Conséquence de Paroles en L'air 02

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Les évènements s'enchainent.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 04/05/2024
Créé 03/29/2024
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allan87
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Je viens de refermer la porte sur mes amis d'enfance Frank et Serge. Il est deux heures du matin, je vais au salon où Joelle, ma femme, dort nue sur le canapé. Elle est couverte de sperme, le mien, mais également celui de Serge et de Frank. Je repense à cette soirée, et comment elle s'est donné et tout ce qu'elle a subi. Jamais je n'aurais pu penser ou même envisager un tel dénouement.

Je la regarde, elle dort en chien de fusil. On dirait un bébé. Je me pose beaucoup de questions, et si Serge avait raison, et que ma femme se faisait sauter dès que j'ai le dos tourné. Vu comme elle a réagi ce soir, je ne peux croire à son inexpérience. Pourtant, à la voir dormir ainsi, calme, je ne peux que l'aimer.

Je la prends délicatement et la monte dans notre chambre, seulement je ne peux la laisser dans cet état. Alors, je vais chercher une bassine d'eau tiède, une éponge et une serviette, et je lui fais une toilette rapide. Elle en trouve les yeux.

_ Que fait tu Chérie?

_ Rien!, rendort Toi!

Je l'embrasse, elle sombre dans son sommeil, je tire le drap sur elle, range tout et vient m'allonger contre son corps nu.

Quand j'ouvre les yeux, le soleil filtre au travers des persiennes. Je regarde l'heure, 9 h 30. Ma femme est déjà levée. Je réalise que l'on est dimanche, j'ai la bouche un peu pâteuse et les esprits très embués.

Je suis sur le dos, nu, les bras sous la tête, et pense encore à cette soirée. La porte de la chambre s'ouvre, et ma femme apparaît, portant un plateau avec le petit déjeuner. Elle est magnifique, elle a juste enfile un peignoir en mousseline rose, très transparente. Avec un grand sourire, elle pose le plateau à côté de moi, se penche, me tend ses lèvres, je l'embrasse, elle s'assoie à sa place sur le lit.

On déjeune, mais il y a un silence gêné entre nous. J'ai pourtant mille questions dans ma tête.

C'est Joelle qui la première rompt ce silence. Elle ouvre son déshabillé, me montre ses seins.

_ Ils y sont allés un peu fort, tes copains hier!

En effet, elle a des bleus sur le pourtour des aréoles, et juste sous les seins.

_ Je suis effaré de voir ces marques, je ne pensais pas qu'ils avaient été aussi violents.

Mais je n'ai pas le temps de répondre.

_ Tu sais, malgré tout, j'ai bien aimé. Ils m'ont fait jouir comme jamais. Je ne savais plus si j'avais mal ou si c'était du plaisir.

Je la regarde, et la question qui me brûle les lèvres.

_ Je trouve qu'ils n'ont pas beaucoup insisté pour te caresser! Ce n'est pas la première fois que tu couches avec plusieurs hommes?Tu t'es bien vite laissé faire, et tu a même beaucoup participé, Jusqu'à demander à Serge, de t'enculer, j'en croyais pas mes oreille!

NON!!! JAMAIS JE NE T'AI TROMPEE, JE TE LE JURE!!!!!!! Je t'aime

Elle est rouge de colère, de grosses larmes commencent à couler le long de ses joues.

_ Je croyais que cela te faisait plaisir... snif, snif, si j'ai accepté, c'est snif parce que, ......snif, tu me l'as .......Snif, snif, souvent demandé.

_ Oui, mais avec mes copains? Et ils n'ont pas attendu longtemps pour te caresser?

Elle se calme un peu.

_ Tu sais, le film y était pour beaucoup, je n'ai jamais voulu t'en parler, mais de voir ces filles se faire violenter m'a fait remonter ce fantasme d'être prise par plusieurs hommes. d'être brutalisé et ........ quand j'ai repoussé la main de Serge,......... il m'a dit à l'oreille.......... Que tu leurs avait dit............. Que tu aimerais me voir baisée par d'autres.

Elle marque une pose, renifle et essuie ses yeux d'un revers de main.

_ De toutes façons, quand tu t'es levé et que tu a allumé la lumière, c'est toi qui a enlevé ma culotte et ma robe, et m'a offerte à tes copains!

Elle me regarde dans les yeux. Elle ne peut pas mentir, c'est pas possible, et puis, elle a raison, je n'ai rien fait pour l'empêcher.

