Chroniques Du Cheptel - Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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Sans se démonter, Sélanor prit par la main Estelle et rétorqua. « Allez, on va s'amuser un peu avec les bouseux. » Comme Estelle affichait un manque total d'entrain, son amie lui dit. « Et puis, il faut que je te parle de Mestélys, loin des oreilles indiscrètes de la Cave. Là-bas on sera tranquille. »

L'argument avait fait mouche, mais Estelle hésitait encore. « Allez fait pas ta rabat-joie, que veux-tu qu'il t'arrive? » Rajouta tout sourire Sélanor.

La bonne humeur de Sélanor avait eue raison des réticences d'Estelle. L'elfette adressa discrètement un signe OK de la main en direction de ses complices. Elle entrainait par la main Estelle en direction d'une taverne dont l'enseigne en métal rouillé représentait un perroquet avec une chope de bière à la main.

*****

Port de Sinistrevent - Taverne du perroquet ivre :

Les deux jeunes femmes se mirent au chaud à l'intérieur de la taverne.

— « Bienvenu au Perroquet Ivre. » Tonna derrière le comptoir un homme corpulent au crâne dégarni, une pipe fumante à la main.

Estelle fronça son joli nez en entrant dans la taverne, il y avait un mélange d'odeur de tabac, de mauvais ragoût et de vieille cire à bois. Seule la moitié des tables étaient occupées. Les deux vieilles catins qui étaient nonchalamment accoudées au comptoir la dévisageaient en faisant des messes basses.

— « Merci de nous recevoir dans ton établissement, tavernier. » Répondit Sélanor avec un grand sourire.

— « Horpheu ne nous a pas suivi? » S'étonna Estelle.

— « Non j'ai vu que Arkielle l'avait embarqué avec elle, une affaire urgente à régler, si tu vois ce que je veux dire. » Répondit Sélanor.

— « Elle aurait pu prévenir quand même... » Maugréât Estelle. Elle était contrariée, elle aimait se sentiment de sécurité que lui procurait la présence de ce démon.

Le tavernier posa sa pipe et se précipita pour leur préparer une table au fond de la salle. « Excusez le désordre, je n'ai pas l'habitude de recevoir d'aussi jolies dames dans ma gargote. Je m'appelle Orvald mais mes amis m'appellent simplement Vald. »

— « Merci pour votre gentillesse Vald, je m'appelle Sélanor et voici Estelle la favorite de Sonny. »

— « Enchanté de faire votre connaissance Mesdames, j'ai entendu parler de vous. » Répondit-il en regardant Estelle. « Il parait que vous chantez divinement bien, peut-être nous feriez l'honneur de chanter ici un jour? »

Chanter dans ce bouge? C'était hors de question. Heureusement pour Estelle, l'excuse était toute trouvée. « Désolé, Sonny ne permettrait pas que je me produise ailleurs qu'à la Cave-du-Fort. » Répondit-elle avec un air faussement désolé.

— « Oui je comprends. » Répondit Orvald dont la déception se lisait sur le visage.

Il faisait chaud dans la taverne et son manteau était de trop. Estelle ne voyait pas de porte manteau. « Puis-je vous laisser mon manteau, mon cher Vald? » Demanda-t-elle, en lui souriant poliment.

— « Certainement » répondit le tavernier.

Estelle se déhancha pour le lui donner. Le regard d'Orvald se focalisa sur la petite robe blanche de la jeune femme et ses yeux se perdirent quelques secondes dans le décolleté avantageux d'Estelle. Un sourire illumina son visage.

— « Au moins, il a l'air sympa. » Soupira Estelle quand il s'éloigna avec son manteau.

Quelques minutes plus tard, Sélanor vit entrer dans la taverne Victor et Clotilde. Estelle qui tournait le dos à la salle ne se rendit compte de rien. Elle regardait d'un air dépité l'assiette de mauvais ragoût que leur avait servis Orvald. Le tout était accompagné d'une piquette servis dans un gobelet à la propreté douteuse.

Pendant que Clotilde discutait au comptoir avec le tavernier. Victor s'assit sur le banc à côté de Sélanor, face à Estelle.

— « Qu'est-ce-que...? » Bredouilla Estelle avant que son regard ne tombe sur la tourmaline suspendue à la chainette que Victor avait dans sa main. Les reflets jaunes de la pierre envahirent son esprit et son regard se figeât.

