Conséquence de Paroles en L'air

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j'ouvre une porte, mais laquelle?
3.4k mots
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1

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 04/05/2024
Créé 03/29/2024
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Tout a commencé en ce mois de juin 1978. Je suis avec mes copains d'enfance Serge et Francis, On vient de voir le match de foot de notre équipe locale, en ce samedi après-midi. Nous avons bu quelques bières pour fêter la victoire. L'alcool aidant, après avoir refait le match, la discussion tourne autour des femmes et bien sûr du sexe. Nous avons tous le même âge, 29 ans à quelques mois près. Étant du même quartier, nous avons tout partagé, l'école, la drague des premières filles, les bals et les boumes. Puis j'ai été le premier à me marier, suivi par Frank 1 an plus tard. Serge est toujours célibataire.

C'est toujours lui qui nous chambre, sur la fidélité de nos épouses. Comme elles sont amies, quand nous sommes ensemble, elles sortent toutes les deux, et cette après-midi, elles ont été au cinéma.

Serge continue à nous mettre en boite, il me dit que je devrais faire plus attention à Joelle, ma femme. Pour Frank, il lui fout la paix, car contrairement à moi, il ne répond pas aux moqueries. Moi, je reconnais être un peu jaloux. Il faut dire que Joelle fait tourner les têtes des hommes ou des femmes. C'est un petit bout de femme d'un mètre soixante pour 48 kg, cheveux mi longs châtain clair, yeux vert clair, un joli minois. Une poitrine ferme un 95 c, donc pas très gros, une belle chute de reins avec un beau petit cul et de belles jambes. De plus, elle est toujours en jupe ou robe très courte, les seins libres sous ses chemisiers ou tee-shirt.

Sur le plan sexuel, elle est très libérée, Je l'ai connue vierge, mais très vite, elle a accepté toutes mes pratiques, et j'honore tous ses orifices. Elle est très demandeuse, et profite de mon corps également à sa guise. C'est peut-être pour cela que Serge me chambre, car j'ai trop souvent raconté nos ébats

Toujours est-il que Serge continue à insinuer que ma femme, comme les autres, n'est pas obligatoirement fidèle, que cela dépend des circonstances et des hommes qui sont en face. Je lui réplique que quand une femme a ce qu'il lui faut à la maison, elle ne cherche pas ailleurs.

Deux ou trois bières de plus, et il me dit :

_ Je suis prêt à te démontrer que j'ai raison.

_Je voudrais bien voir ça, Joelle est fidèle. Plusieurs fois, je lui ai proposé de pimenter nos soirées, en faisant venir un homme ou une femme, et toujours elle refuse, disant qu'elle serait trop gênée.

- Mais tu rêves, si elle est bien entreprise, elle craque.

Sur ces paroles, je prends congé de mes potes pour rentrer chez moi. Comme je m'éloigne, il me cri, tu verras que j'ai raison! Sans me retourner, je fais un doigt d'honneur et lui réponds, on verra!

Arrivé chez moi, je retrouve avec joie ma petite femme, Elle s'affaire dans la cuisine en nuisette. Elle a pris  sa douche et prépare le souper. Comme je veux l'embrasser, elle me repousse, me dit que je pue l'alcool.

Je vais donc me doucher. L'eau me fait du bien et me dégrise. Mais je ne peux m'empêcher de penser aux paroles de Serge.

Le repas fini, on débarrasse la table et, comme tous les soirs, on se met devant la télé.

Je ne tarde pas à lui caresser légèrement la cuisse, puis sa douce poitrine. Elle est très réceptive. Elle ne dit rien quand je lui retire sa nuisette. Je l'admire nue, ses seins sont gonflés, sa chatte commence à luire. Elle avance sa main et commence à me caresser le sexe entre les pans de ma robe de chambre. Je pense à toutes les conneries que m'a dit Serge cet après-midi. Comment imaginer, cette femme dans les bras d'un autre? Même si parfois, je pimente nos ébats avec la venue d'un étranger dans notre lit, je le dis surtout pour l'exciter davantage. 