Je la prends dans mes bras, l'embrasse amoureusement.

_ Je reconnais que malgré tout, j'ai aimé te voir baisée par mes potes, j'ai même joui sans me toucher, de plus, les voir te prendre sauvagement m'a excité comme jamais, je ne savais pas que tu pouvais aimer être brutalisée.

_ Avec toi, j'aime ta douceur, tu m'aimes, tu me fais l'amour. Avec eux, je baise, ils me prennent comme un pute, comme une chienne, et j'aime me sentir comme ça, avilies, tu crois que je suis folle? Ou pas normal?

Non, tu es normale, tu as des envies, je le respecte, et moi, j'aime te voir comme hier soir, mais je ne pense pas que l'on puisse faire ça avec mes copains, ils ne te respecteraient plus, et je ne pourrai pas le supporter. De temps à autre, je veux bien pour des soirées spéciales, mais c'est tout.

Je l'allonge sur le lit, ouvre son déshabillé, embrasse sa poitrine, elle respire un peu plus vite. Elle m'attire sur elle, j'enfonce doucement ma bite dans sa chatte . Elle est toute humide, certainement à cause de notre discussion.

Elle fait tout de même une petite grimace.

_ Doucement, mon Chéri, j'ai un peu mal. Hier soir, vous m'avez détruite.

Après notre câlin, nous prenons une douche, puis la matinée se passe tranquille. À midi, comme il fait très chaud, on se fait un petit BQ en maillot de bain.

En ce dimanche, début d'après-midi, on est tous les deux allongés à l'ombre sur la terrasse ; sur nos transats, Joelle lit un roman, et je fais des mots croisés.

La sonnette retentit, on est un peu étonné, car l'on n'attend personne.

Je vais ouvrir nonchalant

Devant moi, Josette et Marc. Visiblement, il se passe quelque chose entre eux.

Elle entre comme une furie.

— Où est elle, où est Joelle?

Ma femme entre dans le salon.

_ Comment as-tu pu faire ça, coucher avec mon mari? j'avais confiance en toi, et toi? .......

Elle se met à pleurer.

Je m'approche d'elle, la prends dans mes bras .

Frank, tout penaud, nous explique, qu'il lui a raconté notre soirée, car il avait mauvaise conscience.

Je fais assoir Josette sur le canapé tout en la tenant par les épaules. Elle sanglote toujours, elle me regarde.

_ Comment peut tu avoir laissé ses deux salauds faire, comment mon mari réagirait si on couchait ensemble? Frank c'est assis à cote d'elle,

Il se rapproche d'elle, il pose sa main sur sa cuisse, elle le repousse vivement et se blottie contre moi. Je sens ses petits seins contre ma poitrine nue. Elle ne porte qu'un tee-shirt sans soutien-gorge et un mini short en coton rouge.

Frank, comprenant qu'il ne peut rien faire pour la calmer, s'écarte et va s'asseoir à côté de Joelle, qui est en maillot de bain 2 pièces très mini. On pensait être seul tout l'après-midi.

Je ne sais que faire pour consoler Josette. Je pose ma main sur sa cuisse, et la caresse doucement, affectueusement, Elle remonte sa tête et me regarde les yeux pleins de larmes. Mon autre main monte sur sa joue et essuie son visage.

Elle pose une main sur ma cuisse, presque à mon entre-jambes. La réaction ne tarde pas, une bosse se forme sous mon maillot de bain. Sa main est tellement haute sur ma cuisse que le bout de ma queue vient la frôler.

_ C'est moi qui te fais cet effet?

_ Je suis désolé, mais heu! .... oui.

_ Ne sois pas désolé, tu n'y es pour rien. Je serais même flattée si les circonstances n'étaient pas celles-ci.

Elle se retourne vers nos deux conjoints. Qui restent silencieux. Puis elle me serre la cuisse, se retourne, monte ses lèvres sur les miennes. Sa langue cherche à ouvrir mes lèvres. Je regarde Joelle et Frank, qui baissent les yeux. Je prends cela comme un consentement. J'entrouvre mes lèvres, sa langue chaude vient entourer la mienne. Nos salives se mélangent, je trouve son baiser torride et en même temps rafraichissant.

Quand nos lèvres se séparent, sa bouche glisse à mon oreille.

- Fait moi l'amour devant eux, je t'en prie.

