Chroniques Du Cheptel - Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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-- « Comment elle a réagi? » Demanda le sergent Gusmer qui écoutait avec beaucoup d'attention le récit de l'incube.

-- « Elle a souri en me voyant. Elle avait l'air particulièrement chaude ce soir-là, je crois que Sélanor l'avait bien chauffée avant son tour de chant. Elle portait une jupe longue et un bustier blanc, rien en dessus, ses mamelons étaient gonflés, ses tétons pointaient à travers l'étoffe légère. Elle riait à mes blagues pas drôles... En partant, je l'ai enlacé pour lui glisser à l'oreille que j'allais me payer une pute et penser à elle en baisant cette salope. Et je l'ai plantée là ! »

-- « Je me souviens de cette soirée ! » Interrompit Stick de sa voix aigüe en se redressant. « Je trainait avec Smordif dans la taverne pour finir des chopes de bières abandonnées, comme on fait souvent. Je me souviens d'Estelle, les clients lui mataient les nichons, sans qu'elle y prête attention. On t'a vu monter à l'étage avec une pute habillée en rouge. »

-- « C'était Berthine. » Confirma Razel.

Il se rappelait comment il avait malmené la belle brune. Il lui avait demandé d'être Estelle pour la soirée. Habituée aux demandes parfois saugrenues des clients, elle avait acceptée celle-là avec enthousiasme. Elle avait mis une perruque et joué une Estelle caricaturale, allumeuse et dédaigneuse. Son interprétation était efficace, un peu trop convaincante. Il n'était sans doute pas le premier à lui demander ce service. Razel avait cravaché la belle esclave avant de la baiser copieusement en l'insultant. Il bandait comme un âne, Berthine était une amante fougueuse, impertinente... et masochiste, elle aimait la souffrance dans le plaisir, elle aimait vraiment ça. Il avait été brutal, malmenant les piercings aux seins de la prostituée. Vraiment dommage qu'elle ait un prénom aussi ridicule, elle était l'une des meilleures esclaves de la taverne.

Il avait une dernière demande avant d'en terminer avec elle. Berthine devrait raconter à Estelle ce qu'ils avaient fait ensemble en n'oubliant aucun détail. Elle avait hoché la tête avec un sourire, l'idée lui plaisait. Son esprit cessa de divaguer et Razel reprit le cours du récit du diablotin.

-- « Estelle est montée dans sa chambre quelques minutes après que tu te sois éclipsé avec Berthine. Avec Smordif, on la suivie discrètement... » Dit le diablotin en mimant des guillemets sur le mot discrètement pour signifier qu'ils s'étaient rendus invisibles.

-- « Et elle a fait quoi, cette petite dévergondée? » Demanda Théodolinda devinant la suite.

-- « Elle a laissé tomber sa jupe sur le sol pour aller se doigter sur son lit. Elle gémissait comme une salope en chaleur. Si quelqu'un était rentré dans sa chambre à ce moment-là, il l'aurait découverte, les pattes écartés en train de jouer avec son clito. Elle a jouit rapidement, en se mordant le poing pour ne pas faire trop de bruit. Après avoir repris ses esprits, elle est redescendu dans la taverne comme si de rien n'était. » Révéla le diablotin.

Théodolinda grattait distraitement la tête de Stick. C'était une preuve de plus que le conditionnement hypnotique d'Hasten fonctionnait bien sur la favorite. « Tu l'a revu après? » Demanda la démone, s'adressant à Razel.

-- « La dernière fois que je l'ai vu c'était ce soir. Estelle portait une jolie robe beige clair assez échancrée qui laissait voir un décolleté avenant. Cette fois-ci je n'avais que trois pauvres fleurs à lui offrir. Je voulais être un peu tranquille avec elle. On s'est attablé côte à côte, on était sur un banc dos au mur, dans un coin de la taverne. Du coup on avait un point de vue sur toutes les autres tables. Elle avait l'air un peu nerveuse mais après un verre, elle a commencé à se détendre. »

Razel marqua une pause pour se resservir à boire.

