Conséquence de Paroles en L'air 03

Informations sur Récit
femmes instrumentées.
2.4k mots
4.13
2.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 05/12/2024
Créé 03/29/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Voilà maintenant plus de trois mois, que ma femme Joelle a couché avec mes amis d'enfance Serge et Frank. Le lendemain, j'ai baissé la femme de Frank, Josette, et nous avons découvert que nos deux femmes couchaient ensemble depuis deux ans environ.

Ce soir, je marche sur le trottoir avec à mes bras, Joelle et Josette. Elles sont très excitées, elles rient en me posant des questions sur l'endroit où je les amène. Je ne leur réponds pas, laissant planer le suspense.

Tout en marchant, je me repasse le film de ces trois derniers mois.

Après ce fameux week-end, nous avons eu une conversation, Josette et Frank, Joelle et moi. Je dois dire que j'ai été très surpris quand ma femme m'a avoué avoir depuis longtemps des fantasmes de soumission, qu'elle avait souvent imaginé être forcée à faire des choses avec un ou plusieurs hommes. Elle nous a même avoué avoir aimé être prise par nous trois, Serge Frank et moi. Elle a aimé être un peu brutalisée. Josette, en rougissant, a demandé à son mari s'il était d'accord pour l'offrir à ses deux copains. Ayant parlé avec ma femme, elle avait envie de voir et de connaitre cette sensation que lui avait décrite Joelle. C'est donc tout naturellement que nous nous sommes retrouvés, le samedi suivant en soirée, chez Frank et Josette.

Quand nous sommes arrivés, Joelle et moi, Josette nous a ouvert la porte, et je dois dire que l'effet était des plus saisissants. Elle ne porte qu'un tablier en plastique transparent, et sans aucun vêtement. Elle nous explique, que Frank lui interdit d'être habillée à la maison, et qu'elle doit ouvrir la porte quand un visiteur vient. Elle reconnaît que c'est assez déroutant, qu'elle est toujours entre honte et peur de savoir qui arrive, mais à même tant , elle trouve cela excitant. Par contre , quand Serge est arrivé, n'étant pas au courant du déroulement prévu de la soirée, il s'est trouvé très décontenancé, il a ouvert de grands yeux et lui a fait une bise sur la joue, comme à son habitude, mais lui, qui est toujours très tactile avec nos femmes, n'a pas osé la toucher. Devant son étonnement, Frank lui a expliqué tout ce qui s'est passé depuis le samedi du match de foot.

Il me sert la main, puis va embrasser ma femme qu'il n'a pas vue depuis notre soirée. Il la complimente sur sa tenue qui est très sexy, puisqu'elle ne porte qu'une robe très courte, sans aucun sous-vêtement. Il lui fait la bise légèrement au coin des lèvres, je sourie, voyant qu'il ne sait pas où il en est. Ma femme demande à Josette si elle veut un coup de main. Puis elle fait passer sa robe par dessus sa tête et déclare qu'elles sont à armes égales, ce qui fait rire tout le monde. On se met à table, mais c'est assez bizarre, trois hommes habillés et deux femmes nues, c'est une grande première. Mais personne ne parle de sexe, même Serge s'abstient de ses blagues graveleuses.

Une fois le repas terminé, pendant que les femmes débarrassent la table, Frank sort des bières, Serge et moi, on s'installe sur le canapé, puis Josette qui a posé son tablier, vient s'asseoir entre nous deux. Joelle et Frank arrivent ensemble, nous donnent une bière.

Frank s'installe sur un fauteuil, et tout naturellement, ma femme se pose sur ses genoux. La télévision marche, mais elle n'intéresse personne. Frank caresse la poitrine de ma femme, et Josette promène ses mains sur la braguette de Serge et sur la mienne.

Elle me regarde, me tend ses lèvres. Elle défait mon pantalon, je me soulève et le fais glisser avec mon caleçon au sol. Elle fait passer mon tee-shirt par dessus ma tête. Serge ne reste pas inactif, il lui pelote ses petits seins, faisant gonfler les tétons. Il les lâche pour se mettre nu. Josette se penche et commence à me sucer, Serge d'une main s'occupe toujours de ses seins et son autre main fouille sa chatte. Il a très vite réalisé ce que désirent Frank et Josette et il en profite un maximum.

En face de moi, ma femme est à genoux et fait une pipe magistrale. Comme elle est au trois quart tourné, je vois sa bouche monter et descendre sur la bite de mon copain. C'est fou comme elle m'existe. Je relève la tête de Josette, je ne veux pas venir trop vite.

Je la pousse sur le dos, la tête sur les genoux de Serge, je lui écarte les jambes, glisse ma tête entre ses cuisses. Sa chatte est légèrement ouverte, je remarque qu'elle n'a plus aucun poil, elle est offerte, je glisse ma langue, écarte ses lèvres vulvaires, et je lape, comme un petit chien, plusieurs fois, sa chatte s'ouvre délicatement. En remontant, ma langue rencontre ce petit pion dur, je le titille, elle bouge ses hanches, j'en profite pour aspirer ce petit trésor, je le sens grossir, se tendre. Elle gémit, de tout petits râles, elle a la bouche pleine, occupée par le membre de Serge, qui lui maintient la tête contre son bas ventre.