Mais en même temps, cette perspective me fait bander, elle s'en aperçoit et me demande comment ça se fait que je sois autant en forme. Pour toute réponse, je me mets à genoux, et entreprends de lui lécher la chatte. Ma langue cherche entre ses petites lèvres son bouton qui grossit à mon contact. Je l'aspire, le roule entre mes lèvres, je remonte mes mains sur sa poitrine. Les mamelons sont durs, je les caresse doucement, juste en les effleurant, de dessous les seins, là où la peau est très douce, puis je remonte les deux petits appendices. Je sais qu'elle adore cela.

Elle me relève par les bras, défait ma robe de chambre et m'attire sur elle. Elle me serre la taille avec ses jambes, je m'enfonce au plus profond de son ventre et décharge en longues saccades tout le sperme de mon corps.

On s'embrasse longuement, mes mains caressant son corps. Je suis fou d'elle, je le lui dis, elle se contente de rire doucement et me dit qu'elle m'aime. Je la prends par la main et nous allons au lit.

Deux semaines se passent, sans aucun événement quelconque. J'ai revu mes copains, et bien sûr, avec Joelle, nous avons comme d'habitude souvent fait l'amour.

On est le samedi 25 juin, et Serge, Josette et Marc doivent venir pour voir la finale Argentine-Pays-Bas à 15 h à la télé. On les attend, ils viennent pour 12 h, j'ai organisé un BQ.

Joelle porte un jeans et un petit top noué dans le cou et le dos. Ses seins sont mis en valeur et on sait très bien qu'elle ne porte pas de soutien-gorge.

 Ils arrivent tous les trois ensemble, Marc est passé chercher Serge. Ils viennent sur la terrasse où Joelle termine de mettre  la table. Marc fait une bise à ma femme, puis c'est Serge. Je remarque qu'il lui caresse le dos.

_ Tu aurais pu faire comme Josette, te mettre en jupe. Qu'il lui dit.

_ Tu peux toujours attendre, je suis très bien comme ça.

_ Tu as de la chance, lui répondit Josette, mais Marc m'a obligée de me mettre sexy.

Il est vrai qu'elle est très mignonne, un peu plus grande que ma femme, brune, yeux noisette, un chemisier blanc transparent sans sous-vêtement, une jupe plissée également blanche, à la limite de sa chatte. Mais c'est assez souvent que quand nous sommes ensemble, elle s'habille ainsi.

Le repas se passe très bien, si ce n'est les blagues grivoises de Serge, qui insiste sur le fait que Joelle soit en pantalon. De plus, il n'a pas pu se placer à table à côté d'elle comme il le voulait, il y avait trois chaises d'un côté. Comme j'étais assis, Joelle est venue s'asseoir à côté de moi et a fait mettre sa copine à côté d'elle. Marc et Serge sont en face

Le repas se passe bien, à 14 h 45, les hommes s'installent devant la télé, les femmes restent sur la terrasse à l'ombre pour papoter. Durant le match, elles montent dans notre chambre.

Malgré la télé, On les entend rire aux éclats. Le match se termine, sur une victoire de l'Argentine, 3-1. Comme toujours, je vais chercher des bières et l'après-match est très discuté.

À 18 h, les femmes nous rejoignent, Je propose l'apéritif et ma femme leur dit que l'on va souper tous ensemble. Malheureusement, Josette nous dit qu'elle est de garde, en tant qu'infirmière au CHU. Mais elle insiste pour que son mari reste avec nous, elle va prendre le bus.

Le temp que j'allume le BQ, ma femme va prendre une douche, comme tout les soirs

Mais ce soir, elle ne redescend pas en nuisette, mais avec une robe blouse très longue fermée devant par des boutons. Le coton est léger, et l'on voit bien comme toujours l'absence du soutif. Je remarque également la déception sur le visage de Serge, qui espérait sans doute quelque chose de plus sexy. Par contre, moi, je suis ravi et j'embrasse Joelle tendrement.

 Apéro, repas légèrement arrosé, la soirée s'avance doucement dans la bonne humeur. 

Mais aux alentours de 22 h, la fraîcheur nous fait entrer dans le salon. J'allume la télé et Marc me demande si j'ai un film. Serge lui répond qu'il en a un qu'il a loué au vidéo club. Il va le chercher dans sa sacoche, moi, je vais au garage pour rapporter des bières. Pourquoi, quand je reviens, je ne suis pas surpris de voir Joelle entre mes deux amis sur le canapé : il ne me reste que l'angle pour m'installer. Serge a glissé la casette dans le lecteur. Il tient la télécommande, en tendant le bras derrière moi, j'éteins la lumière.

