Crescendo Sensuel Partie 03

Informations sur Récit
Céline assiste M. Lesserre
3.5k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/14/2023
Créé 03/03/2023
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Il n'est pas absolument nécessaire de lire les deux premières parties de cette série mais cela aidera certainement la compréhension du lecteur.

Tous les personnages ont bien entendu plus de 18 ans

Chapitre 3 : Belle de jour

Comme la veille, Céline se réveilla à 5h, toute guillerette même si elle eut du mal à se rappeler pourquoi elle était entièrement nue. Les souvenirs affluèrent soudain et elle sentit une douce chaleur lui gagner le bas-ventre.

"Et dire que je suis payée pour m'envoyer en l'air" se dit-elle.

Elle enfila son T-Shirt de nuit et s'affaira dans la cuisine à préparer le petit-déjeuner du patron. Elle alla ensuite remplir un thermos de café à la cantine et attendit d'entendre le patron prendre sa douche mais à 6h30, le silence régnait toujours dans l'appartement. Elle se décida à aller réveiller le boss mais la chambre était vide; le lit n'était même pas défait !

Elle entrouvrit la porte du bureau et aperçut Raphael Lesserre en plein travail, pianotant sur son clavier d'ordinateur d'une main et prenant des notes de l'autre, une couverture sur ses épaules nues.

S'enhardissant, elle tenta de l'interrompre :

"Boss, je vous apporte votre petit-déjeuner?"

L'homme ne broncha même pas, tout entier braqué sur son écran et ses notes.

Céline s'approcha et posa la main sur son épaule.

"Patron, votre petit-déjeuner?"

Il leva enfin la tête :" Il est déjà si tard? Je veux dire si tôt? Oui je veux bien"

Céline s'empressa de lui préparer l'omelette promise avec les toasts et le thermos et lui déposa le tout sur le bureau. Lesserre avala une grosse bouchée d'omelette suivie d'un toast qu'il dévora sans lever la tête. Céline fut déçue par ce manque de réaction mais elle se souvenait des explications de Cynthia "il travaille 24h sur 24 et 7 jours sur 7" et n'a le temps pour rien d'autre!"

"Bon, la récré est finie, je n'ai plus qu'à prendre ma douche et continuer le montage des meubles".

Elle venait de se passer du shampoing dans les cheveux quand Raphael fit irruption dans la salle de bain "J'ai besoin de la douche" clama t'il sur un ton péremptoire.

Couverte de savon, Céline lui laissa la place mais ne dut pas attendre longtemps pour la récupérer. Sans un regard pour le corps nu de son assistante, il sortit en maugréant en laissant sa serviette sur le sol.

La jeune femme reprit le cours de ses ablutions, un peu déprimée par ce début de journée plutôt décourageant . Avant de se sécher, elle remit de l'ordre dans ce capharnaüm, séparant ses propres objets de toilette de ceux de Lesserre, essayant de tout ranger logiquement selon ce qu'elle supposait être la chronologie d'un homme. Elle resta un peu songeuse devant le rasoir à lames avant d'astiquer la salle de bain une nouvelle fois.

Elle enfila sa salopette, cette fois avec ses anciens sous-vêtements et s'acharna à monter la grande penderie malgré l'inutilité du plan de construction particulièrement obscur tout en essayant de faire le moins de bruit possible pour ne pas provoquer l'irascible occupant de la pièce voisine. Ce qui ne l'empêcha pas de transpirer comme un cheval après un long galop en se débattant avec les parois qui prenaient un malin plaisir à ne jamais s'emboîter.

Elle fut la première étonnée quand elle vint à bout de la dernière vis de la dernière charnière de la dernière porte et allait commencer à ranger les costumes et les chemises lorsqu'elle se rendit compte qu'il était presque midi.

Elle se rua dans la cuisine et s'affaira à préparer une assiette de sandwiches variés à défaut d'avoir demandé ce qu'il voulait manger. Elle toqua à la porte du bureau mais comme seul le silence lui répondit, elle entra le plus précautionneusement possible. Lesserre était toujours occupé face à son écran mais lorsqu'elle déposa l'assiette sur le bureau, il s'étira avec un soupir presque douloureux. Il se tenait le bas du dos et faisait rouler ses épaules pour les détendre.