En face, ma femme est à genoux sur le fauteuil, Frank la pilonne allègrement, en la tenant par les hanches. Elle vocalise des obscénités.

Devant ce spectacle, mon excitation monte d'un cran, je me mets à genoux, passe mes mains sous les fesses de Josette, la soulève, l'embroche sur ma bite. Avec la surprise, elle lâche la queue de Serge, se redresse, et vient m'embrasser, collant ses petits seins contre ma poitrine. Je me penche en arrière, voyant son cul offert, Serge se met à genoux et lui enfonce sa bite dans sa rosette. Il entre doucement, ne sachant pas comment elle allait réagir. Cette dernière, ne bronchant pas, il s'enfonce doucement, je ressens la douce progression dans son fondement. Je vois que Serge est très excité, il soulève Josette sur sa queue, pour ne pas être éjecté de sa chatte. Je suis le mouvement. Elle se retrouve presque en suspension sur notre sexe. Elle crie son plaisir.

_ HO, oui! Oui! Chéri, Chéri. Ils me baisent à deux, Oui OUUUUUI!

Sa tête se balance. Nos mouvements se coordonnent, elle monte et descend sur nos bites, quand elle est en position haute, nos bites sont au plus profond de ses orifices, je sens ma bite cogner sur son utérus. Je sens les soubresauts de la queue de Serge, il décharge son foutre dans son cul, je fais de même tellement je suis excité. Josette pousse un cri stridant, tremble de tous ses membres, elle a un orgasme fulgurant, sa tête tombe sur mon épaule, son corps se ramollit, elle est anéantie, une poupée sans vie. Sa respiration est saccadée.

Sur le fauteuil en face ; Joelle, ma femme, crie son plaisir, Frank la défonce avec ardeur, elle est bloquée contre le dossier du fauteuil, il la tient par les seins et en poussant des (! Han!Han!) essoufflés, il lui envoie de grands coups de pistons au fond de sa chatte. Elle plonge sa tête contre le dossier, et crie son plaisir, Frank continue de la labourer, puis il vient à son tour. Sa queue est blanche de son foutre et du jus de ma femme.

Pour reprendre un peu de force, on reprend une petite bière. Josette et Joelle en profitent pour se retrouver sur le canapé et échangent un long baiser. Puis, après s'être caressées mutuellement, elles se mettent tête bèche dans un 69 ravissant. Seul, Serge est tout étonné, nous en profitons pour lui faire remarquer, que nos femmes, malgré ces dires et ses insinuations, nos femmes passaient leur temps libre à se gouiner, et non dans les bras d'autres hommes. Mais maintenant, vu la tournure des évènements, c'est nous qui allons les faire rencontrer d'autres hommes.

La soirée va continuer à partager les femmes entre nous trois, bien sûr, Josette sera plus sollicitée que ma femme. Aussi, quand on rentre à notre domicile, elle me fait remarquer qu'elle est un peu déçue. Aussi, lors de nos prochaines sorties, je vais m'empresser de trouver des lieux. Ou je pourrais profiter de la voir avec plusieurs partenaires. Durant ces trois mois, on va écumer les boites engagistes des alentours, allant jusqu'à faire des centaines de kilomètres, soit tout les deux, ou avec Frank et Josette. Mais ce n'est pas toujours à notre convenance. Même dans les saunas libertins, nous sommes toujours un peu déçus.

Voilà pourquoi, ce soir, je suis avec les deux femmes , Frank n'ayant pas pu se libérer, et on se dirige vers une soirée. Mais je ne leur ai pas dit quel genre de soirée. Pour, l'évènement, je leur ai acheté une tenue spéciale. C'est cela qui les a mis dans cet État. En effet, sous leurs imperméables, qu'elles portent malgré le beau temps, elles ne portent qu'un bustier noir. Lacés dans le dos, sans soutien-gorge, leurs seins étant juste soutenus par une petite armature remontant la poitrine, mettent en valeur les seins. Devant, le ventre et la chatte sont bien en vue, ainsi que leur cul, le vêtement s'arrêtant à la ceinture.

Je me demande comment va se passer cette soirée, Nous avons dû quitter la voiture à quelques 200 m de la boite où nous allons. Je suis tout de même un peu crispé.

J'aperçois la façade de l'établissement, sur la porte, une pancarte indique : soirée exceptionnelle privée. On fait les quelques pas qui nous séparent de l'entrée. Comme il me l'avait été demandé, je sonne, et aussitôt, la porte s'ouvre sur un grand gaillard. Je m'écarte et laisse entrer mes deux femmes. Aussitôt, une clameur les accueille. Un immense hourra! En un tour de main, elles sont débarrassées de leurs impers. Devant leurs tenues, ce ne sont que sifflets et exclamations. Les filles sont surprises ; il y a là une bonne trentaine d'hommes, donc une vingtaine d'armoires à glace, entre 20 et 30 ans. Les autres sont un peu plus âgés, mais tout aussi athlétiques. Il s'agit d'une équipe de rugby, avec leurs entraineurs qui fêtent leur montée en poule supérieure.

