Dans les Méandres de l'Ombre 01-06

Informations sur Récit
Un thriller policier noir et violent.
2.8k mots
4.76
3.3k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 11 pièces

Actualisé 04/18/2024
Créé 01/03/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
APVapv
APVapv
17 Admirateurs

Chapitre 6

La brigadière, revenant au commissariat avec une nouvelle urgente, se fraye un chemin à travers l'agitation. Sa stature replète et son visage aux traits fins, rehaussés d'un maquillage soigné, contrastent avec son air préoccupé. Elle tente de contacter Chrystel Louveton, mais en vain. Son téléphone reste muet, une absence de réponse qui ne fait qu'accroître son inquiétude. Un de ses collègues l'informe que l'inspectrice Louveton vient de quitter les lieux. La brigadière, résolue à transmettre son message, compose avec hésitation le numéro d'Elias Tabi. Elle est consciente que son intérêt pour lui pourrait être mal interprété, mais la gravité de la situation l'emporte sur sa gêne.

Elias décroche son téléphone et écoute attentivement.

- Chrystel vient juste de partir, lui dit-elle, sa voix teintée d'inquiétude. Mais je n'arrive pas à la joindre.

- Ne vous inquiétez pas, elle vous rappellera. Je suis en route pour la morgue afin de constater la mort du commissaire.

Elias la rassure avec calme et professionnalisme. À la fin de la conversation, Elias lui propose :

- Merci pour votre aide. J'apprécierais vraiment de discuter plus longuement avec vous autour d'un verre un de ces soirs.

Sa voix est chaude. La brigadière, raccrochant le téléphone, est submergée d'un sentiment de bonheur inattendu. La perspective d'une rencontre en dehors du travail avec Elias illumine sa journée, lui offrant un rayon de lumière dans l'obscurité des événements actuels.

Lundi soir, dans l'appartement du couple Louveton à Paris, Philippe se tient debout près de la fenêtre, son regard fixant l'extérieur où les lumières de la ville commencent à scintiller. Grand et élancé, avec ses cheveux bruns courts et ses yeux noirs emplis d'inquiétude, il vérifie à nouveau son téléphone, espérant un message ou un appel de sa femme. Ils avaient prévu de dîner au restaurant, un moment rare et précieux dans leurs emplois du temps chargés. L'heure avance, et avec elle, son appréhension grandit. Philippe se remémore leur dernière conversation, un échange rapide mais tendre, plein de promesses pour la soirée à venir. Il essaie de chasser les pensées négatives, les inquiétudes liées au métier dangereux de sa femme, mais le silence prolongé de Chrystel fait naître en lui un sentiment d'angoisse.

Délaissant la fenêtre, il se déplace dans l'appartement, chaque mouvement trahissant son impatience et son inquiétude. Il sait que la nature du travail de Chrystel peut entraîner des retards, des imprévus, mais ce soir, quelque chose lui semble différent, plus alarmant. Finalement, il décide d'appeler le commissariat, cherchant des réponses, espérant que sa femme soit simplement retenue par une affaire urgente. Cependant, au fond de lui, une voix lui murmure que cette soirée ne se déroulera pas comme prévu.

Lundi soir, dans l'isolement oppressant d'une cellule austère, Chrystel Louveton émerge lentement d'un sommeil lourd, imposé par la force brutale de son enlèvement. Ses yeux s'adaptent à l'obscurité, prenant conscience de l'étendue de sa situation : elle est prisonnière du Poursuiveur, cet assassin méthodique qui hante ses enquêtes. Avec une détermination farouche, elle se lève, examinant minutieusement sa cellule. Elle touche chaque mur de béton, cherchant frénétiquement une faille, un indice, une issue. Son cœur bat la chamade, chaque seconde un rappel de sa vulnérabilité dans ce lieu de captivité.

Alors qu'elle scrute sa prison, un faible murmure attire son attention. Des voix, étouffées par les murs épais, parviennent à ses oreilles. D'autres femmes, elles aussi victimes du Poursuiveur. Chrystel s'approche, essayant de communiquer à travers la barrière impitoyable.