Compatissante, Céline vint derrière lui et, sans mot dire, commença à lui masser le cou et le haut du dos, enfonçant bien ses pouces dans les zones de tension. A sa grande surpeise, Lesserre sortit de son mutisme :

"Merci Céline, vous avez des mains magiques; cela fait un bien fou !"

"Monsieur, allongez-vous sur la table de réunion, je pourrai vous masser tout le dos".

L'homme se leva presqu'avec empressement, enleva chemise et singlet et alla s'étendre sur la grande table. Suivant le mouvement, Céline se mit aussitôt à exercer des pressions aux endroits les plus tendus, quitte à utiliser ses coudes pour accentuer le relâchement des nœuds musculaires. Lesserre émettait maintenant des soupirs de bien être, il en ronronnait presque. Céline commença alors un massage plus classique mais en l'absence de crème de massage, elle fit encore rouler les muscles plus qu'elle ne les massa vraiment. Cela n'empêcha pas son patron de s'endormir, la tête dans ses bras repliés en forme de huit horizontal.

Céline hésita un moment puis décida de lui laisser une heure pour une sieste certainement nécessaire et en profita pour aller prendre une douche bien méritée.

Dans la salle de bain, elle en profita pour examiner d'un oeil critique l'abondante toison qui descendait de son mont de Vénus. Malgré la discrétion de Raphael, elle l'avait quand même vu subrepticement se débarrasser de quelques poils volages. Empoignant une paire de ciseau à cheveux qu'elle avait découvert le matin même avec le nécessaire de rasage, elle tailla les poils drus jusqu'à ce que sa pilosité soit ramenée à un fin duvet. Satisfaite, elle passa sous la douche, approuvant au passage la douceur nouvelle de son entrejambes.

Lorsqu'elle retourna dans le bureau, habillée cette fois en bonne assistante, Lesserre s'était réveillé et mangeait ses sandwiches torse nu. Il lui sourit.

"Merci Céline, ce petit intermède m'a fait le plus grand bien. Et vos sandwiches sont délicieux"

"Avec plaisir M. Lesserre, que désirez-vous manger ce soir?"

"Et si nous commandions du chinois? Il doit y avoir le menu du take away Shangai Express au tableau dans le hall d'entrée. Moi je prendrai le porc cantonnais; choisissez ce que vous voulez .."

"Je n'ai jamais mangé chinois ... Je verrai ce qui me paraît le moins étrange ... Ceci dit, j'ai un service à vous demander mais c'est un peu délicat ..."

"Dites toujours !"

"Voilà, ... quand vous aurez un peu de temps ... est-ce que vous pourriez me raser?"

"Vous raser??? Mais vous n'avez pas de moustache et encore moins de barbe!"

"Mais non ... vous savez bien ... entre mes jambes ..."

"Erg ... je vois ... mais vous êtes sure de vouloir vous euh ..; raser?"

"En fait , j'ai déjà un peu élagué ma brousse mais j'aimerais en être complètement débarrassée"

Et pour mieux convaincre son interlocuteur, elle remonta sa jupe, lui prit la main et l'introduisit sous son slip.

"Vous sentez la différence? C'est déjà plus court mais plus dru. J'adore ce que vous m'avez fait hier soir mais je ne veux pas que vous vous iritiez la peau"

"Ahum ... oui ... ok ... j'arrêterai un peu plus tôt ... mais ... dans ce cas il faudra que vous me fassiez la même chose ... j'aimerais aussi profiter de votre bouche ... si cela vous convient ..."

"Oh merci ! Je n'osais pas vous le demander"

"Ouch, laissez-moi me remettre au travail; si nous continuons à en parler, je ne ferai rien de bon cette après-midi"!

Céline passa l'après-midi en compagnie de Mélanie Barr, l'adjointe de Cynthia qui lui fit visiter les différents services de Bio4U2; de l'entrepôt à la comptabilité clients et la présenta aux collègues. La jeune femme état particulièrement amicale et enjouée . Si elle était au courant des à-côtés de la fonction d'assistante de direction, elle n'en laissa rien transparaître. Elles se quittèrent à regret peu avant 18h; Mélanie, mère célibataire devant récupérer son fils au jardin d'enfants.

