Dans Le Bus Ch. 03

BÊTA PUBLIQUE

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J'entends alors un mouvement qui ne peut venir que du gars qui a parlé. Un moment plus tard, je le sens derrière moi dans l'allée. Je ne sais pas comment, mais je sens bien qu'il est là.

- Baisse la tête et relève ton cul, l'intello! Dit-il en appuyant ma tête sur le siège.

Il appuie fort mon visage contre le siège et de l'autre main il attrape ma hanche et guide mon cul jusqu'à ce qu'il soit en l'air à l'endroit où il veut. Il n'arrête pas de me bouger, de lever et baisser mon cul jusqu'à ce qu'il décide qu'il est à la bonne hauteur pour lui.

- Quelqu'un peut se mettre dans l'allée, s'il vous plaît? demande-t-il avec un peu de frayeur dans la voix.

J'ai l'impression qu'il a peur de ne pas être capable de faire quelque chose. J'entends des rires et une des filles lui fait une remarque. Mais je sens un mouvement et je me dis que un de ses amis se place dans l'allée pour cacher ce qu'il va faire.

- N'est-elle pas jolie et intelligente comme ça? Dit l'une des filles d'un ton moqueur.

Juste après ces paroles... je le sens à l'entrée de ma chatte. Je frissonne en sentant la bite du gars s'immiscer entre mes petites lèvres. Des émotions confuses m'envahissent à nouveau.

Je frissonne encore lorsqu'il glisse et enfonce son membre dans ma chatte. Mais dans cette position, j'ai l'impression que son sexe presse ma chatte d'une manière différente. Il frotte contre mes parois d'une nouvelle manière, me créant d'autres sensations. c'est tellement inattendu que je frissonne plusieurs fois à cette sensation agréable.

Il va jusqu'au bout, jusqu'à ce que ses couilles tapent contre mes cuisses. En sentant cela, je fais quelque chose qui me donne vraiment l'impression d'être une pute. Mais je m'en fiche, j'écarte les jambes. Je les écarte autant que je peux sur le siège sans tomber. Ainsi il a un accès plus facile aux profondeurs de ma chatte.

Maintenant il commence vraiment à me baiser en faisant des va-et-vient rapides. Et bientôt il s'adapte au rythme de la chanson qui emplit le bus. Si bien que les bruits de claquements pendant qu'il me baise se noient dans la musique. En plus j'entends des étudiants applaudir en rythme.

Des gémissements s'échappent de ma bouche alors qu'il me baise dans cette position dégradante. À un moment donné, j'essaie de lever la tête pour glisser mes coudes sous moi, mais quelqu'un appuie sur mon visage pour le maintenir contre le siège. On m'ordonne de ne pas bouger.

Soudain le gars s'arrête. Il ne m'a pas baisée longtemps et il s'arrête. Et je sens pourquoi, il éjacule. Je sens sa bite se contracter alors qu'il gicle son sperme à l'intérieur de mon vagin. Une chaleur se répand dans mon ventre, mais au lieu de me sentir comme violée, je trouve que c'est bon. Je pense que le gars n'a pas pu se retenir longtemps.

- Éjaculateur précoce? Rigole Paul.

Les autres se joignent à lui pour se moquer de leur ami. Ils lui demandent s'il est puceau et s'il a déjà baisé une fille. Le gars se retire complètement de ma chatte. Je suis insatisfaite. En rangeant sa bite dans son pantalon, le garçon répond à ses amis de façon embarrassée.

Tandis que les gothiques continuent de se moquer de leur ami, je respire profondément, car je me sens bizarre. Je ne me sens plus du tout moi-même. Je ne me sens plus la fille la plus intelligente et studieuse de l'université, la fille réservée. Je me sens vivante et d'une certaine manière libérée. Tout comme je me sens aussi honteuse et embarrassée.

- Retourne-toi! Ordonne Paul.

Je ne suis pas certaine qu'il s'adresse à moi, mais je ne vois pas pourquoi il dirait ça à une de ses amis. Alors je me mets d'abord à quatre pattes. Personne ne me bouscule et ils me laissent le temps de prendre mes repères.