- Y a-t-il un moyen de sortir d'ici? demande-t-elle, l'espoir teintant sa voix d'urgence.

La réponse qui lui revient est un chœur de désespoir.

- Non, il n'y a pas d'échappatoire, Maitre est très méticuleux, disent-elles, leurs voix brisées par la résignation.

Chaque mot est une pierre ajoutée au mur de la réalité : il n'y a pas de sortie facile. Chrystel, se reculant du mur, s'assoit sur le sol froid de sa cellule. Elle ferme les yeux un instant, rassemblant ses pensées. La peur est là, palpable, mais elle refuse de la laisser prendre le dessus. Son esprit, entraîné et affûté par des années d'investigation, commence à élaborer des plans, des stratégies, tout moyen possible de résister, de survivre. Elle sait que son salut repose sur son ingéniosité et sa volonté de fer.

Dans l'obscurité de sa cellule, Chrystel Louveton n'est pas seulement une victime. Elle est une combattante, une enquêtrice, et elle ne cédera pas sans lutter.

***

Lundi, je descends dans mon sous-sol, mon royaume souterrain où j'exerce un contrôle absolu. Les derniers événements ont fait gonfler le nombre de mes "locataires", chaque nouvelle venue ajoutant à la complexité de mon jeu. Il va falloir que je calme cette inflation.

En entrant, je vois Djamila d'abord. La grande black est dans sa cellule, nue, son regard résigné se posant sur moi. Elle a une force en elle, une résilience qui ne fait qu'ajouter à l'intérêt de sa captivité. Puis, il y a Lila, la fille de Sarah Magari. Elle est la preuve de ma vengeance, un rappel vivant de la trahison de sa mère. Son corps est couvert de stries ensanglantées. Elle semble perdue, encore sous le choc de sa nouvelle réalité. La voir ainsi, jeune et brisée, m'apporte un sentiment de domination. Elle est un pion crucial dans mon échiquier.

Je passe rapidement devant la cellule de Lula, la fille du commissaire qui fait ses exercices de souplesse. Au sol, toute nue, elle tente d'augmenter son grand écart.

Enfin, je m'approche de ma dernière invitée, l'inspectrice Chrystel Louveton. La voir ici, dans une de mes cellules, est particulièrement excitant. Elle, une chasseresse habile, est maintenant ma prisonnière. Son corps d'enquêtrice est là, mais son regard est empli d'une détermination farouche. Elle est différente des autres, plus dangereuse, plus intrigante. Sa présence ici est un trophée, un symbole de ma supériorité sur ceux qui cherchent à m'arrêter. Il va falloir est prudent avec celle-là.

Je m'arrête devant sa cellule, observant ses réactions, analysant ses moindres mouvements. Elle me fixe, une lueur de défi dans ses yeux verts. C'est un affrontement silencieux, une bataille de volontés entre le chasseur et la chassée. J'actionne mon interrupteur et la voilà au sol, se tenant le cou, électrocutée. Elle se redresse et me lance à nouveau un regard malveillant. La décharge recommence à la cisailler.

Ce sous-sol, avec ses nouvelles habitantes, est devenu un microcosme de mon univers. Chaque prisonnière est un reflet de ma puissance, un rappel de mon ingéniosité. Je suis le maître de ce domaine, le Poursuiveur, et chacune d'entre elles est un témoignage vivant de ma grandeur.

***

Lundi soir, alors que la lumière du jour commence à faiblir, Elias Tabi décroche son téléphone. Il compose le numéro de la brigadière. Sa voix, empreinte de préoccupation, transperce le silence du commissariat désert.

- Je n'arrive pas à joindre l'inspectrice Louveton, explique-t-il à la brigadière qui adore parlé avec le bel enquêteur. Pouvez-vous essayer de contacter son mari? Peut-être qu'il saura où elle se trouve.