Céline avait presqu'oublié le rendez-vous avec son patron mais visiblement il n'en était pas de même pour celui-ci qui l'attendait, écran éteint, à son bureau.

"Où allons-nous procéder à ces délicates opérations?" lui demanda t'il.

"Prenons une grande serviette, un bol d'eau chaude, rasoir et savon de rasage et installons-nous sur mon lit; nous y serons plus à l'aise que sur votre couchette".

Tandis que le jeune PDG allait chercher le matériel dans la salle de bain, elle se déshabilla, hésitant un moment à garder ou non son soutien-gorge mais elle opta finalement pour le topless.

Lorsque Raphael revint, elle était étendue sur le lit, entièrement nue et les jambes bien écartées. Il déglutit à grand bruit et essaya vainement de prendre un air détaché en étendant une serviette sous les fesses de sa compagne et se servit d'une autre pour humecter le duvet qui entourait la chatte luisante de la jeune femme avant de le recouvrir d'une mousse glissante.

Lorsqu'il se saisit du rasoir, il s'aperçut que ses mains tremblaient légèrement et se força à respirer profondément pour se calmer quoique sa verge tendue à l'extrême dans son pantalon ne semblait pas vouloir collaborer. Elle s'était frayé un passage hors du caleçon et le frottement contre le tissu plus rêche du pantalon lui donnait des frissons de plaisir de plus en plus intense.

Installé entre les jambes écartées en équerre de la jeune femme, il commença à raser les zones les plus éloignées du centre névralgique. Lorsqu'il prit entre ses doigts une des grandes lèvres pour l'étirer et en raser le contour, son front se couvrit de transpiration. A le deuxième, des gouttes de sa sueur vinrent se mêler au savon.

Céline haletait de plus en plus fort au fur et à mesure que ses poils disparaissaient. il ne restait plus que la zone autour du clitoris à raser lorsque tout à coup, Raphael se tétanisa et émit un gémissement plaintif.

Céline comprit tout de suite que le jeune homme avait joui dans son pantalon et craqua à son tour : ses doigts se précipitèrent sur son clitoris et il lui suffit trois caresses appuyées pour, à son tour, se laisser aller à l'orgasme.

Raphael finit par se ressaisir, écarta les doigts de la jeune femme et termina d'éliminer les dernières touffes avant de nettoyer le pubis maintenant glabre de sa compagne avec la serviette. Il examina son œuvre : la corolle du sexe féminin maintenant exposée, d'autant plus ouverte que les grandes lèvres étaient gonflées par l'orgasme et plus rien ne les masquait à ses yeux avides.

Soudain, les cuisses de Céline se refermèrent autour de son visage, lui pressant la bouche sur le mont de Vénus parfaitement lisse et elle rit :

"Tu peux me raser quand tu veux; j'ai adoré mais c'est à ton tour !"

Elle relâcha son étreinte, attira son compagnon sur le lit et entreprit de le déshabiller. Le bas de sa chemise, le haut du pantalon et son caleçon étaient détrempés mais elle ne fit aucune remarque sur l'éjaculation aussi abondante que prématurée de son partenaire. Elle se contenta de l'essuyer puis alla chercher les ciseaux pour couper les poils les plus longs. Quand elle commença à passer le rasoir à la surface des couilles de son compagnon, la verge déconfite commença à se redresser. Lorsque le rasoir passa au-dessus de celle-ci, elle redevint raide comme une barre de fer. Le temps de fignoler la besogne et Raphael haletait à nouveau tandis que son membre tressautait comme animé d'une vie propre.

Elle évacua le matériel utilisé et vint se pelotonner contre lui.

"Tu veux bien qu'on fasse un 69? Mais je te préviens, ce sera ma première fois; je n'ai vraiment aucune expérience ..."

Raphael rit de bon coeur "Moi ce sera la deuxième fois que je lècherai une femme"

"Plus hier !"

"Non, hier y compris !"

Céline enjamba son amant et déposa délicatement son bas-ventre sur le visage de l'homme tandis qu'elle empoignait le membre à nouveau complètement raide. Après une brève hésitation, elle l'emboucha tout en faisant aller et venir sa main le long du manche à découvert.