Ma chatte est à vif après les rapports sexuels que je viens d'avoir, mais elle palpite, comme si elle en voulait davantage. C'est au point que même lorsque je fais glisser mes jambes pour m'asseoir sur le siège, ce simple contact fait vibrer ma féminité. Ensuite je bouge mes jambes dans l'autre sens et je m'allonge, les bras restant attachés au côté droit du siège.

Je suis obligée de croiser mes bras au-dessus de ma tête, car les menottes m'empêchent de faire autre chose. Donc je m'allonge sur le dos, mes jambes pendantes sur le côté du siège et dans l'allée. Étrangement c'est plus confortable que toutes les autres positions que j'ai eues auparavant.

Être allongée ainsi est bizarre, car la sueur rend le siège glissant, tellement glissant qu'il est facile de faire bouger mon corps sur le siège. Je sens aussi mes seins ballotter à cause du mouvement du bus. Ils se trémoussent et tremblent comme des flans, ce qui m'humilie encore plus.

- Bien, tu te mets dans l'allée... Et toi sur le siège devant!

Paul recommence à donner des ordres. Ils vont continuer à s'amuser avec moi. Je ne sais pas du tout à qui il parle et je m'en fiche complètement. Il y a une partie de moi qui veut juste que ça se termine, mais il y a une autre partie, la plus importante, qui veut que ça continue, qui veut être satisfaite. Seulement, je ne sais pas ce qui me satisferait.

Quelqu'un se glisse sur mon siège. Qui que ce soit, il reste devant, se déplaçant juste dans l'espace entre mon siège et celui de devant, là où l'on met les jambes. Il se déplace jusqu'au bout, où se trouve ma tête.

- Vas-y, fais-le! On va te cacher! Personne ne verra! Dit Paul dans un murmure contrarié.

Juste après ces mots, je sens des mains sur mes jambes. Elles se placent sous mes genoux et les soulèvent. Elles replient mes jambes de façon à ce qu'elles reposent sur les bras de quelqu'un.

Mon chemisier qui masque mon visage est tiré. Des mains le saisissent par le col et tire dessus jusqu'à ce que ma bouche soit libérée. Le tissu reste sur mon nez pour l'empêcher de redescendre.

Je soupire en pensant que ma bouche va encore être violée par une bite. Comme si elle était en accord avec mes pensées, la personne près de ma tête se déplace pour me chevaucher. Elle grimpe sur moi, juste sur mes épaules. Elle place ses genoux de chaque côté de moi, de sorte que son entrejambe est prêt de ma bouche. A ce moment-là, j'attends la sensation d'une bite se posant sur mes lèvres pour me faire savoir que je dois ouvrir la bouche.

Mais la personne s'assoit sur mon visage. C'est surprenant et je veux pousser un cri, mais ma bouche est pressée contre quelque chose qui étouffe le bruit. La personne n'est pas complètement assise sur moi sinon je risque d'étouffer et mourir sous le poids.

- Sors ta langue et lèche, l'intello!

C'est Jessica. J'écarquille les yeux pour voir à travers le tissu de mon chemisier si c'est vraiment elle, mais je ne peux pas voir grand-chose, à part que c'est la silhouette d'une femme qui est à califourchon sur moi. Je crois aussi qu'elle a enlevé son pantalon et sa culotte.

C'est une chatte qui est pressée contre mes lèvres. Un sexe de femme! Ce n'est pas possible. Jessica commence alors à bouger ses hanches, pressant sa chatte contre mes lèvres encore et encore. Oh mon Dieu, je sens son clitoris. Je le sens quand elle appuie sur ma lèvre supérieure. Puis je sens les lèvres de sa chatte.

Je voudrais lui dire que je ne suis pas lesbienne, que je ne peux pas faire ça, que ce n'est pas pour moi. Bien sûr, je sais qu'elle m'a léché et que j'ai joui, mais c'est différent. Je ne suis pas lesbienne ni bi. Je ne peux tout simplement pas. Je veux dire que je sais que les filles bi ont tendance à être folles. Ce sont les plus bizarres, les plus fêtardes. Bien sûr, je peux admirer un joli corps de fille ou un beau visage, mais ça ne veut rien dire, tout le monde le fait.