La brigadière, à l'autre bout du fil, ressent un mélange d'inquiétude pour Chrystel et d'excitation à l'idée d'aider Elias. Elle acquiesce rapidement, prête à jouer son rôle dans cette enquête imprévue. Avant de raccrocher, Elias ajoute :

- Et demain midi, que diriez-vous de prendre un café ensemble? Juste en bas, dans le quartier du commissariat.

La proposition prend la brigadière par surprise. Son cœur s'emballe, un mélange de joie et d'anticipation la submergeant.

- J'adorerais, répond-elle, sa voix trahissant à peine son enthousiasme.

Le lendemain midi, un café, une simple rencontre, mais pour la brigadière, c'est bien plus que cela. C'est une invitation, un signe d'intérêt de la part d'Elias, un moment qu'elle attend avec impatience. Aux anges, elle raccroche, déjà anticipant leur rendez-vous du lendemain.

Dans la sombre réalité de sa cellule, Chrystel Louveton, le souffle court, observe la porte s'ouvrir lentement. La silhouette qui apparaît est celle de l'homme qu'elle craint le plus en ce moment : le Poursuiveur. Son corps se fige, paralysé par une terreur viscérale. Chaque fibre de son être vibre d'une peur primitive, une réaction instinctive face au danger imminent. Alors qu'elle fixe l'homme qui se tient devant elle, une confusion terrible s'empare de son esprit. Elle tente désespérément de comprendre, de rationaliser, mais les mots lui échappent, se dissolvant dans l'océan tumultueux de ses pensées effrayées. Soudain, un cri déchirant brise le silence oppressant de la cellule. Chrystel hurle, un son rauque et désespéré, alors que la réalisation la frappe de plein fouet. L'homme devant elle, le Poursuiveur, n'est autre qu'Elias Tabi, son collègue, son ami, son amant. La trahison est aussi brutale qu'incompréhensible.

Comment Elias, l'homme avec qui elle a partagé tant de cas, de moments, pourrait-il être ce monstre?

La douleur de cette trahison se mêle à sa peur, créant un tourbillon d'émotions qui la submerge. Chrystel, tremblante et horrifiée, recule instinctivement, cherchant à mettre de la distance entre elle et celui qu'elle croyait connaître. Ses yeux verts, emplis de terreur et d'incompréhension, fixent Elias, cherchant désespérément une explication, un signe que tout cela n'est qu'une terrible méprise. Mais la vérité est là, implacable et cruelle, dans le regard froid et calculateur d'Elias. Ce soir, Chrystel Louveton fait face non seulement à son ravisseur, mais aussi à la trahison ultime.

L'homme appuie sur son interrupteur et la décharge électrique fusille l'enquêtrice qui tombe au sol. Puis, il ressort.

Tranquillement, comme si le programme de sa journée s'écoulait naturellement, le Poursuiveur sort Djamila et Lila de leur cellule. Il attache Lila dans le donjon et ordonne à Djamila de la faire jouir. Munie du sex-toy aspirateur, la black ne rechigne pas et applique l'embouchure de l'appareil sur le clitoris de la beurette qui pleure. Qu'une femme ose la toucher, il n'y a pas d'autre enfer. Alors que Djamila, à genoux devant Lila, s'applique à stimuler le bouton, Elias revient avec une autre soumise qu'il courbe sur un chevalet.

La fille du commissaire est une jeune proie tout à fait délicieuse avec son énorme poitrine se dit Elias. L'homme attache ses poignets et ses chevilles aux pieds du chevalet. Ainsi contrainte, le corps de Lula est courbée en avant et laisse la liberté d'accès à son cul et à sa chatte. Dans l'axe pour contempler la beurette jouir de force sous les attentions de la black, Elias écarte les fesses de la jeune fille. Quelles sont rondes et fermes! Le Poursuiveur est admiratif. A part Djamila, aucune n'a un cul aussi beau, se dit le pervers. Il pose sa verge sur l'anneau et dans une poussée déterminée, il s'enfonce dans le cul de la petite qui hurle de douleur. Elle se sent déchirée, comme si ses chairs se répandent partout. Elias la sodomise lentement pour goûter à l'étroitesse de la vierge. Sa queue enfoncée sent les spasmes de Lula qui, attachée sur le chevalet, ne peut pas se dérober à sa torture. Les gros seins de la fille se ballottent sous son corps.