Raphael émit un grognement à moitié assourdi par la conque collée à ses lèvres et se vengea sur le clitoris dégagé de sa housse de chair. Céline feula de plaisir et suça le gros gland avec une énergie renouvelée.

Encouragé, Raphael lança un doigt tâtonner dans la cavité ruisselante de sa partenaire. Il fut presque tout de suite arrêté dans sa progression par une membrane de chair qui retrécissait le conduit jusqu'alors béant.

"Non d'un chien, c'est vrai qu'elle est toujours vierge !"

La jeune fille fut prise d'un tremblement comme un mini-orgasme et repartit à l'assaut de la verge qu'elle enfonça le plus loin possible dans sa gorge mais il restait encore 10 bons centimètres qu'elle pouvait masturber à l'envi.

Déchaîné par la confirmation de la virginité de sa partenaire, Raf sorti son doigt bien humecté du vagin pour partir à l'assaut de l'anus sans défense. Céline eut un gémissement étouffé lorsque le doigt viola son sphincter. Son excitation monta encore d'un cran et elle regretta un instant que Raf soit couché sous elle, l'empêchant ainsi de lui faire subir la même caresse.

La seule idée de sodomiser son patron, même avec seulement un doigt la fit basculer dans un orgasme ravageur et sa bouche abandonna la moitié de la bite qu'elle avait gobée mais sa main serra l'autre moitié comme si sa vie en dépendait

"AAAAHHH RAF .... JEE ... VIENS ... VIENS ...OOOH !"

Raf ne pus résister aux cris de plaisir de sa compagne et , pour la deuxième fois en dix minutes, il éjacula en gémissant mais cette fois sur le visage de sa maîtresse.

Céline s'effondra sur le corps de son amant, le visage sur le haut de ses cuisses tandis que sa cyprine s'écoulait sur le menton puis le cou de celui-ci au fur et à mesure que son bassin glissait vers le torse de l'homme.

Les yeux clos, ses doigts explorèrent ses joues pour y recueillir la semence de son amant et elle goûta avec curiosité le fluide un peu salé. Cela ne lui déplaisait pas et elle finit de recueillir l'essentiel de l'offrande.

Après quelques minutes de semi-hébétude, elle se retourna et s'allongea, la tête sur l'épaule de son homme.

"Non, pas mon homme" se rappela t'elle : "Mon employeur, mon patron, à la limite mon sexe pote mais avec son mode de vie, cela vaut sans doute mieux de ne pas oublier mon vrai rôle !"

Elle lui lécha le menton, mêlant ainsi le sperme patronal, sa salive et sa mouille. Elle sourit intérieurement à l'idée de ce nouveau cocktail hautement érogène .

"J'ai faim" déclara soudainement Lesserre.

"Bravo pour la douceur pour ne pas parler du romantisme " se dit-elle "Je demanderais bien à Cynthia une prime de goujaterie"

"Tu téléphones au chinois et tu me rejoins sous la douche?"

Et sans attendre sa réaction ni le moindre geste de tendresse, il la planta là et s'en fut vers la salle de bain. Elle arriva juste à temps pour qu'il lui demande de lui laver le dos et l'abandonna immédiatement après, une nouvelle fois. Pour se venger, elle n'enfila que son T-Shirt de nuit et commença à préparer la table dans l'attente de la livraison tout en se déhanchant, se penchant, faisant toutes sortes de mouvements qui dévoilaient tantôt son cul nul, tantôt son pubis fraîchement rasé.

Lesserre qui avait changé de pantalon et de chemise ne put s'empêcher de rectifier la position de sa verge qui s'éveillait à nouveau bien qu'il fut sensé lire les informations sur son écran.

A ce moment, le buzzer de la réception se fit entendre. Céline regarda Lesserre qui ne broncha pas alors, sans rectifier sa tenue, elle se précipita vers l'ascenseur pour réceptionner la commande.

Lorsqu'elle revint, Lesserre lui dit de but en blanc "Vous auriez pu vous habiller décemment avant d'aller ouvrir !"

"Je n'ai pas vraiment eu le temps de m'apprêter" rétorqua t'elle, perdant un peu son sang-froid. "Si vous ne vouliez pas que le livreur voie mes tétons, vous auriez dû aller chercher la commande vous-même".