— « Brave fille... » Dit Victor totalement satisfait de la réaction de la jeune femme.

Clotilde arriva à leur table et s'assit sur le banc à côté de sa rivale. Elle posa sur la table deux gobelets supplémentaires ainsi qu'une bouteille de vin en terre cuite.

Sélanor était médusée de voir Estelle inerte. « Elle peut nous entendre? » Demanda-t-elle.

— « Non, elle n'entend que ma voix. » Répondit laconiquement Victor.

Sélanor se tourna vers Victor. « Clotilde m'a raconté la séance d'hier dans les grandes lignes, mais il y a quelque chose que je ne comprends pas. » Dit l'elfette.

— « Quoi donc? Ma chère... » Victor venait de boire une gorgée de vin et fit la grimace, cette piquette n'était vraiment pas terrible.

— « Et bien si le conditionnement hypnotique que vous avez mis dans sa tête est efficace et change sa personnalité, pourquoi avoir besoin d'un mot de commande? »

— « Oh, je vois. » Victor prit une inspiration « Je vais tenter de vous expliquer, mais avant... » Il se tourna vers Estelle. « Je veux que tu manges ce ragoût comme si ce plat était délicieux et boive cette piquette comme s'il s'agissait d'un grand cru. »

Victor se tourna ensuite vers Sélanor pour éclaircir certains points. « Un conditionnement hypnotique n'efface pas la personnalité d'origine du sujet. Enfin pas tout de suite, il vient la compléter. » Sélanor perplexe, fronça les sourcils. « Dans le cas d'Estelle, les directives que je lui ai données vont rentrer en conflit avec sa personnalité. C'est pour cela qu'il me faut plusieurs séances pour renforcer son conditionnement. A chaque fois que je la verrais, sa personnalité va s'affaiblir et son conditionnement se renforcer. »

Sélanor suivait avec attention les explications du mage. « Donc si je comprends bien, le mot de commande la soumet instantanément à celui qui le prononce, mais elle ne gardera pas le souvenir de ses actes. »

Victor acquiesça « Oui c'est le propre d'une hypnose. »

Sélanor rajouta « Et le conditionnement est plus lent, mais il modifiera sa personnalité et son comportement sur du long terme. Et surtout, elle se souviendra de tout. »

— « C'est tout à fait ça! » Sourit Victor. « D'habitude, il me faut une dizaine de séances pour conditionner quelqu'un, des fois plus. Mais avec celle-là... » Il désigna Estelle du menton. « Il ne me faudra que cinq ou six séances. »

Sélanor était rêveuse, imaginant toutes les possibilités qui s'offraient à elle aux dépends de la favorite.

Victor mangeât un peu de son ragout puis repoussa son assiette. Clotilde se forçait à manger et Sélanor toucha à peine à son assiette. « Je crois avoir vu un cafard sous la table d'à côté... » Murmura la magnifique blonde.

— « La prochaine fois, on lui en mettra dans son assiette. » Déclara très sérieusement Victor.

— « Cette taverne est parfaite pour cette conne... » Pouffa Clotilde en désignant Estelle qui venait de terminer son assiette.

— « Bien, il est temps de passer aux choses sérieuses. J'ai besoin de deux heures seul avec elle. » Dit Victor.

— « Je m'en charge » Répondit promptement Sélanor avec un sourire. L'elfette se leva et fit un clin d'œil complice à Victor. Toute cette histoire n'était qu'un jeu pour elle. Elle se dirigeât d'un pas léger vers le comptoir sous l'œil aviné des clients. Le tavernier vint immédiatement à sa rencontre un chiffon à la main. Sélanor lui décocha un sourire séducteur. « Mon cher Vald, j'ai un service à vous demander... »

— « Tout ce que vous voulez ma belle, je sens que je ne pourrais rien vous refuser. » Répondit le tavernier d'un air jovial.

Sélanor posa sa main sur celle d'Orvald. « Il me faudrait une chambre pour Estelle... » Lâcha-t-elle sans quitter l'homme des yeux. De près, Sélanor se rendit compte qu'il avait une haleine de tabac assez prononcée, elle grimaça involontairement.

— « J'ai bien trois chambres à l'étage. » Répondit d'un air ennuyé le patron. « Mais elles servent pour les filles. » Du menton, il désignât les deux prostituées défraichies qui discutaient au bout de son comptoir.

