De la Chimie des Corps Ch. 03

Informations sur Récit
La Nouvelle Vie de Walter le Chimiste Ch3.
6.9k mots
4.59
13.7k
1
0

Partie 3 de la série de 10 pièces

Actualisé 04/29/2021
Créé 01/17/2015
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Chapitre 3 : la Présidente

Walter était arrivé en vue de l'escalier qui menait vers l'entrée du gymnase et se mit à sprinter dans un effort désespéré pour rester en-dessous de la barre des 50 minutes mais il échoua à quelques secondes près. Ce n'était pas encore aujourd'hui qu'il battrait son record!

Une fois douché, il boucla autour de sa taille la ceinture du coussinet qui lui permettait de toujours afficher du ventre sous sa blouse de laboratoire et vérifia que les cheveux qu'il avait rasé en début de semaine pour accentuer sa calvitie n'étaient toujours pas visible. Avec son stylo, il se rajouta une tache d'encre sur la joue et une ou deux trainées sur sa blouse soigneusement chiffonnée. Il se regarda dans le miroir : Parfait, l'athlète avait à nouveau laissé la place au Vieux Rat Thé. Il prit le chemin de son labo.

Il prépara une pleine théière, la recouvrit d'une housse thermo-isolante et disposa tasses et biscuits sur la nouvelle table de réunion qui trônait maintenant entre son bureau et la fenêtre. Bien qu'il les ait libérées conformément aux instructions de Niki, les ex-subjuguées du Club des Lesbiennes continuaient à passer par son labo tous les matins. Caro par obligation puisqu'elle était toujours son adjointe, Anne pour passer un peu plus de temps avec Caro bien qu'elle n'ait plus vraiment de raison valable maintenant que le nano-diffuseur avait franchi tous les tests avec succès . Francine qui bénéficiait toujours des échantillons gratuits pour son mari venait surtout pour papoter avec Niki. Seule Geneviève manquait régulièrement à l'appel comme souvent depuis que Niki l'avait nommée à la tête du Comité Scientifique en remplacement de Ballard qui avait été prise d'une espèce de burn out.

Niki arriva peu après et ils s'embrassèrent passionnément, profitant de ce moment d'intimité rare dans les murs de l'Institut. Il caressa son ventre maintenant rebondi avec tendresse et elle en fit de même d'un geste moqueur en tapotant le coussin « Jaloux!».

Les autres ne tardèrent pas à arriver. Walt était heureux que les propriétés amnésiques de sa potion aient bien fonctionné quoiqu'il avait fallu beaucoup de persuasion et d'énergie à Nicole pour faire collaborer ses anciennes petites amies en un seul groupe au service de Walter et de La sulfureuse spin-off qu'elle avait édifiée avec Walt : « Sub-Thérapies SARL » dont les deux actionnaires étaient basés à Jersey. Les filles avaient été bien entendu scandalisées par la démo de l'unique produit disponible « Irrésistible-F » mais travaillaient actuellement avec enthousiasme à l'élaboration de la version pour mâles.

Mais aujourd'hui, le premier sujet de conversation ne portait pas sur le business.

« Tout le monde ne parle plus que de ton ventre, Nicole » expliquait Anne en passant les biscuits « Les paris vont bon train quant au père. J'attends toujours que tu nous révèles son nom à nous tes meilleures amies! »

« Qui est-ce qui tient la corde? » demanda Niki curieuse

« Une éprouvette! » répondit Francine moqueuse. « Désolée Walter mais tu 'arrives que bon sixième après 'un inconnu', feu de Commines, Martin et le jeune Gérard Lambert.

Le décès de de Commines survenu près de deux mois plus tôt avait été LE scandale de la décennie au sein du vénérable Institut. Attiré par les cris de Linda, un laborantin de passage devant le bureau présidentiel avait découvert la secrétaire nue, affalée sur le bureau avec de Commines pesant sur son dos, sa verge toujours en érection fichée dans l'anus de sa secrétaire. Le président avait fait une crise cardiaque mortelle en pleine heure de gloire!