"Parce qu'en plus vous lui avez montré vos tétons?"

"Pas le choix, avec le froid, ils pointaient à travers le T-Shirt"

"Vous auriez dû me le demander !"

"Vous auriez pu faire attention à moi !"

Lesserre ouvrit la bouche puis la referma. Il voulait mettre un point final à la discussion en invoquant son statut de patron mais un sixième sens l'avertit qu'il risquait perdre sa complicité avec la jeune femme sans qu'il ne parvienne à vraiment réaliser qu'il aurait dû faire preuve de plus de considération envers son employée.

ils partagèrent leur repas en silence. Céline était plutôt heureusement surprise par cette nouvelle expérience culinaire et Raphael lui proposa de goûter son propre plat comme pour essayer de s'excuser de sa désinvolture.

"C'est très différent de ce dont j'ai l'habitude mais j'aime bien" concéda Céline en finissant son poulet. "Il reste du riz blanc; je vous vais vous préparer du riz au lait pour demain matin . cela devrait vous plaire, cela se mange à la cuillère dans un bol, vous ne devrez même pas regarder ce que vous mangez."

"Sorry Céline, j'ai oublié de vous remercier pour l'omelette ce matin, elle était délicieuse !"

"Parce que vous avez goûté quelque chose. Depuis que je suis arrivée, vous n'avez même pas remarqué que je vous servais du thé ou du chocolat à la place du café ..."

"Oui, oui, je me suis rendu compte que je mangeais quelque chose de délicieux mais j'ai oublié de vous le dire ..."

"Je ne demande pas spécialement un compliment mais j'aurais bien aimé savoir si je peux vous en refaire à l'occasion ..."

"Certainement ! Désolé, je sais que je suis difficile à supporter. Je manque complètement de savoir-vivre"

"Et parfois de la politesse la plus élémentaire. Quand vous m'ignorez complètement après que nous ayons partagé un moment comme ce soir, je me sens comme un morceau de viande avariée"

"Céline, je suis vraiment navré. Ecoutez, si ... non quand cela se reproduira car je n'ai aucune illusion sur moi-même, je vous donne l'autorisation ... non l'ordre de me remettre à ma place !"

"Votre place, c'est patron, cela ne m'aidera pas beaucoup ... Que voulez-vous que je vous dise?

"Essayez : Montauban"

"Pourquoi, vous êtes de Montauban?

"Non de Lille mais je pensais à la réplique célèbre : le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... au terminus des prétentieux..."

Céline rit de bon cœur. "OK, je connais, on va jouer aux Tétons Flingueurs !"

Elle enleva son T-Shirt et vint s'assoir sur les genoux de son patron.

"Tu aimes mes seins Raf? Avec mes gros mamelons et mes tétons qui pointent? Vas-y, touche, caresse, suce..., mords ... aaah oui, comme ça ... Massacre mes gros nibards.... Aaah ... brute ... non ! Continue !"

Elle le laissa se repaître de sa poitrine pendant de longues minutes puis, glorieusement nue, elle s'agenouilla devant lui et s'échina à baisser son pantalon. Elle s'empara de son mandrin dressé comme un obélisque et se mit à le sucer comme si sa vie en dépendait.

"Céline, ... non ... ne n'y arriverai ... pas ... aah ... laissez-moi ... "

Tout en l'accueillant dans sa bouche, la jeune femme caressait le bas ventre et les testicules maintenant imberbes, faisant monter la pression dans la colonne de chair.. Malgré ses deux éjaculations précédentes, Raphael était à nouveau au bord de l'explosion. Il posa ses mains sur la tête de Céline pour la maintenir en place et commença à donner de petits coups de rein, prenant bien garde à ne pas enfoncer tout son membre pour ne pas étouffer le jeune femme.

Il avait l'impression que sa verge allait éclater à force de désir inassouvi. Il n'aspirait qu'à se vider dans la bouche hospitalière mais il avait beau accélérer ses mouvements de bassin et les rendre plus amples et brutaux, la libération ne venait pas. Soudain, il sentit un doigt perforer son sphincter. La coquine l'avait humecté dans son vagin et lui rendait maintenant la monnaie de sa pièce. A la deuxième pénétration, il éjacula enfin.

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