— « Je vois... » Répondit Sélanor en faisant courir son index sur le dos de la main d'Orvald. « En fait, ce n'est pas un problème. Estelle aime bien, disons prendre du bon temps quand Sonny n'est pas là. »

— « Oh. » Fit juste Orvald.

— « Elle cherche avant tout, un lieu discret... » Sélanor glissa une pièce d'argent sur le comptoir et rajouta « Elle m'a dit qu'elle vous trouvait sympathique et si vous lui gardez une chambre ce mois-ci, elle saura se montrer... disons très reconnaissante, si vous voyez ce que je veux dire. »

L'air jovial d'Orvald avait disparu, il était maintenant dubitatif. « Reconnaissante jusqu'à quel point? »

— « Exactement ce à quoi vous pensez. » Rajouta Sélanor.

— « Vous vous foutez de moi? » Demanda Orvald d'un ton menaçant, ses petits yeux scrutaient ceux de la belle elfette.

« Non, Monsieur, je suis très sérieuse! » Répondit calmement Sélanor en mettant l'accent sur - très sérieuse -

— « Dans ce cas, blondinette, nous avons un accord! » Sourit de toutes ses dents jaunies le tavernier. Il sorti de derrière son comptoir deux godets et une bouteille de tord boyaux. Il servi généreusement les verres et dit. « Cul sec ma belle ». Il avala d'un trait le sien puis rota bruyamment.

Sélanor prit son verre et l'avala à son tour cul sec. Elle manqua de s'étouffer alors que l'alcool frelaté lui brulait le gosier. Elle toussa et tenta de reprendre une contenance, ses joues avaient rougies d'un coup.

— « Le premier verre est toujours le pire! » Rigola Orvald en faisant mine de la resservir.

— « Non merci. » Répondit-elle en repoussant son bras. « J'ai besoin de la chambre maintenant » Rajouta Sélanor d'une voix enrouée.

— « D'accord blondinette, je vais en faire préparer une, avec des draps propres pour la dame. »

— « Pas la peine. » Se racla la gorge Sélanor. « Estelle a disons des goûts spécifiques, elle aime bien faire l'amour dans des draps sales... tachés du sperme d'autres hommes. En fait, plus ils sont sales et mieux c'est. La chambre devra être libre tous les après-midi, pendant disons un mois, vous pourrez l'utiliser le matin et le soir tant que les draps restent en place. »

Orvald détaillait Sélanor avec un regard équivoque. « Je suppose que tout le monde a ses petits défauts, ce sera fait selon votre désir, c'est vous qui payez. A propos, si vous en avez des désirs particuliers, je pourrais peut être les satisfaire... blondinette... » Dit l'homme sur un ton mielleux.

— « Soyons bien clair, cher Vald, vous pourrez la baiser elle, mais pas moi. Pour le reste, soyez discret sur notre arrangement et tout se passera bien. »

Le tavernier se resservit un godet de son tord-boyaux qu'il avala cul sec. « Aaaahhhh... ça fait du bien, la seconde chambre est libre à l'étage, les draps datent de la semaine dernière, elle peut l'utiliser tout de suite, si elle le désire. »

— « Merci, Vald, nous allons faire de grandes choses ensemble, je le sens... » Affirma Sélanor avant de rejoindre la table d'Estelle.

— « Nous verrons ma belle, nous verrons... » Murmura le tavernier. Il ne perdait pas des yeux l'intrigante elfette. Très peu de temps après, il vit Estelle se lever suivit par son compagnon encapuchonné. Le couple se dirigeait vers les escaliers. Orvald dévorait des yeux la favorite qui chaloupait des hanches en montant les escaliers. Une fois le couple hors de vue, il reporta son attention sur la blondinette et son amie humaine.

Taverne du perroquet ivre : Seconde hypnose.

La chambre à l'étage était à l'image des putes dans la taverne, totalement décrépie, elle sentait la sueur et les pieds. Le parquet grinçait par endroit. Victor s'approcha du lit pour l'inspecter, si le sommier avait l'air solide, le matelas devait bien avoir vingt ans. Les draps étaient jaunis et tachés par endroit tout comme l'oreiller. Il ricana en découvrant quelques poils pubiens au fond du lit.