Nicole avait été nommée sur le champ Présidente par intérim du CA et avait commencé à placer ses femmes de confiance aux postes clef en commençant par Geneviève. Elle avait aussi fait entrer Paul, le mari de Francine au CA et nommé Anne comme Directrice adjointe pour surveiller Martin qui était devenu Directeur. Elle tenait Martin suite à un second scandale soigneusement étouffé qui avait mis aux prises un Martin complètement dépassé avec la vieille Ballard surdosée à l'Irrésistible-F. Elle envoyait régulièrement à son Directeur une copie numérique de la photo qu'elle avait prise de Ballard chevauchant son adjoint pour lui rappeler que le Pouvoir n'était pas entre ses mains mais dans les siennes et celles d'Anne et de Geneviève.

Evidemment, cette succession d'affaires avait rendu impossible l'annonce de son mariage avec son subordonné Lévèque . Elle se baladait donc avec le ventre en avant laissant se développer les paris d'abord sur son éventuelle grossesse puis, une fois la chose entendue, sur le nom du géniteur. Sans compter qu'elle n'avait pas encore lâché sa plus grosse bombe. Ses amies n'étaient pas bout de leurs surprises ...

Walter , qui assurait le service à table haussa les épaules « Je n'ai pas parié. J'ai confiance dans les choix de notre Présidente ».

Les cinq femmes continuèrent un bon quart d'heure sur le thème de la grossesse de Niki, échangeant ragots et commentaires avant que Walter ne parvienne à revenir à un sujet qui lui tenait à cœur.

« Caro, quand est-ce que nous passons à la phase de test pour 'Irrésistible-M'? »

« Geneviève s'est portée volontaire pour l'essayer sur Gérard » répondit-elle

Walter regarda cette dernière d'un air interrogateur

« Je ne sais pas pourquoi » dit Geneviève en s'adressant plutôt à ses compagnes qu'au seul mâle de l'assemblée « mais j'ai de nouveau envie de sentir un bon gros chibre me ramoner le minou, surtout si je le contrôle »

« N'y va quand même pas seule » réfléchit Niki à haute voix. « Si quelque chose tourne mal, il faudrait qu'on puisse faire rejaillir la faute sur Lambert. Francine ou Caro ou les deux devraient être présentes! »

« Chic, ça va être drôle » s'enthousiasma Francine.

Caro était plus dubitative mais après avoir quémandé du regard l'approbation d'Anne, elle finit par marquer son accord.

Sur sa lancée, Nicole continuait son tour d'horizon :

« Francine , que donnent nos finances? »

« Nous avons enregistré notre cinquantième client, un compatriote réfugié de l'autre côté de la frontière, ce qui nous à permis de dépasser la barre des cent-mille euro de recettes nettes. Notre plus gros poste de dépense reste cette agence de détectives qui nous en prend environ 20% . Le reste, je le répartis à part égales entre nos salaires, les achats de matières premières ,la fondation et le compte à Jersey ».

« Geneviève, l'approvisionnement? »

« Depuis qu'on passe par Jersey, l'Institut n'est plus du tout impliqué. Et comme nous recombinons les matières premières nous-même, les douanes n'y voient que du feu. Mais c'est quoi cette agence de détectives? »

« Deux précautions valent mieux qu'une : ils nous font rapport des mœurs de nos bonshommes avant qu'ils ne deviennent clients et les surveillent par après pour éviter tout dérapage... Et par la même occasion nous procurent une splendide photothèque au cas où ces messieurs oublieraient qui tient leur braguette! »

« Anne, la Fondation? »

« Juridiquement, la 'Fondation Alfred de Commines pour la Recherche' est sur les rails ; ses enfants ont donné leur accord pour l'utilisation de son nom et voudraient participer au financement sous la forme d'un prix annuel pour réhabiliter son image. »

« C'est parfait ça et pendant qu'on en parle, Walter, la recherche? »

« Comme Carine l'a dit, la version 'M' va entrer en test et je travaille sure une version 'L' qui, à mon avis, ne devrait pas poser beaucoup de problème ; c'est un copié/collé de la version 'F' . Je suppose que je ne manquerai pas de candidates pour le tester »

« Moi, moi!» s'écrièrent à l'unisson Francine et Geneviève. Anne se contenta de serrer Caro contre elle en annonçant à la cantonade « J'ai ce qu'il me faut! Merci! Sur ce, je dois vous quitter, je dois donner mes instructions à notre Directeur»

Francine proposa à Geneviève et Caro de procéder immédiatement au test du 'M' et elles se hâtèrent vers le labo de biochimie moléculaire à la recherche du jeune Lambert.

Restés seuls, Walter commença à débarrasser la table mais Nicole l'arrêta très vite.