-- « Je lui ai pris la main pour la poser sur mon sexe à travers l'étoffe de mon pantalon. Elle a rougit et mis un peu de temps à réagir avant d'essayer de retirer sa main. J'en ai profité, je bandais sec et avec ma main sur la sienne, je l'ai forcée à me caresser à travers mon pantalon. C'est là qu'elle a commencé à protester mais sans pouvoir retirer sa main. »

Voyant l'air étonné de Théodolinda, Razel précisa. « Je pense qu'à ce moment-là, elle n'avait pas envie de faire un esclandre, c'est pour ça qu'elle me murmurait d'arrêter. Je me suis rapproché d'elle pour lui parler à l'oreille. Je lui ai dit que je m'attendais à un peu plus de résistance de la part de la célèbre favorite de Sonny. Je l'ai traité de petite salope arrogante. Elle allait répondre quelque chose, mais je l'ai fait taire en l'embrassant à pleine bouche. Et franchement, elle s'est débattue plutôt mollement. »

Razel reprit une gorgée de myrte avant de poursuivre. « Cette rabat-joie d'Hynys est venu à notre table pour voir si tout allait bien. Estelle est devenue rouge pivoine. Elle en a profité pour se libérer et s'éclipser sans un regard pour sa sauveuse. Il y avait une sorte d'hostilité palpable entre ses deux-là. »

-- « Tout ça pour ça, mon pauvre Razel, tu as perdu la main. » Se moqua Théodolinda.

-- « Je n'ai pas dit que c'était terminé ! » Déclara l'incube en posant son verre sur un guéridon a côté de lui. « Après ce contretemps, je me suis attablé avec des gars du coin pour leur raconter ce qu'il venait de se passer. Certains ne m'ont pas crus mais d'autres avaient vu la scène du baiser et me posaient des questions sur Estelle. Je leur ai dit qu'elle était moins farouche qu'on ne le pensait si on la bousculait un petit peu. A force de côtoyer des putains, ça devait la travailler. On a rigolé, picolé et échangé pas mal de commentaires salaces sur Estelle pendant qu'elle chantait sur scène. Comme à son habitude, elle essayait de charmer son auditoire mais je voyais aussi qu'elle me jetait fréquemment des petits regards inquiets. »

-- « J'ai attendu qu'elle finisse de chanter pour la coller à nouveau. Je lui ai demandé de finir ce qu'elle avait commencé. Elle m'a bien rétorqué qu'elle n'avait rien commencé du tout. Mais je ne lui ai pas laissé le temps d'en dire plus. Je l'ai saisie fermement par le bras en la traitant de petite pute et d'allumeuse. J'ai bien vu qu'elle cherchait de l'aide du regard, mais personne n'est venu à son secours, pas même les gardes de la taverne. »

-- « Je lui ai dit que j'allais répandre des rumeurs cochonnes sur elle si elle ne faisait pas ce que je voulais. Je lui ai laissé le choix entre sa chambre et la réserve. A ce moment-là, elle a eu un regard éperdu et j'ai senti mon érection revenir. Je lui ai ordonné de se dépêcher de choisir en exerçant une pression plus forte sur son bras. Et là, elle a paniqué, elle a dit : la réserve... on va dans la réserve. »

Razel marqua un temps d'arrêt dans son récit pour savourer son effet. Théodolinda leva les yeux au ciel. « Allez ne te fait pas prier, raconte la suite. »

-- « Je tenais toujours Estelle par le bras quand elle m'a emmené dans la réserve de la taverne. J'ai même fait un clin d'œil à Hynys en passant devant elle. On s'est installé derrière une rangée de tonneaux de bières, à côté des cagettes à légumes. Là je l'ai mise à genou devant moi et j'ai sorti mon sexe de mon pantalon. Je lui ai dit qu'une pute comme elle devait savoir quoi faire avec. Comme elle ne réagissait pas, j'ai frotté ma bite sur son visage, elle faisait de gros yeux mais elle semblait fascinée par la taille de mon engin. Je l'ai prise par les cheveux et quand j'ai pressé ma bite sur ses lèvres, elle a ouvert docilement la bouche. Et là, je te raconte pas, elle a commencé à me pomper comme la reine des putes. Au début, elle a gardé un contact visuel avec moi en me branlant et en me suçant la queue. Puis elle s'est concentrée sur son travail. Elle faisait de longs va et viens sur ma queue tout en me massant doucement les testicules, elle a fini en gorge profonde. »

-- « Raaaa, la cochonne ! » Ne put s'empêcher de dire le diablotin, ce qui fit sourire le sergent Gusmer.