Quand il a terminé avec la fille du commissaire, il la range dans sa cellule et passe voir son ancienne collègue qui lui hurle dessus. La décharge électrique au cou la paralyse. Quand elle reprend connaissance, elle est fixée au mur en béton par des bracelets en cuir attachés à des anneaux dans le mur. Elle voit le corps nu de son assaillant, ce corps si musclé qui la fit chaviré. Il tient un couteau. Chrystel a peur qu'il ne la tue.

- Pitié... Elias... Pitié!

- Commence par m'appeler Maitre. Après on verra.

La femme enregistre lentement l'information mais la lame approche de son corps. La pointe se pose sur sa gorge.

- Pitié... s'il te plaît,... Maitre, finit-elle par dire.

- Voilà... tu vois c'est bien...

La lame du long couteau passe sous l'une des bretelles du débardeur de l'inspectrice et tranche le tissu. De l'autre côté, Elias recommence l'opération. Puis, il approche la pointe près du nombril et dans un geste lent et méticuleux, il remonte du bas ventre vers la gorge pour scinder en deux le débardeur qui tombe finalement au sol. Les attaches du soutien-gorge sont rapidement tranchées.

Chrystel regarde avec appréhension le couteau qui danse devant elle. C'est maintenant son short qui est découpé puis sa culotte. Tous ses vêtements répandus sur le sol en ciment, la femme est nue, fixée au mur par des chaînes. Elle est glacée quand les mains d'Elias caressent ses petits seins qui pointent malgré tout. Quelques jours auparavant, ce contact l'avait complètement fait chavirer. Aujourd'hui, c'est intolérable mais elle n'ose pas se rebeller.

Le grand costaud s'approche et l'embrasse. Le bout de sa queue touche le ventre nu de la femme. Il enfonce sa langue dans la bouche de son ancienne collègue puis, la délaisse et sort de la cellule.

Dans le donjon, Djamila continue de faire gueuler d'orgasmes successifs la pauvre Lila qui ne peut contrôler son plaisir. La torture est bien là : subir des orgasmes qu'elle refuse. Elias revient dans le donjon en compagnie de la barmaid Julie. Hormis le collier blanc à son cou, la rousse est nue. Elle est agenouillée devant les deux autres soumises. L'homme lui passe un anneau dans la bouche qui est relié à des lanières en cuir qu'il attache à l'arrière de la tête de la jeune barmaid. L'anneau, entre ses dents, oblige l'ouverture de la bouche.

Ayant terminé son installation, Elias se relève et approche de Lila qui est toujours fixé au mur. Le visage inondé de larmes de la fille de Sarah excite beaucoup le Poursuiveur qui vient l'embrasser.

- Tu es ma chose et tes orgasmes m'appartiennent.

Il revient vers la rousse qui n'a pas bouger et dont la bouche ouverte bave déjà. La salive dégouline sur les petits de Julie dont les yeux verts appréhendent. Elias avance sa verge dure et passe dans l'année. Il s'enfonce dans la bouche de la barmaid qui, impuissante, subit une fellation profonde. A chaque va-et-vient, le gland pénètre plus loin et s'engouffre dans la gorge. La rousse commence à hoqueter et tente de se soustraire mais son violeur maintient sa tête par son épaisse chevelure.

- Djamila, arrête de faire jouir Lila, lance Elias en s'enfonçant dans la gueule ouverte de la jeune barmaid.

Lila est en nage et ses cuisses tremblent toutes seules. Ses lèvres coulent.

- Fais-toi jouir maintenant devant moi!