Et elle joint le geste à la parole et passe sa main dans l'élastique de mon slip. Elle attrape ma bite, et me serre de toutes ses forces. Alors, j'oublie tout, mes mains remontent sous son tee-shirt., je caresse ses seins, Elle soupire, attrape les deux côtés de son vêtement et le passe par dessus sa tête.

Frank se lève, elle l'arrête dans son geste.

_ Toi, vas t'assoir, tu n'as rien à me dire, tu as baissé la femme d'Alain, ma meilleure copine, je te trends la pareille!

Elle tire sur mon slip, libérant une trique palpitante. Je dégrafe son petit short, le fait glisser sur ses cuisses, elle se soulève pour m'aider, elle ne porte pas de culotte.

Nous voilà tous les deux nus devant nos conjoints. Comme je regarde ma femme, elle me sourit.

_ Tu peux bien la consoler, elle le mérite, et je ne veux pas la perdre comme amie, c'est de bonne guerre.

J'admire Josette, elle a un corps magnifique. Souvent, je la regardais habillée très sexy, mais nue, jamais je n'avais imaginé la tenir dans mes bras. C'est une belle brune, un peu plus grande que ma femme, un corps plus musclé, une poitrine plus petite, mais très ferme, ses seins se tiennent bien droits, de toutes petites aréoles brunes, et des mamelons presque inexistants, pas plus gros que les miens. Le ventre plat, une chatte à peine dissimulée sous un petit buisson noir bien entretenu. Mais ce qui me surprend le plus, ce sont ses grandes lèvres qui sortent et pendent entre ses cuisses. Elle a un cul bien rond, et ma pensée est de savoir si elle aime la sodomie, elle a un cul fait pour ça.

Je passe un doigt entre ses grandes lèvres, elles sont déjà mouillées, j'écarte les petites lèvres pour aller chercher son bouton. Elle pose sa main sur la mienne.

_ Laisse tomber, j'ai trop envie, ce que m'a raconté ce salaud m'a donné envie. On verra les préliminaires une autre fois.

Elle se détache de moi, se tourne, m'enjambe face à moi, prend ma bite et se l'enfonce doucement dans la chatte. Elle me regarde droit dans les yeux. Elle me prend les mains et les dépose sur ses seins. Puis elle ferme les yeux, sa bouche entre ouverte. Je pétris ses petits seins, j'essaye de pincer ses petits mamelons, qui ont tout de même un peu doublé de volume. Elle se concentre sur ses sensations, j'ai l'impression de n'être qu'un objet sexuel, mais elle m'excite à être comme ça.

Je lui prends les lèvres, sa langue vient au contact de la mienne, mais c'est la sienne qui vient s'enrouler, me titiller, c'est incroyable, je n'ai jamais subi un tel baiser. Je ne maitrise rien. Sa langue est douce, j'ai la sensation d'embrasser une jeune fille ,un baiser sucré.

C'est elle , qui en prenant appui sur ses pieds, monte et descend sur ma queue. Elle donne le tempo, je tourne entre mes doigts ses tétons, elle gémit, elle met ses mains sur les miennes et m'appuie sur les doigts, je comprends son désir et je triture carrément ses mamelons, les écrase, les tire, les relâche, puis les reprends pour les tirer de nouveau.

Elle lâche mes lèvres, se penche en arrière, les yeux fermés. Je ne la retiens que par les seins distendus. Elle se laisse tomber sur ma bite et jouit en un feulement incroyable, je sens sa mouille couler sur mes cuisses. Je ne peux plus me retenir, et en montant mon bassin , je lui remplis la chatte de sperme,

Elle reste un moment sans bouger, profitant de l'instant. Elle ouvre les yeux, son regard plonge dans le mien, un sourire apparaît sur ses lèvres. Elle se colle à moi, elle passe ses mains derrière mon cou. j'aime sentir ses tétons durs contre ma poitrine, elle me prend les lèvres, s'ensuit un long baiser sensuel. toujours la baiser de jeune fille, sucré, le moment est incroyable.

Elle arrête le baiser, et me murmure.

_ Merci, tu es adorable, j'avais besoin de relâcher la pression!

On ne bouge plus, l'instant est assez irréel. Nos corps sont en sueur, et pas seulement à cause de la chaleur. De plus, il y a dans la pièce un silence pesant, nos deux conjoints n'ont pas bougés, comme hypnotisés par l'acte qui vient de se produire. Je regarde vers eux, Frank est impassible, le regard vide, ma femme me sourit, les mains sur les genoux, mais je constate ses seins qui pointent sous le maillot de bain, elle est excitée.

