Collàge Sainte-Conception...

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Un professeur découvre les joies de son emploi.
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Collàge Sainte-Conception-Virginale

Daniel enseignait au Collège Sainte-Conception Virginale depuis bientôt trois mois. Tous les jours ses élèves prenaient place dans sa classe en lui présentant leurs mines réjouies et leurs sourires désarmants. Elles aimaient le cours d'histoire de M. Sancry car ce dernier savait ajouter beaucoup d'humour dans ses leçons qui n'en restaient pas moins appropriées et pertinentes. Toute l'école l'aimait, autant les jeunes filles de tous âges que ses collègues féminines. Il adorait ce nouvel emploi, après tout qui n'aurait pas rêvé d'être le seul homme parmi 350 filles toutes âgées entre 12 et 30 ans!

Daniel essayait de se comporter le mieux possible avec ses élèves il ne voulait pas risquer de perde un emploi pareil à cause d'une bêtise. Il se tenait toujours à une distance respectable de ses élèves et évitait tout contact physique avec elles. Bien sûr il y avait des jours plus difficiles que d'autres mais il s'en sortait toujours et il réussissait à éviter de se laisser tenter par l'une de ses jeunes beautés. Jusqu'au jour où Elle entra dans sa classe.

C'était une arrivée tardive à l'école, Elle avait fait son entrée au milieu novembre. On disait que ses parents l'avaient amené ici pour l'aider à se concentrer sur ses études, ce qui voulait dire en clair qu'Elle était allé un peu trop loin à leur goût dans un certain domaine. Au début il tenta de réprimer ses pulsions mais rien n'y faisait; il avait de vertigineuses érections en plein cours (ce qui l'obligeait à s'asseoir à son bureau fréquemment) et sa seule vue déclenchait une cascade de pensées érotiques dans son esprit. Il rêvait d'elle, de longs rêves où il lui faisait l'amour durant des heures. Il n'avait pas à craindre de passer sa main longuement dans ses épais cheveux bruns, de caresser sa croupe blanche et de se perdre en baisers entre ses seins. En bref, il passait ses nuits prendre et à reprendre encore ce corps d'à peine 18 ans qui lui était interdit.

Il tentait de l'éviter mais c'était comme si Elle le suivait, à tous ses efforts pour l'éloigner Elle opposait une charge en sa direction. Comme dans un jeu pervers de chat et de souris, Elle le pourchassait et le piégeait. Elle le défiait de ses jambes écartées juste un peu trop que la convenance le permettait durant ses cours. Sa jupe courte foncée offrait un contraste diabolique avec le blanc de ses petites culottes, cette seule vision attirait Daniel de la même façon qu'elle l'effrayait. Que faire? Résister était la seule clef pour lui.

Un jour il ouvrit la porte de son bureau pour y trouver à sa grande surprise une paire de petites culottes accrochées à sa lampe de travail. Il se précipita sur le vêtement de peur que quelqu'un ne le voie et le fourra dans sa poche. En refermant la porte il la vit qui le regardait d'un sourire moqueur de l'autre coté du corridor. C'est là qu'il comprit que pour Elle ce ne serait jamais qu'un jeu de chasse où, malheureusement pour lui, il était la proie. Ce soir-là, il s'endormit le visage enfouis dans la petite pièce de tissu et eu des rêves embaumés d'un parfum de femme très particulier.

Décembre arrivait à grand pas et les élèves étaient très occupés par leurs travaux de mi-année. Daniel rencontrait quotidiennement des élèves en privé pour leur fournir maintes explication à ce sujet. Personne, sauf lui, ne fut donc surpris de l'entendre Elle lui demander un entretient privé. Il le lui fixa, le plus tard possible, le lendemain soir.

Il tentait de s'occuper l'esprit, d'essayer de trouver moyen de se contrôler et de résister une ultime fois aux asseaux de ce juvénile, mais si puissant, ennemi. La porte s'ouvrit, dans la pièce sombre sa silhouette se profila, ses yeux sombres se posèrent sur lui et sa langue passa doucement sur ses lèvres pour les humecter avant de parler. Sa chemise était ouverte juste assez pour lui laisser deviner la courbe de sa poitrine, ses cheveux pendaient librement sur ses épaules et on devinait un reste de rouge à lèvre sur sa bouche pulpeuse. Elle commença à parler de son travail, mais cette feinte était vaine car Elle l'avait déjà ensorcelé, il la voulait pour lui là et tout de suite.

