Confession

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J'ai une confession à te faire.
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Rainett
Rainett
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Le grand jour est arrivé. Je suis toute excitée parce que, ce soir, c'est la fête annuelle de mon entreprise. Une fois l'an, juste avant les fêtes de fin d'année, le patron nous offre une soirée dans un grand hôtel, hors de la ville. Et pour ne prendre aucun risque, il offre une chambre à ceux qui ne veulent pas prendre le volant pour rentrer chez eux. En milieu d'après-midi, le patron a fait passer le message :

« Terminez ce que vous avez commencé, et partez vous préparer »

Il n'avait pas besoin de me le répéter deux fois. J'ai fermé mon ordinateur, j'ai attrapé mes affaires, et je me suis dirigée vers la sortie. Mon sac d'affaires de rechange était prêt, dans le coffre de ma voiture, et je me suis dirigée directement vers l'hôtel pour m'enregistrer et bénéficier des installations.

Mon mari, Kévin, devrait me rejoindre après avoir quitté son travail. Nous sommes mariés depuis 13 ans, mais nous traversons une période un peu délicate en ce moment, alors je compte sur cette soirée de détente pour resserrer un peu les liens. Sans aucune preuve, juste un peu d'intuition féminine, je le soupçonne de voir quelqu'un. Il n'a pas beaucoup de temps pour moi, il travaille parfois tard le soir, et il ne laisse jamais traîner son portable. Je n'ai pas encore trouvé le courage de le confronter.

J'ai pris possession de ma chambre qui est de taille convenable, avec un grand lit, une télévision au mur, un bureau étroit, un fauteuil, et une armoire de rangement. La salle de bain est confortable, avec une douche à l'italienne, un lavabo, et les WC sont indépendants. Je défais mon sac pour ranger mes affaires, accrocher ma robe à un cintre, et poser mes affaires de toilettes sur la tablette de la salle de bain. L'hôtel a une piscine, alors j'ai pris mon maillot de bain et une serviette pour aller nager.

Je me suis changée dans la cabine et j'ai noué mes longs cheveux blonds en une sorte de chignon vite fait. C'est un maillot de bain bleu uni, une pièce, et assez révélateur quand il est mouillé. J'ai la chance, à 38 ans, d'avoir un physique encore correct. J'ai enfilé mon maillot de bain et j'ai vérifié que tout allait bien avant de sortir et d'aller me baigner.

Il y avait déjà pas mal de monde dans la piscine et j'ai entendu quelques commentaires flatteurs en entrant dans l'eau. Cela me fait toujours sourire, ces hommes qui pensent que quelques compliments peuvent tourner la tête d'une femme. J'ai nagé quelques longueurs avant de me diriger vers le jacuzzi, puis de revenir me sécher avant de remonter dans ma chambre.

Il est déjà l'heure de me préparer. J'ai trouvé une chaîne musicale sur la télévision, je me suis déshabillée et je suis allée prendre une douche chaude. C'est le moment qu'a choisi mon téléphone pour sonner. Je suis revenue dans la chambre pour décrocher.

« Oui, chéri? » J'ai dit à Kévin, mon mari.

« Salut ! »

« Es-tu déjà en route, ou est-ce que tu pars bientôt? »

« C'est pour ça que je t'appelle. J'ai beaucoup de travail ici. Je dois absolument finir. Je ne vais pas pouvoir venir ce soir, car en plus je vais devoir venir travailler demain. Absolument. Désolé, je ... »

Je lui ai coupé la parole, et j'ai piqué une rage. Tout est sorti, toute ma frustration, ma jalousie de femme bafouée, tout ce que j'ai accumulé depuis des semaines. Une fois ma tirade terminée, je l'ai traité de connard, et je lui ai raccroché au nez. Puis, j'ai éteint mon téléphone pour qu'il ne puisse pas me rappeler. Assise sur le lit, j'ai pris un coussin que j'ai plaqué sur mon visage pour pleurer à chaudes larmes. Le salaud, je jure qu'il va me le payer. Je me suis calmée, maintenant bien déterminée à passer une bonne nuit en m'amusant.

Après une bonne douche, je me suis séchée devant le grand miroir, et j'ai examiné mon corps en appliquant ma crème réparatrice. Satisfaite de ce que je vois, parce qu'encore assez mince, j'ai des courbes aux bons endroits. Mes seins sont ronds et bien hauts, à présent qu'ils sont siliconés, mes fesses ne sont pas flasques, et mes hanches rondes plaisent aux hommes. Ensuite, j'ai séché et brossé mes cheveux en leur laissant une vague naturelle. Le maquillage est discret, sauf la bouche, très rouge. J'ai enfilé mon string rouge et mon soutien-gorge en dentelle assorti.