Josette se détache de moi, ma bite est sortie de sa cage, elle me fait une bise sur la joue, me dit merci, puis elle se dirige vers son mari. Il lui tend la main, mais à notre surprise, elle la repousse, attrape celle de ma femme et la fait lever. Je sens ma femme mal à l'aise. Les mains de Josette passent derrière le cou de Joelle, elle tire sur les cordons du soutien-gorge, qui tombent à la taille, dévoilant les deux obus dressés.

_ Je pense, que ce n'est plus la peine de se cacher, vu que tout le monde couche avec tout le monde!!!!

Elle tire sur le lien qui retient le bas du bikini, et Joelle se retrouve nue au milieu du salon . Les deux femmes s'embrassent, puis Josette l'entraine sur le canapé, elle lui embrasse les seins, sa main va caresser sa vulve, mais Joelle ne se laisse pas faire, visiblement elle veut autre chose. Elle se dégage, pousse Josette par les épaules et l'allonge sur le dos. Sa tête descend sur son ventre, le couvre de petits baisers, puis disparaît entre ses cuisses. Elle nettoie sa chatte dégoulinante de notre rapport.

Je récupère mon slip de bain, je vais à la cuisine, me nettoie avec du sopalin, prends deux bières dans le frigo et reviens m'installer à côté de Frank dont les yeux sont rivés sur nos épouses.

Pour ma part, je repense aux insinuations de Serge, mais je suis soulagé, ce n'était visiblement pas des hommes qu'elles rencontraient pendant nos après-midi de matchs.

Tout en buvant nos bières, nous regardons nos femmes se gouiner, seules au monde. Je demande à Frank

_ Pourquoi as tu raconté notre soirée à ta femme et lui as-tu tout dit?

_ Oui! Je lui ai même dit que l'on avait profité de ta femme tous les trois ensemble.

_ Mais pourquoi as tu fait ça, tu savais bien qu'elles sont très copines!

_ Je sais, mais je pensai que j'arriverai à lui donner envie de faire pareil. Tu sais, elle n'est pas comme Joelle, elle est beaucoup plus prude, et je voulais la décoincer, mais elle m'a surprise quand elle a voulu venir vous voir cet après-midi et je ne savais pas qu'elle allait baiser avec toi. Remarque, j'ai eu la trique comme pas possible.

_ OK, mais je me demande où cela va aller. De plus, j'ignorais qu'elles couchaient ensemble.

_ Moi, de même.

Les gémissements des filles nous indiquent tout le plaisir qu'elles se donnent. Je me lève et pose ma main sur l'épaule de ma femme qui est en 69 avec Josette. Elle me renvoie balader, se libère de sa compagne.

_ Viens! Lui dit-elle, allons dans la chambre, on sera plus tranquille.

Les voilà partis, main dans la main, en riant. Nous nous regardons, comme deux cons. Je prends la télécommande et allume la télé. Nous passons la soirée devant Drucker.

Vers 18 h, on les entend descendre l'escalier. Elles arrivent toujours main dans la main, et nues. Elle abordent un large sourire. Josette s'approche de son mari.

_ Tu rentres seul à la maison, je ne travail pas demain, je passe la nuit ici.

Elle se penche, lui donne un baiser.

_ Je ne t'en veux pas, mais j'ai besoin encore de parler avec Joelle et Alain. Je rentre demain matin, soit sage. Je t'aime.

Il nous quitte, fait une bise sur la joue de ma femme et moi une poignée de main, J'ai le cœur serré pour lui. J'espère que demain sa femme va bien rentrer chez eux.

.On fait un petit repas frugal, c'est assez irréaliste. En face de moi, j'ai deux superbes femmes nues, alors que je suis toujours en maillot de bain, mais bizarrement, je ne bande pas. Pendant la soirée, elles vont me raconter leur attirance, cela fait bientôt deux ans qu'elles vivent cet amour, mais jamais, me disent-elles, elles n'ont eu envie de vivre ensemble ni d'envisager de nous quitter, nous les conjoints. Qu'elles étaient heureuses de toutes nos sorties entre hommes pour le foot. Elles allaient souvent chez moi ou chez Frank après leur shopping ou le ciné, et elles étaient très heureuses.

Je ne peux leur dire le soulagement que je ressens, mais je leur affirme, et c'est vrai, que cela ne me dérange absolument pas, et que vu les événements d'hier soir, je suis ouvert à tout . Apres le repas, avoir débarrassé la table, comme tout les soirs je monte prendre ma douche, et d'habitude Joelle vient avec moi. Mais aujourd'hui, je monte seul..

