait risquer une autre punition.

-Merci de m'avoir punie, maitresse.

Soufflât-elle dans l'espoir que cela suffise Maria.

-Debout.

Elle se releva difficilement ce dressant devant la femme assise, elle pouvait se voir de nouveau dans le miroir, elle fut encore plus excitée quand elle vu la servante haletante que lui renvoyait la paroi de glace.

-Répète le avec une révérence. Et avec le sourire.

Elle s'exécuta en tentant d'offrir un beau sourire à sa tortionnaire. Elle saisit les bouts de la petite jupe blanche et les souleva un peu en pliant les jambes. Elle avait un tel feu à l'entrejambe que son corps se déroba sous elle, mais elle parvint à se rattraper pour finir sa révérence.

-Merci de m'avoir punie maîtresse.

Dit-elle avec un grand sourire.

-Pas mal.

Jugea-t-elle.

-Tu as besoin d'un peu d'entraînement, mais c'est un bon début.

-Merci maîtresse.

Rose n'avait qu'une envie : se réveiller de ce cauchemar, si elle était obéissante au moins elle éviterait les punitions.

Maria se leva et sortit d'un petit tiroir du buffet un long gode ceinture couleur chair, son extrémité interne comportait un système qui devait s'enfoncer dans les parties intimes de la porteuse. Elle tendit l'objet à Rose.

-Tu sais installer ça?

Rose hocha la tête, elle avait fait de l'escalade petite et c'était basiquement un baudrier.

-Très bien, déshabille-moi et installe-le-moi.

Rose avait les mains tremblantes en retirant la longue robe de Maria. Elle ne parvenait pas à penser à autre chose que son entrejambe qui la brûlait.

Maria avait un corps taillé par les dieux, sa peau d'albâtre était sans aucun défaut, tout comme ses seins, plus petits que ceux de Rose ils étaient d'une perfection naturelle, ni trop ronds ni pas assez et orné de deux tétons couleur pèche. La légère humidité s'échappant de son entrejambe faisait luire ses lèvres dans la lumière du couchant. Rose la compara à sa propre intimité ruisselante, se trouvant vulgaire et sale comparé à sa maîtresse. Son cerveau trop épuisé pour protester face à ce genre de pensé ne lui fit que faiblement remarquer qu'elle parlait là de la femme qui l'avait enlevée.

Elle installa le gode et l'humidifia d'elle-même, commençant à faire réagir Maria qui gémis de contentement face au travail de sa soubrette. Celle-ci mettait du cœur à l'ouvrage et enfonçait franchement le membre de plastique dans sa bouche, le faisant bouger avec sa langue pour un maximum de sensation

-Debout.

Dit-elle au bout d'une paire de minute. Rose se releva pour recevoir un long baiser de la part de la femme.

-Est-ce que tu veux jouir?

Lui demanda-t-elle d'une voix douce.

Rose hocha la tête vigoureusement. Jouir était actuellement la seule chose qui occupait son esprit.

-Demande-le gentiment.

Rose fit de nouveau une révérence en levant sa jupe.

-Maîtresse faite moi jouir s'il vous plaît.

-Tu promets d'être une bonne fille et de bien me servir?

-Oui Maîtresse, je serais une bonne fille.

Rose avait perdu complètement le contrôle d'elle-même tant elle était frustrée. Elle donnait à Maria le regard le plus soumis possible, tout ce qui serait nécessaire pour parvenir à enfin jouir.

-Je serais votre soubrette obéissante maîtresse, je le jure.

Elle fit une moue soumise en pressant ses bras contre ses seins pour les faire ressortir, se frottant dans son costume, offrant à sa maîtresse un spectacle délicieux. Finalement elle s'assit sur le lit en écartant ses jambes le plus possible.

Maria s'approchât, amenant le bout du gode à quelque centimètre des vulves surexcité de la jeune fille.

-Je vous en supplie maîtresse faite jouir votre esclave. Déclama Rose résistant à l'envie de s'enfoncer d'elle-même sur l'objet.

-Ta maîtresse va te faire jouir. N'oublie pas de bien la remercier.

-Merci Maitreeeeeeesse!

Le gode s'enfonça sans aucune difficulté dans son entrejambe lubrifié, la faisant immédiatement jouir. Maria savoura la sensation du corps convulsant de sa servante et entama un long vas et vient énergique qui cabra le corps de la soubrette.

-Merci maîtresse! Merci maîtresse! merci maîtresse!

Criait-elle frénétiquement en s'agitant de plaisir, saisissant ses seins et les malaxant avec force pour le plus grand plaisir de la femme qui la pénétrait.

Rose gémissait de toutes ses forces, enchaînant les orgasmes les plus violents de sa vie, noyant sous esprit sous le plaisir. La sensation était plus profonde que tout ce qu'elle n'avait jamais expérimenté, son corps épuisé acceptait l'extase sans y résister le moins du monde. Devant elle sa maîtresse souriait en gémissant délicatement à chaque coup donné, son cerveau fatigué la prit pour une apparition divine, un ange venu la combler.

Elle ne sut combien de temps cela dura mais elle s'offrit complètement à la femme. Ce faisant prendre par derrière en agitant les fesses, suçant les seins de Maria comme si elle voulait en tirer du lait, se masturbant devant sa maîtresse en répétant son mantra, posant de manière a mettre son uniforme en valeur alors que sa maîtresse continuait a lui provoquer des chaînes d'orgasme qui lui embrumait l'esprit.

Elle finit par s'effondrer dans un lit, tremblante, et le corps parcouru de spasme, répétant inlassablement

-Merci maîtresse.

Jusqu'à ce qu'elle sombre dans un lourd sommeil pour sa première nuit au Château Ragia.

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Anonymous
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3 Commentaires
batsbrubatsbruil y a plus de 3 ans
Trop bien

ça c'est du fantasme. Bravo. Continue comme ça. Je vais attendre demain pour lire l'épisode suivant. Il ne faut pas être trop gourmand.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Oui l'histoire est superbe !

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Et cela ne fait que de commencer !

Très bien !

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