Je me suis glissée dans ma robe fourreau, une robe longue qui descend jusqu'au sol, et fendue sur le côté jusqu'en haut de la cuisse. Je l'ai achetée pour l'occasion car elle me grandit et m'amincit. J'ai remué mes fesses pour la mettre en place. Je peux voir mes sous-vêtements à travers le tissu de ma robe. Pas très contente, en me reprochant de ne pas l'avoir essayée avant, j'ai retiré ma robe pour ôter mes sous-vêtements, et j'ai remis ma robe.

« Beaucoup mieux » j'ai commenté. Je me sens plutôt coquine de ne pas porter de sous-vêtements, mais cela fait partie de ma vengeance. J'ai mis mon collier en or blanc avec un gros pendentif qui attire le regard, niché entre mes seins. Des boucles d'oreilles discrètes, un fin bracelet, ma paire de talons argentés, et une petite pochette assortie complètent ma tenue.

Je m'admire dans le miroir, satisfaite de ce que je vois, à tel point que j'ai remis mon téléphone en route pour prendre quelques selfies, avant de choisir le meilleur pour le mettre en ligne, avec le slogan "soirée sauvage". Dans ma pochette, j'ai mis mon téléphone, ma carte bancaire, la carte-clé de ma chambre et je me suis dirigée vers la salle de réception.

Il y a un bar à une extrémité de la salle de réception, et une piste de danse avec un DJ déjà sur place. De chaque côté de cette salle de réception commune, se trouvent deux salles de restaurant, l'une avec le nom de notre entreprise sur la porte, l'autre avec un autre nom de société.

« Désirez-vous une coupe de champagne, Madame? »

Ma coupe de champagne à la main, je fais le tour des groupes de collègues de travail accompagnés par leurs conjoints. Un employé nous place à table.

« Salut, les gars. Michel, Éric, ça va? » Je suis placée entre deux gars de l'atelier. Je ne les connais pas vraiment, mais ils paraissent assez agréables. Ils semblent intéressés par mon décolleté. Éric a même posé par erreur sa main sur ma jambe dénudée lorsque la fente s'est ouverte mais, pour être honnête, je les ai un peu provoqués. Après le repas, je me suis dirigée vers le bar pour prendre un digestif en échangeant quelques potins avec mes copines. Le bar était bondé, tout comme la piste de danse, principalement à cause de l'autre compagnie. Je me suis frayée un chemin à travers la foule pour arriver jusqu'au bar.

« Trois Gin Tonic, bien tassés, s'il vous plaît » Dit le gars à côté de moi au barman.

« La soirée s'annonce bien, n'est-ce pas? » Je lui ai demandé.

« Ah ouais ! » Et il apostrophe le barman « Tiens, fais-en un quatrième pour la dame qui a soif »

Il me regarde de haut en bas en souriant de toutes ses dents. Il me tend la main en me précisant qu'il s'appelle Djibril. Sa main est immense, et elle engloutit la mienne. Il se penche galamment pour me faire un baisemain. C'est un grand black avec un corps de sportif, et des yeux pétillants de malice. Il est vraiment musclé, très large d'épaules, son tee-shirt blanc très moulant le mets en valeur, et il me plaît bien.

« Tamara, ravie de faire votre connaissance, Djibril. Alors, un G.T. pour moi, et les trois autres pour vous? »

« Non, mes copains vont m'aider. C'est juste mon tour d'aller au ravitaillement. Voulez-vous vous joindre à nous? Même si je vois une alliance à votre annulaire, votre mari n'est sûrement pas présent. Il ne laisserait pas une si jolie dame aller jusqu'au bar pour avoir un verre ! »

« Bien vu, Djibril. Il a bien mieux à faire que passer la soirée avec moi » Le regard incrédule de Djibril m'a émue.

« Joignez-vous à nous, nous allons vous remonter le moral. Il ne me semble pas y avoir beaucoup de danseurs dans votre entreprise »

Les boissons sont arrivées, et il les a gentiment payées. J'ai attrapé mon verre, et je l'ai suivi à travers la foule. Il a ce genre de prestance qui fait que la foule semble s'ouvrir devant lui. Il s'est arrêté devant deux grands black appuyés contre le mur, près de la piste de danse.