-- « Bien sûr je lui ai infligé nombres de commentaires et compliments dégradants, lui disant qu'elle avait une vraie bouche à pipe, ce genre de choses... Pour finir, je lui ai plaqué le visage contre mon pubis tout le temps que j'ai éjaculé au fond de sa gorge. Je précise que j'ai pris le soin de faire du bruit au cas où quelqu'un nous épierait derrière la porte. »

-- « Tu penses vraiment qu'il y avait quelqu'un à la porte? » Demanda d'un air septique Théodolinda.

-- « Et bien... Il me semblait avoir entendu la porte de la réserve s'ouvrir doucement quand je me faisais pomper le dard. Quand je suis ressorti de la réserve, Irissia n'était pas très loin, elle me regardait bizarrement. »

-- « Oui, elles ne sont jamais bien loin l'une de l'autre. Il est envisageable qu'Hynys l'ai envoyée pour t'espionner. Si Hynys s'est intéressée à toi, ta couverture de marchand est grillée. Mais j'ai cru comprendre qu'elle ne s'opposerait pas à la déchéance d'Estelle. » Annonça la démone en regardant pensivement le feu dans la cheminée.

-- « Oui je sais, Sélanor m'a raconté la conversation qu'elles ont eu ensemble. Et puis si elle n'avait pas été d'accord, je n'aurais jamais pu approcher la favorite du patron, je me serais fait sortir avant. Toujours est-il qu'avant de laisser Estelle, je lui ai lancé une pièce d'argent pour sa prestation et je lui ai dit que dorénavant quand je lui offrais des fleurs j'attendais d'elle au moins une pipe en signe de gratitude de sa part. Tu aurais dû voir son regard à ce moment-là... »

-- « Des fleurs contre une pipe, je le note... » Dit le sergent Gusmer avec un ricanement qui n'annonçait rien de bon pour Estelle.

-- « Et pour la pièce d'argent? » Demanda Théodolinda.

-- « Oh ça? C'est une idée de Clotilde. C'est une bonne idée je trouve. »

-- « Et de votre côté mon cher Gusmer, quelles sont les nouvelles? » S'enquit Théodolinda.

-- « J'ai fait comme vous m'avez demandé, madame... » Commença le sergent.

-- « Je vous en prie, appelez-moi Théo quand vous n'êtes pas en service. » Interrompit la démone.

-- « Très bien Théo. J'ai passé ces trois derniers jours, à montrer le cristal pornographique de la favorite aux gardes du palais. Après je l'ai montré à des gardes noirs de la même promotion que moi. Ils sont en poste dans les différentes garnisons de l'île. »

-- « Parfait, combien de gardes l'ont vu? »

-- « Je n'ai pas vraiment compté, je dirais une bonne cinquantaine, peut-être un peu plus. » Précisa le sergent en fronçant les sourcils.

-- « C'est un bon début. Combien d'entre eux aimeraient baiser cette idiote? »

-- « Elle est belle, elle est connue mais elle est réputée intouchable. Son cristal en a motivé moins d'un tiers. Beaucoup hésitent par peur de représailles s'ils la touchent. Ils viendront quand ils se rendront compte qu'ils ne risquent rien. Comme prévu, la rumeur se répand dans la garnison que ce cristal existe. »

-- « C'est parfait ! La rumeur va enfler pour gagner la population de l'île. Dans quelques jours on diffusera un second cristal de ses exploits. Je veux que tout le monde parle d'elle ! Sinon vous l'avez revue comme prévu? »

-- « Oui je suis allé à la Cave-du-fort ce soir, je pense que j'ai dû passer peu de temps après notre ami Razel. »

-- « Racontez-moi ça avec tous les détails sergent. » Dit la démone en posant son regard perçant sur l'homme.

-- « La favorite était au comptoir en train de se disputer avec Hynys. Elle finissait de boire un verre de tord boyaux. Je me suis approché et j'ai tendu l'oreille mais Hynys m'a viré à l'autre bout du comptoir. De ce que j'ai compris, c'était plutôt Hynys qui lui passait un savon. Elle lui disait un truc du genre de ne pas s'étonner d'être traitée comme une pute si elle se comportait comme une trainée. »

-- « Estelle n'a pas réagi en vous voyant? » S'étonna Théodolinda.

