Crescendo Sensuel Partie 02

Informations sur Récit
Début de la relation entre Céline et M. Lesserre
3.1k mots
4.39
2.4k
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 03/03/2023
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Il n'est pas absolument nécessaire de lire la première partie de cette série mais cela aidera certainement la compréhension du lecteur.

Tous les personnages ont bien entendu plus de 18 ans

Chapitre 2 : La journée d'une femme de chambre

Elle avait préparé l'alarme du téléphone pour 6h mais 10 ans de levers avant l'aube la firent se réveiller une heure plus tôt et elle démarra au quart de tour comme si elle avait encore la traite qui l'attendait. Après un détour par le WC, elle se vautra avec délectation dans la douche maintenant propre. Elle se sécha, remit son T-Shirt de nuit et, après réflexion, le slip qu'elle portait depuis la veille, toujours imbibé de ses fluides corporels. Entendant du bruit dans la chambre de Lesserre, elle prépara deux sandwiches à la confiture avec un grand verre de jus de fruit qu'elle déposa dans le bureau avant d'aller chercher du café (du vrai cette fois) à la cantine.

Elle eut un sourire narquois en pensant qu'elle pourrait tomber nez à nez avec un ou une de ses nouveaux collègues Scandale assuré ! Elle se demanda où était passée la petite fermière empotée voire timorée. "L'habit fait la nonne" se dit-elle ... "même si je me sens plutôt mère supérieure avec mon moine. Bon, qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui faire aujourd'hui?"

Le temps qu'elle revienne au bureau, Raphael buvait avidement son jus de fruit tout en lisant les nouvelles matinales sur son écran.

Céline déposa la tasse de café à côté des sandwiches et sirota le sien en attendant que le boss daigne s'apercevoir de sa présence. A sa grande surprise, il s'interrompit assez rapidement.

"Vous avez bien dormi Céline?"

"Très bien, et vous?"

"Comme un loir. En fait, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu une nuit aussi reposante. Vous ne mangez pas au petit déjeuner?"

"Un peu plus tard: j'ai encore quelques détails à régler et je préfère manger à mon aise. A propos, je devrais recevoir un four mixte aujourd'hui. Que préférez-vous pour demain matin : des toasts ou des viennoiseries ou une omelette?"

Il la regarda les yeux ronds. "Cela fait bien longtemps que je n'ai pas mangé une bonne omelette avec du pain frais, surtout au petit déjeuner; ce serait splendide, merci !"

Il engloutit un des sandwiches puis se leva. "Je vais prendre une douche; je terminerai après".

Il se dirigea vers les caisses de rangement et pris les premiers sous-vêtements des piles mais dans le mouvement, son T-Shirt remonta dévoilant des fesses aussi nues qu'étonnamment musclées pour un homme de bureau.

Céline nettoya le bureau puis, entendant que la douche avait fini de couler, rejoignit son employeur dans la salle de bain. Elle décida de jouer son va-tout : s'il marchait, elle confortait son rôle sinon .... Sans dire un mot, elle ôta son slip et le lui présenta. Tenez, c'est à vous de le porter aujourd'hui; vous me le rendrez ce soir. Ce sera plus confortable que votre suspensoir".

Interloqué, il obtempéra et visiblement, le contact du sous-vêtement féminin dut lui plaire car il développa aussitôt une érection de bon aloi. Sur sa lancée, elle se débarassa de son T-Shirt, exhibant sa lourde poitrine à ses yeux affamés.

"Chose promise, chose due, vous pouvez prendre mes seins"

Comme un zombie, les mains de l'homme s'agrippèrent à ses seins et sa bouche les suça l'un après l'autre, d'abord les tétons puis les mamelons entiers. Profitant de sa focalisation, Céline s'empara de la verge emprisonnée dans son slip et la fit rouler une ou deux fois sous le tissu avant qu'il ne se cabre et qu'une grande tache humide apparaisse à la surface du sous-vêtement.