Un pot de chambre à la faïence écaillée trônait près du lit. Non loin, il y avait un seau en bois remplis à moitié d'eau ainsi qu'une serviette sale. Victor supposa que le seau et la serviette servaient aux prostituées pour se laver sommairement entre deux clients. Il y avait une jolie toile d'araignée dans un coin du plafond. Une fenêtre donnait sur le port, elle n'avait pas été nettoyée depuis un bon bout de temps et été devenue opaque.

Victor se retourna vers Estelle, sous hypnose, son regard était vide, elle attendait des instructions. « On t'a trouvé un parfait petit nid d'amour, ma salope! » Il se rapprocha de son visage pour humer son parfum délicat et sensuel et lui murmura à l'oreille. « Fous-toi à poil, trainée! »

Estelle retira ses jolies chaussures blanches puis fit glisser sa robe à terre. Enfin, elle se débarrassa de sa culotte en dentelles pour se tenir nue au milieu de cette chambre minable.

Victor sorti de sa ceinture, une petite fiole noire que Clotilde lui avait procuré un peu plus tôt. Il enleva le petit bouchon de liège. « Colle toi ça dans une narine et inspire à fond jusqu'à ce que je te dise stop!»

Pendant qu'Estelle respirait la drogue des orcs. Victor tournait autour d'elle pour l'inspecter sous toutes les coutures. Il appréciait sa peau satinée, ses seins fermes, fièrement dressés, son cul bombé, son pubis parfaitement épilé, sa bouche avec ses lèvres pulpeuses délicatement ourlées donnaient envie d'y coller une bite dedans. Cette salope avait de magnifiques yeux noisette d'une teinte claire qui tirait par endroit sur le doré. Pas de doute, elle méritait sa réputation de bombasse.

Les pupilles de la favorite de Sonny étaient désormais bien dilatées, il était temps de lui donner sa deuxième séance d'hypnose. « Allonge-toi sur le lit salope! Sur le dos, les cuisses relevées et bien ouvertes! » Ordonna Victor de sa voix profonde.

La jeune femme pris la position demandée. Victor s'empara d'une chaise pour s'installer à côté d'elle. « Tu vas commencer par jouer avec tes tétons, tire les dans tous les sens, écrase les entre tes doigts, caresse les! Tu vas alterner caresses et pression douloureuse... » Estelle s'empara aussitôt de ses seins pour en malmener les pointes.

Victor jouait avec son pendentif d'hypnotiseur devant Estelle. « Bien, commençons... »

*****

Pendant ce temps-là, Orvald s'était installé à la table de Sélanor et de Clotilde.

— « Alors laquelle de vous deux va me payer pour la chambre? Un mois à trois pièces d'argent ça fait quand même quatre-vingt-dix pièces d'argent soit neuf pièces d'or. Alors j'aimerai être payé d'avance! »

Clotilde sorti sa bourse « Je vais vous payer d'avance vos neuf pièces d'or. A la fin du mois, je vous donnerais un bonus si tout c'est bien passé. » La jeune femme sortie les pièces promises de sa bourse que le tavernier empocha prestement.

— « Le client est roi ma petite dame dont je ne connais pas le prénom. » Souris de toutes ses dents jaunies Orvlad.

— « mon prénom est Clotilde et mon amie elfe s'appelle Sélanor. » Répondit-elle avec un charmant sourire.

*****

Victor avait passé un peu plus d'une heure à travailler sur le conditionnement hypnotique d'Estelle. Le mot de commande était parfaitement en place. Comme il l'avait pressenti, il avait pu vérifier que la personnalité de la favorite s'affaiblissait bien plus rapidement que chez ses précédents sujets. Elle commençait à assimiler les directives qu'il lui imposait. Il était temps de passer à la pratique maintenant.

Victor lui ordonna de se lever, les tétons de la jeune femme était durs après avoir été malmenés pendant plus d'une heure. Il lui ordonna de remettre sa robe et ses chaussures puis il lui fourra sa culotte profondément dans la bouche. Il tira de l'une de ses poches une cordelette fine pour lui lier les mains. Enfin il la fit s'assoir sur le bord du lit.

— « Je vais compter jusqu'à dix, tu vas sortir progressivement de ta torpeur et à dix tu seras complètement consciente... »

Victor vit le regard de sa proie reprendre vie, ses pupilles étaient encore dilatées. Affolée, elle regardait autour d'elle « Mmmmhh mmmmhh... ». Ses seins, lui faisaient mal, le type qui la retenait avait dû la tripoter.