J'aurais dû m'en douter, il s'agit d'un film porno!

Ma femme s'écrit!

_ NON, tu peut pas mettre autre chose?

_ Pourquoi, lui répond Marc, vous ne regardez jamais de film de cul?

_ Si,bien sûr, mais ce n'est pas pareil, on est tout les deux!

 Serge ajoute :

_ Et vous faites des cochonneries.

Je vois Joelle se tasser dans le canapé, plus personne ne dit rien, les yeux rivés sur l'écran. Le film est assez hard, deux jeunes femmes en camping sont agressées par une bande de loubards à moto, elles subissent tout un tas de sévices avec plus ou moins de plaisir. 

Au début, je surveille ma femme, elle ne bouge pas, Serge et Marc non plus. Puis je suis pris par le film, même si l'histoire est bancale.

À un moment, il me semble entendre un petit bruit, je regarde Joelle, Elle repousse fermement la main de Serge qui se posait sur son genou. Je souris, elle l'a remise à sa place. Je continue tout de même à surveiller.

Je suis à nouveau pris par le film, où une des filles se fait défoncer par deux loubards, lorsque cette fois-ci, il me semble entendre un gémissement, je sursaute, je tourne les yeux, ma femme a les genoux écartés. Elle a glissé légèrement,,sa tête sur l'épaule de Frank, les fesses au bord du canapé.

 Je suis sidéré, visiblement, la main de Serge s'active sur sa chatte, il a déboutonné la robe de trois ou quatre boutons. Je ne regarde plus la télé, j'ai les yeux rivés sur ma femme. Je vois la main de Frank qui dégrafe lentement les boutons du haut, découvrant lentement les seins. Il regarde vers moi, mais comme je ne bouge pas, il ne laisse qu'un bouton à la hauteur du nombril. Elle a les seins à l'air. Je suis sur le point de me lever pour tout arrêter, mais je suis surpris, car je la vois soulever les fesses et Serge lui fait glisser sa culotte au niveau des cuisses. Je bande comme un fou.

Joelle se laisse aller, Frank lui caresse les seins, il les pétri allègrement, Serge a une main sur la cuisse de ma femme et l'autre qui s'active dans sa chatte. Pour ne pas qu'elle gémisse, Frank lui prend les lèvres et lui donne un baiser auquel visiblement, elle répond.

Dans la pénombre, je regarde la main de Franc glisser et pétrir ces seins que j'aime tant. J'entends également le clapotis des doigts qui s'agitent dans la chatte de ma femme. J'ai rarement vu ses seins aussi gonflés, la lueur du film, me permet de voir les aréoles gonflées, devenues coniques, surmontées de mamelons énormes durs comme du bois. La regarder avec deux hommes, mes amis, est ironique, je ne suis pas jaloux, et même je bande comme jamais, ma bite me fait mal. Elle est irrespectueuse, offerte comme une pute, mais c'est ma femme.

N'y tenant plus, j'étends le bras et allume la lumière. Tout le monde est surpris, ils lâchent ma femme qui essaye de remettre de l'ordre dans sa tenue. Mais j'ai bondi de ma place, l'ai attrapé par la main et l'ai mise debout. Je lit la peur dans ses yeux, avec une larme.

Je l'attrape à bras le corps et l'embrasse violemment sur la bouche. Je cherche sa langue, et l'aspire, la retourne dans sa bouche. Elle suffoque. Je lui libère la bouche, et lui susurre à l'oreille.

_ Je t'aime, tu as envie d'aller plus loin? 

 Sans lui laisser le temps de répondre, je fait glisser sa culotte sur ses chevilles, déboutonne le seul bouton restant et jette sa robe au sol. Elle est nue, magnifique.

 Je me retourne vers Serge qui est debout, et Frank toujours assis.

_ Vous avez gagné, SALAUDS, elle est à vous. Ce n'est pas la première que nous partageons, mais celle-là, c'est MA FEMME, alors faites la jouir.