"C'est l'intérêt du suspensoir" commenta Lesserre en haletant " je ne peux pas jouir dedans et les rares fois où cela m'arrive, cela ne se voit pas".

Elle lui caressa le visage et lui murmura d'un ton légèrement moqueur "Je vous le laisse jusqu'à ce soir. Profitez-en bien". Puis, mutine, elle fit courir ses mamelles le long du torse de l'homme avant de retourner à sa chambre pour s'apprêter.

A huit heures précises, c'est une Céline toute guillerette dans ses nouveaux atours qui accueillit Cynthia avec une tasse de café.

"Le boss est au boulot et déjà relax" lui dit-elle en souriant.

"Je ne sais pas comment tu fais mais cela tombe bien; il a une réunion avec la Logistique toute la matinée et en général, l'ambiance est plutôt tendue."

"En tout cas lui ne l'est plus" plaisanta la jeune assistante. "Ceci dit, pourvu que la livraison de matériel arrive comme prévu ce matin; je pourrai tout mettre en place sans le déranger."

" Ne t'en fais pas, quand il est concentré sur le boulot, il faudrait un marteau-piqueur pour attirer son attention. A part cela, j'aime bien ton tailleur. Tu as bien choisi"

Coquine, Céline ouvrit la veste. et Cynthia siffla

"Jeez, tu n'as pas de soutien? Referme ta veste avant de provoquer une émeute"

"Si j'ai un soutien mais c'est un push up. Le boss aime mes seins donc je ne veux pas lui laisser la moindre chance de les ignorer ! "

Elles terminèrent leur café et Céline battit en retraite dans l'appartement pour attendre la livraison.

La matinée s'écoula à toute allure et vers 14h, après un sandwich partagé en vitesse à la cantine avec ses nouveaux collègues, tout était en place . Cynthia passa en coup de vent pour découvrir le nouvel aménagement.

"Cela commence à ressembler à la civilisation" dit-elle d'un ton approbateur.

"Le boss n'est pas encore revenu. Tout s'est bien passé?" s'enquit Céline.

"Trop bien, il a commandé des pizze pour tout le monde et a mangé avec les gars de la Logistique. Une grande première ! Mais cela va se payer en heures sup' ce soir."

"Tu crois que je peux faire un saut à la ferme cette après-midi? J'ai un reste de garbure congelé et j'ai maintenant un micro-onde pour le servir ce soir. Dans un grand bol, il devrait pouvoir le manger en travaillant ... "

"Vas-y et prends ton temps, il va être plutôt occupé cette après-midi à rattraper le temps perdu ce midi"

Céline récupéra la vieille guimbarde de son père dans le garage de la société et s'en retourna à la ferme familiale. Elle en profita pour récupérer ses vêtements de travail, chargea le garbure, les œufs de ses poules, un bib de gros rouge et quelques ustensiles de cuisine puis reprit la route de la ville.

Elle avait à peine franchit la porte de l'appartement qu'elle entendit la voix de Lesserre "CAFE ... S'il vous plaît Céline"

Elle se précipita à la cantine et en ramena une tasse de chocolat qu'elle déposa sur le bureau de son patron qui leva tout de suite les yeux de son écran et émit un discret sifflement.

"Fichtre Céline, ce tailleur vous va à ravir !"

Flattée et surprise de ce compliment inattendu, la jeune femme ne put s'empêcher de pousser son avantage et enleva la veste.

"Vous me préférez avec ou sans la veste M. Lesserre?"

Les yeux écarquillés, l'homme semblait paralysé par la vue des seins orgueilleusement dressés sous le léger chemisier.

"Euh ... je ne sais pas ... vous êtes ravissante dans les deux cas...."

"Cela me rappelle qu'il est peut-être temps que vous me rendiez mon slip. Venez dans la chambre, ce sera plus discret."

Docile comme un robot, Lesserre suivit son assistante qui le fit assoir sur son lit déboucla son pantalon et le fit glisser à terre. Le slip moite suivit le même chemin mais elle le récupéra et se déhancha pour l'échanger contre le sien.