« Tu es parti bien tôt ce matin! »

« Pas plus que d'habitude, c'est toi qui as besoin de plus de sommeil ... A -t'on idée d'attendre des triplés! »

« A qui la faute? Mais en attendant, tu m'as abandonnée alors que je suis dans une phase délicate de ma grossesse! Je t'ai déjà dit qu'avec mes hormones qui jouent au flipper, je suis dans le même état qu'une lapine en chaleur »

Elle s'assit sur la table , bascula sur le dos , releva sa jupe et écarta les jambes « Regarde mon amour je suis comme ça depuis ce matin. Si tu ne me tringles pas très vite, je vais rattraper les filles et m'envoyer Lambert! »

Walter déglutit péniblement. Elle n'avait pas mis de culotte et il avait une vue splendide sur sa vulve béante et luisante de mouille. Il enleva fébrilement sa blouse et sa chemise, arracha le ridicule coussin sur son ventre et laissa tomber son pantalon sur ses chevilles . Il s'avança entre les cuisses de Niki et la pénétra avec toute la retenue dont il était encore capable.

« WAAAOOW! J'en avais besoin! » gémit-elle . Elle caressa le ventre plat de son amant « j'aime ton corps mon bel amoureux . Vas-y mon Wally, baise-moi FORT!».

En dépit de ses efforts, Walter ne parvenait pas à modérer ses ardeurs. Il pistonnait Niki comme une bête alors même qu'une petite voix répétait dans sa tête « Pense à tes bébés! ». Il allait et venait dans le vagin de la femme qu'il aimait avec une avidité qui l'effrayait lui-même mais ce n'était certainement pas le cas de sa 'victime'

« Oui Wally, comme ça! AAAJH! Encore mon Wally! Baise ta femme! RRAAAAH! PLUS FORT! »

Elle venait à sa rencontre pour accentuer la force de ses pénétrations et s'était lancé dans un véritable délire verbal.

« OOOH Wally , tu me aah fais si bien uuh l'amour! Je sens ta aaah bite qui me oooh défonce! C'est si .... booon! Wa aaah ly! Je ... je ... jouis ...! N'arrê ... te pas! aaah! con ... tinue! Waaally! Je t'aime! AAAAH Je t'aime tant!!

Walter était au bord de l'explosion mais serrait les dents pour ne pas se laisser aller à la jouissance. Sa FEMME avait besoin de lui! Elle avait besoin de jouir encore et encore et il continuait à la besogner sans relâche, déterminé à lui offrir les orgasmes qu'elle attendait désespérément. Accroché à ses hanches, il la labourait sans tenir compte des contractions de ce délicieux vagin qui semblait vouloir lui arracher la bite pour l'avaler.

« Niki! Je te veux! Jouis sur ma bite! Donne-moi ton plaisir , mère de mes enfants! »

« Oh Oui mon Wally! Nos enfants! Aime-nous! Baise-moi! Montre à nos bébés que tu m'aimes! AAAH Wally, tu ... vas ... me ... faire ... jouir ... encore ...! »

« Ni ..ki , ma ... Ni ..ki! JE VIENS!»

« WAAALLLYY! JE JOUIS! ... AUSSI ... MON ... AMOUR!! PLAISIR!! ... TON .. FOUT' .. EN MOI!! .. TOUT .. CHAUD!! BOOON! AAAH! WAALY! »

Les jambes de Niki retombèrent de part et d'autre de son homme et elle poussa un gros soupir lorsque sa verge fut expulsée de son vagin enfiévré. « Ouuh mon homme, ça a fait du bien, tu peux pas savoir! » Elle l'attira sur lui. « Tu m'aimes un peu alors? »

« Niki, si tu ne portais pas nos enfants, je pourrais t'étrangler rien que pour tu ne doutes plus de moi! Je t'aime! J'aime la mère de mes enfants à venir! Et j'aimerai nos enfants comme je t'aime! Si tu ne me rejettes pas comme un vieux kleenex, je serai toujours là pour toi. »

Elle l'embrassa avec une larme à l'œil « Merci Wally, ça fait du bien de t'entendre au moment où je deviens grosse et laide ... »

« Niki, ma Niki! Tu ne seras jamais laide à mes yeux! Même quand ton merveilleux ventre aura la taille d'une Montgolfière à cause des triplés, je te désirerai plus qu'aucun homme ou aucune lesbienne ne t'a jamais désiré! »