Je vois dans le regard de Serge un air de victoire, dans celui de ma femme de l'incompréhension. Mais ils ne leurs faut pas longtemps pour se mettre nus. Joelle se rassoie entre eux deux... Elle me regarde, ses mains sur les genoux, elle me sourit, je hoche la tête pour lui faire comprendre mon approbation. Elle saisie les deux bites, et commence à les branler doucement, puis elle se penche sur Franc et le prend en bouche, puis elle alterne.

 Le premier à réagir, Serge, lui écarte les jambes et plonge sa tête entre les cuisses. Il lèche sa vulve lentement, je regarde sa langue écarter les grandes lèvres, puis les petites, il enfonce cette langue le plus profond possible. Joelle roule des hanches, et commence à gémir.

 Visiblement, Marc aime ses seins, tout en se faisant sucer. Il les tire, pince les mamelons. C'en est trop pour Joelle qui se met à jouir, inondant le visage de Serge, et poussant de drôles vocalises.

 Je n'en peux plus, je me mets nu, tire un fauteuil et viens m'asseoir en face du trio. Le sexe au garde à vous. Ils la laisse reprendre un peu ses esprits. Puis Serge la fait mettre à quatre pattes sur le canapé, il se met à genoux et la pénètre brutalement en levrette. Elle pousse un OUI de plaisir, Frank se met à genoux devant elle, elle lui avale la bite.

 Serge commence a aller et venir dans sa chatte, quand il s'enfonce, il la projette en avant, et elle va s'enfoncer sur la bite de Frank. Ils arrivent à se concorder, puis ils accélèrent le mouvement. Maintenant, les couilles de Serge frappent le cul avec violence, et la bite de Frank disparait en entier dans la gorge de ma femme. Ses couilles frappant son menton, elle subit une gorge profonde, Ils la baissent avec violence, et elle a l'air d'apprécier. Ses obus balancent sous son corps, alors Serge lui lâche les hanches, se penche et les attrape en tirant vers l'arrière. Il tire sur les mamelons, les déformant horriblement.

Malgré la bouche pleine, et les ( Sluuup sluuup ) on l'entend grogner.  Je suis abasourdi de la voir malmenée ainsi, moi qui la prends toujours avec douceur, je réalise qu'elle aime une certaine brutalité.

Ils la besognent pendant plusieurs minutes, les corps sont en sueur. Brusquement, Marc tient sa tête par les cheveux, enfonce sa queue le plus profond possible, il se crispe, il tremble et je comprends qu'il jouit dans la bouche de ma chérie : comme il la maintient, elle est dans l'obligation de tout avaler. Elle suffoque, mais il ne la lâche pas. Je crains qu'elle ne s'étouffe. Il n'en est rien, la bitte de Marc ressort, ce dernier s'assoie et reprend ses esprits.

Elle le regarde droit dans les yeux et se lèche les lèvres. Elle est obscène, mais je ne suis pas aux bouts de mes surprises, je l'entends dire à Serge :

_ Mets-moi là dans le cul!

 Serge me regarde, sort de sa chatte et l'enfile d'un coup, allant taper ses burnes contre sa chatte. Elle pousse un hurlement entre douleur et plaisir, j'en sais rien. Toujours est-il que sans même me toucher, je me mets à jouir. De longs jets de sperme montent et se répandent sur mon ventre et mes cuisses.

 Je me lève, vais chercher des serviettes éponges, me nettoie et je viens me planter devant ma femme. Je fait pousser Marc et présente ma bite molle à cette femelle, que j'ai du mal à reconnaitre. Elle me sourie, et m'engloutie littéralement. Je ne mets pas longtemps à rebander, et je goute à cette gorge profonde très accueillante. Comme mon copain, je lui baisse la bouche avec force, et dans ses yeux, je vois le plaisir et la luxure, le regard se trouble.

Mais ça ne dure pas longtemps, Serge est à bout, le cul serré de ma femme a raison de son endurance, et il lui remplit le cul de son foutre, ce qui provoque un orgasme monstrueux à Joelle, elle tombe à plat ventre en tremblant, elle a des spasmes, les yeux retournés, elle bave. Bien sûr, elle a lâché ma bitte, je prends peur. Je la prends dans mes bras, elle se calme doucement, me tend sa bouche que je prends, sa langue a gout de sperme, mais ce n'est pas le mien,

 Elle me murmure :

_ Je t'aime, merci, prends-moi!