Lesserre se retrouva la bite à l'air, dressée à quelques centimètres des lèvres luisantes de la jeune femme. Elle caressa gentiment les couilles de son patron avant d'empoigner la verge et de la masturber vigoureusement.

"Ma petite culotte est encore mouillée boss, vous avez joui en mon absence?"

"Nooon mais ... aah... j'ai été excité toute aaaah ... matinée et je.. eeeh ... j'ai perdu ... du liquide ...aaah...... séminal ... "

"Cela vous excite de mettre mes slips?"

"Aaah ... ouiiii ...; votre sliiippp "

La verge fut prise de soubresaut et Céline n'eut que le temps de la recouvrir d'un pan de drap pour éviter de maculer son beau chemisier. A nouveau, elle prolongea la masturbation jusqu'à ce que Lesserre commence à grimacer.

"Vous vous sentez mieux boss? Je vais vous aider à vous rajuster".

Mais pendant que Raphael enfilait le nouveau slip et bouclait son pantalon, elle défit les boutons de son chemisier, en écarta les pans et exhiba la poitrine qui avait déchaîné la passion de l'homme.

"Gosh Céline, chaque fois que je crois m'être calmé, vous parvenez à me faire rebander".

"Oui mais gardons notre énergie pour ce soir. Nous avons tous les deux du boulot !"

La jeune femme suspendit son tailleur et son chemisier dans sa nouvelle penderie, rangea son soutien dans le tiroir à sous-vêtements et inaugura la machine à laver avec les serviettes entassées la veille et la petite culotte qu'elle venait de récupérer. Nue, elle s'apprêtait à enfiler une salopette récupérée à la ferme mais elle était trop consciente du désir qui lui tenaillait le bas-ventre.

"Et puis flûte, j'ai aussi droit à un peu de bon temps"

Elle ferma les yeux et se remémora la longue bite de Lesserre, dressée devant ses yeux. Elle visualisa ensuite son propre sexe aussi béant et humide que maintenant. Elle caressa furieusement son clitoris et au moment où elle imaginait la verge de Lesserre prête à la pénétrer, elle enfonça deux doigts dans sa chatoune et jouit convulsivement.

Elle s'ébroua et se glissa dans la salopette sans prendre la peine de mettre des sous-vêtements. le rugueux tissu lui agaçait les tétons à chaque mouvement et lorsqu'elle s'accroupit, il lui lima la chatte, la faisant frissonner de plaisir.

"Hum, cela va être dur de tenir jusqu'à 19h mais cela en vaudra la peine".

Elle assembla une table et quatre chaises qui devaient meubler la chambre de Lesserre puis monta une commode où elle rangea les sous-vêtements de son patron. restaient la penderie et le meuble à chaussures mais cela devrait attendre le lendemain. Elle dressa la table pour deux avec la nouvelle vaisselle en compagnie de deux verres et d'un carafon de rouge puis mis le garbure au micro-onde juste au moment où la porte du bureau s'ouvrait.

Lesserre resta un moment silencieux face à la table puis appela Céline. Celle-ci déclencha le micro-onde pour une première chauffe et le rejoignit. Ils s'assirent à la table et Céline leur servit à chacun un verre de vin.

Raphael contempla le sien un moment et dit un peu rêveur : "j'ai l'impression que je vais prendre congé ce soir et pas seulement parce que cette salopette me fait bander comme un âne" puis de but en blanc :

"Céline, j'ai beaucoup réfléchi à notre situation. Je ne suis pas idiot et je sais que Cynthia vous paye pour m'offrir cette splendide satisfaction sexuelle dont vous me gratifiez joyeusement depuis deux jours mais je ne comprends pas : pourquoi est-ce qu'une gentille fille comme vous accepte ce rôle d'escorte en plus de votre fonction d'assistante de direction?"