« Wally, tu crois que tu pourrais encore bander , je veux dire bander dur? »

« C'est déjà bien parti ma belle! »

« Je voudrais que tu m'encules.... J'ai envie de sentir ta gentille bite me perforer l'anneau. Comme ça je saurai que tu pourras toujours me faire l'amour quand je serai trop grosse pour être ta femme! »

« Donne-moi deux minutes! »

Il fonça vers l'armoire métallique et revint avec le tube de gel qui n'avait plus servi depuis deux mois. Il enduisit l'anus de Niki et poussa son doigt à l'intérieur, lubrifiant l'étroit conduit. Il badigeonna ensuite sa verge du même gel, attentif à la recouvrir entièrement. Il présenta son membre à l'entrée du petit trou et poussa lentement. Le sphincter résista un moment puis céda et sa bite fut comme aspirée à l'intérieur du rectum de Niki.

« AAAOOH! Ma Niki, je suis dans ton cul! C'est tellement étroit qu'on dirait une vierge! »

« Ooh Wally, ... j'étais vierge par là ... plus maintenant ... Je sens ta belle bite qui me sodomise! Tu aimes mon cul Wally? Il est aussi bon que celui de Caro ou de Francine? »

« Mon amour .. han .. ton cul est incomparable ... caresse ton clitoris .. han ... pendant que je te sodomise ... han .. pendant que je prends ton merveilleux cul ...han .. de femme enceinte qui m'excite.. han ... Caresse-toi bien mon amour ... han... je vais bientôt .. han jouir .. han dans ton ... han... cul! ooh! AAAH!»

« Oui Wally.. Prends-ta femme! Aime -moi Wally! Je vais bientôt jouir aussi... avec .. ta ..bite .. O Wally .. dans mon .. gros .. cul! Wally... WALLLYY!!

« NIKI! PREND TOUT! AAAH! »

Pendant ce temps ...

Francine, Geneviève et Caro étaient arrivées au laboratoire n° 7 de biochimie moléculaire appliquée, le plus fameux et le plus riche des labos de l'Institut. Le labo travaillait avec quelques grands noms de la gastronomie nationale mais aussi avec les principaux groupes agro-alimentaires qui signaient sans sourciller de gros chèques pour obtenir des réponses à leurs problèmes voire des percées en recherche fondamentale.

Elles passèrent rapidement devant les quatre premières salles de département et frappèrent à la porte de la salle E . La voix de Lambert les invita et elles entrèrent telles une délégation de visages d'anges ...aux noirs desseins.

« Shit, il n'est pas seul » grommela Geneviève entre ses dents

« Pas plus mal, ça fera un double test » répliqua Francine sur le même ton. « Passe-moi le diffuseur Caro! » Elle passa derrière le jeune assistant affairé sur une série d'éprouvettes et lui envoya deux giclées dans la nuque. Il ne remarqua pas tout de suite la fine bruine qui s'était déposée sur sa peau . Le temps et qu'il réagisse et porte sa main à son cou pour s'essuyer, il était-- du moins selon la théorie - trop tard, le produit était sensé avoir pénétré la peau et le système sanguin . Plus que deux minutes à attendre.

Le jeune professeur Lambert se retourna avant que Francine ne soit arrivée à sa hauteur

« Bonjour Madame Lemestre, que puis-je pour vous? »

« Mes amies et moi avions une discussion au sujet de l'usage de l'azote ... mais vous avez une tâche sur le cou ; permettez, j'ai du détachant ... encore une petite giclée ... voilà , je frotte avec mon mouchoir ... et c'est parti! »

« Merci Madame Lemestre, je suis confus de vous faire travailler alors que ... alors que .. «

Il se figea et ses yeux devinrent fixes. « Une minute vingt-deux secondes » dit la voix de Caro derrière Francine.

Geneviève avait déjà fermé a porte de la salle E à clef « Vive les labos de riches » dit-elle. « Moi j'ai dû acheter moi-même un coffre pour enfermer mes travaux les plus précieux! »

« Qu'est-ce que donne le tien? » demanda Francine à Carine qui examinait le jeune assistant

« Pupille fixe, respiration normale, pas de crispation musculaire ...S'il n'avait pas les yeux ouverts, on dirait qu'il dort ... Attends, augmentation de la fréquence cardiaque dirait-on ... le souffle s'accélère légèrement, début de rougeur aux joues et fine transpiration qui perle au front! »

« Vérifie dans son pantalon! »

Ce fut au tour de Caro de rougir. La jeune femme manquait totalement d'expérience dans ce domaine et dut s'y reprendre à trois fois avant de déboucler la ceinture du pantalon. Une tombé fois sur les chevilles, elle respira un grand coup et abaissa le slip du jeune homme en détournant le visage.