Et puis voilà qu'une bite pénètre ma chatte alors que j'ai les jambes fléchies. Je gémis et mes yeux roulent dans leur orbite. La position allongée est la seule position sexuelle que j'ai connue avant cette situation. Je le sais, c'est classique et simple, mais il y a quelque chose que j'aime à être sur le dos : la sensation de devoir écarter les jambes, la sensation d'être regardée par au-dessus, le sentiment que l'homme est là pour prendre ce qu'il veut et que l'on ne peut que lui offrir.

Une chose étrange se produit quand je sens cette bite entrer en moi... Je tire la langue. Elle sort de ma bouche ouverte et je sens un goût sucré. Je goutte officiellement la chatte d'une autre femme. Alors j'explore, je bouge ma langue pour découvrir. Je fais cela jusqu'à ce que je découvre ce qui doit être son clitoris. Il est étrangement ferme par rapport au reste. Et quand j'appuie dessus, elle gémit ce qui m'excite encore plus.

Maintenant je titille à fond son clito avec ma langue. J'appuie fort puis je la déplace d'un côté à l'autre en essayant de me rappeler ce qu'elle faisait quand elle me léchait. J'appuie fort, mais je bouge lentement. En fin de compte je commence à avoir du respect pour elle, car ma langue est déjà fatiguée alors qu'elle me la fait pendant plusieurs minutes.

- C'est ça l'intello, continue! Gémit Jessica alors que je lui mange la chatte.

Pendant qu'elle dit cela, le gars entre mes jambes commencent à entrer et sortir de ma chatte. Ses coups de rein sont violents, ce qui fait que mon corps tout entier se balance dans le siège humide. Je distingue le contour de Jessica et je vois comment elle suit le mouvement avec ses hanches pour garder le contact de sa chatte sur ma bouche.

Mon sexe s'accroche à la bite du garçon. Je mouille encore terriblement et ma chatte se contracte sur la bite. Cette fois je sens bien la friction quand elle entre et sort. Je ne sais pas pourquoi ou comment ça arrive, mais je jure que les muscles de mon sexe se referment sur le membre en moi.

Mon corps recommence à s'animer au fur et à mesure que la chaleur augmente. Ça commence entre mes jambes et ça se déplace vers l'extérieur. Je m'interroge sur le fait que le corps humain change pendant les séances de sexe. La chaleur qui monte en moi me rend plus agressive et je fais glisser ma langue plus rapidement sur son clitoris, de gauche à droite, puis de haut en bas. Et plus je vais vite, plus j'essaie d'appuyer sur son petit bouton. Je sais qu'elle aime ça, car elle gémit mon nom. Bien sûr, elle a dit « ringarde », mais elle parlait de moi.

Alors que je la lèche, je n'ai qu'une idée en tête : Je suis en train de lécher une femme. Je suis en train de lécher la chatte d'une femme. Moi, la fille bien élevée, la première de l'université, celle qui est reconnue comme être la plus sage. Je suis sur le dos , en train de me faire baiser pendant que je lèche une chatte. Ce n'est pas possible. Je veux dire... Ce n'est pas moi.

Celui qui me baise est de plus en plus brutal maintenant. Il se penche en avant tout en me baisant. À chaque coup de rein, ça fait un bruit sourd. La sensation de sa bite qui s'enfonce et se retire rapidement fait que j'ai du mal à me concentrer sur les mouvements de ma langue. Je pense que Jessica s'en rend compte, car elle se tourne légèrement et pose une main sur mon ventre.

Je voudrais protester alors qu'elle fait glisser cette main vers mon intimité. Toutefois, toutes les protestations que je voudrais émettre sont arrêtées par sa chatte. Bientôt je sens ses doigts sur mon clito.

Instantanément celui-ci s'enflamme lorsqu'elle le touche. J'essaie encore de crier et de me débattre, mais je ne peux rien faire. Je suis impuissante face à ce qu'ils me font. Je ne suis pas seulement menottée, mais on s'assoit sur moi pour m'empêcher de bouger et on tient mes jambes en place. Je suis vraiment sans défense.