Il se leva et se tint près d'Elle, toute frémissante de désir pour lui. Sa main alla caresser sa cuisse nue. Il remonta jusqu'à son derrière rebondi et passa ses doigts entre ses cuisses. Il empoigna fermement ses fesses et l'amena vers lui, Elle était déjà toute à lui et ses lèvres ouvertes criaient leur désir d'être embrassées. Il l'embrassa doucement, la goûtant coup par coup. Leurs langues se touchant doucement dans une timide danse. Il la tenait contre lui et leurs deux corps se complétaient parfaitement à chaque courbe on avait un creux pour l'accueillir. Leur baiser se prolongea durant de longues minutes.

Il reposa une main sur ses fesses, les caressant doucement comme on caresse un enfant. Du bout des doigts il pouvait sentir le doux duvet qui les recouvrait. Elle, de son côté, vint glisser une main dans l'entrejambe de son professeur et flatta doucement son sexe sur toute sa longueur. Dans son excitation il glissa sa main un peu plus loin entre les cuisses de son élève et toucha à la moiteur de son sexe. Soudainement il eut envie de la goûter.

Il la fit asseoir sur son bureau et écarta délicatement ses cuisses en ramenant sa jupe sur son ventre. Il embrassa goulûment l'intérieur d'une de ses cuisses en léchant doucement la peau blanche de celle-ci. Il se rapprocha, baiser par baiser, de l'entrées mouillée de sa fente pour finalement y apposer sa bouche brûlante. Elle frémit de joie et souleva ses hanches pour lui donner un plus profond accès à son sexe. Elle glissa ses propres doigts dans son sexe et commença à se masturber devant lui. N'en pouvant plus il sorti son membre de son pantalon et commença à le caresser intensément. Il était excité à l'extrême mais ne voulait pas la pénétrer tout de suite de peut de lui faire mal. C'est alors qu'elle s'arrêta et le regarda.

-Vous.. Vous ne voulez pas m'avoir monsieur Sancry? Je ne suis pas assez belle, c'est ça?

-Oh non, je croyais seulement que peut-être vous ne voudriez pas mademoiselle, que vous n'étiez pas prête...

-Au contraire monsieur, je rêve de vous depuis des mois, des rêves où je me réveille toute mouillée et chaude à l'intérieur... Mais j'aurais quelque chose à vous demander pourriez vous...

-Ah oui, je ferai attention, je le promet. Je n'ai qu'à vous prendre par l'avant ça fera moins mal.

-Non! Pas comme ça monsieur Sancry, comme à la télévision tard le soir, par l'arrière s'il-vous plaît!

Il n'en croyait pas ses oreilles! Sans se faire prier il l'aida à détacher sa chemise et enleva son propre pantalon. Il se plaça derrière elle qui avait les deux mains sur son bureau et lui empoigna un sein en l'embrassa. Ses fesses venaient se lover contre son abdomen et leur douceur le rendait fou. Elle écarta ses jambes et releva sensuellement ses fesses vers lui. Sans une hésitation il la pénétra d'un grand coup, puis encore et encore. Sa chaleur brûlante contrastait avec la température froide du bureau et il commença vite à sentir une douce friction autour de son sexe. Elle gémissait langoureusement juste assez fort pour qu'il l'entende et Elle relevait constamment ses fesses comme pour en demander plus. Il se retira d'un coup. Son doux petit sexe se jeta vers l'arrière à la recherche du sien. Elle était désespérément en manque de lui. Il recommença à la pénétrer, centimètre par centimètre, guidé par ses gémissements désespérés. Lorsqu'il fut entré à mi-chemin il ne put plus se retenir et continua dans un grand coup jusqu'à ce qu'il soit entièrement à l'intérieur . Elle cria de plaisir, oubliant les élèves qui devaient passer par là dans le couloir. Il alla et vint plusieurs fois avec encore plus d'ardeur, retenant ses reins d'une main et de l'autre caressant sa poitrine. Dans une ultime pénétration ils jouirent d'un long frisson qui sembla durer des heures.

Elle reboutonna sa chemise et replaça sa jupe. Elle lui adressa un sourire coquin et en sortant du bureau le laissant seul affaissé sur sa chaise elle lui dit :

-Je reviendrai vous voir la semaine prochaine, lorsque l'autre étape du projet sera terminée, j'ai tant besoin de vos leçons monsieur Sancry!

Et elle pouffa d'un rire qui retenti dans tout le Collège.

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