Céline lui expliqua son besoin d'argent pour sauver la ferme familiale avant de se lancer " Mais c'est aussi parce que je suis une fille de ferme que je n'ai pas de complexe envers le sexe. Depuis toute petite, j'ai vu des animaux copuler; j'ai même dû intervenir pour la réussite de certains de ces accouplements et je ne parle pas des fois où j'ai pu assister à des parties de jambes en l'air dans les meules de foin ou les dépendances de la ferme lorsque nous avions encore des saisonnier.e.s et même deux ou trois fois mes parents. Si je ne m'étais pas retrouvée seule pour m'occuper de la ferme, ma virginité ne serait qu'un très vieux souvenir.

"Vous avez perdu vos parents très jeune? Désolé"

"J'ai surmonté le chagrin par le travail mais cela n'a pas suffi pour rétablir mes finances. me voici donc à votre service, tout votre service."

"Je vous promets que je ne vous demanderai jamais rien qui ne vous agrée pas"

"Ne vous en faites pas, je sais dire non et me défendre s'il le faut. Simplement, je pense que nous devrons apprendre tous les deux, ensemble, à profiter de ces moments de détente de toutes les façons possibles. Maintenant, vous allez goûter mon garbure; cela se mange chaud."

ils devisèrent gaiement pendant le repas, faisant tous deux preuve d'auto-dérision quant à leurs vies d'asexués plus ou moins consentants, mêlant occasions manquées, échecs sentimentaux et frustrations tant et si bien qu'à la fin du repas, ils étaient tous deux dans un état d'excitation indescriptible.

Céline se leva et s'approcha de Raphael; elle fit glisser une bretelle de la salopette puis la deuxième. Seule sa poitrine empêchait encore le vêtement de s'affaisser sur ses hanches. Elle hissa le jeune PDG sur ses pieds et commença à le déshabiller. Quand il fur presque nu, elle se tortilla pour faire glisser son propre vêtement à terre puis l'enlaça et lui murmura "J'aime vous donner du plaisir et, croyez-moi, j'en profite aussi !"

Elle lui pris les mains et les plaça sur ses seins.

"Ce soir, essayez de résister; caressez-moi comme je vous caresse. Si je jouis avant vous, je vous donnerai mes seins !"

Elle fit descendre la main droite du jeune homme jusqu'à son clitoris tandis qu'elle empoignait la verge maintenant familière.

"Que la meilleure gagne !"

Elle sentait le braquemard palpiter au creux de sa main mais elle-même vibrait comme une corde de violon sous les caresses un peu maladroites de son partenaire qui se perdaient aussi dans sa toison pubienne bien fournie.

Elle caressa un peu les couilles tendues dans leur poche de chair mais revint bien vite au gland palpitant de l'homme. La pression montait de part et d'autre mais, pour la première fois, Céline se sentit prête à défaillir la première. A ce moment, la bouche de son amant s'empara de son son sein et l'aspira comme un bébé affamé.

"Aaah ... Nooon ..... laissez-moi " gémit-elle en accélérant ses va et viens sur la verge de Raphael. Ce dernier réussit à faire un énorme effort sur lui-même et parvint à se contrôler en se concentrant sur la valse de ses doigts autour du sexe béant de sa compagne.

Non content de téter les mamelons, Raphael se mit à mordiller les bouts tout en enfonçant ses doigts dans le vagin détrempé. A bout de désir, Céline se suspendit à son cou avec un miaulement plaintif.

"Uuh ... nooon ... pas moi ... toi ...vous ... aaah ... boss... pas moi !"

Son corps fut pris de soubresauts et elle se tétanisa, enfonçant ses doigts dans le cou de son compagnon ...

"Ouuuh ... Boss ... oooh ... c'était bon ... tellement meilleur qu'avec mes doigts ..."

Elle se laissa tomber à genoux et emprisonna la verge de Raphael entre ses seins, les compressant avec ses mains en étau.

"Allez-y patron, baisez mes seins, pistonnez mes grosses mamelles, bourrez-moi !"