Puis elle se masse les seins,

_ Il m'a fait mal, mais c'est tellement bon!

Je pose les serviettes éponge sur le velours du canapé, je l'allonge délicatement, elle ouvre grande ses cuisses, et je la prends excité de faire ça devant les copains. Ceux ci se branlent doucement, je vais de plus en plus vite, elle gémit. Soudain, une idée me vient. Je me retire, elle est frustrée. Je m'assois sur le bord du canapé, je lui demande de venir s'assoir sur moi, mais je la fait se mettre de dos à moi, et je guide ma bitte dans son cul. Elle est surprise, mais elle se laisse faire. Je lui attrape les seins et je me laisse tomber en arrière, l'entraînant sur moi. Elle est donc de dos, la chatte a l'air, visible par mes copains. Je passe mes jambes entre les siennes et l'écarte au maximum. Je fais un signe de la main à Frank, qui s'empresse de venir l'enfiler par devant. Je sens sa bite se frayer le chemin, dans son ventre. Sa queue glisse sur la mienne 

Joelle crie son plaisir d'être ainsi prise, après un moment de stupeur. Elle nous exhorte à aller plus fort. Moi, je ne peux pas faire grand chose, mais Frank la pilonne avec force, et je ressent tous les coups de bittes de mon compère. Serge s'approche de nous, la bitte à la main, monte sur le canapé et présente son engin à la bouche de Joelle qui s'empresse de l'engloutir. 

Ayant tous déjà joui, notre endurance a augmenté, aussi cela permet à Joelle d'avoir plusieurs orgasmes à répétition. Elle est sur une vague constante.

 Je ne sais lequel vient en premier, mais Frank et Serge se dégagent, moi, je sens ma bite qui dégonfle et sort du fondement de ma femme. Elle a les cuisses pleines de foutre et de sécrétion, quand elle se relève du sperme coule de son menton, elle le pousse avec son doigt dans sa bouche, elle a le souffle court.

Personne ne parle, je me lève, tends une serviette à ma femme, et je vais chercher des bières. Chacun en prend une, même ce qui est rare. Joelle en boit une.

L'atmosphère est pesante.

Je suis le premier à parler, m'adressant à Serge :

_ Tu es tout de même un salaud! Tu as démontré ta théorie, même au-delà, mais je ne t'en veux pas.

_  Je suis désolé, me dit-il, mais le film a excité tout le monde et Joelle était très chaude.

Je réalise que la télé est toujours en fonctionnement, un écran de neige lumineux grésille, je l'éteins dans un éclat de rire.

  Il y a tout de même un malaise dans la pièce. Joelle a reposé sa bouteille vide.

_ Alors, les mecs, vous êtes fatigués? Je suis en pleine forme, moi, il est a peine minuit!

 Tout en disant cela, elle glisse à mes pieds et prend en bouche ma petite bite molle.

Je suis étonné de voir avec quelle facilité  elle a accepté de se donner à plusieurs hommes. Toujours est-il que jusqu'à 2 h du matin, nous allons la prendre dans toutes les positions, à un, à deux, à trois. Elle est couverte de sperme, À deux heures, elle n'en peut plus, elle est semi-comateuse. Pour nous, on n'a de plus en plus de mal à bander et à éjaculer.

Les trais sont tirés, Serge et Frank se rhabillent et  prennent congé, mais ils ne font plus la bise à ma femme, mais chacun lui roule une pelle à laquelle elle répond.

Je l'ai raccompagné jusqu'à la porte d'entrée. En leur serrant la main, Frank me dit

:_ Je crois, que ce soir, on a déclenché chez ta femme quelque chose? 

 _ Je pense que oui, je lui réponds, mais ce n'est pas fait pour me déplaire! 

 _ Elle aime visiblement être un peu malmenée, ce serai une bonne soumise Ajoute Serge............

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4 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 25 jours

Il faudrait quand même garder le même prénom pour Franck ou Marc

AurailiensAurailiensil y a 25 jours

Bonne histoire... excitante

luc1234_luc1234_il y a 26 jours

Un super texte, bandant à souhait !

AnonymousAnonymeil y a 27 jours

Vivement une suite..

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