La grande black retourne le jouet sexuel vers son sexe et commence à poser l'embout trempé de la mouille de la beurette sur son clitoris. Le grand costaud accélère sa pénétration et n'a cure des borborygmes de Julie qui est aux bords de vomir. Le visage détendu de la fille chauve quand les vibrations commencent sur son sexe excitent le violeur qui éjacule au fond de la gorge de Julie. Il se répand en elle et s'enfonce toujours plus loin.

Dans les tréfonds de son antre, Elias se délecte d'un plaisir malsain, un sentiment de toute-puissance alimenté par la souffrance de ses victimes. Chaque cri, chaque larme, chaque frisson de peur de celles qu'il retient contre leur gré est une source d'excitation pour lui. Il trouve une satisfaction perverse dans le contrôle absolu qu'il exerce sur leurs vies, transformant leur douleur et leur désespoir en une source de gratification personnelle.

Ce plaisir de pouvoir, loin d'être un simple attrait pour la domination, est une obsession maladive. Le policier orchestre chaque aspect de la captivité de ses victimes, jouant avec elles comme un marionnettiste avec ses poupées. Pour lui, le pouvoir n'est pas seulement une question d'autorité, mais un moyen de s'affirmer, de combler un vide intérieur par la soumission des autres. La douleur et la détresse de ses prisonnières ne sont pas des effets secondaires regrettables de ses actes ; elles sont essentielles à son plaisir. Chaque marque de faiblesse, chaque preuve de leur vulnérabilité le renforce, lui donnant un sentiment d'invincibilité. C'est dans ces moments sombres, lorsqu'il voit l'impact de ses actions sur ses victimes, que le Poursuiveur se sent le plus vivant, le plus accompli. Il est au coeur de ses désirs et contrôle son plaisir.

Elias passe sa journée du lendemain au commissariat où les autorités et le préfet descendent. La mort subite du commissaire et la disparition étonnante de l'inspectrice Chrystel Louveton alertent la maison. Elias fait état de l'avancement de l'enquête en omettant la photo de la camionnette.

Il est chargé de recevoir Philippe Louveton, le mari de sa collègue. Pendant l'interrogatoire, Elias bande comme un âne. L'idée que dans quelques heures il va fouetter et violer la femme de cet homme devant lui, énerve son désir pervers.

La brigadière aux seins énormes et au joli visage lui tourne autour. Il lui sourit un peu. Elle n'est pas vraiment à son goût mais, c'est une manière de donner le change au commissariat. Il devra la baiser un peu.

Le soir, il rentre chez lui. Il mange tranquillement puis nourrie ses soumises. Elias n'avait jamais vu une femme sans penser qu'elle deviendrait une soumise, ni une chatte sans songer la posséder. Il termine par la cellule de Chrystel. Elle est seule, prostrée au sol. L'enfer n'est pas plus terrible que sa solitude.

Il lui balance une décharge électrique et se poste devant elle.

- Tu seras ma chose!

(Fin de la première partie. Je n'ai pas encore prévue la seconde.)

APVapv
APVapv
17 Admirateurs
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
5 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 12 jours

Terriblement excitant

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

C'est avec plaisir que je découvrirais la suite des mésaventure de Chrystel Louveton

APVapvAPVapvil y a 3 moisAuteur

@ Stephanois62

Merci pour votre commentaire. Je ne vois pas qui est l'Emir dans cette histoire ? Vous confondez peut-être avec Emprise - Uber sex.

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Très très bonne histoire, bravo à vous. En espérant qu'il y ait une suite. Merci pour ce récit

stephanois62stephanois62il y a 3 mois

bonjour je vereais bien crystel finir dans lez catalogue de vente d esclave et partir chez l emir

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

La Déchéance de Caroline - 01 Séjour en Afrique - 1ère partie
Chute d'une héritière Ch. 01 Madame nous allons vous asservir ici vous n'êtes plus rien.
Histoire de Laurence: Suite La destruction totale d'un couple.
Le Pensionnat des Oiseaux Recrutement de la prof de maths.
Entre Filles Ma femme est partie, sans moi, à une soirée entre filles.
Plus d'histoires