Emporté par une vague lubrique, Raphael donna un coup de rein puis un deuxième et finit par labourer la vallée offerte avec sa pine dont seul le gland écarlate émergeait parfois. prenant le rythme de son désir, ses doigts pincèrent les tétons dressés.

"Gosh, c'est ... humpf ...délicieux ma douce...humpf ... j'ai envie ... de toi ... humpf ... aaah ... tu es si ... humpf ... si belle ... AAAHHH TIENS ... PRENDS TOUT !!!!"

Pour la troisième fois de la journée, il s'épancha sur la poitrine de sa collaboratrice , les premières éjaculations remontant jusqu'à sa gorge avant de glisser goutte à goutte sur ses seins.

Lorsque son sexe finit par se dégonfler, il se pencha, souleva la femme à ses pieds dans ses bras puissants et l'emmena dans la salle de bains où ils prirent une douche ensemble malgré la relative exiguïté des lieux. Sur sa lancée, il la souleva à nouveau et l'emmena dans la chambre de la jeune femme où il la déposa sur le lit avant de l'y rejoindre.

"Boss, c'était formidable, merci beaucoup mais c'est à moi de vous soulager, pas l'inverse !"

"Céline, tu ne trouves pas que le vouvoiement est un peu bizarre vu nos relations? Quand nous sommes seuls, appelle-moi Raphael !"

"Non, Raphael, c'est le boss, le patron ... mon partenaire de sexe, c'est Raf ! Le Raf qui est beaucoup plus costaud qu'un technocrate devrait l'être. J'aurais pu t'employer à la ferme" ajouta t'elle en souriant et en caressant ses abdos bien moulés.

"Jusqu'il y a peu, je faisais le manutentionnaire la nuit et le week-end et cela m'arrive encore parfois; ça aide à garder une bonne condition physique."

"Un de ces jours, il faudra qu'on fasse un bras de fer; peu d'hommes ont réussi à me battre !"

"Comme tu veux douce et sexy Céline, mais maintenant, laisse-toi faire; je vais te souhaiter bonne nuit !"

Il embrassa à nouveau ses seins puis ses lèvres et sa langue descendirent lentement le long de son ventre pour venir se nicher dans son entrejambes. Sa bouche s'empara du clitoris érigé de la jeune femme et l'aspira comme une sucette avant que sa langue ne se déchaîne sur le bouton bien dégagé de sa gangue de chair.

"RAF ! ... ouiii ... tu l'as ... c'est là ... aaah ... continue ... ça monte ... ooohh ... Raf ...."

Son bassin fut agité de tremblements spasmodiques et elle écrasa la tête de son amant contre son sexe enfiévré.

"Plus fort !! ... mords-moi ... aaah ... encore ... mets un doigt ... oui .... OUIII ... je vais ... je vais ... AAAAHHH !!... BOIS MOI !!!!

La bouche de Raphael fut soudainement inondée de cyprine mais il tint bon et ne relâcha pas sa caresse buccale, prolongeant l'orgasme de sa compagne jusuq'à ce qu'elle demande grâce.

"Bouhou ... où as-tu appris ça? Ne me dis pas que ce sont tes escortes?!"

"Euh non, plutôt des films pornos. Et puis tu m'as bien guidé ..."

Il essaya de se débarrasser pas très discrètement de quelques poils qu'il avait récolté lors de ce cunnilingus. Un peu gênée, Céline fit mine de ne pas s'en apercevoir.

"Tu m'as lessivée ... Je suis une chiffe molle ... plus bonne à rien..."

Elle s'assoupit en lui caressant une dernière fois la joue et il se releva, tira les draps sur le corps nue de son assistante. Avant d'éteindre la lumière, il contempla encore une fois sa complice sexuelle. Il avait une folle envie de s'allonger à ses côtés mais le devoir était plus pressant que le plaisir et il retourna à son poste sans prendre la peine de se rhabiller.

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