« Voici mes potes. Celui-là, c'est TJ et voici Gary. Les gars, je vous présente Tamara »

Ils sont grands, musclés et souriants comme Djibril. Ils sont jeunes aussi, probablement le milieu de la vingtaine.

« C'est la jolie femme qu'on a vu à la piscine cet aprèm » a déclaré celui qui se fait appeler TJ.

Je suis un peu embarrassée par ce commentaire, mais flattée aussi.

« Vous m'avez remarquée. Est-ce que vous avez aimé ce que vous avez vu? »

« Nous avons apprécié. Il n'y a pas de plus jolie femme que vous, ici » Commente Djibril avec un clin d'œil. Les garçons se sont rapprochés de moi, ils m'entourent, me dominent, et ils ont probablement une belle vue sur mon décolleté. Djibril nous invite à trinquer et nous avons levés nos verres à notre belle amitié naissante.

Gary a les cheveux courts et une petite barbiche qui lui donne un air intellectuel. Les deux autres sont complètement rasés. Leurs carrures, ainsi que leurs manches retroussées sur leurs biceps ne laissent planer aucun doute. Ces trois jeunes gars aiment passer du temps à la salle de sport.

Ils sont jeunes, costauds, sympathiques et je suis séduite. Ils m'ont faite danser à tour de rôle. Ce sont de bons danseurs et d'agréables compagnons de soirée. Je suis détendue avec eux, d'autant plus que les verres se succèdent, et que je n'ai l'habitude de boire. Je tâte les biceps de Djibril en lui demandant ce qu'il fait pour cela. Il reconnait que c'est du travail, mais que c'est nécessaire pour plaire aux femmes.

Nous avons continué de boire, de bavarder et de danser, et j'apprécie l'attention qu'ils me portent. Ils ne sont pas empruntés et sournois comme les blancs, ils sont directs. Leurs yeux me déshabillent, et ils ne cachent pas leur intérêt pour mes formes. Ils ont repéré que je suis nue sous ma robe, et ils m'ont dit que c'est très sensuel. Je joue avec désinvolture de mon pendentif pendant que nous discutons, je touche leurs bras musclés aussi souvent que je le peux. Djibril a passé son bras à ma taille et me serre contre lui. Mon Dieu, qu'il sent bon !

« Alors, où est ton mari, ce soir? » C'est Gary qui m'attaque.

« Probablement en train de baiser avec sa poule» Je réplique.

Ils ont tous failli recracher leur verre.

« Comment est-ce possible? Qu'est-ce qui ne va pas avec ton mari? Une jolie femme comme toi, je ne la perdrais jamais de vue, de peur qu'on me la prenne. Je veux dire, si on était ensemble, on passerait beaucoup de temps au lit, et je te ferais l'amour tout le temps »

TJ a insisté : « Je parie que cet idiot n'est pas capable de te donner un véritable orgasme en te baisant, n'est-ce pas? »

J'ai réfléchis à une réponse plausible.

« Pas besoin de répondre, ton silence est éloquent » Conclut TJ.

« Si tu veux nous emmener dans ta chambre, je te promets que tu vas passer un bon moment. Tu vas vraiment bien t'amuser. Qu'en penses-tu? » Insiste Djibril.

Je les ai regardés tour à tour, pesant le pour et le contre : « Chambre 369. Laissez-moi dix minutes pour me rafraîchir » dis-je en me levant, le cœur battant dans ma poitrine. Je suis allée dire au revoir à quelques collègues, m'excusant de partir si tôt, et je me suis dirigée vers l'ascenseur. Les gars ne sont plus là. La porte de l'ascenseur s'est ouverte à mon étage. Je suis sortie de l'ascenseur et j'ai tourné le coin. Les 3 gars m'attendent, appuyés nonchalamment contre le mur. Djibril d'un côté du couloir, Gary et TJ de l'autre.

« Salut les garçons, j'aimerais vous inviter ici » J'ai sortis ma carte-clé de ma pochette, et j'ai ouvert la porte. Mon cœur bat à tout rompre, et je ressens un vide au creux de l'estomac. Ils m'ont suivie, toujours aussi nonchalants et décontractés. Ils m'ont entourée, et aussitôt, j'ai eu leurs mains sur moi.