— « Je vais te retirer ton bâillon, si tu cris, je te cogne, si tu cherches à t'enfuir, je te cogne, si tu me contrarie, je te cogne, c'est bien compris salope? » Annonça Victor d'une voie froide et déterminée.

— « Mmmmhhhh... » Estelle hocha affirmativement de la tête.

Victor lui enleva sa culotte profondément enfoncée dans sa bouche. Furieuse, les yeux d'Estelle lançaient des éclairs. « Tu ne sais pas qui je suis, petit trou du cul, quand Sonny l'apprendra, il te fera écorcher et pendre! »

SLAP, Victor lui asséna une bonne gifle sur la joue gauche qui la prit par surprise, lui infligeant une douleur cuisante.

SLAAP, une seconde gifle tomba un peu plus fort sur la même joue. La tête de la fille pivota sous l'impact, alors que sa joue était en feu.

— « Je sais parfaitement qui tu es, salope, tu es la putain de Sonny. » La voix de Victor était parfaitement calme, il jaugeait sa prisonnière. Estelle cherchait des yeux une échappatoire dans la pièce.

SLAP, une troisième gifle la cueillie à l'improviste toujours sur la même joue qui rougissait à vue d'œil. Il fit mine de lever une fois de plus la main. « C'est bon ou je continue pauvre conne? »

— « Qu'est-ce que vous me voulez? » demanda Estelle dans un murmure. Ses yeux étaient humides, elle retenait ses larmes.

— « Amandine » Répondit simplement Victor.

— « Bien quoi, Amandine? ... » La jeune femme marqua un temps d'arrêt puis compris. « Oh, je vois, vous devez être le type qu'elle fréquentait. »

Victor se contentait de la toiser, froidement.

Estelle reprenait du poil de la bête. « J'ai été obligée de la bannir, elle complotait contre moi et voulait m'empoisonner ou me droguer. Quand elle a été arrêtée, l'un des démons gardiens voulait l'écorcher vive. En la bannissant au temple, je lui aie sauvée la vie. Il faut me croire...»

Estelle paraissait sincère mais Victor avait d'autres informations. Des informations par Sélanor.

SLAAP, SLAP, il la gifla d'un aller-retour rapide faisant rougir un peu plus ses joues. « Je sais que c'est toi qui a empoisonné le thé et fait accuser Amandine pour la bannir, sale pute!! » Il la saisit à la gorge et lui cracha au visage. « Quand j'en aurait fini avec toi, tu seras la plus grande trainée qu'on ait jamais vu ici. Tu te seras tellement faite sautée que tu n'auras plus aucune inhibition. »

Le regard de la belle favorite se voila un bref instant. Soudain, Victor l'embrassa sur la bouche. La jeune femme sentit sa langue dominatrice envahir sa bouche de longues secondes. Elle senti ses jambes flageoler en même temps qu'une chaleur familière envahissait sa chatte. Quand leurs bouches se séparèrent, elle lui rendit son baiser et leurs langues se mêlèrent à nouveau. Cette salope embrassait plutôt bien songeât Victor.

Il la repoussa et sorti son couteau. D'un geste rapide, il trancha la cordelette qui lui liait les poignets. Puis il la chopa par les cheveux pour la forcer à s'agenouiller devant lui. De l'autre main, il extirpa son sexe déjà tendu de son pantalon. « Il parait que tu es la reine de pipes, alors au travail sale pute! »

Docile, Estelle dégageât les testicules de Victor, les soupesa et les caressa d'une main douce et ferme. Elle s'approcha et les embrassa avant de commencer à les lécher avec application. Pendant que d'une main, elle caressait la hampe de son pénis, elle goba l'un de ses testicule pour le masser dans sa bouche. Elle libéra le testicule sa langue remonta couru le long de la face intérieure de la hampe du pénis de Victor lui arrachant un petit gémissement de plaisir. La langue experte d'Estelle s'arrêta un cours instant sur le frein pour le titiller. Enfin elle emboucha le gland de son tortionnaire pour le sucer. Elle fit coulisser sa tête d'avant en arrière avalant un peu plus du chibre de Victor à chaque vas et vient. L'une de ses mains continuait à caresser les bourses de son tortionnaire pendant que sa bouche trouvait le bon rythme.