Une connaissance m'avait raconté qu'ils cherchaient des putes pour cette soirée, et j'ai sauté sur l'occasion pour lui dire que je pouvais lui en amener deux. Il me dit que c'est peut-être juste deux filles pour le nombre de Gas, mais comme il n'a pas pu trouver mieux, il a accepté. Bien sûr, je n'ai rien dit à mes deux femmes ni à Frank. Mais quand je vois les sourires sur les lèvres de Joelle et Josette, je pense qu'elles vont bien s'amuser.

La salle est arrangée avec des tables pour un banquet, il reste des verres et des bouteilles un peu éparpillées. Sur le fond, une scène avec un rideau fermé.

Pendant que certains poussent les filles vers le milieu de la salle, un autre a écarté les verres et les bouteilles, puis les deux femmes sont soulevées et allongées en travers de la table. Les jambes pendent dans le vide exposant leurs chattes. Les mains commencent à pétrir les seins, et à fouiller les chattes, puis deux hommes commencent à les lécher, sous les rires des autres. Certains commencent à se dévêtir. Josette est la première à prendre une bite en bouche. Même avec toutes les mains sur leur corps, je vois très bien les mamelons qui durcissent. Je regarde ma femme, son regard croise le mien, elle me sourie, et une queue lui emplie la bouche. L'homme, qui était en train de la lécher, se relevé et lui enfonce son chibre dans la chatte lentement, puis reste un moment sans bouger et commence des vas et viens de plus en plus fougueux. Bientôt, c'est au tour de Josette d'être possédée, mais beaucoup plus violemment, elle pousse un cri, ce qui déclenche un hourra de la part de certains des participants.

Les hommes se succèdent entre les jambes et la bouche des deux femmes. Certains se branlent et déchargent sur leurs seins, les bustiers noirs sont recouverts de sperme. L'un des hommes, se saisit d'un couteau et coupe le lacet qui retient le vêtement de ma femme. Elle se retrouve entièrement nue. Il la soulève, la maintient contre lui, puis il s'assoit sur la table et la pose sur sa queue, il veut l'enculer. Aussitôt, elle se rebife, et lui crie qu'elle ne veut pas, qu'elle ne l'a jamais fait. Je souris, car elle sait très bien que son refus va exciter encore plus son encleur.

Plus elle crie, plus il s'agite, et finalement, il lui enfile sa bite dans le cul en entier. Ses fesses reposent sur les cuisses de l'homme. Sans effort, il la soulève et la laisse retomber sur sa queue, le résultat est presque immédiat ; un violent orgasme secoue Joelle.

L'homme se couche sur le dos, entraînant Joelle sur lui , leurs jambes pendent au bord de la table. Sa chatte ruiselle de sperme et de mouille, mais cela n'empêche pas un jeunot, plutôt bien monté, de lui enfiler son chibre dans la chatte. Elle est prise en sandwich, et elle apprécie. Elle fait signe avec sa main à un autre gas de s'approcher, et elle le prend en bouche. Voyant cela, ceux qui sont avec Josette lui font subir la même chose.

Cela fait maintenant plus de trois heures qu'elles se font prendre dans toutes les positions et par tous les orifices, souvent les trois ensemble, plus une ou deux bites dans les mains.

Elles commencent à ne plus réagir, on n'entend que de petites plaintes qui sortent de leurs gorges. Ce ne sont plus que des poupées de chiffons entre les mains de ces hommes. D'ailleurs, ces derniers commencent à les délaisser et se remettent à boire.

Je me lève et me dirige vers l'homme qui m'a contacté. Je lui demande si on peut partir, il appelle deux armoires à glaces, qui enroulent les deux femmes dans leurs imperts et les amenent jusqu'à ma voiture.

Le trajet se déroule dans un silence absolu, elles se sont endormies toutes les deux. Arrivé à la maison, je les amène l'une après l'autre dans la chambre, puis je les douche et les dépose dans le lit. Je contemple ces corps nus, elles ont les chattes tumefiées, les seins commencent à bleuir, des traces de doigts apparaissent, je retourne Josette, et son cul est encore ouvert. Je ne peux me retenir d'y enfiler ma queue, qui me fait mal à force de bander. Je décharge très vite dans son intestin, ma femme ouvre les yeux, me sourie, puis me traite de salop.

Je m'endors entre les deux.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
Assas78Assas78il y a 16 jours

Je connaissais les boites échangistes, mais pas les boites engagistes !!!!

Je connaissais les gars , mais pas les Gas !!!

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Chauffeur Très Spécial Lorsque qu'un simple trajet en voiture tourne à la passion.
La Premiere Experience De Marion Marion a vécu son fantasme : Un Gangbang.
Rencontre Inattendue Quand sa première fois se réalise avec une ancienne camarade.
Amis Pour La Vie Profitée de la vie.
Découvertes - 01 (Féminité Retrouvée) Le carnaval de Venise fait retrouver sa féminité à Marion.
Plus d'histoires