Je les ai regardés, souriante malgré mon anxiété, et j'ai placé mes mains sur le torse de Djibril et TJ. Je laisse glisser mes mains jusqu'à leurs ventres, tandis que leurs mains explorent mes rondeurs. Djibril m'embrasse dans le cou, alors j'ai offert ma bouche à TJ, pendant que les mains de Gary serrent mes fesses. TJ a les mains sur mes seins, et ses doigts font rouler mes tétons.

« Défais-moi » J'ai demandé à Djibril. C'est exactement ce qu'il a fait, puis il m'a dénudée jusqu'à la taille.

« Oh merde, regardez-moi ces beautés » Apprécie TJ, ses mains posées sur mes seins nus en les serrant, pinçant et faisant rouler mes tétons entre ses doigts. De petits éclairs de plaisir traversent mon corps pendant qu'il me manipule. Je me suis penchée pour ôter ma robe, poussant mes fesses nues contre le ventre de Djibril.

« Tu es troublante, Tamara, tu sembles être une bourgeoise chaste et vertueuse, et tu te promènes sans sous-vêtements » remarque Djibril en me caressant les fesses.

« Je ne voulais pas que ça gâche ma silhouette » dis-je en me relevant, en repliant ma robe mais en gardant mes talons. J'ai jeté ma robe sur le fauteuil, et je me suis blottie contre lui. Ses mains entourent aussitôt mon corps, en me caressant le bas-ventre. Les mains des garçons sont partout sur moi, et mon anxiété disparaît comme par magie. La main de Djibril a parcouru mon pubis en pressant ma chatte, puis est descendue entre mes jambes. J'ai légèrement écarté mes cuisses pour lui, tout en passant une main derrière moi pour palper la bosse grandissante que je peux sentir pousser contre mes reins.

Ses doigts glissent facilement en écartant ma chatte déjà humide, puis ressortent et agacent ma zone clitoridienne. Ma respiration devient plus lourde. Le désir et le plaisir me font gémir dans la bouche de Gary. TJ s'occupe de mes mamelons, il mordille et lèche l'un en manipulant l'autre. Gary me tient la tête à deux mains, il m'embrasse, et sa langue fouille ma bouche. J'ai attrapé les garçons par leur ceinture, et je les ai attirés vers moi. Tous les trois sont serrés contre moi. Je suis tellement excitée que j'ai besoin de leurs bites.

Je me suis dégagée de leur étreinte, et je me suis agenouillée en me tournant vers Djibril. J'ai débouclé son ceinturon en le regardant les yeux dans les yeux, tout en dégrafant chaque bouton de son jeans avant de le baisser. Un caleçon gris dissimule l'objet de ma convoitise. Mes yeux s'écarquillent rien qu'à la vue du renflement. J'ai accroché mes doigts dans la ceinture élastique, et j'ai tiré vers le bas. L'épais pieu noir apparaît lentement. Plus je baisse son caleçon, plus sa longueur se dévoile. Jusqu'à ses sacoches noires qui pendent, pleines de sperme. Je contemple alors la totalité de sa splendeur, et je m'humecte les lèvres du bout de ma langue.

Les mots me manquent, ma gorge se serre d'émotion, j'ai la bouche sèche, le choc de cette vision m'hypnotise. Il est long, très long, épais, très épais, noir, très noir, droit et brillant. Il m'éblouit. C'est tellement fascinant. Je lève ma main tremblante pour caresser son gourdin. Mes doigts ne parviennent pas à en faire le tour complet, mais c'est si doux au toucher que je pourrais défaillir sur-le-champ. J'ai posé ma bouche dessus, j'ai embrassé l'extrémité du gland avant de le lécher, et de le prendre dans ma bouche. J'ai soupiré de plaisir en fermant les yeux pour apprécier la sensation dans ma bouche, et son goût unique sur ma langue.

Je le suce lentement pour profiter de l'instant, avant de lécher sa tige tout du long, jusqu'à ses boules sombres. Je lèche, je suce et je caresse son merveilleux outil. Je m'enfonce le plus loin possible sous lui pour lui lécher le scrotum en remontant sous ses couilles de l'arrière vers l'avant. Ma bouche est remontée le long de son pieu, léchant et suçant, et j'ai repris en bouche le gland sur lequel perle une goutte de liquide séminal. En jetant un rapide coup d'œil autour de moi, j'ai vu que les deux autres patientent en jouant négligemment avec leurs grosses bites sombres. J'ai remarqué aussi qu'ils avaient sortis leurs portables pour me filmer en pleine action. J'ai pris la pose pour être belle sur la photo.