-- « Elle me tournait le dos, alors elle ne m'a pas vu tout de suite. Mais à un moment, elle s'est retournée et m'a vue. Elle avait les yeux rougis comme si elle avait pleuré. Elle a tressaillit en devenant pale et nerveuse avant de me tourner le dos à nouveau. Pendant ce temps-là, Irissia me servait une bière à l'autre bout du comptoir. Je lui ai demandé ce qu'il se passait. Elle m'a juste répondu affaire de filles... Elle avait un petit sourire mystérieux, je pense que ça ne lui déplaisait pas de voir Estelle se faire remettre à sa place. »

-- « C'est possible, Irissia est tout à fait charmante, mais c'est aussi une elfe. Il y a depuis longtemps une rivalité rampante entre les elfes et les humaines dans le cheptel de Sonny. Le patron remplacera vraisemblablement Estelle par Mestélys, une autre oreille pointue. Après ça, il ne restera plus que Clotilde comme humaine dans les esclaves de premier rang. Toutes les autres places seront tenues par des elfes. » Commenta Razel.

-- « Oui, cela explique qu'aucune des filles ne soutient cette cruche d'Estelle. Et puis on ne rattrape pas un couteau qui tombe... Au final, elle ne manquera à personne. » Renchérit Théodolinda en encourageant le sergent à continuer son histoire.

-- « En fait Irissia savait parfaitement qui j'étais, elle s'est mise à flirter avec moi. Du coup je lui ai dit que j'avais un message à remettre à la favorite en privé. J'ai terminé ma bière en papotant tranquillement avec Irissia, le temps que la conversation entre Hynys et Estelle se termine... La favorite avait l'air déprimée quand je me suis approché d'elle. Elle m'a dit que ce n'était pas le moment. Je lui ai signifié que je devais la voir en privé et j'ai rajouté à voix basse que si elle refusait, je diffuserais ses exploits aux gardes du palais. »

-- « Non mais quel magnifique salopard ! » S'esclaffa Razel. « Elle va faire la tête quand elle se rendra compte que c'est déjà fait ! »

La remarque de l'incube arracha un sourire à Théodolinda qui reprit le grattage de la tête de son diablotin. De son autre main, la démone agita une petite clochette pour faire venir l'une de ses esclaves.

-- « Rapportez nous une autre bouteille, la nuit va être longue. » Demanda Théodolinda pendant que Razel et le sergent Gusmer se moquaient de l'infortune d'Estelle.

Une fois tout le monde resservit et le calme revenu, le sergent continua de raconter sa soirée avec la favorite de Sonny.

-- « Au moment où je l'ai menacée, j'ai vu un éclair de panique dans ses yeux, elle m'a demandé de parler moins fort. J'ai ignoré ce qu'elle me disait pour lui rappeler que dimanche dernier, elle m'avait taillé une pipe les genoux dans l'herbe. Cette fois, j'avais bien l'intention de tester sa roulotte. Irissia passait un chiffon sur le comptoir, pas très loin de nous, j'ignore si elle a entendu notre conversation. »

-- « A ce stade, peu importe qu'elle ait entendu ou pas. » Affirma Théodolinda.

-- « La favorite a mis une veste sur sa robe et nous sommes sortis de la taverne pour aller dans le jardin. L'endroit était désert, je lui ai demandé de se retourner et là je l'ai giflée plutôt fort. Elle a vacillé sous l'impact. Quand elle s'est redressée sa joue était vraiment rouge, elle m'a traité de malade et m'a demandé pourquoi je faisais ça. » Les yeux du sergent brillaient d'un éclat malsain en fixant le feu de cheminée, il donnait l'impression de revivre les événements qu'il racontait.

-- « Je l'ai regardée froidement et j'ai cité ses propres mots. Ce n'est pas le moment ! Je l'ai traité de salope en lui signifiant que c'était moi qui disait si c'est le moment ou pas. J'ai continué à l'engueuler, je lui ai dit qu'elle était soit débile soit qu'elle aimait se faire frapper. Elle avait les larmes aux yeux, je ne sais pas si c'était de rage ou de peur, peut-être les deux. Elle a essayé de me raisonner en vain. Quand j'ai fait mine de la frapper à nouveau, elle s'est tassée devant moi pour regarder ses pieds comme une petite fille prise en faute. Je me suis tut un instant pour la regarder. Elle était belle, fragile... Je me suis mis à bander comme un fou... »