« Alors? »

Geneviève bouscula Carine et siffla « Douce Marie! , ça c'est de l'équipement »

Francine s'occupait déjà de Gérard Lambert « Le beau Gérard se défend bien aussi. Qu'est-ce qu'on fait? » demanda t'elle le regard toujours fixé sur les attributs virils.

« Tu fais ce que tu veux .. AAAH ça fait du bien » répondit la voix de Geneviève

Francine se retourna . Son amie avait fait assoir son partenaire sur une chaise, avait enlevé le slip qu'elle portait sous sa blouse de labo et chevauchait le jeune homme sans autre forme de procès.

« Oh bon sang, cela faisait longtemps... Une bite bien dure et bien chaude ... Aah , j'en ai plein le ventre... tellement meilleur qu'un gode ...ooh ... Ca ... Caro, j'en ai pour aah combien de temps? »

« Normalement une bonne heure » répondit Carine très troublée « mais tu as mis une double dose donc ce sera plus long »

« AAAHH! Tant mieux! ...ooh les filles, je aah .. je VAIS ....!!! » Elle se tut et se contorsionna une dernière fois sur les genoux du laborantin et s'immobilisa dans un ultime râle de plaisir.

« Jenny, .. Jenny? ça va?» s'inquiéta Carine

« Ouf oui ; laisse-moi un peu récupérer. Je n'ai pas fini de profiter de mon Apollon mais c'était tellement bon que je ne peux pas remettre le couvert tout de suite! »

De son côté, Francine tentait une autre expérience. Tenant la verge de Gérard en main , elle lui tapota sur la joue et dit « Jouis! » . Rien ne se produisit. « Branle-toi et jouis! » La main de l'homme vint se placer en partie sur la sienne et il commença un puissant mouvement de masturbation qui se conclut assez rapidement par une éjaculation abondante de cinq ou six jets. Mais il resta glorieusement figé au garde-à-vous.

Francine ne résista plus. Entre le son et lumière de Geneviève et la vision de la verge de Gérard, elle se dit («Désolée Paul, c'est pour la Science ... et pour le plaisir de mon petit con. »). Elle enleva son pantalon et son slip, releva sa blouse autour de ses hanches et s'accouda à la table de labo. Gérard, viens ici et baise-moi! » Comme un automate, l'homme s'approcha et tâtonna avec sa verge pour trouver l'entrée de la vulve jusqu'à ce que Francine l'aide. Mais dès qu'il fut à l'intérieur des grandes lèvres, il se déchaîna , pénétrant sa maîtresse comme un soudard, ressortant de son vagin pour s'y enfoncer encore plus brutalement .

« Ouïlle « cria t'elle « Plus doucement espèce de sauvage » . Le rythme ralentit quelque peu et les va et viens devinrent moins violents « Encore un peu moins fort ... Voilà ... Ca c'est de la bonne bite ... vas-y mon beau, doucement mais à fond! Aaah oui , comme ça!»

Carine regardait ses deux collègues avec envie. Malgré son peu d'attirance pour les mâles, elle sentait son vagin s'humidifier peu à peu en entendant les gémissements orgasmiques qui s'élevaient en stéréo autour d'elle. Elle regretta soudain de ne jamais avoir sacrifié sa virginité sur l'un ou l'autre gode. Elle aurait pu elle aussi « expérimenter » un de ces deux mâles sans défense.

« OOOOHH! OUI OUI OUIIII! » Geneviève venait de se mener à un nouvel orgasme. Comme elle vacillait, Carine la rattrapa et, par réflexe, embrassa les lèvres féminines. Elle eut un vague sentiment de culpabilité à l'égard d'Anne mais l'oublia vite pour se laisser aller à la douceur du baiser. Geneviève lui passa les bras autour du cou et recommença à s'empaler sur le pieu qui occupait toute son intimité. Elle se servait de Carine comme d'une bouée qui lui permettait de mieux revenir à la surface après chaque plongée dans l'entrejambe de son partenaire.

« Tu devras essayer un jour » haleta t'elle

« Je préfère les femmes »

12