Je lèche Jessica de façon automatique. Je ne me contente pas d'effleurer son clito, mais je tourne en rond autour, le taquinant avant de le lécher à nouveau. C'est comme si je ne faisais qu'un avec son corps. Je sais que c'est efficace parce qu'elle continue à gémir.

Je sens un orgasme monter en moi et je me bats intérieurement pour l'empêcher. Mais contrairement à la fois précédente où je l'ai senti venir de loin, cette fois-ci il explose soudainement. J'ai l'impression que mon corps s'embrase. Je n'ai jamais eu autant chaud. Les vagues de plaisir déferlent au point que j'en ai des spasmes. Mes muscles se tendent au point que le gars qui tient mes jambes ne peut plus les retenir.

Je gémis encore et encore alors que je jouis comme jamais auparavant. Je n'aurais jamais pensé que cela puisse m'arriver, que je ferais l'amour avec une femme, et que je serais baisée en même temps. Et j' n'aurais jamais pensé que des gens regarderaient. Mais c'est ce qui se passe et je pense que c'est la raison pour laquelle je jouis si fort.

- Elle jouit encore!

J'entends la voix de Jessica se moquer de moi pendant que les vagues de plaisir me submergent. Mes gémissements deviennent plus aigus à chaque vague. Je me dis que c'est assez fort pour que le reste du bus entende, mais Jessica presse sa chatte sur la plus grande partie de ma bouche afin d'étouffer tout bruit. Je crois qu'elle aime me voir gémir et crier dans son sexe. Elle-même gémit plusieurs fois.

- Oh ça vient! Elle le fait vraiment. Cette intello va me faire jouir!

Les mots de la jeune fille me surprennent. Puis elle attrape l'arrière de ma tête pour la forcer à se presser contre son sexe. La manière frénétique dont elle le fait me fait comprendre qu'elle ne joue pas la comédie. Elle va jouir parce que je la lèche. Puis je ressens une certaine humiliation alors que nous jouissons toutes les deux en même temps.

Après ce qui me semble une éternité, mon orgasme atteint son apogée et commence à s'estomper. Pendant ce temps, le gars continue de me pilonner de manière brutale et sadique. Il veut sûrement s'assurer que je sente bien sa bite. Mon corps se détend peu à peu, agissant comme s'il avait obtenu ce qu'il voulait vraiment. Cela a l'air de contrarier le garçon qui me baise, car il passe ses mains sous mon cul et me soulève pour mieux me pénétrer.

- Tiens! Dit-il après quelques instants!

Il se retire soudainement et je le sens gicler entre mes jambes. Il déverse son foutre sur mon monticule, giclées après giclées. Son sperme jaillit jusque sur mon ventre.

- Espèce d'âne, tu as sali ma main! Se plaint Jessica.

Elle est toujours assise sur mon visage. Ses amis rigolent et je reviens à la réalité de ce qui se passe. Pendant un moment j'ai eu l'impression d'être connectée amoureusement avec les deux. Mais en vérité, ce sont des agresseurs. Ce sont des brutes qui profitent de moi et m'utilisent comme ils le veulent. Je suis un simple objet à humilier et baiser.

Après son orgasme, Jessica se soulève et laisse mon visage et mon cou mouillés de son jus. Avant qu'elle ne parte vraiment elle baisse mon chemisier afin qu'il recouvre complètement mon visage. Je ne sais pas pourquoi, mais ça me gêne vraiment. J'ai vraiment l'impression de n'être qu'un objet d'amusement. Que je ne suis rien pour eux, que je suis si négligeable qu'ils ne veulent pas voir mon visage.

Fatiguée, je reste allongée tandis que celui qui m'a bien baisée s'éloigne en laissant mes jambes tomber du siège dans l'allée. De nouveau j'entends des déclics qui m'indiquent qu'ils prennent des photos. Mais je m'en fiche. Qu'ils prennent des photos de mon corps couvert de sperme, qu'ils prennent des photos de mes seins qui remuent, qu'ils fassent ce qu'ils veulent, de toute façon ce n'est qu'un cauchemar. C'est obligé.