Après une courte pause pour vider son verre, le sergent repris. « Je lui ai annoncé que je devais la punir pour son insolence. Je lui ai ordonné de jeter sa veste dans l'herbe, ce qu'elle a fait sans discuter. Je lui ai dit de faire pareil avec sa robe... Elle a hésité et objecté que quelqu'un pouvait la voir. J'ai dit que je m'en fichais, que les putes comme elle, n'avaient pas de pudeur... Elle a fait glisser sa robe le long de ses hanches en jetant des petits coups d'œil inquiets autour d'elle. Sa robe a rejoint sa veste dans l'herbe et elle est apparue nue devant moi. Cette salope ne portait aucuns sous-vêtements. C'était la première fois que je la voyais totalement nue, elle était sacrément belle, mon érection est devenue douloureuse. Je ne sais pas combien de temps j'ai passé à la regarder, elle n'a rien fait pour cacher ses courbes parfaites. Finalement j'ai repris mes esprits pour la pousser en direction de la roulotte. »

-- « Voilà qui est intéressant, peut-être que notre sergent a obtenu plus qu'une petite gâterie... » Se moqua Théodolinda en visant Razel.

-- « Je lui avais promis que la prochaine fois que nous nous verrions, je la baiserais. » Répondit le sergent en enfonçant le clou.

-- « Hey !! Qui a dit que c'était une course ! » Se défendit l'incube avant de rajouter pour faire bonne mesure. « Je n'utilise que mon bagou naturel pour parvenir à mes fins. Vouloir aller trop vite est une erreur. L'idée qu'elle n'est qu'une stupide petite pute doit faire son chemin dans sa minuscule cervelle humaine. Et là seulement, elle acceptera qui elle est vraiment. »

-- « Tu as parfaitement raison sur ce dernier point, Razel. Et pour cela nous tirons tous profit de l'excellent travail d'Hasten. A sa santé ! » Déclara Théodolinda en levant son verre.

-- « A la santé d'Hasten ! » Reprirent en cœur les deux compères en trinquant et riant.

Quand le calme revint, le sergent Gusmer put enfin continuer.

-- « Une fois à l'intérieur de la roulotte, j'ai commencé à me déshabiller. Elle me regardait avec beaucoup d'appréhension mais quand elle a vu mon sexe dressé, elle n'a pas pu en détourner le regard. Elle se souvenait de ce que je lui avais promis la dernière fois. Elle m'a dit qu'elle ne pouvait pas coucher avec moi, elle n'avait jamais trompé Sonny en trois ans et elle a rajouté... Enfin pas vraiment. »

-- « Encore une qui essaye de se convaincre que sucer n'est pas tromper ! » S'esclaffa Razel.

-- « Sans doute. Toujours est-il qu'elle m'a proposé de me pomper. Elle m'a dit... je me souviens de ses paroles : Laisse-moi te sucer, je suis bonne à ça. Son regard était séducteur et implorant. Elle a rajouté : Tu ne le regretteras pas. Franchement j'avais vraiment envie de lui fourrer ma bite dans la bouche tellement elle était tendue. Au lieu de ça, j'ai suivi vos conseils Théo. Je lui ai demandé de me supplier. Et elle l'a fait. Je ne me souviens plus de ses paroles exactes mais elle m'a supplié, elle m'a promis la pipe de ma vie. Elle a fini par me promettre de me sucer la bite à chaque fois que je le voudrai. »

-- « Il est doué ! » Lâcha Razel, appréciant la méthode du sergent.

-- « Oui c'est pour ça que je l'ai embauché... » Renchérit Théodolinda en souriant.

-- « Quand j'ai jugé qu'elle s'était suffisamment rabaissée, on est allé sur sa couche dans le fond de la roulotte. Elle ne s'est pas dérobée quand je lui ai roulé une longue pelle puis je me suis allongé sur le dos et je l'ai laissé faire. Elle m'a couvert le torse de baisers en descendant vers mon pubis, elle m'a délicatement branlé la hampe avant de me prendre en bouche. Elle m'a léché, sucé, aspiré le gland comme une pro. Elle y a mis du cœur, c'était vraiment très bien... quand elle a senti que j'étais prêt à jouir, elle s'est mise à aspirer ma bite par des successions de pressions rapides. J'ai lâché la purée dans sa bouche, un peu de sperme en est ressorti pour couler sur son menton. Elle l'a récolté avec son index pour le lécher. Elle a continué à me branler doucement, elle avait l'air étonné que je ne débande pas. Elle pensait s'en sortir avec une petite gâterie, mais elle ignorait qu'avant de venir la voir j'avais pris un fortifiant. »

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