Je suis sous l'eau quand j'entends les deux filles monter en riant. Elles entrent dans la douche avec moi. Heureusement c'est une douche à l'Italienne, de 1m80 de long sur 1 m de large, face à une grande baignoire, La toilette devient vite érotique.

Les mains se cherchent, les caresses fusent, je ne sais qui me masturbe, Josette est pendue à mes lèvres, mes mains alternent entre les petits seins de Josette et ceux un peu plus gros de ma femme, leurs formes sont très différentes et je ne saurais dire lesquelles je préfère. Il en est de même pour leurs culs et leurs chattes.

Mais ma femme décide d'arrêter, elle embrasse sa copine et lui dit de ne pas me faire jouir, la soirée va être longue.

Je les sèche toutes deux, puis quand je suis sec à mon tour, je les rejoins dans la chambre. Je me glisse entre elles, la queue bien raide. À tour de rôle, les bouches vont s'alterner sur mon érection, je me dis que je ne vais pas résister longtemps. Heureusement, elles me délaissent pour s'embrasser et se caresser., Cela dure un bon moment, je vais gouter à la chatte de Josette, mais je préfère celle de ma femme qui est imberbe. Alors Joelle décide qu'il faut raser sa copine, celle-ci est aux anges, elle se demande la tête que fera Frank demain. Mais malgré tous nos jeux, elles sont diaboliques, elles arrêtent toujours... Leurs caresses juste avant que j'éjacule. Et surtout, elles ne veulent pas que je m'introduise dans leurs chattes, j'ai juste droit à leurs bouches. Cela finit par m'énerver et je leur dit que si ça continue, je vais me masturber, et tant pis si aucune n'en profite.

Josette regarde ma femme.

_ Dis-lui s'il te plait!

Ma femme se lève, va dans le placard, revient avec une fiole et un gros oreiller.

_ Elle veut que tu passes par la petite porte, elle ne l'a jamais fait, et cet après-midi, je lui ai certifié que tu serais très doux, c'est pour ça qu'elle est restée ce soir.

Je n'en reviens pas, elle veut que je l'encule, elle est vierge par là, mais qu'a foutu Frank? Et comment réagira t-il quand il saura?

Josette me regarde, elle est rouge pivoine, elle se cache la figure entre les mains. Je la prends dans mes bras, on est assis sur le lit.

_ C'est un honneur que tu me fais, beaucoup d'hommes aimeraient être à ma place. Je vais être très doux, mais tu risques d'avoir un peu mal, mais après, il y a des chances pour que tu apprécies. Si tu as trop mal, dis le et j'arrête.

Je l'embrasse, Joelle pose le cousin, elle la fait mettre à plat ventre dessus, j'ai la vision de ce petit cul vierge, et ma queue prend encore plus de volume, mais je ne dis rien.

Ma femme me tend la fiole, c'est de l'huile d'amande douce, j'en mets un peu sur mon doigt, de l'autre main, je glisse mes doigts dans sa chatte, puis avec le doigt huilé, je masse autour de son petit trou. Elle se raidit. Je lui dis de se détendre et cherche son clitoris tout en tournant mon doigt autour de son œillet. J'appuis doucement, mais rien n'y fait. Je pince doucement son bouton, pendant ce temps, ma femme s'est allongée face à elle et commence à lui rouler des pelles. Puis elle passe ses mains sous elle pour lui agacer les tétons..

Sous les caresses et les baiser, elle se détend, de plus, elle commence à mouiller, ma main lui fouillant la chatte et lui triturant le clito. J'ai réussi à mettre deux doigts dans son fondement, j'ajoute un peu d'huile et fais un massage à l'intérieur. Je suis à trois doigts. Elle est tellement concentrée sur ma femme qui la caresse, que je lui passe ma bite entre les lèvres de sa chatte, elle lève un peu son bassin, je m'enfonce en entier, puis je ressort et plaque mon gland contre son cul, je pousse, mais malgré l'huile, rien à faire. Elle pousse un petit cri, mais je reste en place. Je fait glisser de l'huile entre ses fesses et sur le dessus du gland, je me retire légèrement, l'huile passe entre, puis tout en lui pinçant le clitoris assez durement, je réussis à entrer la bette. Josette fait un grand (HO) de stupeur, elle ne sait pas si elle a eu plus mal au clito ou au cul, toujours est il que je suis dans la place.

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