Allongée, je ressens une étrange vibration. J'ai l'impression que tout le monde est épuisé. Après tout, plusieurs ont joui. Après tout ça, ils doivent être fatigués et ils veulent sûrement se reposer.

C'est vraiment ce qui se passe. Ils retournent chacun à leur place comme si rien ne s'était passé en me laissant dans cette position. Ils commencent à parler entre eux sur d'autres sujets sans se soucier que je sois là. Au bout d'un moment, Paul me tape sur les jambes et me dit de les mettre dans le siège pour que personne ne les voie. Mais il ne dit et ne fait rien d'autre. Cette bande de salauds me laissent simplement allongée sur le siège, menottée et sans défense, sans penser à ce qu'ils m'ont fait. Par contre, je sens encore comment ma chatte a bien été baisée.

J'essaie de me préparer mentalement à ce qui va se passer ensuite. Le bus va bientôt arriver à sa destination. Il va s'arrêter et tout le monde va descendre. Le chauffeur, un professeur, ou quelqu'un d'autre montera et fera un tour dans le bus. Alors il me verra et il alertera la police. Les professeurs seront prévenus et les journalistes viendront. Ma vie sera terminée. C'est ce qui va se passer une fois qu'on m'aura retrouvée.

Je suis tiré de mes pensées par des applaudissements et quelqu'un qui dit à l'avant du bus :

- Nous sommes presque arrivés!

Comme le bus ralentit et qu'il tourne à plusieurs reprises, je sais que le voyage est presque terminé.

Alors je m'assois lentement sur le siège avec l'impression que je vais fondre en sanglots. C'est tellement étrange ce que je ressens maintenant. Même si j'ai détesté ce qu'ils m'ont fait et que j'ai été intimidée, en quelque sorte j'ai aimé aussi. Bizarrement, je ne veux pas que ça s'arrête. C'est pour moi une nouvelle expérience, aussi horrible qu'elle ait pu être, mais ça m'a libérée. Ce fut une véritable expérience sexuelle, une que je n'oublierai jamais... Une que je veux renouveler.

Le bus s'arrête complètement dans le bruit des freins à air. J'entends maintenant les élèves se lever pour descendre. Nous sommes bien arrivés à destination.

- Oh, ne crois pas que l'on en ait fini avec toi, l'intello! Déclare soudainement Paul en s'installant à côté de moi.

Il me le dit en chuchotant d'un air menaçant. J'ai l'impression que tout le groupe de gothiques me regarde. Je ne peux pas les voir à cause de mon chemisier, mais je les sens.

- Nous avons encore une surprise pour toi. Tu gardes ta chatte de ringarde ici et tu n'as pas intérêt à te faire remarquer, sinon... Compris? Prévient Lynn d'une voix sérieuse.

Je me sens à la fois découragée par le fait que ça continue et j'ai envie de sauter de joie en même temps. Tout ce voyage a été vraiment déroutant. Pourquoi pourrais-je aimer quelque chose d'aussi horrible? Pourquoi en voudrais-je plus? A quel point suis-je dérangée?

- Dis-le! Ordonne alors Jessica.

Puis les autres se joignent à elle pour que je répète leur avertissement. Mais cette fois, ils chuchotent en faisant attention à ne pas être entendu.

- Je... Je comprends. Je vais garder mes mamelles d'intello ici. Dis-je doucement.

Ils rient et me demandent de secouer à nouveau ma poitrine. Je le fais. Puis ils m'ordonnent de me recroqueviller sur le siège et de ne pas bouger afin que personne ne me voie et ne m'entende.

Ils quittent le bus en me laissant seule. Recroquevillée sur le siège arrière du bus, j'attends de voir ce qui va se passer. La peur m'envahit. Les gothiques vont-ils revenir . Si oui, que vont-ils faire? Ou est-ce le chauffeur qui va me trouver?

Que va-t-il m'arriver?

A suivre...

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1 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Mmmm quel plaisir... parfait équilibre entre humiliation et baise Merci Trouchard

Evidemment impatient des idées perverses qu'ils lui réservent. Elle n'est pas inscrite, elle est à leur totale disposition

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