TJ et Gary sont aussi grands que Djibril, et tous les trois ont le pubis et les bourses parfaitement rasés. J'en ai pris un dans chaque main pendant que je suce la bite de Djibril. Il a déboutonné sa chemise et l'a ôtée. Son torse est incroyablement musclé. Ses muscles sont parfaitement dessinés sous sa peau. J'ai l'impression d'être avec un mannequin, une gravure de mode.

J'ai lâché la bite de Gary pour caresser le torse de Djibril, en effleurant mes ongles peints en rouge sur ses abdominaux. Djibril se recule pour ôter son jeans, jeter ses chaussures dans un coin, et se retrouver nu. Il m'a soulevée si facilement et m'a déposée sur le lit, étendue sur le dos. Il sourit en contemplant mon corps nu.

« Tu es magnifiquement sexy, Tamara » Dit-il en écartant mes jambes largement, puis il s'agenouille entre mes cuisses ouvertes pour embrasser l'intérieur de mes cuisses, en s'approchant de ma chatte. Sa progression est incroyablement lente, l'attente est insupportable, mon désir devient douloureux, ses doux baisers sont un supplice absolu, je me retiens de le supplier, et je soupire d'aise lorsqu'il a enfin embrassé mon minou.

Sa langue lèche mon ouverture avant de stimuler mon clitoris. Il dessine des motifs sur mon minou. J'ai agrippé mes seins pour presser mes tétons pendant que sa langue exerce sa magie sur ma chatte. TJ et Gary viennent se positionner sur le lit, de part et d'autre de moi, pour me présenter leurs bites. Je les ai saisis tous les deux pour les sucer à tour de rôle, pendant que Djibril transforme ma vertu en lubricité. Je sens déjà les prémices d'un orgasme se construire en moi.

Leurs téléphones en main, ils filment la chienne lubrique qui se tord de plaisir sur le lit ! Nue sur le lit, les jambes écartées, utilisée par un jeune black qui me rend folle avec sa langue agile, les deux autres rient devant mon désir de sexe avide, et me taquinent avec leurs grosses bites qu'ils promènent sur mon visage. Je ressens maintenant l'orgasme se développer par cette sensation d'effervescence qui commence au plus profond de moi. Ma respiration s'accélère et se creuse. Djibril l'a senti et il relève le visage pour me regarder suffoquer.

« Ne t'arrête pas ! Oh, s'il te plaît, ne t'arrête plus ! Je viens ! »

Mais il m'a ignorée, un sourire sur son visage malicieux.

« Je parie que ton mari ne t'as jamais donné de véritable orgasme. Si je continue, tu pourrais avoir un orgasme banal, mais pas LE véritable orgasme. Je veux te donner un véritable orgasme »

Il se redresse entre mes jambes, sa queue solide comme le roc tendue devant lui, et il se penche sur mon minou. Il pose sa queue sur mon ventre avant de la prendre en main. Il frotte le gland de haut en bas entre les grandes lèvres. Il tapote mon clitoris galvanisé avec sa bite, avant de se faufiler à l'intérieur de ma vulve. Lentement, en prenant tout son temps, et en me faisant mourir d'impatience, il s'est enfoncé jusqu'à ce qu'il soit entièrement enterré au plus profond de moi. C'est une sensation incroyable. Je n'ai jamais rien ressenti de tel. Il était énorme, il me remplit toute, il m'étire, me distend. Et il ne porte aucune protection, ce qui augmente les sensations contre la paroi de mon vagin.

Il me baise lentement, en utilisant toute sa longueur, et le gland turgescent ramone toute l'étendue de ma cavité vaginale. J'essaye de paraître stoïque et je fais semblant de m'occuper des bites de TJ et de Gary, mais j'ai beaucoup de difficultés à me contenir. J'ai envie de hurler ma jouissance qui me tord le ventre, de le supplier s'accélérer et de me baiser plus fort, mais je suis une dame et je me contiens.

Mais les sensations procurées par l'énorme bite de Djibril augmentent, et je suis malade de désir. Je suis au paradis et en enfer, mon orgasme se développant à chaque poussée de la bite monstrueuse de Djibril. Il retire sa queue jusqu'au bord, son gland étire mes lèvres qui s'accrochent à lui pour le retenir, avant de replonger au plus profond de moi, touchant au passage tous les points sensibles de mon vagin.

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